jeudi 29 mars 2012

LA FÉE, LE FLÛTISTE ET L'ÉLÉPHANT

    Sous un soleil de plomb, comme il le peut seulement concevoir un impitoyable dieu monothéiste, un sadique flûtiste conduit des pauvres souris, pauvres, de la ville sur la grand place. L'esplanade était présidée par un échafaud, dès où une fée marraine, une fois toute la masse accommodée là (c'est une manière de le dire) elle se met à jeter des grosses pierres sur le puisant éléphant, tout semble son concurrent sur le pouvoir aux bestioles, s'arrêtait-elle parfois, en changeant à tort et à travers la direction de l'attaque, pour jeter d'autres pierres, à taille proportionnelle, sur les victimes du puissant, les en faisant coupables de son propre destin.

       Les petites peureuses mises sur un coin de la place, se sont façonné en un corps beaucoup plus gros que celui du gros éléphant… finissez-vous comme vous voulez le conte, que la fée marraine s'en va diluer dans la plus forte puissance.

      

mercredi 28 mars 2012

PERSONNE TROMPE PERSONNE

    Si l'on tire d'un service de couverts des couteaux, auxquels on les enlève leurs manches avant de les remettre à sa place. On obtiendra : des fourchettes, des cuillers et des lames, ces dernières de qui si bien, on pourra faire une utilisation, proche des fonctions propres aux couteaux, elles ne l'y seront point, parce que le couteau, selon Le Petit Robert, par exemple, est un instrument tranchant servant à couper, composé d'une lame et un manche. 

    Alors ! Si une société, composée basiquement et majoritairement par des gents travailleuses, soutiennent une minorité exploitante et spéculative, élue démocratiquement (*) pour manier sous les lubies qu'y sont propres aux satrapes, l'administration de l’État, en lui gouvernant au plus pur style d'un idiot "Marie j’ordonne". Donc, cela veut dire, que les ouvriers, ceux-là qui les en ont votés, ne l'en sont que par intérim (ils veulent l'en croire) parce que ce qu'ils veulent, en bonne déduction logique, c'est former partie de ce club de sangsues-parasites-inutiles, même en sachant qu'ils sont nés pour bien vivre, et, vont mourir en esclaves, modernes, mais esclaves.

       La classe ouvrière, anéantie à cause de la propre honte d'une grande majorité d'être l'un y parmi, elle est en train de disparaître, due que la vulnérabilité sur le chaque fois plus précaire minorité qui restent dans la place qui n'est que la nôtre, dont la seule force est l'ensemble de tous.

      (*) Personne se laisse tromper, de qui y arrive l'occasion s'en font des victimes qu'ils sont étés trompés, personne l'en a été, tout le monde sait, très bien, ce qu'il fait, ce qui se passe et ce qui en va passer. Notre ennemi, celui de l'humanité, sommes nous-mêmes.

lundi 26 mars 2012

CHACUN AU SIEN

    La belle charmante Éloïse Aux-Mains-Vertes, soignait, faisant honneur à son nom, et même pudiquement faisant autant à son prénom, le charmant jardin qui entourait partout sa non plus moins charmante maison ; en fin, tout était si charmant chez la belle, que moi, pour beaucoup de charme de laquelle me j'eusse servi sous but de lui rendre visite, en sachant de ma nulle habilité en ces affaires, j'y suis allé en indompté, que pour ça il ne m'a fallu déguiser.

        Une fois chez elle, la belle me conduit pour nous installer, à la furtive, dans le derrière de la maison, où il était prêt à l'occasion, un canapé d'osier, face lequel un guéridon (charmant lui aussi) qui supportait toute sorte d'autres canapés, dont il ne s'avisait pas, ni un brin de vitamine B. Ce guéridon-là s'interposait entre nous, tous les deux assis sur le canapé d'osier, et le fleuri jardin, vers où elle signalait de son délicat doigt, de sa délicate main qui allongeait avec son pas moins délicat bras, elle m'expliquait au temps qu'elle buvait du thé et moi du vin (je lui avais fait savoir que je viens de subir une opération, donc je ne peux pas boire d'excitants) tout le concernant aux fleurs et quelque chose comme ça qu'il y avait par là. 

        Mes yeux plus attirés à la chair, en un rien, changent leur champ de vision pour se rendre sur deux papillons, dont l'un, jeune ravissant, en va au derrière d'un autre plus âgé, tout dépoudré, un joint sur la commissure de ses lèvres, duquel le jeune lui prie de partager :

        Allez va, laisse-moi le mégot…

      Va-t’en foutre la paix. Il obtient par réponse, le jeune.

       -Eh ! Tu t'es endormi chéri ! Ceci il ne concerne qu'à moi. Elle me dit, alors je fais un plein, et je prends route vers la destination délaissée. 

dimanche 25 mars 2012

UN GENTIL ÂNE

    Étais-je distrait (ce qui est fréquent), les coudes appuyés sur le mur qui clôturait un pré, contemplant la splendeur verte, fleuri partout de marguerites blanches et jaunes, parfois y parmi un qu'autre coquelicot rouge.

    Par ce tableau impressionniste, dont un âne recueillait délicatement de ses délicates fleurs, je ne sais pas si en vue de s'orner lui, à son intérieur peut-être, ou de changer le style de la toile à un réalisme monochrome. 

    La belle que pas moins intelligente bête, dont la bêtise humaine à fait emploie, péjorative, de son appellation, en vient petit à petit s'approchant vers où j'étais, laissant une trace nettement verte par où elle passait. Une fois l'âne tout juste face moi, qui tenait encore les yeux mis sur sa manière d'effacer l'impressionnisme, là-bas aux pieds du mur, entre l'âne et moi, je vois une :  Iris Sibirica bleue, qui avait poussé par là, tellement à l’insu du monde qu'elle avait passé inaperçue à mon égard.

      Le gentil âne, observait-il que j'étais absent de tout cela qui ne fut pas la contemplation de la belle fleur qui déjà tremblotait à son haleine, lève la tête, donc tous les deux nous trouvons en nous regardant dans les yeux, il fait un geste indescriptible et tourne pour reprendre sa marche esquivant l’Iris Sibirica bleue qu'il laisse gentiment à moi. Le restaurateur peintre persévère à façonner la trace verte.  

jeudi 22 mars 2012

UNE FOIS MON PÈRE M'A DIT

    Moi, au moins, je n'ai connu personne à qui, une fois, son père ne lui eût dit quelque chose, dont il ne faudra constater que le silence est une manière de dire.

    Mon père, lui aussi, m'a dit, et plus que dire, raconter, il adorait la narration, et plus qu'une fois, assez même, à cause, peut-être, de que mon père avait le muscle de la tête en constant exercice, bien que ici il s'agît de traiter l'une y parmi.

     À partir d'ici, j'y commence mon solitaire. Une fois mon père m'a dit : toutefois qu'une personne fait n'importe quelle brutalité, même la plus grosse que l'on peut imaginer, quelque chose pour laquelle les humains sommes très doués, ce qui ne se doit jamais faire, est justement, ce qu'on s'en fait : donner le rôle principal à l'acteur du forfait, parce que celui-là qui fait une bêtise, ce qui en plus disproportionnée qu'elle en soit, plus proportionnellement de notoriété il y en cherchera ; en autre, le mis en point d'autres macabres scènes ne s'arrête pas en qui, la publicité va nourrir l’ego, parce que celle-là épanouira en fort concurrence la bêtise qui germera dans d'autres acteurs aux esprits aussi troublés, où pousseront tellement les fleurs en mai, engraissés par la morbidité de ceux qui ont les facultés intellectuelles oisives et la cupidité des pourris intellectuels lesquels toutes facultés qu'ils ont, se réduisent à celle de la cupidité.

mercredi 21 mars 2012

ASSIS SUR LA PELOUSE

    Une vieille élégante dame habillée en noir, laquelle était assise sur un banc d'un parc, dont la minceur de son éclectique figure lui faisait paraître beaucoup plus haute que son peu plus d'un mètre et demi de son extension vers le ciel, celle-ci que la belle coquettement prolongeait, coiffée au haut de sa tête d'un toquet de velours qui façonnait une rose rouge, d'où deux pétales semblent avoir tombé pour s'en aller poser sur ses chaussures noires.

      Cette dame mangeait doucement un morceau sur le pouce, bien sûr pour prendre de l'énergie qui l'en aller bientôt faire, pour amener sa prolongation en le temps qui jouait dans ces trucs que fabriquent les adultes, pour faire que ses bestioles, en gaspillent leurs excès prévoyant le dégât de la santé de leurs parents chez-eux ; dans ce cas, des parents qui n'étaient qu’une distance plus proche de la prolongation de la dame en question à celle-ci. 

         Moi, qui regardait le spectacle assis sur la pelouse, je me dis tout à coup, instinctivement, moi-même : bienheureux les solitaires qui personne va venir nous arracher des bars, donc, d'un coup, je me suis mis débout en me disant -à nouveau moi-même et sans réfléchir un rien, allons-y, il fait de la soif ou quelque chose comme ça, qui importe ! et je pars, peut-être que sur mes lèvres se dessine un sinistre sourire ? Quelle bizarrerie j'y vais raconter en arrivant ?

dimanche 18 mars 2012

GLOIRE AU VIN

    Par ailleurs de l'âme, il y a un trou, par où s’enfuiront des choses qui ont entré là, de bon gré, fermentant à plaisir pour épanouir le gaz des songes, qui ont fait vivre sans vivre, ou parfumé la vie.

Qui a de la peine de l'amputation qu'en lui s'est fait, des éthérées embrasses perdues, caresses qui n'ont pas touché les souvenirs d'une haleine, d'une odeur à femelle qui antan l'a étourdi.

    Que l'on pense qu'à ce point arrivé, dont par le trou marche, comme qu'il ne marchât pas, un corps fantôme dans la brumeuse nuit du néant, lui donnant le dos, pour jamais, peut-être.

       Là, où ne reste guère que le vide.

     Qu'on le remplie du vin (mieux rouge, il offre plus de la couleur quand même) qui avec sa bonne caritative présence aidera-t-elle à créer nouveaux, de si bien éphémères songes, ils ne seront pas, au moins, soumis ; on a gagné, ils seront encore euphoriques, et aussi diversifiés, selon on change de vin (ce qu'il est conseillé, chaque vin donne un point).

      On peut être malheureux ayant de femmes, quelque chose qui ne s’en passe pas ayant du vin.

samedi 17 mars 2012

LE PAYS DE LA PLUIE

    Richard de la Fontaine qui Verse-du Ciel était un homme comme quelqu'un autre de n'importe où, dans lesquels réside le principe de volonté, aussi que de bien faire, pour être personne en sa plus pure essence, c'est-à-dire, sans adjectivations déplorables quand même.

    Alors, si ce Richard, qui comme son nom indique était habitant du pays de la pluie, personne (ou celui qui s'y tient) ne devrait se moquer de lui parce qu'il porte de parapluie, du même qu'il ne se moquerait pas, s'il en allait, où bien sûr il ne va pas aller, au pays où il ne pleut jamais, dû qu'il ne veut risquer de blesser la susceptibilité des gents.

    Donc, si Richard de la Fontaine qui Verse-du Ciel ni en va taquiner personne hors de chez-lui, ni me l'en fait sur les visiteurs qui y viennent, il n'est pas recevable qui soient ceux-ci qui lui taquinent, en se justifiant par qu'il y a, ou il y a eu, des personnes du pays de la pluie qui se sont allées au pays où ne pleut jamais, taquiner leurs habitants. 

         Chacun est maître chez-soi et chez-soi se doit mettre en valeur, en autre, pour l'en être, par exemple, dans le pays de la pluie, il ne faut plus que porter un parapluie… en cas contraire, on se mouillera.

mercredi 14 mars 2012

UN TOAST EN HONNEUR DE GUSTAVE MERMET

    Le beau et toujours bien peigné Hadès, régnait en compagnie de sa non moins belle et aussi bien peignée, épouse et nièce Perséphone, aux enfers, c'est-à-dire la Terre, où pendant le parcours de la IVᵉ République, y régna sur une parcelle Gustave Mermet, honnête homme, rare-avis, compte tenu qu'en devenant politicien continua à l'en être.

    M. Mermet était un prospère fabricant de peignes à qui le cours de la vie l'a mené à s'engager comme maçon de l'édifice social l'en faisant dès le derrière du rideau du PCF (aujourd'hui personne travaille à l'ombre, tout le monde veut être figure) pourtant, il échoue en le fournissement de ces utiles-là, desquels il était un expert, aux dépeignés de la chevelure sociale ; on ne se sait bien si c'est que : soit à cause de, qu'ils n'avaient pas tête, soit à cause des débarquements en Europe des bizarres dieux d'ailleurs, dont leurs représentants se sont empêchés de faire le paradis à eux, de la Terre, en déplaçant l'enfer dont personne le sait ou qu'il soit, peut-être, à cause d'imiter la figure de ces dieux, dont, l'un d'eux au moins, ses adeptes représentent tout dépeigné.

         Quoi qu'il en soit, Je souhaite m'en jeter un derrière la cravate, je propose un toast en l'honneur de Gustave Mermet, qui comme tous les honnêtes hommes, pour l'en être sont restés dans l'oubli.

      Une brève mise au point : il faut entendre que, autant Hadès que Perséphone, que leurs contemporains, ne les restait que d'être endogamiques, dans leur époque, la population était rare ; le bizarre est qu'aujourd'hui cette scène soit si fréquente, en plus parmi les imbéciles, probablement, qui ne feront pas disparaître leurs tares.

lundi 12 mars 2012

LA SOURIS ET LE LION

    La petite pimpante souris, Amarante appelée pour non s'appeler Violette, si légère que la plus délicate pimprenelle qui eût poussé sur la plus étendue insouciante belle pairie, avait été prise du coup de foudre, que le plus gros tonnerre jamais imaginé n'avait annoncé, du lion René. De ce clair-obscur d'où bien se pourra tirer, que la souris n'était pas, ni grosse, ni fort, elle était surtout délicate, bien que fortement amoureuse du lion René.

        Le lion René, qui n'était trop, pour ne dire rien, attiré par les amourettes, qui ne fussent de bœuf, ni à d'autres conneries de ce genre ; il avait assez avec soigner pour que sur la prairie, où poussaient les délicates pimprenelles, ne maraudassent que déprédateurs, il ne voulait voir par là animaux d'autres qu'eux-mêmes et d'herbivores, évidemment il n'allait point s’inquiéter par une souris ; toujours qu'elle ne lui cassât pas les pieds.

         La souris Amarante, aveuglée d'amour, avait forcé sa canne guide pour que celle-ci la conduise à croire que le lion René était lui aussi amoureux d'elle, mais qu'il faisait pour faire que personne, ou lionne, ou souris… je ne sais pas ! Sûr de son amour, pour se faire l'intéressant.

       Compte tenu que les lions n'aiment trop chasser, qu'ils mangent vite, et son travail de surveillants l'en fait leur présence, ils emploient leur temps en se reposer, ce temps-ci dont la souris avait profité pour pousser en confiance pour s'en aller approchant de plus en plus aux chairs de son bien aimé, jusqu'à un jour, dont elle plus que le caser les pieds, l'avait frôlé les roubignoles; à ce que le lion René, en croyant qu'un pouce, ou quelque chose comme ça, le lui suçait sa descendance, d'un coup de griffe l'arracha le cœur à Amarante. Cela du cœur n'est que pour faire un final adéquat, vraiment ce coup-là l'avait arraché tout.

dimanche 11 mars 2012

QUI PEUT COMPRENDRE L’INCOMPRÉHENSIBLE

    Qu'il y ait, qui préfère les couleurs criardes, et en plus prétendra te convaincre de que les blancs, les noires et même le gris n'a d'autres tonalités que de celles qu'ils ont ; à cette espèce de daltonien, si bien, on ne peut pas le soutenir. Il faut le comprendre… le pauvre !

    Qu'il ait parmi les urbains, quelqu'un qu'en se disant amant de la rurale, il s'en va volontiers balader par la compagne, pourvu lui des bouchons aux oreilles (sans que personne l'oblige) pour s’injecter d'un bruit qui n'est pas, ni urbain, ni campagnard ; il aura qui, si bien ne le soutiendra pas, on fera pour le comprendre, pour ma part, je ne peux pas soutenir ni comprendre que l'on puisse avoir personne avec le goût d'en aller ou aimer, la campagne, mais, au moins si je passe par là, je profite des sons propres d'elle, même qu'ils étaient compassés, par le bruit du moteur de ma voiture.

       De celui qui aime les odeurs, il faut comprendre qu'il n'aille à la campagne en certaines époques, celles-ci dont elle est aspergée des fertilisants, du même qu'il faut comprendre la haine que peuvent prendre certains possesseurs d'un nez normal au passe d'un gommeux, ou d'une fille aux airs pimpants, aspergés si généreusement de n'importe quel parfum, de ceci, on peut jusqu'à faire pour le comprendre, bien que de loin.

      On peut jusqu'à faire pour comprendre, le goût de certaines personnes, qui ont de recevoir des coups de fouet, plus que de douces caresses d'une main (ou deux, plus peut-être trop). Ce qui sera plus difficile de comprendre, est-ce pour qui est le plaisir : à celui-là qui reçoit les coups, ou pour celui-ci qui fait claquer le fouet ?

         Ce que l'on ne peut pas soutenir personne en bon sens, ni non plus faire pour comprendre, il n'est qu'en démocratie trop de travailleurs votent droite, c'est-à-dire, leurs propres exploitants, tout simplement parce que c'est la démocratie qui a aboli l'esclavage.

samedi 10 mars 2012

UNE FABLE D'ÉSOPE, À JOUR

     … qu'y vient le loup.

   Nous ne devons pas, nous laisser bercer par analyses bon marché. Comme ils nous font faire confondre dans la réalité, dont n'importe qui peut constater, dans l'allure, la démarche, le comportement, du parcours qui conduit vers la débauche, antichambre de l'anéantissement, de la société humaine ; n'oubliez pas, sous la bénédiction de prêcheurs, hypocrites acariâtres, fabricants de dieux impitoyables, et du parrainage des politiciens aveugles à cause leur insatiabilité.

     De ces contes ridicules, pas d'Ésope, bien que des profiteurs satrapes, dont tous sommes trompés, et y persistons, en confondant l’optimisme avec l’imbécillité, ainsi comme, du côté de ceux-là, qui se croient hors de ce pénible effet et qui font tout pour nous faire confondre, « pessimisme et réalité ».

     En venant y venir la débâcle partout, on n'a assez avec apaiser sa marche, ni beaucoup moins attendre que celle-ci se soigne de soi-même. Qui boit dans la source de l'ignorance, on restera esclave d'elle ; donc, qui veut rompre les chaînes qui l'y attachent, il faut qu'il aille boire à une autre, il y en a, sinon le temps fera du buveur de celle-là, son ivrogne, dont la cure, si est-ce qu'elle en a, sera fort traumatique quand même. 

       Les pessimistes ne sont que personnes normales, savants de que loups, il y a ; de-là que dans un futur pas trop lointain.

          … quelqu'un y viendra.

vendredi 9 mars 2012

LES MISANTHROPES VÉLOCES

    La vie marche par une route, sur laquelle on peut trouver du trafic dans toutes ses variantes. On peut choisir, souvent, y parmi plusieurs pour aller à un même destin, à choix des voyageurs, selon les désirs qu'ils aient de trouver un trafic à leurs convenances ; pourtant, satisfaire cet objectif ne dépend que du hasard, sommes trop en route, et les caprices de l'un, jouent avec ceux-là des autres, lesquels, une fois chemin faisant l'en dépassent, une autre il faut les y dépasser, ou pourquoi pas, le capricieux hasard (pour l'appeler de quelque sorte) fait que l'on se heurte avec quelqu'un qu'en vient en direction opposée, de côte ou par le derrière, cela qui n'est point à choix.

    Les routes, comme la vie, ont beaucoup changé, aujourd'hui elles sont à deux chaussés, chacune à un sens unique, en autre, elles ont laissé de se promener par villes ou villages. C'est pour ça, que tout que l'on peut trouver le voyageur sur elle, sont dans leurs côtés droits (la gauche, elle est par là aussi interdite pour s'arrêter) sont vendeurs d'essence et d'autres dérivés du pétrole, pour plus raillerie envasée en plastique, destinés à boire ou à faire mouvoir la mâchoire, pour outrage de nos pauvres estomacs.

        En définitive, les routes d'aujourd'hui, dès que l'on y rentre jusqu'à que l'on en sort, fond de nous, pauvres cons, une espèce de mules avec œillets. La question est-ce que si nous nous déprenons de celles-ci en sortant du paradis de la vitesse.

jeudi 8 mars 2012

LE LEVIER ET LE POINT D'APPUI

    L'homme moderne a besoin de tout son temps à soi, pour dans un effort, avec lequel seulement un dieu monothéiste pourrait obtenir autant de stupidité, comme celui-là prétend ; c'est pour cela qu'il ne fait abstraction de lui-même que pour être volontiers, victime propitiatoire d'un coucou, par être un cocu involontaire. Ce qui se passe pareillement dans les femmes dans leur rôle d'épouses, bien que, au moins elles, toujours sauront que les fils qui mal-élèvent sont les leurs ; de là que l'on peut se déduire qu'il y a autant de coucous comme de cocus y parmi.

         Malgré tout, les gens modernes, imitant leurs ancêtres, persistent en s’épouser, cherchant l'adversaire dans n'importe quelle fête, comme on pourrait l'en faire dans n'importe quelle foire, la question est de se dire que l'on s’aime, à force de se faire baiser, jusqu'à tout quand ils sont épuisés de tel exercice, s'épouser, se laissent-ils, bénir dans le rituel d'une église, même n'étant croyants que pour les occasions ; toujours s'abritent-ils derrière la loi de l'État, duquel presque toujours ils ne croient en Lui que pour le frauder (ceux qui en ont possibilité de le faire, bien entendu).

        Pour le reste de l'humanité, qui ne s'est engagée aux débauches de la formalité apparente, s'engagent-ils à l’apparente anormalité, dont ils sont inclus, sans pudeur, quelques virtuosités dégénératives, c'est pour cela qu'à mon avis, soit comme reines, soit comme favorites, chacune doit être à sa place. Pourtant, à l'aube de quelques jours quelques-uns se réveillent, assez de fête, à se passer ce qui le reste intentant d'être personne.

    Pauvre Archimède ! tante sagesse le lui a peut-être aveuglé, il n'a pu voir en nous les deux utiles qu'il avait besoin pour soulever le monde. Nous les avons entre les jambes, grand sage. Ces utiles que si bien ne soulèveront point le monde, mais bouleverser si lui bouleversent.  

mercredi 7 mars 2012

SILENCE: VOILÀ LA RÉFLEXION

    Ni le bruit de la frivole musique, ni celui-là des supporters des différents partis politiques, n'en ont pas fait, ni ils ne feront jamais, inquiéter le pouvoir, patron de la misère social, sinon qu'en plus, celle-là brise les circuits cérébraux des masses, tandis que ceux-ci regroupés en bandes, plus ou moins compactes, lesquelles sont maniées par individus sans scrupules, qui poussent la populace y participante, assommée de chants de gloire, à gaspiller toute son énergie en affrontements entre ces différentes tendances qui se disent procurer un même but… ?

          Les choses tellement qu'elles y sont, dont le pouvoir, déguisé en structure politique, restera à sa place, pour soutenir l'ordre du désordre social, tirait-il, de toutes ses forces de son contexte l'anarchie (essence autant de l'ordre naturel) contraire à celui-là institutionnalisé, pour la faire adjective, homonyme de désordre.

                  Par contre, le bruit du silence, il ferait claquer les dents de toutes les branches du pouvoir. Imaginez-vous, seulement part un instant, une ville, par exemple, Paris, en silence absolu, les branches appartenant au pouvoir législatif, exécutif et judiciaire, aussi que les autres greffées dans le même tronc, telles que les curés, forces répressives, les individus qui ont le vrai pouvoir ; dès le jour même, dont le silence commence, au plus, en huit, la crispation ferait élaguer l'arbre de ces branches pourries, stériles dont l'adjectif se ferait nom commun.

dimanche 4 mars 2012

L'OURS, LE ROI DÉTRÔNÉ

    Il y a longtemps, avant qui eussent entré en vigueur, en Europe, les religions tripartites venues d'orient à interdire ceux qui étaient nos plaisirs, desquels nous jouissions les commémorant avec nos déités originales, pour les en réserver à eux. Ces barbares despotes qui se sont mis à la tête de ces religions, notamment du christianisme.

        Dans ces temps-là, au début de l’invasion de cet impitoyable tripartite, cela qui a produit le début, d'une certaine manière, de la décadence de l'Europe (de l’héritage de ces temps-là se sont fait les nôtres) le considéré comme le roi des animaux était l'ours, celui-ci déplacé de son symbolique trône, par les chrétiens crétins, pour mettre à sa place le lion. J'ai recueilli quelques anecdotes sur ce sujet, dont toutes coïncident que la cause de ce changement n'est pas d'autre que la ressemblance des ours, quand ils se tiennent à deux pattes, aux humains ; ce qui sera, peut-être, à ceux qui composent la hiérarchie ecclésiastique, je ne veux pas mépriser les ours. C'est une comparaison physique, laquelle je n'oserais jamais considérer en ce qui concerne au champ intellectuel, ni beaucoup moins moral.

         Je ne sais pas si c'est de ce changement de trône ci-dessus, d'où l'église s'est prise de sa manie des changements de couronnes par-ci par-là à son sa capricieuse convenance ; jusqu'à qu'elle a trouvé un beau bouillon de culture dans la même famille de dégénérés endogamiques, dont elle a répandu par tout le continent : pactisant mariages, aussi que guerres, traités etc, dont l'église a toujours été d'intermédiaire ; en outre les églises entre elles ne se battent jamais, elles négocient, les affaires sont leurs affaires.

        À nouveaux temps, nouvelles solutions, donc, je me demande : est-ce qu'elles ont aussi changé les rois en présidents. 

  

samedi 3 mars 2012

LE FASCISME UN MAUVAIS METS

   Le fascisme est déjà servi, en plats d'argent, inconsciemment, comme tout ce qu'ils font, les pseudo-progressistes, les pseudo-intellectuels, pseudo-tout ; la table est prête, en attendant que les commensales y arrivent. Parmi de la nourriture, ces acteurs-là, une fois en table, pourront choisir en plus de leurs victimes propitiatoires, les mêmes défenseurs de celles-ci, des ouvriers (comme d'habitude), qui ont bâti et aménagé le site de la célébration ; les meubles, les couverts, vaisselle, utiles de cuisine, et même prépare l'agape là où ils resteront en nourriture. Les penseurs libertaires se serviront de dessert.

         La question est que, quand ces sauveteurs-là tombent du cheval, dont ils se sont montés, celui-ci se sera métamorphosé en Pégase, et il sera en train de voler par là-haut, dès où la chute sera mortelle.

       Messieurs-dames pseudos : l'étrangère n'existe qu'en celui qui ne veut s'adapter au lieu qu'il a choisi pour vivre, la patrie, ne sommes pas les personnes, celle-ci est l'espace, dont la terre, le feu, l'eau, le climat, qui lui composent et façonnent ses couleurs, ses odeurs, ses sens, et pourquoi pas la manière de nous taquiner : tout cela est la patrie.

        Néanmoins, il ne faut pas être si patriotes, il faut être personnes.