mardi 29 novembre 2016

MARÉE HAUTE, MARÉE BASSE ... MARÉE HAUTE!!!

    Monte la marée…  
  ... Les puissants s'en sont faits, quand non faisant eux-mêmes des tricheries, en profitant de celles-là de ses ancêtres reçues en héritage ; des guerres, somme toute, avec le concours des gents soumises tires du peuple. Tout ça, selon ceux-là, sous la bénédiction de leurs déesses et leurs dieux de toujours.


   Descends la marée.
  ... Le temps passant, les puissants ont mis leurs déesses et leurs dieux aux oubliettes en mettant à leur place un dieu étrangère : mâle, lui, tout-puissant et impitoyable comme il faut ; ce qui simplifiait les formalités avec.  Le voilà le début de la mondialisation, dont les crétins serviles se croient l'avoir découvert récemment. Au four et à mesure que le temps des changes coulait, les peuples, bien que mal, s'en allaient, émancipant de l’impitoyable et ses seigneurs que sont à peine les siens, pour se gouverner eux-mêmes, jusqu'à, toutefois, une nouvelle caste dominante a poussé chez eux.


   Monte la marée…
  ... C’est le peuple qui, endormi dans le lit de l'ignorance, ignore les sages, qui en étant, eux aussi, peuple, comme tel, se comportent ; pour le dire de quelques façons : sans apparat. De ce peuple, dont la populace fabrique et aménage, des notables médiocres, pour le donner sens à leur médiocrité.

samedi 26 novembre 2016

L'OURS ET L'ENCLUME

    Personne en doute que l'ours est si fort que patient. comme une enclume ! dont quelques-uns se sont mis à le battre pour le plaisir de le battre, ce qui ne lui fait point du mal, en pensant qu'il était endormi.
 

    Ces imbéciles qui en pensant que l'ours ne sentait pas, ce qui les faisait de ne pas sentir qu'il se moquait d'eux. Idiots congénitaux qui s'en tenant par intelligents croient idiots les intelligents.
 

    Pourtant, tout marchait jusqu'à ce que quelqu'un y parmi frappe là où ils prennent leur surnom, la douleur épuise la patience de l'ours, qui en prenant son hauteur s'est devenu un fauve redoutable.

mercredi 23 novembre 2016

IMPAIR, PAIR: LE COMPTE DE JEAN PIERRE PAUL DOS SANTOS

    Depuis que Jean-Pierre Paul Dos Santos a touché sa retraite, au fur et à mesure qu'autour lui s'estompe l'ombre que le travail a façonné durant le temps sa vie dont celui-là l'a esclavagé, ce qui a permis de passer la lumière, laquelle va petit à petit l'ouvrant la porte à la réflexion.
 

    De là, la lumière que sort fort, ce qu'aux yeux non habitués à elle, ses soudains rayons les éblouissent, ce qui évidemment les empêche de voir, tel que l'ombre les a faits pendant toute la vie presque, de Dos Santos aux siens. Par contre, la lumière, sinon à court terme, à long terme les permettra s'ouvrir.
 

   
Ce qui l'arrive un jour montant, en automate comme d'habitude, les escaliers de la maison dont il a vécu toute sa vie, dont même, il y est né, donc il pense : quand j'arrive chez-moi je ferai pair, maintenant en étant proche la fin de ma vie, bientôt en descendant, je ferai impair pour toujours.

dimanche 20 novembre 2016

QUAND ON NE PEUT NI MOURIR NI VIVRE

    Il était une fois une si malheureuse que vertueuse souris, monogamique alimentaire, qui ne mettait jamais ses dents que ne fût dans n'importe quel fromage, qui s'apercevant de la faute absolue de crémeux aucun chez ses domaines, elle avait perdu à cause, toute envie de vivre.
 

   Quand on n'a plus envie de vivre, on a envie de mourir. Donc la vertueuse pour y faire, et pour ne pas le faire elle à elle, elle s'était mise à la portée du matou de la maison, pour qu'en plus qu'il la sacrifiât, l'ensevelît dans son chaud estomac… il faisait froid ce jour-là !!!
 

   Pourtant, la chose n'a pas été si facile que la vertueuse monogamique prétendait, puisque le chat était en train de faire lourde digestion à cause d'avoir mangé la cause de son malheur. Dommage, la malheureuse aurait eu une tombe bien fournie de la susdite savoureuse « cause ».

vendredi 18 novembre 2016

LA JOIE Y VIENT ET S'EN VA ... SI Y VIENT

    La joie atterrisse chez nous, gracieusement tel qu'elle fût un léger aéroplane aux fragiles os voilés en soie, pour décoller si bruyamment qu'un lourd avion/charge.
 

   
Nous, Icares prisonniers des nuages depuis où nos yeux n'apprécient point ce qui se passe sur Terre, sommes là-haut à l'attente de l'arrivée et le départ, plutôt la voir passer, de la joie.
 

   
Là-bas la désirée pousse, après que l'on a engraissé la terre, l'y semer… attendre !, ou attendre pourquoi pas, en laissant la Terre en paix, qu'elle se conduit à son aise.

mardi 15 novembre 2016

L'ENTÊTÉE ET L'AMOUREUX

    Lorsque l'amoureux a appris, de ses belles lèvres de son amoureuse qu'elle le quitte, des siens, pas aussi belles, il le dit d'un ton sentencieux : si tu n’étais pas mienne, tu ne serais de personne !!!


   L'amoureuse, si jamais l'en a été, touchée de ce bizarre orgueil féminin répond à l’amoureux le demandant : tu serais capable de me tuer par amour ?, mais non, dit le faux prétendu assassin, je ne tuerais jamais personne. En le concernant à toi : tu es aussi maîtresse de me quitter comme je l'en suis de partir là où l'on ne se retrouvera jamais. Cœur qui ne voit ne sent pas.


     Donc, elle ne
dit rien, elle réfléchit… ? après elle tire : ne te crois que si facilement tu vas m’esquiver, j'irai même à l’enfer s'il en faut. Je te trouverai, que sinon pour amour pour que tu ne t'affranchisses pas de moi.

dimanche 13 novembre 2016

NI PIEUX NI IMPITOYABLES ... MAIS NON NORMALES NON PLUS !!!

    Bien est vraie que si de notre imagination nous aurions tiré un dieu pieux, nous aurions été impitoyables avec lui.
 

    C'est pour ça, peut-être, que quelqu'un a créé un dieu impitoyable pour que soyons-nous les pieux.
 

    De toute façon, je n'aime absolument pas : ni dieux pieux ni impitoyables, soient-ils imaginatifs ou imaginés.

samedi 12 novembre 2016

FAIRE PÉCHÉ FORNIQUER A FAIT INVENTER DIEU

    La vie n'est qu'un parcours, quelques fois long, quelques fois court, ou peut-être une attente si l'on n'est pas prêt du tout à agir, dont l'arrivée à destination n'est que la mort.
 

   
Durant ce parcours, ou attente, passifs et actifs, les animaux tous, y parmi nous, faisons ou laissons faire, pour laisser notre empreinte en nos descendants.
 

   
Pourtant, parmi nous, les chastes d'un côté et de l'autre les concupiscents, on a inventé dieu, pour punir ceux-là* à ceux-ci, tandis que ceux-ci pour se faire pardonner.

  *Auparavant, ils demandent permis dieu pour pécher un petit peu, mais évidemment ils n'ont pas reçu réponse.

mercredi 9 novembre 2016

MÉTHODE INFAILLIBLE POUR GAGNER AU LOTO

    Si vous voulez toucher la cagnotte, du loto, par exemple, il vous faut avoir sous la main la perspicace voyante « hollandouille » la plus inefficace sans aucun doute.
 

   
Une fois aviez-vous contacté avec la « perspicace inefficace » vous lui proposerez de choisir d'entre les nombres, de l'un au quarante-neuf, lesquels elle voit gagnants, vous deviez insister en son choix jusqu'à n'y restent que cinq, ceux-ci dont vous mettrez une croix dans leurs grilles correspondantes du billet/loto qui vous avez pris auparavant. À la suite, plus simple encore, vous feriez choisir la voyante un seul nombre, de l'un au dix cette fois, lequel elle ne voit pas gagnant, donc vous crucifierez le dernier perdant dans la grille de la chance.
 

   
Parier ainsi le billet/loto aux nombres indiqués par la voyante
« hollandouille ». Dans son long parcours, l'inepte prétentieuse n'a jamais deviné un nombre ni entre deux.

dimanche 6 novembre 2016

POUR DRAGUER, MIEUX VEUF

    Depuis le comptoir d'un bar un mec écoutait la voix de son pote, celui-ci qui était dos à dos tout près de celui-là, en contagionnant sa partenaire de table de la tristesse dont il faisait semblant d'être pris dès qu'il déambulait par le ténébreux endroit dont les cœurs solitaires se font tremper des larmes de leurs veuvages.
 

    Brisée de la douleur, quand l'affligée madame se voit obligée partir, ne l'en fait pas sans auparavant faire un rendez-vous avec l’endolori veuf, marcher par entre les tables à la saine intention de le consoler… il était consolant de voir sa belle figure marcher esquivant les tables du bar.
 

    Une fois que la belle s'est allé le mec du comptoir, en se tournant, tire sur son pote: mais quand as-tu été marié ? Menteur ! En répondant celui-ci : eh bien, tu sais, être célibataire ce n'aide point à draguer ; divorcé non plus, il y a partout ; pourtant être veuf, cela produit un spécimen rare, et, en plus fait de la peine…

vendredi 4 novembre 2016

ABANDONNER NOS ÉMOTIONS DANS NOS STATUES

    Un homme peut aimer un chien, un chat, un âne, un lion ou lionne bien entendu : comme des autres aussi, même un éléphant, jusqu'à une femme* pourvu qu'elle fasse sentir des émotions. Émotions qui respirent chez les animaux autres dont l’atmosphère les est propice (*un homme n'aime aimer un autre que ne soit pour faire un bras de fer).
  

    
 La question est-ce que l'humanité, toute entière ou presque, tout semble est plus disposée faire bras de fer qu'à aimer ? L'argent habille le sombre pouvoir aux couleurs en rose et efface la couleur rose des émotions ?
 

    Donc, je me demande moi-même tout seul parce que je n'ai personne avec qui rien partager : qu'est-ce que peut avoir vie sans émotions ? En étant moi tout seul, je me réponds moi-même en me demandant : est-ce que les humains sommes devenus statues dans le musée de nous-mêmes… même pas ça, les statues reflètent bien des émotions.

mardi 1 novembre 2016

UNE AFFAIRE D'OLFACTION

   Quand j'étais encore un garçonnet, la savante mère d'un copain à moi m'a demandé plus d'une fois (qu'elle fût mère savante ne veut dire qu'elle eût la mémoire d'une savante célibataire) —tu sais pourquoi les chiens, chaque fois qu'ils se rencontrent, se flairent les uns aux autres au-dessous leurs queues ? À ce que moi, même en étant pourvu de mémoire, je répondais toujours, gentiment : mais non. 
 

    Donc la mère savante, en reprenant la parole, poursuit : une fois, il y a longtemps, les chiens et les chats avaient signé un traité de paix, celui-ci qui un des signataires, plus attentif aux apéritifs servis à l'occasion, qu'à l'affaire, sans s'apercevoir, peut-être, il avait avalé le document. C'est à partir de ce fatidique moment-là que les chiens cherchent y parmi lequel peut le tenir dans ses intestins.
 

   
Si de garçonnet, j'avalais, moi aussi, une et une autre fois, par compliment bien entendu, ce qui était devenue une soporifique histoire. À l'âge dont on quitte l'influence des femmes pour tomber dans celle des filles ; je me suis à sur ce sujet-là : si nous, les humains, avons fait autant que les chiens et les chats, nous ne cherchons chez-nous, document aucun parce qu'il a eu quelqu’un y parmi lequel a nettoyé le cul avec.