jeudi 27 février 2014

DEVINEZ CETTE DEVINETTE

    Il s'agit d'un vieil éléphant gris, plus vieux pour sage que pour l'âge qu'il y avait, grand et solitaire, cela qu'il aimait, de là qu'il vécût à l’écart du monde, du sien, aussi comme de ceux-là des autres. Alors ! je vous donne dans le suivant paragraphe des pistes : saurez-vous aller par elles jusqu'où elles conduisent ?
 
     
    Cet éléphant ; gris parce qu'à l'époque était, peut-être, la couleur à la mode ; vieux parce qu'il, avant de se faire solitaire (à cause, peut-être aussi, d’éviter que personne le casse les pieds, tenons en conte qu'il les en avait beaux à casser) s'était fait célébrer beaucoup d’anniversaires et grand parce qu'il, depuis son enfance, avait bien mangé toute sa vie durant. Eh bien, étant lui comme d'habitude tout seul, sans gêner éléphant, ni personne (même qu'elle fût roi) ni animal autre ; un jour, un petit jeune éléphant, auquel sa mère n'avait pas prêté l'attention due pour causer avec ses copines, va-t-il casser les pieds au gros éléphant, gris, vieux, et surtout solitaire, à son choix ; ce qu'il ne ferait pas ajouter, mais je l'en fais, soit qu'une personne l'en ait oublié.
 
   
    Le solitaire en voyant venir, du coin de l’œil, le petit intrépide, barrit-il pour lui faire savoir de son refus aux bêtises. Cependant, l'intrépide, y faisant honneur, va-t-il les faire chez celui-là, qui d'un coup de trompe par réponse, le lui arrache la défense droite, encore de lait… les braconniers ils vont tirer moins de profit !

mardi 25 février 2014

TIRANT D'UN FIL M'EST SORTI UNE HISTOIRE

    La vie est une chercheuse d'espace, n'importe pas sous la forme qu'elle s'en présente, qu'elle pour l'en conquérir fera raser toute vie autre qui occupe l'espace auquel depuis d'être par elle découvert, qui sera devenu, à partir de cela, objet de sa convoitise.
 
   
    Nous sommes des vivants et la vie est vie, elle n'est pas pieuse, ni impitoyable, ni quelques bêtises comme ça. Pourtant, nous devrions être, peut-être, au moins par rapport à la considération que nous avons de nous-mêmes ; ce qui se peut bien traduire en respect à la vie toute : soit équilibré, plutôt en notre profit, l'en observant égoïstement, que pour le reste, celui qui nous ferait prospérer, plus qu'en trucs inutiles pour nous parer, en l'amusante connaissance, cette incommode aux satrapes, laquelle leur empêche de l'en être… je ne sais pas pourquoi tirant de ce sac de nœuds il m'est venu le souvenir d'une histoire, dont un vieux vieil ami de mon père, lequel était un homme normal, et si sérieux, que je ne l'ai jamais vu et mes rencontres avec lui étaient fréquents, ni un casque sur la tête, ni sa tête mise dans un casque. Voilà donc l'histoire :
 
   
    Ce vieux vieil ami de mon père, j'insiste : homme normal et sérieux, et sans casque. L'écoutant moi causer une fois avec l'un qui semblait un incommode interlocuteur, lequel qu'en étant savant d'une grosse offerte qu'il avait reçu par l'une de ses propriétés, fit-il de la causerie une enquête, pour tout savoir :
    -J’ai ouï dire que vous avez une bonne offerte par l'une de vos propriétés ?
    -Mais oui, je n'ai pas besoin de rien vendre.
   -Mais si c'est bien payé, avec l'argent, on peut se faire acheter tant de choses !
   -Acheter quoi ? Je ne me vois pas avec une veste sur l'autre.
    Le vieux vieil ami de mon père ne savait pas de l'histoire du casque.

NOUS, SOIT : DES CANARDS BOITEUX ET ÉTOURDIS

    Nous, les humains, devrions être comme n'importe quel autre animal, un filtre envers, l'information reçue (un gros, en considérant que nous l'y recevrons beaucoup plus intoxiqué que nos compagnons de voyage) mais non ! Couramment, nous, nous croyons, même sans croire, tout cela qui se nous fait digérer, pour ne pas nous arrêter d'analyser ce qui nous avalons ; comme si ça fût une perte de temps… mais pour de ce temps supposément perdu, faire quoi ?
 
    
    Cette maladie, soit « la foi », inoculée, petit à petit durant la longe exposition à la peste de la religion, qui nous a fait perdre du critère, celui-ci qui nous ferait personnes, pour sans lui nous faire quelque chose comme canards boiteux et étourdis. Pas boiteux pour être étourdis, ni étourdis pour être boiteux, mais canards boiteux et étourdis quand même.
 
   
     Toute personne normale, même en étant croyante, sait bien que l'information pré-élaborée est à l'information, ce que la cuisine pré-élaborée est à la cuisine (bien qu'une fois perdu le sens du goût, tout ce qui se mange se tient pour nourriture) de là que croire en l’irréfutabilité de l'information par les médias, en propagande élaborée. C'est tellement comme si celui qui ne croit pas en dieu, on l'exige qu'il démontre la non-existence de celui-ci.

dimanche 23 février 2014

JOUER UN MATCH PERDU D'AVANT

     Le joueur déchets attend impassible, assis du côté du tableau que l'y correspond sur lequel il a, avec ordre placé, toutes ses pièces, celles-ci avancés déjà contre celles-là de son opposant par les carrés noirs et blancs dont le camp de jeu est divisé.
 
       
    Face lui, il y a une bande de joueurs au jeu de l'oie ou quelque chose comme ça. Ils veulent faire jouer chacun un pion ; les seules pièces qui les restent en plus d'un fou étourdi et deux chevaliers aux chevaux emballés… le match était, il y a longtemps avant d'être joué, décidé.
 
   
    Parmi les hooligans qui ont conduit aux perdants à se battre, restent quelques-uns qui dès loin toujours les excitent, les autres gardent le cul pour ne pas le mouiller. Les eaux, qui par la rivière coulent, sont en train de monter trop vite.

PLUSIEURS ÂNES NE FONT PAS UN CHEVAL

    Si bien, je dois être devin pour deviner à des bagatelles, pour deviner ce qui nous dépare le futur prochain, grâce à notre inepte inaptitude de laquelle profitent des stupides ineptes pour régner sur la société depuis le trône de la politique, il ne faut qu'être un simple observateur.
 
    
    Soit, que le métier de devin même en étant aussi d'inutile que celui de politicien, mais celui-là n'est pas autant pernicieux que celui-ci quand même.
 
   
    Alors que, attention les communs des observateurs, qui en étant exception, pas pour être plus intelligents, sinon pour être observateurs, que la stupidité généralisée vous l'en fasse croire : la qualité de l'intelligence ne se trouve que dans la normalité. 

jeudi 20 février 2014

UNE PENSÉE M'A ENVAHI

    Je suis un écologiste impénitent, qui pour tout faire en profit de ce camp je ne fais absolument rien, c'est-à-dire, ni je vais à la campagne gêner la vie qu'il y a par là, ni même je regarde ces documentaires, pornographiques, je dirais, quelques-uns, où se peuvent voir, complètement nus, les animaux chez-eux faisant toutes leurs intimités jusqu'aux plus honteuses.
 
   
Un casuel a fait qu'en étant moi chez un couple d'amis, lesquels éduquent leurs fils dans cette débauche qu'ils entendent par liberté, écologie, et quelque chose comme ça, ces exécrables parents, qui pas seulement emmènent pour faire former leur innocente progéniture, exclus des lois de dieu l'impitoyable, par n'importe quelle forêt ; par où les pauvres enfants casseront les pieds aux pauvres, et pas moins innocents, bêtes qui par là pullulent. Quand non ces crapules qu'ils ont pour pères, se servent de ces documentaires-là, dont j'ai déjà eu l'expérience de voir, ce dont je me suis abstenu de regarder jusqu'à présent.
 
   
    Il s'agissait d'un documentaire où tout commençait si bien que finissent les films d'amour, dont une belle gazelle bondissait gaiement par la forêt, quand tout de suite un désagréable lion fait d'elle en un rien un tas de chairs sanguinolentes, pour il s'y réjouit, les abandonnant, après de s'être bien amusé, ce qui resta des dépouilles, lesquelles se sont fait disputer par la suite entre une meute d’hyènes et une volée de vautours, tellement les uns les autres fussent deux bandes de chômeurs se battant entre elles, pour se battre les vainqueurs y parmi, pour un poste de travail… ?
    Quelle bizarre pensée m'a envahi ? J’espère qu'il ne soit que ça ! Que ça quoi ? … qui le sait ?

mercredi 19 février 2014

TROIS MÉTIERS GALEUX

    Nous avons laissé que prolifèrent dans notre société trois pestes fort contagieuses, qui se métamorphosant en certains individus parmi nous tous, dont elles s'en sont faits considérer des métiers. Les voilà :
 

    D'abord, le plus gros affairiste entre eux, qui n'est que celui de curé, cette formation, qui veut, exige, que dans son domaine, qui est le tout (ils sont insatiables) tout le monde aime dieu ; bien que celui qu'ils doivent vraiment bien aimer est le diable, sans lequel ils manqueraient de clientèle, celui-là un sage type, qui heureusement à nous, n'aime pas à eux.
   Alors celui de marchant, ces professionnels qui font monter le prix à tout type de produit, en détriment de producteurs et consommateurs. ceux-ci sont grands aimants de la mode, pas par autre intérêt, que le gain que reporte la vente des fantaisies : plus de bénéfices à moins mouvement de marchandise. Si bien, ils ne sont plus galeux que les autres deux, qui piquent.
    Pour finir la politique, dont ses maîtres aiment que le peuple aime le cirque, dont ils font de clowns, pour que celui-là s'amusât, au fin de, une fois étourdi, le manier à leur aise… des professionnels ! Il faut le reconnaître.
 

    Beau trio de parasites galeux qui blessent vivement la peau des mortels jusqu'à l'enflammer… et tout ce que font leurs victimes pour se soulager, c'est de se gratter. Comme que si cela fût un plaisir ! Il est comme pour les couper les ongles.

lundi 17 février 2014

UN CONTE SURVENU D'UN AUTRE

    Il m'est venu à la tête un conte, de quand j'étais petit, dont la protagoniste était une « petite souris prétentieuse », ce conte que comme je ne l'ai jamais aimé, je ne me souviens pas comment est-ce qu'il finissait ; je suppose qu'en s'épousant la stupide avec un stupide pour cela d'en faire un couple de parfaits stupides, puisque si le logique déroulement de l'histoire fût : qu'à la « petite souris prétentieuse » la mangeât, comment il serait le propre, un chat, je me suis bien souvenu ? 
 
   
    Ce conte en question qui s’agissait d'une petite souris qui balayait et balayait sans arrêt et nettoyait par tout chez elle. La souris devrait avoir sa maison impeccable quand même, mais ce conte vient à compte, à ce que je veux à continuation conter.
 
   
    Nos politiciens, depuis qu'ils ont laissé rentré la saleté dans la maison de tous nous, en même temps de l'en aller nettoyant, plus ou moins, au fur et à mesure que l'ordure y entre, s'en vont emmerder les maisons des autres pour dissimuler la merde qu'ils ont laissée qu'encroûte chez-eux, soit chez nous tous, mais une fois il s'est passé, que dans l'une de ces maisons-là en confondant un petit chat, celui-ci que pourrait être abordable, avec un tigre de Sibérie, les gêneurs ont dû reculer, et s'en aller ailleurs chercher d'autres maisons, qu'il n'eût aucun type de félin, ni même qu'il soit tout petit… soit qu'il augmente !

PACTE ENTRE TRICHEURS

    Il y a un temps, chaque temps a sa mode, qui ne se laisse pas d'écouter partout, sur quelque chose qui s'est donné en appeler « pacte de responsabilité » assigné celui-ci, en nom du peuple, qui est le seul créateur de sa richesse, pour les représentants par lui élus, la faire partager, pour le bien-être des citoyens tous du peuple.
 
   
     Ce qui ne serait pas touchant, comptant que le peuple l'ignorât (mais celui-ci n'est pas le cas, d'où sa complicité) qu'à côté de la signature de ses traîtres, estampent la sienne ses voleurs, ces voleurs qui, en autre, transforment, les biens du peuple tirés, en le fouet avec lequel ils font esclavager d'autres peuples plus dociles à se soumettre.
 
   
    Il ne se peut pas penser que nos fourbes politiciens l'en sont : à cause de leur propre ignorance, ou de l'astuce des larrons ; puisqu'en faisant épreuve d'empirisme, on se les démasque de leur innocence, tournez-vous sinon la vue en arrière, tout l'arrière que vous voulez, vous pourrez bien constater que la chose n'est pas nouvelle : les affaires ont toujours été les mêmes affaires.
    Donc, si à cette action, le peuple ne régit pas, le peuple sera foutu une, une autre et toutes les fois qu'il se laisse faire ; son inaction est l'engrais du despotisme.

samedi 15 février 2014

INTERFÉRENCES ENTRE MOI ET LE NÉANT

    C'est cassant regarder au ciel à ces temps, dont jour le jour durant, n'importe quelle heure que je l'en fasse, il me crache aux yeux.


   Il n'est que me gêne la pluie, puisque le peu que je sors de chez-moi, les plus des fois, c'est ou bien pour en aller à la piscine, ou bien pour me promener à vélo ; soit, me mouiller dans l'eau chlorée, ou me l'y faire de mon propre sueur.


   Ce qui me gêne vraiment, c'est que les nuages font interférer ma communication avec les extraterrestres, ça ne veut dire que je me communique avec. Cependant, je fais que je l'en fais, pour ne pas me communiquer avec mes congénères, assez de les écouter la même rengaine : se plaindre des politiciens, depuis d'avoir toujours siégé les mêmes guignols bien qu'alternant les uns les autres, les accusant de traiter aux citoyens tellement qu'à guignols… coup de pied dans le cul à tous les uns les autres ! 

vendredi 14 février 2014

STUPIDE CONCURRENCE

    Nous sommes immergés, depuis notre naissance, dans une drôle de société, où pour nous en émerger d'abord et puis pour nous tenir à flotte, nous ne savons le faire que du seul style à nager avec lequel on nous a enseignés : celui-là de la concurrence.
 
   
    Pourtant, il a toujours eu, il y a maintenant, quelques-uns dans celle-là, bien que pas seulement ils soient une minorité, sinon qu'elle est tout éparpillée, qui ayant de la connaissance d'autres manières de nager, ils ne les peuvent mettre en pratique que sous l’indifférence de la société tout entière, soit, comme si de rien n'était. En autre, ces athlètes de la pensée arrivent à fort rendement, le plus souvent, à un âge mûr, dont les muscles d'au-dessous, le cerveau, pris du rhumatisme, se font s'attirer plutôt à blaguer de la défaite à avenir, qu'à nager contre-tsunami.
 
   
    Cette pourrie société, qui a fait même de la démocratie, qu'en étant trop vieille pour faire de putain, une entremetteuse à masquer chats en vaches, crocodiles en zèbres, ânes en poules… cons en politiciens, de la chair bon marché d’intellos, larrons en marchants ; aux curés, il ne faut pas les déguiser, ils ont pris depuis longtemps chargé d'arbitres de la dure concurrence à vivre ; ils veulent être, ils sont, toujours gagnants. Pauvre démocratie ! et prétendre nous faire croire que tous sommes égaux à elle grâce, dont les cons sont pris pour sages et les normales pour fous…
     Et, qui ne se laisse casser les pieds, on casse leurs têtes ! 

jeudi 13 février 2014

SOYEZ PAS CHÂMEAUX

    Ni l'homme est un chameau, ni la femme une chamelle, comme pour se passer plusieurs jours avec leurs nuits, sans boire ; et comptant que l'on est, chez l’enlevée par Zeus, par où Bacchus a couvert sa peau s'en habillant des feuilles des vignobles ; lesquels font d'intermédiaires, en buvant de l'eau, à la place des habitants de la zone, pour qu'ils se désaltèrent du jus de leurs fruits.
 
   
    Méfiez-vous de la fausse modernité dont pour tuer la soif, cette sibylline séditieuse prétendre que nous tuons tous nous, en mettant la nouvelle, bizarre, et tellement surprenante qu’aberrante mode : de boire de l'eau !
 
   
    Je ne trouve pas des mots pour faire front à pareille vilenie ; seulement dire : ne soyez-vous pas chameaux, en laissant de boire si longtemps qu'eux, ni non plus en vous désaltérant en buvant brutalement de l'eau. Personne ne se peut pas tenir en personne, sans y avoir de la classe. 

mardi 11 février 2014

DANS LA COUR DE L'IVRESSE

    Il y a eu quelque chose qui a laissé telle empreinte en moi, dès la première fois que je l'ai écouté, celle-là qui ne m'a jamais quitté : ce qui n'est qu'un vieil proverbe chinois, que par sage et par vieux, il ne peut pas être autrement et s'il n'est pas chinois, ni le proverbe, ni le « proverbieur » à qui j'en aime de tout cœur quand même, même que ce dernier en un moment de mauvaise sobriété, il en ait nuancé, ce proverbial chef-d’œuvre, de façon si modérée que condescendante, en ajoutant : même qu'elle soit « l'ivresse- éventuelle ».
 
      
     Ah ! Pardonnez-moi je vous en prie, la passion de tant amour, en m'aveuglant, m'a fait oublier de dire, ce que le proverbe dit ; le voilà : « il n'y d'homme, ni de femme, qui dans la cour de l'ivresse ne boit pas du vin ».
 
   
    Cette cour, on se suppose, qui n'est autre que la belle enlevée par le petit fils de Gaïa : Europe nommée, sur celle-ci que l'aïeule du ravisseur a fait pousser telle variété de vignes, qu'un dieu, comme il faut (par cette belle, il y a dieux par tout) a dû se dédier à temps complet pour élaborer les élixirs de leurs grappes obtenus. Qui sont donc ces dieux impitoyables d'importation, qui seulement se tiennent en qu'ils soient adorés « politiciens qu'ils sont ! » pour qu'ils prétendissent nous mesurer les boisons des nôtres, quand non nous les interdire ? Buvez-vous braves fils d'Europe. même qu'il soit avec modération.

dimanche 9 février 2014

LE FAUX MONDE DES LIGNES DROITES

    Depuis que l'homme a fait usage du levier, et en conséquence ouvrir son cerveau à techniques plus avancées, on ne s'est pas arrêté de rechercher avec, donc, l'homme de science est né ; dommage que les marchants, qui n'en voyant plus au-delà de l'or se soient emparés de la science.
 

  
Car, les hommes de science, prisonniers de la sagesse, incapables de se révolter, ont été proie facile de ces satrapes, lesquels ont fabriqué (pour ne pas fabriquer bonbons) pour faire leur profit, coûte que coûte, même de tout ruiner, tous, inclus eux, la paranoïa dont nous vivons.
 
   
    Cette paranoïa qui a fait du monde, le nôtre, mis dans l'univers dont tout se suppose qui est courbe, univers dont la ligne droite existe uniquement dans notre imaginaire ; nous avons fabriqué un monde façonné, débordant d'arêtes par tout, lesquelles si bien sont-elles aussi imaginaires : coupent !

vendredi 7 février 2014

BEAUX SONGES COUPÉS

    Il était l'un de ces jours froids d'hiver, humides, venteux, dont les gens se plaignent de tout ça, pas sans laisser d'y faire coupables aux politiciens (et elles ont raison) auxquels pourtant les mêmes gens les font des sourires quand quelqu'un passe y attendant réponse, quelque chose que ces mendiants n'obtiendront pas, soit que les élus éteint en campagne. Parmi ce monde vit Michel, qui chez-lui s'était rendu assoupi dans un fauteuil face le feu de la cheminée, ce qui l'avait fait se transporter à son enfance, avant que sa famille eût débarqué à Paris.
 
    
    Michel rêvait ces temps-là, dans la campagne, dont auxquels avaient abri au chaud et chaud l’estomac d'avoir bien mangé, ils voyaient le blanc, comme délaissé par la neige, tout le beau qu'il peut être, en attendant l'après de sa fondue, la terre juteuse, prête à multiplier les grains sur elle semés.
 
   
    Ils étaient sur les paysages de ses songes à point de s'ouvrir les marguerites, quand soudainement tout se fit obscur, Michel s'était réveillé en écoutant autour de chez-lui hurler une meute de loups… mais non, c'était sa Marguerite, flétri elle déjà, que bavardait dans le palier amicalement avec une voisine rien amicalement de leurs maris respectifs ; merde ! il se dit donc, Michel lui-même, ils m'en ont quitté les douces songes. Ils ont bien sûr été épouvantés par ces hurlements lesquels je croyais innocemment étaient d'une paisible meute de loups.

mercredi 5 février 2014

LE CIEL ET L'ENFER

    C'est dans le temps l'hiver durant, que le froid met les gens à l'abri, souvent en compagnie pour se donner de la chaleur, s'en aidant à se chauffer du bois, que l'on met dans le foyer autour duquel toutes attendent en bonne ou mauvaise compagnie que le temps change. Là-Dedans s'écoute le vent souffler dehors, il faisait sonner des chants grégoriens, auxquels la pluie leur fait de sa litanie du rythme instrumentaliste. Les contes dans cet ambiant deviennent eux aussi une autre litanie : c'est le ciel !


   Au temps d'hiver le fait faussement hospitalière le dieu monothéiste, impitoyable et intransigeant, pour être adoré sous la liturgie de l’obscurantisme ; mais l'aube de l'été pousse son occase : le temps libertaire des dieux de la fête sera donc arrivé, pour l'y faire avec les gens, pour que l'on soit chacun un autre parmi eux.


   Ce temps paisible qui se réveille au printemps, scandaleusement comme la vie, en faisant la foudre sonner, tout illuminer, invitant les gens sortir pour y voir, pour s'éveiller sous la pluie rafraîchissante qui tombe, ou ne tombe pas s'en tenant en suspension. La chaleur viendra enlever des gens leurs gros habits, pour elle les habiller. Ces gens qui danseront sans se connaître les unes, les autres. Il n'aura pas y parmi de contes à se raconter ; il n'y aura que de la vie à vivre : c'est l'enfer !

lundi 3 février 2014

LA SOUMISSION PRODUIT DU BROUILLARD

    Le lièvre a de la vitesse en courant, pour se défendre et le lévrier l'en a pour chasser le lièvre.
 
  
    Pourtant, le lièvre, s'il est chassé, finira dans l'estomac de quelqu'un qui ne fait que manger des lièvres, après qu'ils, bien entendu, éteint cuisinés par quelqu'un autre, qui ne les goûtera que du bout de son doigt, comme non plus les mangera le chien qui les a chassés, ni le chasseur que l'a maîtrisé en lévrier.
 
   
    Je ne sais pas pourquoi cette mise en scène m'a brouillé la vue, en lisant des chroniques politiques.

samedi 1 février 2014

IL NE FAUT PAS SE LAISSER ENTORTILLER

    Pour beaucoup qu'au braque, on l'appelle perdrix, du même qu'à une perdrix braque, ni la perdrix ainsi appelée sera un chien, comme en appelant au braque oiseau ce non plus l'il y en fera ; soit qu'ils seraient, en tout cas, les noms qui changeraient, mais le chien suivrait à être un chien aussi comme l'oiseau un oiseau.
 
   
    Pourtant, si à n'importe quel congénère, votre bien entendu, vous l’exprimez qu'un braque n'est pas un chien, qu'il est une perdrix, et qu'une perdrix n'est pas un oiseau, qu'elle est un braque. Votre interlocuteur, les plus des fois, après de mettre face de perspicace, au lieu de s'en moquer de vous, il va faire pour raisonner le non raisonnable.
 
   
    Vous pouvez penser que ce stupide conte de la perdrix et son prédateur est une bêtise ; mais pourquoi donc le peuple avale, ce de qu'en ayant élu une candidature de gauche pour régir son destin, une fois celle-ci constituée en gouverne, sans avoir eu presque du temps à prendre les rênes, le président couronné en roi se manifeste de droite ? Le suivant, et sans quasiment laisser de l'air à respirer, il est de mettre, en connivence de sa bande de complices, la richesse de ce don peuple, populace, par cette racaille celui-ci considéré, dans les mains du capital spéculatif, au temps que de leurs entortillements dialectiques ne font plus que semer la peste du fascisme.