dimanche 30 novembre 2014

... ELLE N'ÉTAIT PAS LA PEUR

    Étant moi enfant, un compagnon parmi la bande que nous étions, habitait-il une maison, laquelle tous nous considérons quelque chose de bizarre, où aucun de nous allait volontiers lui rendre visite. 
 
    
    La patronne de cette maison, qui habitait le premier étage, avait loué le rez-de-chaussée à une petite rigolote, laquelle ne se le voyait qu'y sortant ou rentrant. La mansarde l'avait aussi loué à la famille de notre pote. Elle, la patronne, n'existait qu’habille en noir ; elle était une ligne noire, derrière les volets, les portes, entrouverts… un cyclope ! … elle à nous était la peur. 
 
    
    À ce moment-là dont je suis en train d'y remémorer, je ne sais pas si de la peur à cette dame-là, mais la peur n'existe qu'en chacun lui-même. La dame n'était pas, bien sûr, qu'une pauvre mal baissée.

vendredi 28 novembre 2014

QU'EST-CE QUE C'EST LA ZOOPHILIE?

    Les dieux d'antan, dieux comme il faut, bien entendu, se transformaient souvent en n'importe quel animal, pourvu qu'il ait les faveurs de déesse ou simple mortelle ; sans que personne pour faire ça le traitât de zoophilie.
 

   Passé l'ère des dieux, cause d'une mécréance provoquée par l'impitoyable concurrence des dieux impitoyables, d'où il apparaitra l'actuel des politiciens dont il y a des femmes, qui en faisant liaison avec ceux-ci, sans que non plus personne les prenne par de zoophilies.
 

   
Pourquoi donc, je me demande moi-même, tout seul pour ne pas scandaliser, quand un homme se rend amoureux, purement ! doucement ! j'en ajouterais, d'une femelle autre non humaine, on se le traite, de la main des femmes bien sûr, de zoophilies ?

    
    … les femmes sont des jalouses invétérées.

jeudi 27 novembre 2014

UN FANTÔME DANS LE PARLEMENT EUROPÉEN

    Les temps font tout changer, sans aller plus loin, les fantômes d'aujourd'hui ne sont ce qu'ils ont été ; auparavant ils étaient des méchants, qui comme y correspond ne faisaient que méchancetés.


    Ces derniers jours, on se parle, trop à mon avis, d'un d'eux, qui enveloppé en habits blancs, tellement se montraient les fantômes des contes d'enfants, auquel je ne sais pas qui, ni pourquoi non seulement l'a permis se promener par le Parlement Européen (ni que celui-ci fût l’opéra) sinon qu'on l'a laissé se manifester dans son contexte fantasmagorique, instant il, aux élus par le peuple, à être des bonnes gens avec les pauvres, auxquels ses coreligionnaires, aussi comme spéculateurs de toute sorte, ont provoqué leur état de pauvreté.


    Vraiment, je ne sais pas si ce que ce fantôme entend pour bonne personne est enculé, de fait, chérubins. C'est-ce qu'ils métaphorisent, ou l'en faire, métaphoriquement, sur ceux-là qu'ils ont appauvri.

mercredi 26 novembre 2014

SAGES DÉDUCTIONS D'UN ÉMINENT HOMME

    Un sage homme, qui règne au-delà des mers, lesquels ne l'en ont éloigné pas trop de nous, auquel un honnête peuple qui du même n'importe quel autre a pour Émir ou quelque chose comme ça, a formellement décidé que les femmes ne sont pas des égaux aux hommes, soit aux mâles. Malheureusement, la queue me l'empêche, puisque tel type fasse telle déclaration, pour ne pas être son égal, il me ferait heureux ce d'être femme.
 
    
    Ce sage homme, qui ne s’arrête pas pour que sa sagesse (je ne m'explique comment est-ce que tante puisse pousser en un homme tout seul) n'en ait de perte, poursuivre sa tâche didactique : ce sont les musulmans qui ont découvert l'Amérique ? et ces insolents américains s'empêchant en appeler à Allah : Manitou, Xipe Totec, Viracocha, aussi comme d'autres bizarres noms… manque de respect à dieu !
     
    
    Tâche didactique à laquelle il ajoute d'autres perles pour faire un gros collier, telles comme : renoncez à l'alcool, mangez plutôt du raisin. Quelque chose à lequel il ne me reste pas de lui donner la raison, puisque même que dieu n'existe pas, il faut reconnaître que certaines religions démontrent avoir des traits d'intelligence tel que d’interdire à leurs coreligionnaires de boire du vin. Je vous laisse avec lui, profitez-vous de leurs enseignements.

dimanche 23 novembre 2014

FABRIQUER UNE PUTE ET LA FAIRE ESCLAVE

    Les courtiers de la spéculation, s'en transformant en politiciens pour mieux faire leur métier, à défaut d'arguments face la raison utilisent le mensonge, celle-ci qui est la seule méthode que les idiots disposent pour y faire, et laquelle est bien acceptée par des idiots qui même manquent de méthode.
 

    La pauvre Europe a eu progressivement devenue, depuis d'avoir fleuri en Grèce, un jardin flétri, cause des vents pourris, lesquels ont ravagé la philosophie qui l'en était inhérent à ses déesses et dieux, lesquels (les dieux pas les déesses) ont été supplantés par autres étrangers, desquels spéculateurs, d'ailleurs n'ont pas voulu qu'ils fusent symboliques.
 
 
 
    À la pauvre Europe les uns les autres l'ont fait se prostituer… pauvre prostituée ! Que si bien de tous lesquels viennent se coucher avec, mais personne se sert de pute laquelle se fit faire, puisque maniée par les barbares effrontés n'est qu'une esclave par tous constamment violée.

jeudi 20 novembre 2014

... ET LES ÉLECTIONS SERONT VENUES

    Par les rues des villes ne se laissent voir les charognards. Par elles marchent des gens normaux, travailleuses, traînant avec dignité les blessures faites par ceux-là. Par où l'air se fait irrespirable ou presque… toujours n'est temps d'élections !
 
    
    Par ces mêmes rues de ces mêmes villes dont marchent ces mêmes gens-là, les charognards y roulent dans leurs carrosses, aux glaces teintées, par leurs laquais conduites, s'il pleut, en éclaboussant, s'il ne pleut pas, en étouffant des gaz de leurs moteurs… il n'est pas temps d'élections encore !
 
   
    Pourtant, si en piétonnisant votre ville vous observez les carrosses rouler doucement, les glaces baissées pour se faire voir les charognards aux sourires carton-pierre, fort satinés d’hypocrisie, parfois faisant pied en terre pour supplier auxquels sont là-bas les soutiennent où ils étaient, pour que les choses ne changent pas ? Le temps approche aux nouvelles élections lesquelles sont déjà en train d'y arriver.

lundi 17 novembre 2014

DES AMPHITRYONS IMPOLIS

    Les rats se sont tous attroupés pour décourager leur hôte l'ours. Mauvaisement, ils pouvaient y faire, puisqu'il ne pointait ses oreilles que vers où regardaient ses yeux ; soit plus loin que son nombril, et beaucoup plus de là-bas par où ils pullulaient.
 
    
     Les rouspétances des conspirateurs n'étaient que chants de sirènes, desquels le géant, le nouveau Ulysse, depuis là-haut il n'a pas eu besoin de se taponner ses oreilles pour les esquiver.
 
    
    Ces cris, lesquels si bien n'ont pas affecté à l’ours comme non plus aucun autre de taille, l'en ont fait aux nains de celle-là des conspirateurs : pauvres lâches bottes, qui au ne pas servir, ni pour les cirer, ils se sont prêté à faire l'écho de leurs asservis.

dimanche 16 novembre 2014

L'AMOUR DANS UN FLEUVE AFRICAIN

    Par là-bas, dans l'hémisphère sud, à l'Afrique y correspondant, dans le tronçon d'un fleuve qui sépare les eaux territoriales des hippopotames, de celles-là aussi des crocodiles, elle s'est passé l'histoire d'amour que je te raconterais.
 
     
    En étant, un après-midi, le crocodile Emmanuel, tout proche des eaux dont paisiblement se baignaient les hippopotames, ses yeux se sont faits prisonniers des somptueuses rotondités de l’hippopotame Seyana, qui s'en étant consciente d'être geôlière, les dindonnait devant la multitude dentaire de son prisonnier. De cette aventure galante qu'elle fait faire de son taulard son amoureux, ce qu'elle laisse bien faire.
 
   
    Emmanuel après jouer préliminaires d'amitié avec Seyana, il s'est passé approfondir en ceux-là de l'amour. Une fois entendus les deux en amoureux, Emmanuel dit à Seyana : je veux un fils avec toi. Le concept bizarre de quelques femelles en le concernant à l'amour, ce qu'elles confondent avec un dévouement religieux (ou quelque chose comme ça) fait que l'amoureuse, depuis la mal entendue supériorité de désirée, accède à ses désirs, pour se moquer de son amoureux, compte tenu que la queue qu'il porte n'est pas propice à ces affaires. Permis acquis le crocodile mange un des fils que Seyana avait eu d'autres amourettes.

LE LOUP QUI VOULAIT ÊTRE CHIEN

    Croyant le loup Ernest du bien vivre des chiens chez les bipèdes sans plumes, il s'est décidé de faire de l'apprentissage pour se faire passer par l'un d'eux, si bien, il n'était pas convaincu du tout, pas non seulement de cela d'avoir patron, sinon qu'en plus celui-ci fût, impérieusement, une de ces fragiles bêtes, pseudo-animaux, si sottes que cruelles.


   Ernest, sans laisser d'être méfiant, s'est décidé de voir ce que se passe dans cette vie-là qu'il prétendait mener, et comme l'orée du bois dont il habitait, touchait une ferme des humains, il se met à guetter depuis ses yeux peuvent l'atteindre pour observer leur chien.


    D'abord, ce qui étonne Ernest est que le chien, en étant bien servi, jour le jour, son assiette, il mendie quelques miettes par ici par là… misérable ! Ne l'étonne pas moins, qu'il aboie au rythme de sa queue pour plaire son patron, comme qu'il l'en fasse à tout lequel s'approche à la ferme, pour que celui-là, qui se sentant défendu, remercie son geste, parfois, avec quelques soigneuses coups dans sa tête… minable ! Bien qu'en plus il doive surveiller les animaux autres de la ferme pour tout faire, la chose peut marcher. La vie de chien est commode. Pour cela qu’Ernest ne passe point, c'était que les filles du patron le baignassent les dimanches, pour après le mettre un ridicule lacet au cou… qu'est-ce qui penseraient ses anciens camarades s'ils le vissent de cette guise ?

vendredi 7 novembre 2014

LA CONSOLATION D'UN TEL MONSIEUR RÉSIGNÉ

    Les politiciens sont des spécimens fortement infestés par la maladie de la mesquinerie, lesquels depuis de s'en aller petit à petit mélangeant avec les personnes normales, pour se faire passer inaperçus, jusqu'à grâce à sa gracieuse versatilité, prendre le pouvoir y parmi, pour faire disparaître notre société, en tant que telle, la suite est de tous bien connue, leur haut degré de contage de leur affection a fait le reste.
 
    
    De la débâcle promue depuis ce mélange-là, par l'action des malfaiteurs, aussi que de l'omission des résignés, tous sommes coupables, et en citant les résignés, ce mot me fait souvenir d'une lointaine histoire, le voilà.
 
    
    Étant moi enfant, je jouais souvent par la forêt que façonnaient les jambes du groupe avec lequel mon père avait habitude de politiquer, un jour, l'un y parmi, qui n'avait qu'oreilles, se mit à faire exercice de ses lèvres, sortant de son intérieur un léger souffle, presque inaudible, pour se consoler, « dieu presse, mais non étouffe »  une fine oreille qu'avait par là, lui répondit de voix si caverneuse qu'étouffée : étouffe monsieur Résigné, étouffe. Je n'ai jamais su s'il se moquait de lui ou si est-ce que monsieur Résigné s’appelait ainsi.

mercredi 5 novembre 2014

MASTURBATION SURRÉALISTE

    Masturbez-vous, en imaginant une société en tant que ; soit une société normale, ce qui n'est indispensable qu'elle soit idylliquement heureuse, sinon tout simplement dont on respire ; le malheur est qu'il faille de se masturber pour l'imaginer.
   Pourtant, si vous voulez partager, la chaleur, il faudra pratiquer le jeu de l'amour, en rêvant sans rêver, vous embrasser entre vous, tous, nus… !!!
    Oubliez les dieux, les marchants, toute leur cohorte dont politiciens et putes font métier ; les uns pour plaisir sadique, les autres forcées au masochisme ; esclaves eux, tous, toutes, nous tous aussi les payants de la fausse réalité.

mardi 4 novembre 2014

DÉVORATEURS D'ESPACE

    C'est l'appétit insatiable d'espace qui a fait de nous les grands prédateurs, dans cette navette si grande à nous (auparavant), quelle insignifiance à l'immensité dont elle danse en compagnie de l'agglomération d'astres au rythme que l'impose le leur.
 
   
    Cet appétit a fait de notre monde : la patiente, la maltraitée pauvre Terre, laquelle est devenue aussi insignifiante à nous comme elle l'en est à ce tout auquel nous regardons avec avidité aux yeux tels qu'un trou noir ou quelque chose comme ça. Avidité qui a fait de nous le plus féroce fauve jamais imaginé.
     
   
    Un sourd appétit qui a fait de l’amour, le nôtre ; à la vie, à nos compagnons de voyage les animaux autres, à nos semblables, à nous-mêmes, une affaire. Nous n'aimons que les idiots jardins à chacun y correspondant, aux animaux autres qu'à notre côte se sont fait idiotiser, aux esclaves idiotisés, eux aussi, ne soit rien de bizarre, chacun aime ce qu'il est.

lundi 3 novembre 2014

NOUS DES CHASSEURS INCONTESTABLES

    Il n'y a pas chose plus inhérente à nous, n'importe que l'on soit végétarien, que la pratique de la chasse. À cet exercice auquel nous ne donnons pas de trêve, ni même lui concédons fermeture temporelle aucune quand cette pratique, nous la faisons entre nous les femmes les hommes.
   La chose est pérenne chez nous, voyons : quand l'homme sort de chez soi, même qu'elle n'en soit pas son intention, l'instinct le fera se mettre aux aguets, la question est qu'il fera tout pour chasser, c'est notre style vie.
   Ce qui ne veut dire que les femmes ne fassent autant, bien que leur style est souvent beaucoup plus sibyllin ; elles chassent se montrant, ce qu'elles font dissimuler, à leurs guetteurs, pour les faire croire que sont-ils les chasseurs…
   Les pauvres !!!

samedi 1 novembre 2014

LA VITESSE QUI NOUS EMPÊCHE Y ARRIVER

    Personne n'en doute que les humains sommes des animaux curieux ; nous, qui faisons tout pour courir plus que le temps, sans vouloir comprendre qu'il ne bouge pas, le temps n'est qu'un concept abstrait que nous avons tiré, de notre ne pas moins curieuse que nous nos perceptions, de notre propre vieillissement. 
 
  
    Nous vieillissons et en arrivant à vieux, durant le processus entre naître et mourir, après nous dilater (ou quelque chose comme ça) nous nous oxydons, ce qui nous mène à la transformation, dont les cellules qui nous ont supporté en vie, la nôtre, assez de passer tant de calamités chez nous, passent-elles à mieux vie.
 
   
    La nôtre, personne l'en doute non plus, y durant, la vitesse, même qu'elle soit subjective, nous empêche nous regarder entre nous, et moins l'en partager. C'est, malheureusement, à l'heure de la vieillesse, dont chacun est en train de dire adieu à tout, à tous, quand nous voulons nous faire connaître.