mercredi 27 juillet 2011

DYSFONTION


Faisant un raisonnement simpliste et l'en généralisant sans arriver à l’absolutisme, je dirais que l'homme, à coups d'œil, semble que tout ce qu'il poursuit est le pouvoir, quand celui-ci n'est que le moyen qu'il utilise pour combler son vrai désir, qui est baiser, même s'il n'est pas utile au but du tel exercice, ni, au moins, il soit capable de recevoir le plaisir qui se l'en suppose, ce qui lui fait arriver à tout type de perversions pour satisfaire la faute de ce plaisir recherché. Peut-être un faux contact entre le muscle de la pensée et celui-là qui enveloppe l'injecteur du liquide reproducteur soit la cause de cette dysfonction… qui le sait ?                                          
    La femme, toutefois, si nous donnons ce coup d'œil sur nos origines, comme n'importe quel autre animal, elle est habituée au pouvoir qui détente dès nos origines, comme maitresse de la famille, qui au fin de la reproduire baiserait avec celui qui elle veut, quand elle veut et comme elle veut, ça y reste. La femme, comme j'étais en train de dire, pour avoir du pouvoir, emploie, pour ainsi le dire des arguties diplomatiques, elle se rejoint auquel qui a lutte pour le pouvoir ; de résultat qu’à plus de pouvoir que l'on ait son partenaire, de plus de faveurs elle pourra se satisfaire.
      Alors ! attention aux femmes, car, chaque fois il y en a plus, elles ont évidemment le droit, qu’elles atteignent la suprématie en état pur, parce que partant de leur essence de mères ; une mère aime sa progéniture, bien sûr tout ce que l'on peut s'aimer, mais, celle-là doit être comme elle aime qu'ils soient… voilà l'absolutisme !

lundi 25 juillet 2011

UNE DOUTE DANS LE BROUILLARD

    Souvent, je me demande s'il est dangereux croire, entendant pour croire, l'en faire sous n'importe quel dogme et vu que cela, je ne suis jamais arrivé à pouvoir l'affirmer catégoriquement la réponse. Je l'ai toujours délaissée dans le brouillard le doute.
      Par contre, si j'ai pu respirer dans l'atmosphère de bienséance qui émane de ceux, dont le seul souci, qu'ils ont, est de vivre parmi des autres formes de vie (leurs semblables inclus, évidemment) sans croyance d'autre qu'en soi-même ; serait-il parce qu'ils seront condamnés à un entendement autogestionnaire, dont il est la seule manière d'éviter la mettre en déroute vers leur propre anéantissement ?
      Il faut se souvenir que les humains, au début comme quelque autre espèce animale, nous n'avions pas de croyance d'autre que la vie ; et il faut aussi voir où nous avons monté, et où nous pourrions en avoir allé si nous n'aurions glissé dans le sang des victimes superflues… dommage des bagarres que nous en avons faites… on est pour paniquer de penser qu'aujourd'hui encore, tant de celles-là qu'y restent, et, en nom de dieu.
 
      
    Quelle manie d'obliger aux autres croire ce que les uns croient avec le sage qui en est la nature : elle EST tout simplement.

vendredi 22 juillet 2011

LA QUEUE

      
    Les oiseaux ont de queue à plumes, en autres animaux la queue est une partie important d'eux-mêmes, ainsi qu'autres son pure queue. Eh bien ! Que je sache parmi les animaux, même ceux-là qui ont une queue qui se peut entendre comme normal, le seul que n'a pas de queue est l'humain, entendant par queue ce que concerne à l'appendice qui prolonge la colonne vertébrale, celle qui peut-être est, par réminiscences de la perte de cette tue-mouches incorporée à l'humain tellement que l'essuie-glace aux automobiles, ce qui l'en conditionne à faire de la queue pour comme s'il ne se résignât à vivre sans elle
     On fait la queue autant si nous allons au théâtre qu'au dentiste, du même qu'allant payer des impôts que toucher un chèque ou pour en aller acheter un kilo de grasset de bœuf (ce que presque toujours monte du kilo, mais personne bougonne par ça, car cette partie du ruminant est délicieuse) comme j'étais en train de dire : faire la queue pour acheter la viande et en plus pour l'en payer. Je pourrais suivre ce chapelet jusqu'au fin de mes jours, parce que les humains faisons la queue pour tout ; nous n'avions pas de queue dans l'extrême de la colonne vertébrale, mais nous l'en avons, en esprit, mise dans la tête.
     Je suis convaincu de tandis que l'on ne perd l'esprit de la queue, nous n'évoluerons pas comme ce que nous prétendons être « animaux rationnels ».
     Voilà la seule Révolution qui nous reste à faire, tout simplement nous déprendre de l'esprit de la queue. Pensez-vous sur ce que j'y viens de dire, on n'est pas une connerie, on est une invitation à la cohérence.

jeudi 21 juillet 2011

LE CABINET RENAISSANCE


     Étant moi tout garçon, ce qui reste lointain dans le temps, je me souviens d'un cabinet qui avait sorti de l'atelier de mon père ; une belle pièce Renaissance où il avait façonné sur l'avant-corps les visages affrontés de deux guerriers, ayant pris pour modèle de l'un sa propre figure et pour l'autre celle-là de ma mère.
      De là il me vient à la tête, l'image de ce qui doit être un couple, laquelle seulement la peuvent fabriquer, compte tenu que l'indifférence ne l'en va pas faire, deux choses sont l'amour et la guerre, car, je ne crois pas que l'on exista l'une sans l'autre ; quel compliqué est l'amour, qui pour prendre un petit morceau de lui on doit passer par des longs processus d'affrontements.
      L'amour est comme un fleuve : torrentiel parfois, parfois paisible, tortueux presque toujours, et toujours chemin faisant pour pénétrer la mer, la grande mer si vigoureuse qu'agressive, parfois capable de caresser doucement les plages autant que d'embraser brutalement les abruptes côtes.
      L'amour est un couple dont la femelle, de qui les légendes on fait la part débile de celui, qui commande ; même le mâle commandant, est-elle qui commande ce qu'il croit que commande.
 

lundi 18 juillet 2011

COMPRÉHENSION


     Le problème de comprendre n'est pas d'avoir compris ou de n'avoir pas compris n'importe quoi ; on peut se passer de tout cela soit ce qui en soit, ou bien étudier le sujet mis en cause pour le comprendre ; soit le but de la compréhension : la satisfaction personnelle, soit l'en faire compréhensible aux autres. Même dans le parcours d'une infructueuse recherche, dans le fond qu'y reste, toujours on va trouver quelque chose dont on peut s'appendre.
      Le gros problème est tout à fait dont on n'a que comprendre, quoi qu'il en soit, parce qu'il se sustente en quelque chose aussi chimérique comme la foi.
      Moi, qui étant un amant de causes bizarres, je me suis rendu, comme il faut, amoureux d'une butée, je peux vous assurer qui cela n'est pas quelque chose paisible, mais : comme la butée qui supporte la poussée d'un pont, si elle crève, le pont tombe. Je sais bien que, je suis un homme, pas un pont comme qu'elle est une femme… entêtée… mais une femme quand même.
 

samedi 16 juillet 2011

PATRON DE VIES ET TERRES


     Chaque fois que l'on parle quelqu'un d'important, d'un pays dit démocratique (des autres qui y sont, peu importe ce qu'ils dissent, c'est ça la démocratie) le lui remplit la bouche de mots comme : liberté, démocratie et tant d'autres de belle facture, je ne m'explique comme de ne pas les déboucher c'est qu'ils ne meurent étouffés.
   Ces jours-ci a été reçu de nouveau, par le président d'un pays dont il a été élu démocratiquement ; le Dalaï Lama, qui ne cesse pas de réclamer son domaine (voir ci-dessus l'une de ses prétendues maisons) composé de terres et âmes ; celles-ci qu'y sont dedans les corps des habitants-là, qui selon son interprétation ayant les âmes d'un majeur rang que les corps, les personnes le lui appartiennent aussi.
      Le gouvernement Chinois a protesté la décision de monsieur Obama à cause de la réception faite au curé en chef de la religion qui a été la dominante dans le Tibet pendant des siècles jusqu'à la Révolution Chinoise fit la relève ; comme si monsieur Obama ne puisse recevoir qui que ce soit. Autre chose est que monsieur Obama, comme la plupart de monde, on ne voulait pas apprendre la classe de type qui est le tel curé, bien qu'il faille comprendre qu'à plus grand qu'il est un pays (en ce qui concerne l'économie) il y a plus grands intérêts, les peuples les importent une merde, même les siens.
    Je souhaiterais faire une réflexion sur monsieur Obama ; qui à mon avis ne laisse d'être un honnête bon homme qui peu plus peut faire qu'être un honnête bon homme, la brousse dans laquelle il se débrouille, la même où sommes tous, ankylosé est impraticable.
      De ma part, je voudrais ajouter que, en étant supposément moi tibétain, je ne voudrais point que ce curé revînt gouverner mon destin au nom de dieu. on peut bien faire lecture de ce qui a eu le Moyen Âge en Europe, pour donner un exemple, je ne voudrais non plus être gouverné par les chinois, mais je vous assure que moins je voudrais être gouverné par les occidentaux.
      Chaque peuple doit, il le peut, s'administrer tout seul selon leurs besoins, et si bien, il croit nécessaire se dissoudre de son ankylosé structure involutive, emprisonnée par l'endogamie intellectuelle, cela s'arracherait en faisant l'amour, même gratis, avec les invités, jamais, même payant, des imposteurs.

vendredi 15 juillet 2011

IL FAUT APPRENDRE DU VIEUX

   
     Au fond du jardin, de la vieille villa d'une vieille dame, délaissé à la sorte du beau faire de l’exubérante végétation ; là, au-dessous d'une vielle magnolia, repose une vieille chaise déglinguée.
    Cette chaise, qui d'antan avait provoqué aussi d'envie en ceux qui regardaient sur elle les fesses rondes et dures des filles, qui maintenant qu'étaient assises l'imprégnaient de ses effluves phéromonales ; envie de ceux qui attendent à pied, les pieds crevés. Convoitée de tous, par lesquels elle représente le trône de n'importe quel pouvoir, les mêmes qui le siège prise, l'imprègnent de la pestilence des gaz intestinaux, produits des excès, la griffe du pouvoir.
         Une vieille chaise comme cela, ne nous devrait faire sentir peine d'elle, ni la voir comme un embarras, un objet de poubelle, ni la prendre comme un objet curieux ou décoratif ; Il faut réfléchir sur sa vie qui n'est trop différente de la nôtre, par beaucoup qu'elle soit en bois, si nous ne réfléchissons pas.

jeudi 14 juillet 2011

L'EAU ET LE VIN


      J'ai ouï dire qu'il y a d'eaux qui peuvent être buvables pour les humains, le bizarre est que les eaux aptes à cet effet sont celles-là qui n'ont saveur ni couleur ni odeur, et qui ont par seul fin tuer la soif, par contre, les vins se peuvent boire tous, dont chacun y a d'un goût, arômes et tonalités différents, ils ne tuent personne, et ils ont le mérite ajouté de produire des énormes diversités de sensations.
       Je ne vais pas être qui en va disputer cela de qui a été au début si l'eau ou le vin, en plus, il faut reconnaître que l'eau a été utilisée depuis tous les temps pour arroser les vignes, du même que, j'espère, personne ne met en doute la théorie de Darwin, d'où l'on peut se tirer que :
      Du même que l'eau a été le bouillon dans lequel s'est cuisiné toute forme de vie, étant l'une de ces compositions, d'entre les animaux, l'humain, qui l'évolution l'a sorti de ses buveurs d'eau, pour faire de cet animal de nouvelle création un impitoyable déprédateur de cette forme complexe du produit des vignes, celles-ci qui sont l'acteur principal, pas l'humain, qui y a l'absurde manie de se croire le centre de tout. En autre, mettez-vous dans la tête, le centre n'existe pas, on peut s'en aller par la gauche ou la droite (celle-ci tout embouée) le centre est le néant, du même que conneries des politiciens (une sous-espèce de récente création) par où l'humain va disparaître tellement qu'il est venu, le jour où l'art de la viniculture aie disparu. 

 

 

PROPORTIONNALITÉ


      Que nous vivons dans l'ère des statistiques, est évident, nonobstant ce n'est pas quelque chose récent, donc les nouvelles technologies l'en aient fort amélioré, mais pas incrémenté, les anciens empires s'étaient déjà bien servis d'elles ; il ne ferait pas remarquer que l'information accumulée pendant siècles par l'église chrétienne, dont personne ne pense que cela ne sert à rien ; de fait, elle y est maintenant ce qu'elle est : je vous jure par saint Robespierre vierge et martyr que pas la connerie économique que l'on prétend.
      Les statistiques fournissent la fontaine du crétinisme où boivent les politiciens ; ceux-ci qui se sentent légitimés des votes séquestrés à un peuple qui n'a rien à boire dans le fleuve de la stupidité, laquelle montre tout ce qu'il est : un lit sec, dû que celle-là, sa supposée courante, n'existe que dans l'imaginaire.
      C'est curieux que du substrat de statistiques, dont on prétend ignominieusement chercher l'équité, soit la proportionnalité, parmi la classe travailleuse tout quand les dirigeants qui n'ont fait que spéculer, c'est-à-dire, contre produire, soient lesquels détectent le pouvoir auquel les statistiques leur donnent.
       C'est un crétinisme et stupidité, tous les deux les parfaits liqueurs pour créer le parfait cocktail… de quoi ? Allez-vous l'en savoir ?
       Sincèrement, quand il s'agit de boire, je préfère du vin. 

mardi 12 juillet 2011

EFFROYABLE SPECTACLE


     La société que nous avons fabriquée, incluse laquelle y parmi n’étions point d'accord de son fonctionnement, tel qu'elle marche, laquelle a parfaitement analysé Guy Debord dans l'essai que sur elle a fait, titré : « La société du Spectacle » (un livre indispensable d'arguments irréfutables, ceci qui fait humain l'auteur, bien sûr ne voulait pas être un dieu quelconque) ce qui y vient à propos sur le sujet dont je fais une interprétation d'elle, qui marche entre l'optimisme et le pessimisme, c'est-à-dire la réalité.
      Le théâtre dans lequel on développe des avatars de la vie (les bonheurs sont si éphémères qu'ils ne se perçoivent presque, tel que les défauts dans l'ouvrage de Guy Debord) est devenu décrépit ; la scène est pleine d'acteurs dont tous veulent jouer le premier rôle, du même que chaque spectateur qui, dans la salle, restent impavides de leurs rêves. Là il n'y a ni scénariste ni metteur en scène, il n'en a pas besoin d'eux comme non plus d'aucun autre créateur ou technicien en la matière, la pièce à jouer est toujours la même ; une lutte impitoyable entre tous dès les réalités ou les rêves à devenir l'acteur principal.
      Seulement quelques spectateurs, peut-être les vrais, sont dehors, sur le parvis du bâtiment de l'enfer humain, à l'attente de son irréversible écroulement. Ils savent bien qu'ils vont disparaître avec, mais ils veulent jouir du dernier spectacle.

dimanche 10 juillet 2011

PRIÈRE


     Que le bon dieu protège les pieux, et du même, les emporte au paradis ; ils (les pieux) le méritent, aussi que les habitants qui restent… à vivre sans eux


     Qu’Ares (dieu subsidiaire, mais tout à fait un dieu) qu'il emporte les militaires, mecs ou nanas de ce genre à la Thrace, où ils seront aussi ravis que ceux qui y restent.  
     Dans ce paradis guerrier, pour beaucoup qu'ils n'aiment se battre (entre eux, ils sont tous armés et peuvent se blesser) ils vont se réjouir en montrant tous leurs apparats : ils sont comme gosses !

Que Feng Shui, un autre dieu de second rang, mais, il est plein de bijoux (des chers) emporte chez-lui, il habite un palais fait en or, tous les riches : leur félicité sera pareille à cela des humbles qui habitent où ils ont déjà tout rapiné.


      Qu’Éris, qui est très attachée à Ares, emporte-t-elle chez ceux-là qui aiment la discorde... vaine ! ils pourraient là se taquiner à leur aise entre professionnels. À la sienne en vont rester ceux qui y demeurent.

       Allez les dieux, tenez-vous votre dignité à l'accomplissement de ses fonctions. En tout cas, si vous n'en soyez très diligents, soyez quand même complaisants et laissez aux pauvres athées tous seuls dans ce monde de punition.

samedi 9 juillet 2011

ÉTAT POLICIER

     
    Nous vivons dans une époque où l'on se parle amorçant les goebbels du pouvoir, en se servant des médias, beaucoup, peut-être trop, sur la sécurité citoyenne, ce qui sans peur de me tromper, profite ce pouvoir-là, pour se fortifier « démocratiquement » plus que l'en est, évidemment à l'écart des citoyens.
    Que fait-elle cette puissance-là pour favoriser la sécurité ? où est le problème ? les délinquants ? Les délinquants vulgaires, à leur avis, bien sûr, alors, qu'est-ce fait le gouvernement contre « La Délinquance » ? Voilà le hic ! Cette Délinquance, maitrisée par ses patrons si c'est qu'elle ne les maitrise à eux, elle est la provocatrice, la mère, de ces délinquants vulgaires qui ne sont que du contre face des policiers, cette monnaie qui gêne la société d'à pied, au salaire des pourboires de laisser faire des patrons de la Délinquance ; cependant que leurs affaires servent aux assis (le pouvoir fait commode) à légitimer un renforcement policier à l'avantage, scandaleusement, en majoritaire disproportion des assis là pour protéger leurs gros faits délictueux, c'est-à-dire : une bonne légion de législateurs et tous les gangs des finances, qui partagent habituellement table, affaires (ce qui importe) et qui ne se troublent point de se laisser voir ensemble en fêtes où se repartent entre eux médailles, honneurs et conneries comme ça. Les gains les y font en cachette.
    Cette épidémie qui frappe notre civilisation, dont la plus douloureuse solution est à pire = mieux, dû que la combattre de ses propres armes il serait de créer une autre peste.
      Je ne sais pas si est-ce que la simplicité, étant la seule vaccine possible contre cette peste, est cela que l'en fait inabordable, dont elle serait de ne vouloir ni servir le pouvoir ; mais la culture, tout semble, n'intéresse presque à personne… tandis que, elle ne produise de bénéfices.

jeudi 7 juillet 2011

DADAÏSME ÉCOLOGISTE

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    Souvent parmi les mollusques, entre autres animaux, il y a quelques-uns qui portent de coquille, ce qui ne laisse pas d'être, à la fin de leur vie, la dépouille de tout cela qui a été les habits de toute l'existence de chaque.
     
       Imaginez-vous, si l'on rejoint les restes des habits que l'on y a, bien ou mal, usé n'importe quel animal humain ?

    Comme pour se plaindre à faveur de la noble cause contre la folle pollution, par nous-mêmes produite, déguisés en écologistes, ce dont je ne sais pas si l'on peut tirer des avantages que ne soient d'autres. Il faut l'en reconnaître, d'épargner en trucs de raser, coiffure, crèmes de beauté (?) momentanément au moins ; par contre on ne se laisse non plus, d'augmenter les dépouilles avec les fripes employées à l'occasion.

      
  
         Nous, les humains, sommes comme ça :

       Nous n'avons pas de remède… bestioles !!!

mardi 5 juillet 2011

LA TULIPE BLEUE

Tulipe, fille de Protée, à qui avait fait malheureuse Vertumne de qui Diane l'avait sauvé la faisant fleur : la plus belle fleur, qui se laisse montrer parfois pour jouissance des mortels.
  
  Le bulbe de la Tulipe, de qui je raconterai l'histoire, ne reposait pas dans le temple de sa protectrice Diane, à celle-ci le hasard l'avait posée dans le bar de la gaillarde Éléonore, plus exactement dans le derrière de l'établissement, passé la cour sur laquelle s'entassent les caisses vides, là, la patronne, aux mains vertes, cultivait un beau petit jardin, dont, à un coin ombré, protégé des inclémences, pousse, du susdit bulbe, une gracieuse tige qui soutient un pas moins gracieux bouton noir dont fut tombé amoureux, sans savoir pourquoi (l'amour est comme ça) un assidu au bar d'Éléonore, qui n'étant pas trop amant du soleil, celui qui baignait la terrasse du bar placée dans la façade du même, il avait l'agrément de la gaillarde pour éprouver du vif plaisir de leur vin assis sur une barrique qu'il y avait dans la susdite cour postérieure, celle que parfois faisait de table, dont l'amoureux voyait la tulipe noire objet de son amour.
  Un jour, la Tulipe Noire, se croyant hors du regard de tout curieux, s'épanouit, découvrant la plus belle fleur bleue, laquelle observait son amoureux, guette-t-il derrière des casses vides. L'amoureux, de la peur à faire une vertumnée, reste aux aguets matin et après-midi jusque bien entré le soir (quoiqu’Éléonore fît bonne affaire avec lui, la nuit, elle ferme le bar).
  Il arrive un funeste jour que, de bon matin, l'amoureux, attendant que le bar ouvre pour s'en aller, voir son amoureuse, ne trouve pas réponse à ses désirs ; un cartel collé sur la porte d'entrée dit : « fermé par congé ».
   MERDE ! Dit-il (dans les affaires de l'amour, on peut se permettre certaines licences, par impolis qu'elles soient)

lundi 4 juillet 2011

MONSIEUR INFRUCTUEUX

    Monsieur Infructueux était un homme paisible, dépourvu de toute activité physique, dû qu'il gaspillait son entière énergie dans l'activité de sa fébrile et féconde tête, d'où qu'il soit facile de comprendre qu'il n'eût jamais effectué fécondation physique aucune.
      Un jour, étant monsieur Infructueux assis dans la terrasse d'un bar, un jour de printemps (c'est important remarquer ça, ainsi je ne sais pas pourquoi) réconfortant le corps soutenu par sa tête avec une assiette où gisent les dépouilles d'un canard, qu’à tel but, monsieur les mange, en les arrosant de Bordeaux ; le vaillant (le Bordeaux) lui fit regarder hors de soi-même, qui en n'ayant pas un livre où se cacher de cet effet, il n'est resté que voir partout : des fesses, des poitrines, des ventres, des tailles en mouvement ; lèvres qui s'ouvrent, mordent, lèvres qui se ferment, sourient ou faisant le cul de poule, nez inquiétants, des yeux en toutes leurs diversités, du même que : cheveux, oreilles, joues, fronts, tout cela dans de têtes soutenues par splendides corps.
      En voyant les gents si expressives, ensuite, se met-il, à penser que chacune est un orgasme et sorti de chez-soi, reste pour se mêler dans l'orgie de la vie.
      Après d'un temps immergé dans ces tumultueuses eaux, un jour, avec une bouteille de Cognac à la main (de la main à la bouche se suppose) il se met à réfléchir à nouveau, résultant de celle-ci que :
      S'il est bien vrai que le monde est plein d'orgasmes, ils l'en sont sans doute, produits des masturbations.

dimanche 3 juillet 2011

ATTENTION AUX ATHÉES

    Le monde, une région, un village, une rue, une maison, un homme qui habite là, parmi les autres qui y sont, un homme qui ne gênait personne, et parce qu'à lui ne le gênassent, habitait tout seul ; donc sans s'écarter des règles du bien-être citoyen, mais sans s'immiscer dans aucun club ni secte : il était un être social parfait.
    Aux yeux de ses concitoyens le fait qu'un homme vécût en paix, sans la grâce de dieu, il fallait que le bon dieu lui punisse. Après de cette heureuse réflexion, tout le village s'est mis ensuite à l'œuvre, en priant leurs dieux parce que justice soit faite.     
    Tant de psaumes, prières, sortilèges et choses comme ça, que les gens dédièrent aux dieux pour exiger qu'ils fassent leur travail, qu'aux pauvres dieux, leurs oreilles cassées, il ne les est restés d'autre que négocier avec les démons, qui l'envoient quelque chose à ces types-là. Le démon chargé des affaires des punitions n'ayant d'autre chose sous la main (ce n'est qu'il eût trop de travail dans les enfers, il est plutôt que le péché de la paresse y est très répandu) envoie chez le supposé transgresseur, un succube qu'avait par là, s'occuper de lui.
    Le succube, plus que belle « impressionnante » comme il faut, la nuit se glisse dans le lit de la victime, qui la sentant, et après de la toucher pour constater ses formes, textures et dimensions, s'accroche à elle comme une tique famélique, que même en arrivant le jour ne se d'accroche de sa punition pour beaucoup qu'elle (étouffée par l'impétueux improvisé amant) puis d'épuiser toute sorte d'arguments pour que la laisse partir, le lui menace avec la venue à son secours d'un régiment de la légion étrangère… la faim est noire, et il a vu la lumière. Il ne se décroche point de sa proie.
      Attention aux athées : ce que pour les croyantes est péché, pour ceux-là est bienséance.

samedi 2 juillet 2011

CURIEUX ANNIMAUX

     Nous, les humains, sommes un curieux animal qui se passe la vie travaillant pour se libérer des pièges que lui-même a créés, s'y enfonçant à chaque pas qu'il en donne pour quitter, autant de celles-là que d'autres de nouvelle création, à cause de la prodigieuse imagination qu'il a pour élaborer son propre mal est invraisemblable.
      Le problème, c'est qu'étant la piège toujours la même « le dogme » qui s'accroître toutefois qu'il est « dogme de foi » la solution poursuite est aussi la même, un autre dogme, plus puissant si l'on se peut, pour combattre celui ou ceux où réside le problème.
      La solution est si simple que difficilement développable, due la structure sociale que nous-mêmes avons créée, elle est dans l'éclectisme, mais cette structure-là qui tient les populations, classifiées en castes, et même en les sous classifiant chacune, par où il ne faut que passer un rapide regard pour apercevoir : l'esclavage des travailleurs, d'où l'on tire des mercenaires pour contrôler la subornation des techniciens ; cadres, prêtes et lâches culs comme ça nourris comme bêtes d'engrais et ceux-là qui sont au pouvoir, tout simplement quelques dégénérés.
    Imaginez-vous un cru jour d'Hiver un petit enfant marchant à l'école mis sous un gros bonnet à énormes oreillettes, celles-ci le lui vont empêcher de voir ce qui ne soit tout en face ; c'est mieux passer du froid que vivre aveugles.

vendredi 1 juillet 2011

UN FOL DANS LA VILLE

    Dans une ville grise, d'un pays vert, laquelle est creusée de rues grises bordées de maisons grises ; quelques-unes si grotesquement colorées que bien pourraient blesser la vue d'un aveugle. Là il vit un vieil brave homme qui marche souvent par les trottoirs de ces rues, droit comme un cierge, les en utilisant d'estrade pour prôner des choses que la vie a thésaurisées en lui, et qu'il les enveloppait en papier pelure les en éparpillant partout si généreusement.
      Les gens qu'y passent se moquent en écoutant les laïus du fou (comme ils l'appellent) sans l'écouter, peut-être, parce qu'il ne serait  que notre charmant brave vieil homme ne dit aucune stupidité comme celles qu'ils pensent, et, voilà la question : c'est ça qui les empêche lui écouter.
      À la sortie d'une église, leur pauvre clientèle, au pas de notre éloquent homme, souri sinon fronce les sourcils, tous sous l'aura de la pitié impitoyable de qui croie par foi. Ils n'ont pas besoin de la connaissance qui ne soit pas pour thésauriser de l'argent. Toujours qu'ils aient besoin de la science, soit-elle cela des autres : celle-là des pêcheurs athées… la philosophie n'intéresse point : la philosophie est liberté.