jeudi 31 décembre 2015

IL NE FAUT PAS LAISSER FAIRE LE HASARD

    Il n'y a de la vraie vérité que celle-là de chacun. Pourtant, considérez celles-là des autres pour faire de la convivialité, parce que personne, vivant y parmi, peut « dire » qu'elle veut vivre isolée.
 

     Soit que chacun peut penser comme on pense. Tous sommes des égaux en étant si différents. Peut-être c'est pour ça qu'il y a tant de boissons (alcoolisées, bien entendu) au cas où il faudrait faire un toast.
 

    Le voilà où je voulais arriver :
  
   L'anarchisme, plus que le choix, est l'essence de chacun, laquelle pour la faire participe d'un tout. Allons donc en sa poursuite, sans repos, mais sans pause, car l'inattention nous détournera du but.

mercredi 30 décembre 2015

L'INSIDIEUX TOMBE DANS SON PROPRE PIÈGE

    Un jour qui n'est pas jour, il est nuit, une nuit d'hiver. Il fait froid, l'averse frappe, inclément, à travers les verres de la fenêtre, qui protège de l'intempérie le foyer dont s'abrite le bâtisseur, il est dans sa paix prête un œil à la pluie, l'autre au feu, lequel lui chauffe, attisé du bois qu'il a auparavant ramassé.


    Ce feu, qui ne pouvant pas retenir son esprit instigateur, reproche auquel a bâti le foyer, fabriqué la fenêtre, et même subvient à ses dépenses, de son égoïsme, pour ne pas permettre l'averse se réchauffer chez-lui.


    L'insidieux insistant taquiner du feu sur la faute d'hospitalité, du faiseur du foyer, bienfaiteur sien, l'en ayant troublé tellement le sens de la raison, qu'il ouvre la fenêtre pour qu'il se foutre la paix. L'averse y entre, donc l'eau éteint le feu. Le foyer ne l'en est plus, l'intempérie s'empare de tout.

mardi 29 décembre 2015

VIVEMENT FÂCHÉ

     Il y a des personnes plus ou moins teintées de la mélanine, de plus ou moins stature, autant du même que de carrure, aux cheveux bruns, qui non les en ont blondes, aux yeux plus ou moins grands. Voyez-vous comme vous le voulez, il y a parmi au moins de l'ambivalence, quand non, touchés d'autres coups de pinceau.
 
     
    Pourtant, moi, que je suis un crédule incontestable, tombant dans les mains de l'infortune, celle-ci a modelé de moi quelque chose monochromatique, voire : un fâché incontestable aussi.
 

   
Ma vie désormais
s'écoule sans être interrompue des sursauts de bonheur. Lundi, je suis toujours vivement fâché, mardi vivement fâché aussi comme le mercredi, le jeudi, le vendredi, samedi. Le dimanche, moi tellement comme « Lui » je me reposerai, mais vivement fâche, je ne renierai jamais de ma fâcherie.

samedi 26 décembre 2015

LE VIN FAIT MIRACLES

    Il y a quelques-uns sans-gêne qui maudissent le vin parce qu'il fait du mal, sans s'arrêter à réfléchir. Écoutez-moi l'histoire d’Alban et Bruno, et après l'en faire. Ils étaient deux amis auxquels personne de leur entourage ne pouvait pas les concevoir l'un sans l'autre. Unis tous les deux du plaisir de boire, et jamais séparés à cause des femmes, le premier aimait celles-là qui n'avaient les chairs qu'il y avait, l'autre lesquelles avaient les chairs qu'il n'avait pas.
 

    Soit qu’Alban et Bruno étaient tel que le jour et la nuit, mais quand le jour et la nuit sont mal définis l'un et l'autre.
 

    Pourtant, ils étaient bien définis, Alban était amusant, affable, et si complaisant envers les autres qu'il était capable de faire briller le Soleil pour que les bronzés, pas lui, réjouissent en se faisant brûler la peau. Par contre, Bruno était plus sec qu'une sarbacane en sureau, laquelle un homme a trouvé dans un tiroir dont elle fut abandonnée quand le grand était petit… en écoutant cette histoire personne peut nier que le vin fait miracles.

mercredi 23 décembre 2015

L'INCOMMENSURABLE FACE NOTRE PETITESSE

    Le temps chez les dieux est incommensurable comme incommensurable est l'espace par où font bouger leurs squelettes. Ce que la graisse, que les nôtres ont au-dedans de leurs poignées, entend, par absence, oublie. 
 

  
Récemment, venant les dieux de faire la noce par l'incommensurable, en passant tout proche à nous, ils nous ont rendu visite et voyant la dégradation qu'y règne, ils ont rayonné sur lesquels étaient normaux, pour qu'ils en restent de la suffisante intelligence à les aider à esquiver l'« intelligents » qui les ferait la faute absolue d'intelligence des politicards qui par ici pullulent. Lesquels se tiennent, la populace les tient, pour les plus intelligents.
 

    Les dieux ne nous oublient jamais, c'est notre atteinte qui n'arrive pas à leur dimension. Il faut se laisser y aller, naviguer, par l'espace incommensurable de la réalité, puisque c'est l’irréel qui nous met sous la médiocrité.

lundi 21 décembre 2015

VÉGÉTAUX AVEC PATTES

    Les végétaux ne possèdent pas de mâchoires pour se nourrir : ils sucent pour l'en faire ce que le terroir, où ils naissaient, vivaient et mouraient, les pourvoyait. Les temps sont passés et tout a beaucoup changé, aujourd'hui sont rares lesquels ont ces privilèges. 
 

    Les cieux se tournant parfois impass
ibles laissent de verser des larmes, de joie, de peine, sur certains terroirs, lesquels à sa faute tombent dans la pénurie, ce qui a fait quelques plantes tirer de pattes pour s'en aller chercher la vie hors de leur souche, les uns aux dents courts en mangeant leurs anciennes, les autres aux dents longs se mangeant entre eux… inconsciemment ceux-ci peut-être pour cela de garder de l'équilibre démographique y parmi d'un côté, et d'un autre éviter l’anéantissement de leurs ancêtres par les végétariens.
 

    Maintenant tout s'est bouleversé, les bipèdes sans plumes, prédateurs absolus, ni chassent ni cultivent les champs, tous vont en alluvion se nourrir où il y a dépôts denrées, vidés ceux-ci, ceux-là s’entretuent sans s'en profiter… ?  Quelle perte de protéines !!!

jeudi 17 décembre 2015

QUESTION DE CARACTÈRE QUE NON DE SEXE

    La vie est, quelque chose, pleine, de quelques-unes autres qui la font étonnante, peut être pour ne pas nous ennuyer les vivants ???
 

      Par exemple, les humains, qui en étant omnivores de vieille race, en ce qu'à moi concerne omnivore impénitente, tirant plutôt à carnivore, quelqu'un qui veuille sur ma santé, qui étant la maltraitée détériorée, pour la remettre en bon état il m'a fait me faire végétarien… temporairement bien entendu, il est un bienfaiteur pas un sadique quoi ! Le temps coulant de cette guise, à un moment donné, dans l'adversité durant, je me suis mis à réfléchir sur ce que je serais à cause de celle-là en train de prendre les allures d'une vache impassible, que non d'un taureau enragé… ?
 

   
Donc en réfléchissant, réfléchissant, ça m'a fait penser de qu'est-ce que les taureaux, seraient-ils bien des mangeurs de steaks.

mardi 15 décembre 2015

MAUVAIS TEMPS POUR LA DÉMOCRATIE

    Ces temps-là se sont passés dont les seigneurs de la guerre se battaient sur les champs de bataille, sinon à côté de leurs troupes, mais ils se battaient par là quand même.
 

    Ces temps-là sont changés bien sûr, maintenant ces seigneurs de la guerre, qui ont perdu le peu de seigneurs qu'ils y avaient, font qu'autres fassent des tueries, qui ne sont ni guerres, quand non ceux-là se font contraints subventionner ces carnages, pour ces anciens « seigneurs » devenus tout simplement usuriers, qui tirent profit de la terre engraissée du sang versé sur elle.
 

    Effet qui se fait sentir, car la maltraitée démocratie, d'un côté s'est fait maîtriser des usuriers, et d'un autre que les citoyens les ont laissés tout faire d'elle... la pauvre !

dimanche 13 décembre 2015

IL FAUT UN ARRÊT POUR DESCENDRE LES MALADES

    L'imagination est un outil dont nous pouvons nous servir pour nous faire percevoir d'une réalité qu'en la réalité ne nous percevons pas.
 

     Mis à imaginer, imaginons que la planète Terre est un autocar de tourisme conçu pour que les passagers tous profitent confortablement du paysage par où il les conduit. Pourtant, il y aura à qui ce de voyager en autocar, l'en faisant mal au cœur, l'en fera vomir sur les autres passagers qui gaiement profitent de l'excursion. 
 

    Donc il faut absolument arrêter l'autocar, et, soulager auxquels le voyage ne les sent pas bien les faisant descendre.

mardi 8 décembre 2015

QUAND L'INSUBSTANTIEL PHAGOCYTE LE SUBSTANTIEL

    Parmi les animaux tous, les humains nous tenons pour les seuls doués d'intelligence, voire supérieure, soit « les élus »… ? Bon, parmi nous il y a quelques-uns plus « élus » que les autres, en dépendant du dieu auquel on rend culte.
  

    Ces dieux, qui sont points de la lance, dont leurs dévots font la hampe avec qui pour imposer chaque « imaginaire » sa discipline, ils font que nous nous saignons les uns les autres. De ces dieux dont les despotes absolutistes sont les plus impitoyables, peut être dû à ne pas avoir de concurrence dans leurs limbes respectifs, ils se dévouent entièrement à dresser la hampe à chacun y correspondant pour s'affronter à la concurrence externe. En l'Europe de jadis, par exemple, dont il avait dieux partout ce ne passait pas. Il y avait tant de litiges entre les in-substantiels qu'ils ne s'occupaient presque des substantiels.
 

    C'est notre aliénation aux dieux d'importation, laquelle nous a touché depuis avoir quitté nos dieux de toujours, en provoquant la fermentation dans notre cerveau, le pauvre, qui nous a fait croire les plus, les seuls, intelligents, soit « des élus ».

dimanche 6 décembre 2015

UN VIEIL HOMME TRÈS AFFLIGÉ

    Un vieil homme, dont les rides semblaient une mer orageuse, accoudait un bras sur la table d'un bar pour soutenir de la main sa tête, tandis que de l'autre tenait un verre dont prenait de la vigueur pour le lui parler.
 

   
À autre chose mieux à faire, j'ai prêté volontiers mon oreille à ce qu'il avouait son interlocuteur : le monde s’achève,
il disait, affligé, dieux me pardonne, ni les femmes ont des seins, ni les hommes sont hommes.
 

   
Affligé de l'affligement qui l'affligeait. Pour l'encourager, je tire d'un magazine qui j'avais sur moi, dont je cherche et y trouve la photo d'une belle, celle-ci bien armée, laquelle faisait campagne pour sauver les baleines. Le vieil homme après de regarder, et lire, parle : pourquoi s'empêche cette jolie fille en sauver mon épouse et pas à moi !!!

vendredi 4 décembre 2015

MÉFIEZ VOUS JUSQU'À DE LA SOLITUDE

   La solitude peut faire penser qu'elle est une dévouée compagne, même donneuse désintéressée sans rien à elle demander, mais non !
 

    Ne nous faisons pas tromper, c'est bien vrai que la solitude ne demande rien : elle prend, elle prend le temps de sa compagnie durant, tout à elle. 
 

    Nous sommes animaux sociaux, nous avons besoin de compagnie, ce qu'il ne faut pas confondre avec ce d'être animaux de compagnie.

mercredi 2 décembre 2015

LA COHÉSION: LA FORCE!

    L'homme en soi-même il est une arme, et la femme, qui n'est pas une cartouchière, elle est une arme elle aussi.


   Une arme, l'une l'autre, qui n'a même pas besoin de faire ni un petit tir pour être efficace.


   Il ne faut pour ça qu'elle se fasse sentir, elle prendra la force des voix cohésion nées sorties la raison du peuple.