mardi 31 décembre 2013

LA PÊCHEUSE ET LE POISSON

    L'un de ces froids jours qui a l'habitude de nous offrir l'hiver, dont Gaston à autre chose mieux à faire s'est laissé tomber dans les fils de la nonchalance, ceux-là maillés donnant forme à un hamac, qui bien pourrait être aussi un filet à poissons ; donc lui tel que s'il fût l'un de ces vertébrés qui peuvent vivre dans l'eau (ce qu'il ne pourrait nullement faire, ni même la boire !), il s'est laissé attraper là.
 

    Entrant chez ce triton son amie, la gentille Cécile, écologiste impénitente, déguisée de gracieuse pêcheuse ou quelque chose comme ça, gentiment, comme ne pouvait pas être d'autres manières, fait-elle y sortir l'heureux assoupi l'en faisant devenir un malheureux excité, pour l'amener à la campagne, dont tous les deux ont dû faire gymkhana parmi bouses et d'autres chiottes mineures, aussi comme à esquiver les déposantes de celles-là.
 

    Gaston épuisé de la frénétique frénésie de Cécile, en voyant un paysan d'apparente lucide calme assis sur un mur, il fait autant pas loin de lui. Cécile y arrive donnant tout d'elle. Gaston lui fait une grimace en vue qu'elle prête attention ; l'homme était en train de causer avec le vent, tout semblait, le lui disant : je voudrais être une pomme, pour m'offrir à ses lèvres, afin de rafraîchir son être, pour me mettre dans son corps, la parfumer de moi… pour me parfumer moi d'elle… quel romantique ! Crie presque Cécile. Mais non ! lui dit Gaston, il ne s'agit pas de sentir ses mots sinon son haleine, il est soupé perdu. Donc l'homme tombe par terre de l'autre côté du mur, d'où l'on s'écoute le final de l'acte dont seulement s’écoutait de la musique. 

samedi 28 décembre 2013

ENTRE GEÔLIERS ET PRISONNIERS

    Quand on fait prisonnier n'importe qui, on se fait soi-même prisonnier, sinon de celui que l'on a fait prisonnier ; de la malsaine manie d'emprisonner tous lesquels ne sont pas si idiots comme l'« emprisonneur » qui les fait emprisonner ; celui-ci qui n'est qu'un autre esclave, si bien qu'il : rédempteur de ceux-là, il y a catégories, ait mis au service des esclavagistes, qui en faisant esclaves font délinquants propitiatoires à se faire emprisonner, cause de leur inexplicable obstination de ne pas vouloir tenir le rôle d'esclaves à eux gentiment prédisposé.
 

    Personne n'est libre sans que la liberté soit par tout, pour tous, la liberté ne désire pas être propriété de personne.
 

    La Liberté, la pauvre, elle ressemble à ancien trésor, oublié de tous, qui s'est fait enterrer en vie sous la plus grande montagne jamais conçue, façonnée celle-ci des décombres entassés depuis la nuit des temps durant, de l’honnêteté, la sagesse, le respect, somme toute, du concept de société civilisée de laquelle nous tous, nous vantons d'y appartenir… à dieu grâce.

jeudi 26 décembre 2013

FAIRE COUPABLE L'INTELLIGENCE

    Nous, tous seuls, avons fait du monde ; du nôtre et d'elles, d'absolument toutes formes de vie autres lesquelles sont plus qu'assez pour nous nous en y ficher, une poubelle.
 

   
Poubelle celle-ci qu'en devenant débordante, elle ne peut déjà faire que nous cracher les excès, créés et éparpillés par ici par là par nous, dans nos figures. Devant cette défaite dont nous habiles escamoteurs, pour tout faire, nous nous faisons coupables les uns les autres, finalisant pour nous faire coupables, comme que si cela fût solution, aux silencieux, ceux-ci qui n'ouvrent pas la bouche pour ne pas respirer les immondices qu'ils n'en ont pas généré ; peu importe qu'ils vivent sans gêner personne, tandis que personne ne veut les chasser ; ne confondez pas être pacifique avec être idiot, ni non plus les animaux autres qui ne soient les indispensables desquelles ils ont besoin pour se nourrir, autant du même qu'ils en font de quelques plantes, ou bien d'autres qu'ils emploient à fabriquer, sinon indispensables, des trucs à faire leurs vies un peu plus commodes. La question est qu'en ayant besoin d'un coupable, comme d'habitude, on prend quelqu'un qui ne l'en est pas, donc justice est faite.
 

    Nous sommes dans un monde idiot, que tous nous, avons fabriqué, dépourvu de toute intelligence à cause de celle-là que nous nous croyons avoir… pauvres cons !

mardi 24 décembre 2013

DANTE ET LE RIDEAU DE FER

    Ce qui autrefois avait été un tout sérieux rideau de fer ; duquel que si l'en exprimant remplisse l'encrier de Dante à son époque, ou pourquoi pas en y vivant dans celle-ci, quand la machine, qui le faisait monter ou descendre selon les événements se présentaient, il marchait comme il faut. À cette époque-là dont il était digne pour que l'illustre poète, aux trois actes de son chef-d’œuvre, ajoutât un quatrième : « Le Rideau De Fer ».
 

  
Le temps, bête inexorable, a fait changer l'avenir des choses, au se faire rouiller l'imposant rideau, duquel n'y reste maintenant que quelques fils de fer pourris. Quelque chose qui ne fait agir l'intérêt que pour quelques-uns écrivains de « best-sellers ».
 

  
Car, les scènes, qui se jouent de l'un de l'autre côté, n'en prennent ni, de la dignité pour une « Opéra Bouffe ». Du côté de là au moins le hasard a fait que l’occasion fût propice au sauvetage d'un révolté, après ça, ils n'ont fait peu plus que donner de boire à fraudeurs. De ce côté-ci, dont on se vante d'être quelque chose qui se l'en est donné en appeler démocratie, on se flatte aux gros fraudeurs, en attendant soient eux qui invitent à boire.

vendredi 20 décembre 2013

LE TIGRE BÊTA DU SERENGETI

    Lorsque le jour le fut arrivé au tigre Bêta du Serengeti (celui-ci qui était le fils du tigre Alpha) de prendre la place de son père, les choses ne se le présentaient point doués à cet héritier auquel l'ordre alphabétique l'il y en avait fait, cause des braconniers qui faisaient forts dégâts dans le garde-manger du troupeau, par ces temps durant là, dont le tigre Bêta s'était déjà devenu tigre Alpha.
 

    L'héritier tigre Alpha, qui s'était élevé chez sa mère (un divorce parfois fait si dégâts dans les enfants que toute une cohorte de braconniers) dans l'esprit d'une modernité un tant qu'étrangère aux tigres, laquelle l'avait fait croire qu'il trouverait solution au problème de l'approvisionnement, s'en faisant lui d'abord, pour cela de faire de l'exemple, végétarien. La chose, plus de mal que de bien, marche grâce à une douteuse modération, se servant lui plus que du dialogue, du monologue, en laissant les soliloques aux restants du troupeau ; jusqu'à un outre jour était arrivé dans la vie due l'actuel tigre Alpha, celui-là qui transcendera, plus qu'au modéré (il était chef) aux tigres tous végétariens du Serengeti, dont il n'y avait presque de végétation ni pour les végétariens de toute la vie, ni évidemment pour les reconvertis.
 
   
     L'heure était venue, dont le tigre Gamme du Serengeti qui, à la morte de son aïeul, lequel l'avait élevé à l'ancienne mode (la mère du petit, une sage et indépendante tigresse, qui assez de manger carottes avait fait longtemps, comme j'ai déjà dit d'une autre façon de le dire, quitté père, fils et troupeau) décès qui lui confirme en tigre Bête en toute règle, ceci en qu'il s'était revêtu pour peu de temps, puisqu'à la façon d'une autre ancienne mode, celle-là des rois des temps de l’alphabétique qui classifie les tigres du Serengeti, d'un coup de griffe, se fait-il, un Tigre Alpha du Serengeti comme il faut.

DANS UNE RUE À LA MODE

    Un triste jour à moi, le hasard, peut-être pour me faire amuser, m'a fait perdre par l'une de ces rues, par où les boutiques d'articles à la mode se succèdent par l'un, par l'autre de ses côtes, là, par où mon œil le fait aussi, prendre pour un hameçon qui avait pour amorce une belle fille.
 

    Cette belle qui marchait, décidée, ses bras les marquant de vif empressement, menton en haut ; soudainement tel qu'elle avait quelque chose d'important à faire, elle tourne 92°, elle ne menait pas bien du tout l'horizontal aux façades et rentre dans l'une des boutiques qu'y fait part, là dans, sans dire un mot, sans faire un geste, elle passe revue aux habits y exposer ; en corrigeant une personne qui n'est pas plantée comme il faut. Elle sort de-là, prend de la route et rentre dans une autre boutique. Puis une autre, et suivantes, dont il n'importe pas, qui soient des chemises, chaussures ou soutien-gorge, ce qui se vend, sans perdre sa colonelle figure, y avec la belle passe revue par tous indistinctement. Se retrouvant la colonelle, avec une autre de même rang (vraiment par ces lieux, je n'ai trouvé classe de troupe d'autre que les objets auxquels toute
une officialité passait revue) avec qui, après de se faire toutes les deux des salutations de rigueur, se mettent à causer tous les deux de façon qu'il semble, pour qui ne prête pas l'oreille, que la conversation traîne quelque chose de transcendantale, ce que pour beaucoup l'écouter ne va non plus à le faire, mais, au moins, cela sera étonnant constater comment est-ce que l'on peut faire tel gaspillage de mots ?
 

    Si vous passez pour autant, de vous faire prendre par l’hameçon, quelque chose de compréhensible, il y a amorces qui sont une délicatesse ; vous ne faites pas pour parler, qu'il s'accrochera plus, laissez-vous vos yeux à ce qu'ils sont, mais surtout, montrez-vous vos oreilles attentives.

mardi 17 décembre 2013

D'HÉRODOTE À NOS JOURS

   Hérodote, probablement mieux vendeur qu’historient, disait sans subtilités, que les scythes étaient arrivés à un haut degré de civilisation, s'en servant des mœurs prises des siens. À ces mœurs acquises qui en ajoutant les siens, soit les propres de redoutables guerriers conquérants, auxquels les en avaient fait devenir si impitoyables que dieux, mais pas immortels, heureusement pour les pillards de tombes. Ces pillards-ci qu'en autre avaient été beaucoup plus respectueux avec leurs dépouillés, qu'ils l'en avaient été en vie, puisqu'ils, au moins, avaient laissé chez-eux par ailleurs leurs cadavres sinon qu'aussi ceux-là des concubines et laquais que l'on avait assassinés pour les faire enterrer en compagnie.
 

    Je ne vais être moi qui dédaigne point des rapports qu’Hérodote avait sur les scythes, ce qui en autre serait absurde parce que c'est à lui, à qui devons aujourd'hui de la connaissance, en grande mesure, du passe par les temps de ces cruels barbares (pas en moindre degré que tant d'autres nos ancêtres) ce qui m'étonne défavorablement et s'il y a de faute à cela chez Hérodote, en considérant les temps dont il a vécu. C'est qu'une presque mystique grandeur qui perdure à travers des temps, fonde en la cruauté que des satrapes comme ceux-ci ont répandu par où ils ont marché, en l'en appelant civilisation.
 

    Pourtant, tous les événements qui sont en train de passer à présent, ne sont différents au passé, même à un passé si lointain, qu'en les formes, puisque les mœurs sont les mêmes. Aucun ouvrier, aucune personne cultivée dont le seul intérêt est la sagesse, aucun professeur d'une école perdue par ailleurs (ni même par ici, sans être perdue du tout, si l'on ne lèche bien des bottes) aucun soldat, qui ne soit pas inconnu, apparemment, des personnes normales n'en ont pas traversé le temps.

lundi 16 décembre 2013

LE SILENCE DES SILENCIEUX

    La vie, entendue en tant matière minérale, n'est éternelle en aucune de ses formes, puisqu'elles sont toutes soumises à cause de l’oxydation à une constante transformation, dont les pics de celle-ci, nous font croire souvent, due la lenteur de la dégradation des différentes matières, qu'elles sont éternelles.
 
   
    Pourtant, la vie tellement nous l'entendons, nous inclus y parmi, n'est qu'une exhalation dans le temps qui nous avons comme absolu, pour beaucoup que nous, promeneurs temporels par celui-là, la considération que nous faisons, dès notre optique, du nôtre, nous offrira une longueur relativement grand dû qu'il est comme s'il fut notre temps absolu ; alors que, si d'un côté nous allions des minéraux, ceux-ci s’oxyderaient plus promptement que s'ils restent en état dans le milieu qu'ils étaient. De l'autre côté, nous, à moyenne que nous nous fûmes aidant de la chimie pour faire quelque chose qui peut se considérer alliage, avons parvenu à faire par le temps (le sérieux pas le nôtre) une de plus en plus longue balade, longueur peu profitable à notre intelligence, laquelle tout semble, qu'en étant exposée plus de temps à l'oxydation, celle-ci lui a affecté collatéralement.
 
   
    Eh bien ! Si la vie est existence et la mort n'est que cause de l'effet de l'oxydation, donc la pensée sera cause de l'effet de vivre, d'où : ni chez nous, ni chez les animaux autres, ni dans les sans pieds, il ne se peut pas déduire trop d'intelligence, ce que me fait penser sur ce qu'ils pensent les silencieux en sentant les scandaleux.

dimanche 15 décembre 2013

QUI SUBLIME SOTS FABRIQUE ESCLAVES

    Nous vivons une époque, dont on souhaite transformer sa demeure en un lieu autant aseptique comme dépourvu de vie autre que la sienne : y dans laquelle manque de place ni même pour nos anciennes colocataires de toujours, tels que cafards, souris, gosses, ni même puces pour beaucoup que l'on importe chez-lui un chien ou un chat (ou chatte) puisqu'ils seront aussi aseptiques que les maisons ; malgré tout qui n'en aient pas, au moins qu'il soit un de tous ces deux (ou trois) comme compagnie, on aura avec qui escrimer quelques mots quand même.
 
   
    C'est à cause de la solitude « l'implacable » que l'homme moderne s'est fait un bavard incontestable même qu'on ne l'en ait pas été auparavant ; puisqu'on a vaincu, si c'est-ce que de cela s'agitait, la timidité à l'en faire à un appareil électronique, dont s'en livrant aux plus aventureuses aventures sexuelles (quelques avantages ces trucs-ci avaient d'avoir) mais si d'un côté on se livre des caprices des femmes, un aussi enfermement en soi, tout cela fait à l'homme moderne oublier qu'il est un animal social ; quelque chose en autre inhérent à tous les animaux.
 
    
    En géométrie, et vu tellement se peut apercevoir dans l’avenir des circonstances, nous deviendrons, à court terme, s'il n'est-ce que nous ne sommes pas déjà devenus des hommes-machine, ce qui n'est que notre nonchalance, à cause, que de ceux-là sort tout type d'avorton, qui se feront si faciles de manier qu'il n'a pas besoin trop d'intelligence pour y faire ; de là que même un autre engendre tel que le tracteur-merkel, robuste machine celle-ci, il faut le reconnaître malgré le malheureux erreur de la faire passer par femme, qui peut en faire absolument.

samedi 14 décembre 2013

PAS TOUT SONT AVANTAGES CHEZ LES DIEUX

    Les humains malgré d'être terricoles n'aimons pas beaucoup ce de tomber par terre, puisqu'on peut, si bien de loin, se faire luxer, soit le poignet, soit la clavicule, quelque chose tous les deux rares, comme rarement que cela devienne à plus grosse blessure.
 
   
    Pourtant, les dieux, de sa manie de marcher par les hauteurs, qui n'est, on se suppose, qu'à cause de mieux observer les humains, à mieux les taquiner quand ils tombent par terre de là-haut, la rentre dans le décor, qui les cause de graves blessures, lesquelles si bien seraient mortels à nous, ce qui ne serait qu'un point final, par contre à eux il sera, ou bien une virgule, ou un point-virgule quand non un point à la ligne, de façon que selon le coup, ils devront, plus ou moins, subit par toute une éternité des séquelles que l'y sont propres. D'où que l'on puisse déduire que pas tout est avantages chez les dieux. Par exemple :
 
   
    Nous, dès qui sommes nées, sommes détenteurs de la vie, donc en ayant vie, atteindrons la mort quand même. Les dieux pourtant en plus de nous avoir supporté d'entre notre vie et notre mort durant, ils devront se supporter entre eux par toute une éternité… les pauvres.

vendredi 13 décembre 2013

TOUJOURS LA MODERNITÉ

    Les anciens grecs étaient si grands fornicateurs, qu'ils, même, faisaient l'amour, que l'on pouvait se transformer à n'importe quoi, ou cygnes, comme aussi taureaux, grenouilles, poules, ou n'importe quel autre, soit animal, soit avorton ; ceux-ci préférablement à sang chaud.
     Note : en le concernant aux poules, la chose n'a pas changé trop.
 
    
    La modernité, celle-ci entendue comme telle pour ceux-là comme celle-là l'en est à nous en l'Antiquité, a de fils en aiguille tissant les bonnes mœurs, qui ont fait fabriquer le métier de putain à la jouissance et soulagement des mâles, aussi comme celui de gigolo pour faire autant du même aux femelles. Les prêtes de l’église devant la difficulté de donner chasse aux chérubins, les maudits ailés ne se laissaient pas prendre facilement, donc il a fallu se pourvoir pour le soulagement, que non-jouissance, les prêtres ont du vote de chasteté des enfants de leurs chœurs, ceux-ci beaucoup plus accessibles.
 

    C'est alors à cette époque, dont l'intemporelle modernité devient actuellement antiquité, que les nouvelles mœurs s’imposent. Il doit être cause de la mondialisation, que jour le jour se voit que l'amour est devenu caduc, puisque rien se partage delà qu'autre note :
    Chaque fois plus, sont moins lesquels qui donnent et plus la grande majorité qui reçoit. 

mercredi 11 décembre 2013

UNE AIGUILLE DANS LA PAILLE

    La grippe comme l'amour attaque avec force sur les jeunes gens, mais à leurs âges autant l'une comme l'autre, tous les deux maladies, se passent vite, et comme qui dirait : au revoir… jusqu'à la prochaine. 
 
   
    Pourtant, dans les personnes âgées, depuis qu'elles ont subi tant d'infections, les mutations dans les coupables ont fait opérer tous les deux maladies de différente façon : dans la grippe une compliquée récupération, dans l'amour, le plus souvent, une immunité absolue ; d'où qu'il soit que l'expérience, maîtrise de tout métier, dont les jeunes gens font maîtres leurs âgés, surtout dans les affaires de l'amour, sur lesquelles j'ai une fois écouté un vieil homme, auquel la vieillesse le faisait docteur, en conseillant une fillette : si tu te trompes trompe-toi toute seule, et surtout ne te laisses jamais conseiller d'une copine, puisqu'elle ne voudra à toi, ce qu'elle souhaite à elle ; les garçons sont plus naïfs, leur dimension spatiale, plus ample, les fait bien, mieux ou pires chasseurs, mais comme conseillers ils sont des inutiles. En définitive, que tu dois décider toi-seule, sans être pressée, cependant sans pause, il ne faut que l'infection perde son effet. Un jeune homme qui était par là prêtant son oreille, comme si de rien n'était, aux mots que le sacre docteur arrosait sur la fillette, se garde-t-il attendant que la petite part pour prendre lui sa place. Le vieil homme, qui veut s'en aller chez ses potes à y en prendre, voyant le petit, ses yeux mendiants, trouver réponse à ses malheurs, lui dit :
 
   
    Mon petit, si tu vas faire la cour à une fille qui met une aiguille dans un grenier à foin, c'est plutôt parce que tu te piques au te faire reposer sur la paille, que pour te faire de la difficulté à la trouver.

LA SERINGUE ET L'ÉPÉE

    Dans un portique, dont les nécessiteux mendiants de la fumée aspirent des cigarettes, s’en vengeant de la prohibition dictée à l'intérieur de l'hôpital, s'approche un vieil sage, accompagné d'une cohorte de familiers, des traites qui s'étaient servies d'arguties aussi mensongères que persuasives à le convaincre qu'il y vînt.
 
    
    Une fois-là, s'en résistant le combattant ; comme un tel, passer le seuil de l'établissement, le plus jeune du chœur, un vif gars, dit au révolté, le chuchotant dans son oreille, d'en aller à une cafétéria qu'il y a là-dedans (et vu que la chose promet, je m’incorpore à la procession) une fois dans la cafétéria (cela qui n'importe qui, normal, traduit par un bar) à notre héros on le porte atteinte à sa réputation, un serveur qui s'occupe sa commande dont un cognac, il lui offre comme plus, un vin ou une bière tous ces deux liquides à boire sans alcool. Le vieil sage après de passer par un état de stupéfaction, monte-t-il en colère de telle façon (raison ne l'en a fauté) qu'il a fallu appeler une infirmière, celle-ci qui aimablement propose à l’altéré une piqûre pour le calmer. Donc un tonnerre éclate ; rien comparable à ce que s'il sût qu'il était là pour qu'on le fouillât dans ses tripes, ça que pourrait bien avoir devenu une grosse carnage.
 
   
    En sortant de l'hôpital l’héroïque révolté, guerrier incommensurable, suivie d'une troupe vaincue sans avoir combattu, marmottait-il -une piqûre de rien. En criant à la suite — et une merde ! Pour suivre son monologue grondant — canailles ! dégénérés. Ce qu'ils voulaient n'est que me mettre à nouveau un pourri doigt dans le cul.
    Le jeune homme qui formait parti de la troupe, petit enfant du prostatique, avait toutes les allures d'être fier de l'en être.

jeudi 5 décembre 2013

CE QU'ON PEUT TIRER D'UN COPROLITHE

    Des paléontologues Argentins feuillant récemment dans leur pays, province de "La Rioja" le site dont des chercheurs sont tombés sur des champs de coprolithes, ce qui était à peine des toilettes âgées de 235 millions d'années.
 

    Selon les zoologues, les latrines communes sont fréquentes chez des mammifères tels que les chevaux, les antilopes, les rhinocéros, les éléphants, etc. cette pratique, disent ces experts, peut-être, sert pour envoyer signaux chimiques à destination des membres de l'espèce donnant des informations sur la santé ou la fertilité, comme aussi faire apercevoir aux prédateurs qu'ils y sont un gros troupeau ; mais une mesure sanitaire pour éviter d'infester les lieux où l'on se nourrit par d’éventuels parasites intestinaux. Ce que nous, les humains, subissons dans notre univers, aussi comme on fait subir dans celui-là de nos compagnons de voyage, de l'un de l'autre qui se sont appropriés, avec notre condescendance, les troupeaux de politiciens, curés, banquiers, spéculateurs et quelque chose comme ça, dont ils chient par tout, sans aucune considération, infectant ce tout de leurs parasites.
 
   
    Il a fallu 235 millions d'années pour que nous tous, satrapes, félons et passifs, que avons perdu l'intelligence au nom du « Dieu Accumulation » à lui grâce, aucun déficitaire de celle-là : producteur de l'infecte, ne pense qu'il ne va pas la dégoûter.

mercredi 4 décembre 2013

FORTUNÉ ET TÉMÉRAIRE

    Fortuné en plus d'ainsi s'appeler, il l'en était, plus à cause de l'état enviable, malgré son âge, celui-ci qui à celui-là a mis en valeur, qu'évidemment par le tas d’années desquels il était possesseur.
 
   
     Comme téméraires, il y a eu, et il y a, plus que Charles, dont Fortune était l'un y parmi, il sort, tel qu'un escargot de sa coquille une chaude soirée d'un bel jour d'été, pour y laisser mettre une petite amie, où elle se fait garder plus de temps du convenable, puis la petite se fit grandir là, dont Fortuné laisse d'être chez-lui, pour être chez elle.
 
    
    Un jour, Fortuné en voulant mettre en valeur, cette fois son pronom plus qu'en prénom, l'en disait-il à sa petite amie grandie : je m'en vais, voici te reste maison ses affaires avec, fils et tout ce qui reste.
    Bref : Fortuné tirant le nez hors de sa coquille, un jour à présent de cru hiver, se dit lui-même : MERDE ! mais si la maison est mienne, les affaires aussi et fils, ni elle de sa part ni moi de la mienne ni de tous les deux n'en avons pas…
    Donc, sans beaucoup réfléchir, il rentre chez-lui ; montrer peut-être qu'il était : "Fortuné le Téméraire".

lundi 2 décembre 2013

ÉPOQUE HORRIBILIS

    Les fils des dieux d’antan étaient les uns, peut-être un peu laids ; abrutis même, mais en la mesure du convenable, d'autres beaux et guindés, bien sûr pour défaire la règle de « le tout parfait » pas tout doit être parfait ; elles, toutes belles, comme ne peut pas être d'autres manières.
 

   
Ces fils de ces dieux-là, tous lesquels s'amusaient bien, en mangeant comme abrutis, pour le plaisir de manger, buvant tellement des fous, pour le plaisir de faire l'amour, se taquinant les uns les autres pour rigoler, aussi comme entamant polémique entre eux, pour rire, ce qui ne laisse pas d'être la mieux façon d'apprendre.
 
    
    Dans cette époque, celle de la mondialisation, les fils du dieu « monothéiste » tel que l'y correspond, gars et filles, gommeux tous, et lesquels ne l'en sont y prétendent, ne font pas l'amour : forniquent comme lapins, ils ne boivent que de l'eau… ? et ne mangent-ils que pour se soutenir !
    … Quelle époque horrible !