Le temps est venu dont les jours se font longs, de plus en plus longs ;
d’une lumière insolente provoquée par le Soleil qui se fait
montrer au-dessus, dans la verticale.
Moi, à son dessous, ça me fait sentir comme dans un sombre sarcophage. Immobile y dans, sans pouvoir agir, sans être capable de penser, jusqu’à que la soirée, prélude de la nuit, me réveille.