mardi 31 mai 2011

UNE QUESTION DE LOGIQUE

    Les politiciens nous vendent aux citoyens, tout quand ils se présentent à être élus « démocratiquement » de se mettre au service de leurs électeurs ; c'est-à-dire, qu'ils se constituent comme serveurs du pays, à savoir du peuple, en conséquence, madame Nadine Morano, vous étiez, comme élue, soumise à toute critique, toujours qu'elle ne soit diffamatoire, de là que, si une travailleuse, c'est le cas-critique la présence d'un garde de corps à votre service (lequel celle-là est obligée à payer) quand vous étiez en train de faire vos cours particulier, cette travailleuse a tout le droit de l'en faire. Si vous avez peur, elle peut l'en avoir aussi, mais elle n'a aucun, évidemment, à son service.
      Néanmoins, si vous prétendez justifier cette prébende, due la peur que votre charge provoque ne vous présentez pour vous mettre « au service de l'État » parce que cela fera mettre « l'État à votre service ».
      En autre, madame Nadine Morano, ayant voulu vous le demander excuses à cette employée, pourquoi avez-vous appelé la présence du directeur lèche-cul du magasin et puis de cette aptitude, vous disiez n'avoir pas fait virer la vendeuse ?
     Bon exemple soyez-vous de ministre apprentissage !

lundi 30 mai 2011

COUPS DE CLOCHE

    Étant intégrée notre société de la façon qu'elle l'en est dans le nucléaire, il est difficile d'assimiler qu'il exista une vraie volonté de se déprendre de ce moyen de production énergétique de toute manière, sans prendre d'autres considérations.
     D'abord, l'énergie procurée du brûlage des matières fossiles, elle est, sinon plus, autant polluante. De l'éolienne, n'importe qui, on peut constater l'érosion que souffrent les montagnes à cause de leurs installations, en autre sa source d'impulsion n'est pas régulière. Les panneaux solaires, à part d'avoir un temps d'action limité, leurs déchets sont eux aussi très polluants… l'énergie extraite de la mer ? Elle a besoin d'installations très chères pour une énergie, qui est, ne nous trompons, mise dans les mains d'entreprises privées, comme toutes les ici nommés ; n'oublions pas que nous sommes soumis à l'empire de l'argent, et que les idées de rénovation y viennent de là.
      Alors, il faut avoir en compte que :
      -Tant qu'il persista l'habitude de se mettre des fringues à la mode, jetant ceux-là (étant en bon état d'usage) à la poubelle.
      -Que nous faisons consommation de la nourriture telle que si nous fussions bêtes d'engrais, pour à la suite gaspiller autant d'énergie en nous soumettant à quelque régime pour maigrir.
      -Que l'on prend la voiture même pour s'en aller uriner.
     -Que l'on y aille prendre le soleil, même en été, préférablement, à n'importe quel lointain lieu, tout semble, qu'il en soit mieux autant qu'il est plus lointain.
      -Que pendant l'hiver dont nous vivons, chez nous, nus ou presque.
     -Que pour deux mois de chaleur, que l'on puisse se voir des appareils d'air conditionne partout.
     -Que la pollution luminique oblige aux affectés, d'imperméabiliser leurs fenêtres et tant d'autres inutiles gaspillages énergétiques.
    Le danger n'est pas l'énergie, nous sommes le danger nous-mêmes.
     Excusez-moi, madame Tracteur et compagnie : ces coups de cloche sonnent à propagande électoraliste.

dimanche 29 mai 2011

VALLÉES ET MONTAGNES

    Si derrière des montagnes il y a une vallée, évidemment à la suite y va avoir d'autres montagnes.
   Je ne sais pas qu'est-ce que j'aime le plus, si les montagnes ou les vallées ? même en étant conscient, comme je l'en suis, que l'on ne peut point exister les unes sans les autres.
   Dans cette description orographique, dès les sommets des montagnes, on s'en peut scruter les autres de l'autre côté entre les que se trouve la vallée, et là-bas dès les vallées aussi se voient, là-haut, les montagnes, et en haut de tous leurs sommets grattant le ciel.
    Sur terre, dans l'ombre de n'importe quelle course ou étang, sur l'eau, on peut se regarder son physique tout cela qu'y se montre, peut-être que l'esprit se sente mieux sur les sommets des montagnes.

samedi 28 mai 2011

UN CONCEPT DE LA VIE

      La vie, tellement la conceptualisons la plupart des humains, ne laisse pas d'être une utopie laquelle bien peut être représentée par l'image d'une perle cultivée et la structure d'un œuf, dont il sera aussi grand qu'il le faut pour mettre les immondices qui le lui devront remplir ; celles-ci ramassées de son entourage, au but qu'elle puisse montrer la plus aseptique splendeur possible. D'où se peut déduire : qu'à plus belle que soit l'image quelle offre, plus débile on sera le corps de sa structure, car elle devrait de garer plus d'ordures dans son intérieur.
      En conséquence, si nous, les gens qui régissent dès cette optique, nous en tenant à la vie, de plus en plus, autant qu'elle nous y vient belle, les embrasses de folle passion narcissique auxquels elle serait soumise, de ses propres amants, le lui arriveront souvent à écraser sa structure provoquant l'emmerdement de son image de perle cultivée.

vendredi 27 mai 2011

GÉNÉRALITÉ DANS LA CARRIÈRE POLITIQUE

    Tout lequel qui prétendra savoir sur tout ce qui concerne à la vie des oiseaux en les observant tandis qu'ils étaient poussés, il ne va jamais rien apprendre d'eux… il faut les voir voler.
      Pourtant, des politiciens professionnels qui volent sans s'en voler, il n'y a pas besoin de les voir voler pour savoir tout sur qui sont-ils, il faut tout simplement, à chaque intéressé dans ce sujet, se mettre sous la peau de soi-même exerçant ce métier et se regarder dans un miroir.

mercredi 25 mai 2011

DU VIN

    Me servant d'un verre en cristal de Bohême, pour faire plus délicatement le transit du vin que d'une bouteille je le transvase, coup à coup, à moyenne que j'épuise le contenu de celui-là, pour arroser ma bouche, dont cette gloire vivifiante va couler par les voies de mes entrailles qui lui y vont conduire jusqu'à déboucher à mon estomac ; là où, puis de m'avoir envahi de ses arômes et goût, s'en dissocier son esprit et excipients pour cet esprit dérouté par tout mon être jusqu'à enivrer mon cerveau d'amitié… d'amour… 
      …quelle mauvaise réveiller, en me trouvant tout seul.



samedi 21 mai 2011

UNE QUESTION D'INCOHÉRENCE

    Compte tenu de ce que l'esclavage est interdit, comme est-ce que tant la terre que les moyens de production industrielle peuvent avoir de propriétaires qui ne travaillent pas ?
   Évidemment, cette situation fait de ces propriétaires fonciers, propriétaires aussi des producteurs qui travaillent dans leurs moyens de production, qui ajoutent en surplus les familles de celles-ci, déjà qu'elles englobent, en plus de leurs bras, la propriété affective des gens salariées.
   Le plus grand part de la population, sans défense devant un état contrôlé par un pouvoir que les patrons du capital détiennent et légitiment avec les votes, dits démocratiques, des exploités, vendus (sous une apparence gratuite) par les médias : les plus puissantes entreprises du pouvoir, cela qui nous fait devenir pas seulement esclaves, sinon qu'en plus idiots.




jeudi 19 mai 2011

LE SINGE HABILLÉ

    Étant assis Dagda, sur le seuil du panthéon qu'aux dieux celtiques correspond, regardant sans regarder le brouillard qui tout ensevelisse dehors de chez eux ; il se sent surpris par une si faible que presque imperceptible étincelle qui s'agit par là au fond de ce ne pas laisser voir, cette petite nuance qui, graduellement, affleure en s'assortissant, de plus en plus, d'autres à moyenne que s'y approche ; jusqu'à se placer à hauteur du seuil où Dagda restait stupéfait. Il peut voir maintenant que la surprenante apparition n'était autre que Dana, en faisant le rôle d'Anna en ce que concerne aux êtres inférieurs, portait-elle à ses mains un couple, à chacune le sien, de singes honteux, o quelque chose comme ça, déjà qu'ils portaient leurs corps voilés.
      À la porte du Panthéon y vient Lug, qui épaté lui aussi, étend la lumière par tout pour mieux voir le spectacle.
      Sur-le-champ Anna arrive là, qui le demanda Dana comme est-ce qu'elle a fabriqué seulement deux de cette nouvelle espèce. — Ils vont s'ennuyer tous les deux seuls, ajoute-t-elle.
      Dana, donne-t-elle par toute réponse : ils vont se reproduire, bien sûr.
      Je les parraine ! S'écoute la voix d’Anna, qui y vient au temps que les rires de Badhbh et Macha, dès l'intérieur de la demeure des dieux.

mercredi 18 mai 2011

LE SOUPÇON COMME VRAI

    N'importe quel animal, naître, se développe, se reproduit et meurt ; voilà ce qui devrait être toute l'essence de leur nature. Alors que, et compte tenu de que chaque espèce, ayant des différentes habitudes alimentaires, pour accomplir son respectif cycle, ce qui le leur conditionne à adapter le physique de chacune à cette mise en œuvre, celui-là qui est aussi une prodigieuse œuvre d'ingénierie génétique et qui fait chaque espèce soit, tellement, aussi différente. Pourtant, ce prodige a eu, à moyenne que le temps coule, résultats quand même curieux dans l'animal humain ; leurs mâles, ceux qui ont eu presque toujours la prépondérance dans leur espèce, s'est allé, progressivement, perdant, d'abord des conditions physiques, il faut dire que dans cet aspect leurs femelles aussi, puis ils ont perdu la tête, celle-ci qui les a faits aussi puissants qu'ils en sont, et à cause de cette circonstance a donné pour se détruire eux-mêmes. Par contre, ils ont gagné, il faut reconnaître qu'ils ont gagné quelque chose, un instinct inusité pour se reproduire, bien qu'il soit à titre symbolique (ils se jettent au faux comme s'ils fussent des taureaux)  il est née l'animal politicien, celui-ci qui dès l'instant même qu'il l'en est, il est aussi sous soupçon logique et incontestable de tout ce qu'il fait.
      Peut-être et donnée la responsabilité qu'ils ont, la seule solution serait de les châtrer, peut-être qu'ils inventeraient une autre chose avec laquelle taquiner leurs congénères. Alors pourquoi ne pas faire disparaître ces avortons d'humains ?

     Dédié de tout cœur aux politiciens tous.

mardi 17 mai 2011

PRÉCAUTION

    Une fois, une colombe, s'est décidé de voler au-dessus des aigles pour se fourvoyer des attaques de celles-là. Cependant, tout quand, elle s'est mise par terre y est venu un renard qui l'a chassé.

dimanche 15 mai 2011

SOLITUDE

    La solitude est froide, mais quand on y s'habitue n'aperçoit cette sensation jusqu'à ce qu'elle contacte la compagnie, parce que la compagnie brûle… brûle le solitaire, ou est-ce que celui de son froid éteindre la flamme de celle-là ?

samedi 14 mai 2011

LE PARADIS DE LA MÉCHANCETÉ

    Malheureusement, chaque fois surprends moins que les jeunes gens, passent à tabac leurs copains, violent leurs copines, assassinent, volent à la mitrailleuse (ils sont toujours trop jeunes pour l'en faire dès les bureaux) souhaitent devenir policiers quand non politiciens ; seulement le reste l'en faire à curés.
     Les jeunes gens d'aujourd'hui, à l’égal que celles-là d'ailleurs, ne désirent pas d'autre chose laquelle ne l'en ait été pour ses grands. Ils ne sont pas, en l'étant, coupables de tout, de leur avatar, ils sont donc dans le limbe de la contradiction ; ce qui n'exempte que la société doit de se défendre d'eux, pour ne se soumettre, plus, sous le fascisme social, l'économique : il y en est servi.
     Il n'est pas assez, pour toute solution, de mettre au pas ces crapules, surtout maintenant qu'ils sont devenus boiteux, tandis que leurs maîtres sont là où ils veulent, eux aussi, arriver : « le paradis de la méchanceté ».

vendredi 13 mai 2011

COMME UNE PETITE RÉALITÉ ÉCRASE UNE FORT PUISSANCE

    Un pouce, qui était toute petit, tant qu'un pouce l'en peut être, s'est mise dans le cul d'un énorme éléphant ; celui-ci embarrassé à cause de sa gênante locataire, agit-il la queue à l'intention de soulager tel ennui, quelque chose à laquelle il n'en parvient pas, sinon que le temps l'y fait accroitre la souffrance. L'éléphant, désespéré, barrît, jette de l'eau avec sa trompe, comme il peut, sur son cul. Il essaye aussi même en se baignant pour noyer la bestiole ; échouant avec toutes ces manœuvres la grosse bête finit par gratter son derrière contre l'arbre, lequel est la source de sa nourriture, le ligneux sous telle pression tombe par terre, laissant voir ses entrailles au-dessous, sa tête, laisse, elle aussi, en regardant les dernières feuilles qu'il a poussées couchées sur sol : celles-ci qui deviendront la dernière nourriture de l'éléphant.
      Deux hyènes, qui y sont aux guets dans la brousse prochaine, se disent une à l'autre, sans même se parler, bientôt nous aurons de nourriture.

samedi 7 mai 2011

ANÉANTISSEMENT

    Les humains, à moyenne que nous devenons de plus en plus riches, d'autant nous voulons sauver le monde, quelle manie ! mais, bien entendu, à l'image et ressemblance de chaque sauveur (il faut remarquer qu'ils ne se rejoignent jamais pour l'en faire) tellement qu'il ferait n'importe quel dieu despotique, totalitaire et nettement mâle, surtout ceux qu'y sont venus d'importation. Ce qui me frappe n'est pas que ces sauveurs-là accaparent, ou destinent leurs existences à accaparer la richesse, car elle est condition sine qua non de la stupidité, et le dogme ne met pas le cap à d'autres buts qu'à celle-ci ; pourtant ce qui me frappe jusqu'à une quasi-incapacité de raisonnement, c'est qu'ils prétendent, chacun de soi, être le paradigme de l'humanité… peut-être en jouant les différents rôles de cette minorité, et les en partageant parmi la majorité restant, ça serait une solution à tous nos problèmes : tous égaux d'imbéciles, en nous sauvant les uns aux autres, notre incontestable anéantissement laisserait, bien sûr, respirer mieux ce monde, dont nous sommes d'emprunté dans les mêmes conditions à d'autres formes de vie.

jeudi 5 mai 2011

LE CONTE DE TOUJOURS

    Une fois, j'ai connu une personne qui ne pouvant briller parmi les outres de son entourage, tout ce qu'elle voulait, s'est déguisée, tout d'un coup, en bergère, au but d'y exercer. Il faut reconnaître que, celle-ci a bien su se fait remarquer dans l'exercice de son métier de circonstances, dont il faut aussi, éclairer la doute de, si parmi les paysans, ses nouveaux voisins, ou les moutons, son improvisée troupe ; car pour n'importe quel observateur, pour faible qu'il fût, bien, pourrait-il, en faisant cet exercice, apprécier qu'elle ne passait inaperçue ni pour les paysans ni pour les bêtes ; peut-être, dues les particuliers manières d'y faire, et pourquoi pas d'en être.
      Ce curieux personnage ; qui tant avait étonné à ceux-là de la campagne, faisant office de son subit métier, il s'est mis à fabriquer un fromage « un gros fromage » comme il doit l'en être ; puis, il lui a introduit un ver pour à la suite voir comme l'annélide croît.
      Une fois que le ver a grandi, notre personnage prend peur qu'il lui mange tout le fromage, alors, celui-là, pour tuer le ver, d'un fort coup, écrase le fromage.

mardi 3 mai 2011

DÉCADENCE

    Les animaux-autres, ont la beauté en eux-mêmes (ceux-là qui préservent leur essence, bien entendu) par contre, les humains devons nous faire avec elle par moyen de notre pensée, ce qui se réfléchit sur nous yeux, pourtant des belles qualités, lesquelles sont la matière essentielle pour bâtir notre beauté, nous avons provoqué qu'elles soient rares à cause de la faute que nous avons faite de leur exercice, dont il est la seule manière de s'en faire avec.
     Notre procès de stupidité nous a conduits à tout mercantiliser, même toute expression artistique, de là, que la façon de vivre est devenue une sorte de, plus que jamais, autoesclavage, qui a servi pour accumuler du pouvoir aux divers, ce qui a fait changer au service de leur Zeus : la ludique mensonge en sale tromperie, l'humanisme en machinisme, la sagesse en technique, le divertissement en obscénité… la décadence, la nôtre, qui tout arrache, est servie.
      Je ne crois pas, je suis sûr, qu'une fois tous les pouvoirs se rejoignent en un seul, celui-ci va dévorer leur père. Il va être le tout qui est du même que le néant, c'est pour ça qu'il ne faut pas être devin pour voir que notre anéantissement est proche. Nous les humains le méritions, les autres animaux, ils ne l'en méritent pas, bien qu’ils soient eux lesquels en font souffrir l'hécatombe, chaque jour ils sont moins.

dimanche 1 mai 2011

BEAUTÉ

    Ce jour-là, dont ne foule, à toutes les couleurs, s'agitait ; ce qui ajouté au brouhaha que d'elle exhalait lui faisait sembler quelque chose comme une mer impressionniste mécontente. Soudain parmi elle ; elle, qui telle que toute l'écume de cette mer regroupée, point, peu à peu, jusqu'à son halo lui fit d'un espace autour de soi ; où l'on pouvait se voir comme son corps peignait le voile blanc, subtilement transparent, de rose pâle.
      Sur le visage de la belle figure ne se voyait guère que ses yeux noirs, ornés de noir, ses lèvres rouges, entrouverts, lesquelles dissimulaient deux éclatantes dents. La part supérieure de son léger cou était ombré par un capricieux menton.
      De telle magnitude, il a fallu que j'eusse écarté mes yeux ; la réalité était à mon côté venait de me donner un coup de bâton sur mon pied, c'est la manière de me dire : allez ! Allons-y ! Moi, en prenant le mien, je lui paye d'un autre coup, sur ses épaules, cela est ma façon de dire : d'accord, j'y vais.