UNS SOURIRES S'ÉTEIGNENT, AUTRES BRILLERONT

    Elle s’est éparpillée partout, la maladie du culte à l’occulte : l’insociabilité. 

 

    Les adeptes au nouveau dogme, qui en voulant esquiver la peste, ils sont, eux-mêmes, devenus peste.

 

    Yeux malveillants envers les rares qu'ils ne désirent pas esquiver la sociabilité.

LE BON VIN EST UN PLAISIR INÉNARRABLE

   Un cerveau est quelque chose de pareil à une bouteille ; quand on la façonne elle est vide.

 

  Pour la remplir, du bon nectar, il faut d’abord choisir aussi du bon vigneron du même que le terroir approprie où semer la plante ; la cultiver avec soin, la protéger du gel, si besoin, et l’abandonner aux caresses du soleil. Après, attendre que sa floraison, laquelle annonce la venue du fruit, celui-ci qui une fois arrivé, des mains sages le ramassera et le fera cuisiner, fait, on l’enlèvera de la marmite, dont il abandonnera ses restes, pour le laisser se reposer dans un lit de chêne où se clarifiera et prendra bouquet.

 

  Tout cela fait, on le mettra en bouteille à laquelle n’aura aucun besoin de lui coller étiquette.

DIFFÉRENTS ANGLES DE VISION

    Elle regardait la vie depuis là-haut tandis qu’il le faisait depuis en bas.

 

    Ce que, évidemment, les empêchait de se regarder dans les yeux.

 

    Pourtant, ni elle n’était une colombe ainsi comme lui n’était pas un loup.

UNE ET UN, FONT UN COUPLE

    La moitié du monde n’est ni plus débile ni plus forte que l’autre, comme non plus :

 

     Ni plus fragile, ni plus résistante.

    Ni plus doux, ni plus aigre.

      Ni plus sage, ni plus insensée.

    Ni plus maligne, ni plus innocente.

    Ni plus sot, ni plus intelligente.

 

   Une moitié et une autre font un tout…  Bref : la moitié du monde n’est que la moitié.

IL FAUDRA MOURIR POUR QUE LE RÊVE S'ACCOMPLISSE

    Au quotidien, depuis un temps déjà, j’ai un mauvais me réveiller.

 

    Car, les jours tous, je songe vivre dans un monde exempt d’usure.

 

    Le jour dont je ne me réveille plus, le songe, bien sûr, s’accomplira

LES AILES À CEUX QUI LES ONT

    On doit être assez, mieux très, prudent et ne pas donner des ailes aux imprudents, ceux-ci qui, en plus, ne savent pas voler.

 

   D'où le mieux qu’aux nouveaux ailés puisse les passer, c’est qu’ils ne réussissent pas à s’envoler.

 

     Car, en cas de réussir, le drame ne serait qu’en tombant du dessus, s'écrasent, sinon pour lequel sur qui ils tombent.

UNE INVITATION À LAQUELLE ON NE PEUT REFUSER

    Il était la nuit, moi en sillonnant la ville, sans but, je me suis trouvé dans une rue dont la vie, tout semble, l’a absolument quitté, dont l’obscur était interrompu par quelques luminaires insolents : l’ambiant était froid !

 

    Soudainement, la faible lumière qui s’échappait d’un bar m’éblouit… Toute une invitation à la chaleur à laquelle j’accepte volontiers.

 

    Le bar était rempli d’un monde qui faisait l’ambiant-là chaleureux. Derrière moi y entre un couple, tous les deux muselés, ils s’accoudent dans le comptoir et commandent quelque chose après s’être démuselé… ???

LES INFÂMES NE SAVENT QUE FAIRE LA GUERRE

    Depuis là loin se font écouter les tambours de la guerre ; leur bruit a percé le temps et l’espace pour assourdir les personnes de paix.

 

    Toutes ces bonnes personnes restent pétrifiées.

 

    Jusqu’à qu’une fille y parmi fait bouger ses hanches, ce qui fait du son néfaste rythme de fête ; donc, les personnes toutes, enflammées, dansent.

  
    … l’infamie ne sait pas danser !!!

LA MAIN ENDORMIE

    Il était une fois Dieu, qui, à autre chose mieux à faire, a bâti un monde, lequel a peuplé de tous les types tes et bestioles dont nous ; se dit qu’à son image et ressemblance. 

 

    Après y faire, en mettant se reposer, probablement, il s’est endormi !!!

 

   Il faudra, d’urgence, le réveiller, parce que la pagaille que nous, les teneurs de son image et ressemblance, avons semé, dans le monde qu’il a fabriqué, seulement il peut l'arranger.

... ET AU HUITIÈME JOUR, DIEU A ANNIHILÉ LES RÉVOLTÉS

    Aux rêveurs, désireux sinon de voir, faire agir le balai révolutionnaire pour balayer l’immondice qui nous étouffe, l’attente se fait longue.

 

    Comme une fois a dit l’écrivant espagnol « Calderon de la Barca » : les rêves, rêves sont.

 

   Les rêveurs, réveillés, n’apercevons que des citoyens soumis, masqués dans le carnaval que les immondes nous imposent depuis longtemps.

LA SECTE DES MUSELÉS

    Je n’ai jamais vu, ni non plus su, d’une secte qui se fut propagée d’une rapidité si vertigineuse (laquelle est en train de nous toucher aux mortels de bien, mal vivants à cause) que celle des muselés. 

 

   Je suis absolument convaincu que leurs multiples adeptes, plutôt que le besoin de croire, dans ces temps d’incrédulité, ils ont un impérieux besoin de casser les pieds aux sceptiques, athées, ainsi que, mécréants du dogme « religieux scientifique » mis en vogue. La religion, elle est comme ça : tu es pour ou contre.

 

   Ces muselés qui nous regardent, aux non intégrés dans leur secte, avec dédain et, s’ils ne nous agressent pas physiquement, c’est parce qu’ils sont une bande de poules mouillées… Grâce à Dieu !!!

ELLE EST CE PEUPLE QUI LA MÉPRISE

    La Démocratie est trop débile dans un monde fort agressif, dont elle, délicate et belle... la pauvre, est traitée tellement une prostituée maniée par tout type d’infâmes maquereaux.

 

    Ruffians ceux-ci qui en profitent desquels volent le peuple pour payer à soulager ses bas instincts avec la belle.

 

    … Le peuple, qui se tenant en badaud, il soutient, complait, les souteneurs et en plus, il admire les voleurs de hauts vols, et comme si cela ne suffisait pas, il méprise la prostituée.