lundi 29 août 2011

UNE VOLUPTUEUSE FIGURE

    Cette histoire résulte suite à un jour où la rue Rochechouart, pas trop loin de Montmartre, est devenue le point plus lumineux de la Ville Lumière, provoqué par une voluptueuse figure qu'y est passé, laquelle a attiré, évidemment, tous les regards de n'importe quel esprit sensible à la beauté.
 
      
    Les fesses la «Voluptuosité» s'agitaient à chaque pas comme un soufflé monté sur une crème pâtissière bien moussé, mis sur une table pendant que le parcours d'un trembleur de terre se développe ; sa chevelure garde la cadence du rythme qui mesurent ses bras.
       Parmi les visionnaires de cette inénarrable éventualité, un mec se creva la tête contre un lampadaire, pour le y prêter la due attention, il reste au pied... gisant ; tout de suite un vieil messier de bon port s'oublie qu'il porte un bâton, auquel le laissant à sa sorte — pour la main qui le tenait s'en ajouter les lunettes tombe en s'entremêlant aux jambes d'une femme qu'y vient de faire les courses, tombait-elle par terre ; de tel effet que la dame sans le vouloir sème la rue de Rochechouart de tout type de comestibles ; un chien, insensible à la beauté, profite d'un gâteau gelé. Vraiment, l'ambiance était chaude. Un boucher par là, colle sa face à la vitre de la devanture de son établissement où il expose produits de porc, parmi l'exposition, pose une tête de l'animal susdit, en concurrence avec celle du patron. Là-haut se laisse voir un jeune homme assis sur l'allège de la fenêtre chez-lui ; il finit lui aussi par tomber, déséquilibré par l'appât de la belle, au sol. Par l'extérieur, une femme (s'écartant de la jalousie) appelle les pompiers, mais il ne reste pas tout pour voir, un très petit gosse qui sa maman l’amène couché sur son landau, de ses petites mains au bord du véhicule pour jeter lui aussi un coup d’œil au magnanime spectacle ; moi, il m'est resté un presque rien pour le lui offre une cigarette.
 
      
    À moyenne que la voluptueuse figure s'en va, l'ombre y vient ; la rue Rochechouart perdre de la luminosité, pour que celle-ci se répande par quelques autres rues par où celle-là passe… il faut partager.

lundi 22 août 2011

LE RÉGNE DE LA MÉDIOCRITÉ


     Si un zèbre a une taille d'un mètre soixante-quatre centimètres, s’il se met dans des chaussures à dix centimètres de talons, il y va toujours avoir une taille d'un mètre soixante-quatre centimètres ; sans attendre que le temps, l'en fasse diminuer par peu qu'il soit quelques centimètres. Monté, le zèbre, au-dessus des talons de dix centimètres ; il se peut déduire que, en tant qu'il fasse ceci pour cela, ce qu'il montre est peu d'intelligence.

       La France étant une République, tout semble qu'y règne la médiocrité, et il ne faut que je m'explique, ce sont les médias qui l'en font ; dû qu'il se peut lire partout ces derniers jours que le coûte de la vie, concernant aux étudiants, va monter pour ce cours un 4'1 % … comment est-ce qui se mange ça, avec cuillère ou fourchette ?
       Si l'on se le met obstacles aux jeunes gens pour qu'ils fassent des études techniques, dans un monde si hautement technicisé, qu'est-ce que se prétendre ? Qui seulement étudient les fils des riches ? Parce qu'ils soient riches, ce ne veut dire qu'ils soient plus intelligents, ils seront tout simplement riches, et pour héritage, autant que pour beaucoup que ses parents soient intelligents (quelque chose, permettez-moi je doute : l'intelligence une fois qu'elle soit porteuse de richesse s'engourdit) j'assure formellement qu'elle ne s’hérite, elle s’acquière par l'effort, la volonté et l'imagination avec le préalable sage concours des maîtres.
     Bref : (tout ce que je puisse) en empêchant de montrer dans le train de la connaissance un monde de passagers lesquels n'y vont pas arriver, donc elle s'en va laisser dans les mains des riches qui étant les seuls passagers l'y vont laisser s'endormit sur ses lauriers, ce qui, peut-être, au moins pendant un temps, va faire en plus de plus riches à ces derniers, aussi plus imbéciles (ils n'ont jamais assez)
    Gros succès messieurs représentants de la République si ce que vous prétendiez est de faire plus pauvres auxquels déjà l'en sont ; mais savez-vous que ce qu'ils ne vont devenir est moins intelligents, l'intelligence ne la met à perdre la pauvreté, toutefois la somptuosité la gâte… comme vous l’êtes il y a longtemps.

samedi 20 août 2011

LE TRAVAIL PEUT ÊTRE DANGEREUX

    Pouvoir, Il se peut, alors que, devoir, on ne doit pas ce d'être fier d'être personne travailleuse, et moins si on l'en est en excès ; d'abord parce que l’accaparement du travail par ce genre de personnes va conduire aux qu'y sont normales à ne faire que moins qu'ils prétendaient, c'est-à-dire rien, d'où cette pratique à long délai deviendra un style de vie dont, et avec la consistance prise avec le temps, il va faire difficile sinon que presque impossible, en cas de besoin, de leur concours en la matière dans n'importe quels réseaux sociaux, qui ne soit pas le si courant exercice dans ces temps modernes de faire qui se fait.
 
       
    En outre, ces gents si travailleuses que dociles, fomentent inconsciemment l'esclavage ; c'est pour ça qu'elles sont si vantées, comme bêtes de somme, par les esclavagistes, ceux-ci qui aujourd'hui on se les appelle spéculateurs, entrepreneurs ou financiers, par exemple, lesquels avec leurs guignols mis au pouvoir politique tout contrôlent. Nous, les endommagés, sommes le reste, pour qui, ceux-là ont créé toute une litanie de mots prétendument péjoratifs pour nous définir ; vraiment plus qu'inventer, ils ont changé, parfois, leurs significations étymologiques, l'ordure n'invente rien, elle tout simplement se laisse pourrir.
       À ces gros victimes du travail (à plus travailleurs qu'ils étaient, plus gros victimes qu'ils seront) lorsqu'il les arrive l'âge dont ils ne sont pas assez productifs, en même temps de faire d'eux (ce qui serait la logique économique, mais qu'il serait mal vue) du savon, on se les met à la retraite, au coût des autres travailleurs, évidemment, mais comme les affaires sont les affaires, il s'est créé tout un commerce, celui du diversement, où les retraités vont faire des conneries impensables, impropres à leur âge : à ces personnes se les traite comme aux porcs, d'elles tout se profite. 
 
      
    Les coupables de cette éventualité, qu'au fur et à mesure, elle se consolide va faisant disparaître l'humain comme humain, ne sommes que les définis des mots péjoratifs des imbéciles. Je suis convaincu que si nous tout simplement ne faisons rien de rien, le monde se paralyse ; pensez-vous : qu'est-ce que vont faire esclavagistes et esclaves ? Ils ne savent créer que ne soit exploitation ou travail.

jeudi 18 août 2011

PEUPLE CONTENT, PEUPLE IDIOT

    Un peuple, qui vive sous le monde des brumes, doit savoir de sa propre expérience que, tout quand elles s’enlèvent, c'est pour qui se laissent voir les nuages noirs ; pourtant, quand ce s'est passé, ce peuple, qui se sent content parce que, quelquefois, se laissent voir quelques rayons de soleil d'entre ces nuages, il doit savoir aussi que c'est le préalable du tonnerre.
    Du même que ce peuple va à la messe, en sachant que dieu n'existe pas, et s'il, au moins y doute, il est conscient, qu'autant les curés que lui le trompent donc ces gens voyant que le dieu ne fait rien contre leur duperie, ce qui confirme sinon la non-existence de dieu, ce qui est pire, il, soit dieu, est imbécile.

    Du même aussi que ce peuple, dont il ne faut qu'il soit très sage pour savoir, que les politiciens qui prétendent l'administrer la vie pour son bon être, l'en font au leur, au coût de laisser les esclavagistes agir à sa guise : cette cour de misérables du règne de la médiocrité, légitimés des votes de ce peuple qui se laisse abrutir par les maîtres de l’imbécillité.
      Un peuple, qui se met en allure de contente pour contenter ses déprédateurs, et, pourquoi pas le dire, être fier des excès de ces inquisiteurs-ci proportionnés grâce aux défauts subis par le peuple… veuillez m'excuser ! un peuple dans ces circonstances, toute fois qu'il soit heureux, il est idiot d'autant plus.

mercredi 17 août 2011

CELIBATAIRES COMME IL FAUT


      Parmi les navigants qui l'en font par l'orageuse mer de l'âge mûr, et d'entre eux, les qui y sont arrivés célibataires, où il faut constater deux qualités ; l'une dont les individus ne diffèrent pas des communs des mortels, c'est-à-dire, ceux-là qui ont eu des amourettes de rigueur, et qui pour obtenir les faveurs de la femelle ont fait devant elle tant de conneries (le célibat de ceux-ci est une question de circonstance, ou en tout cas de vocation) que les restants, qui ni y se considèrent, ils sont comme ça, c'est tout. Ces derniers sont le sujet de cette exposition.
       Quand un célibataire qui se respecte est arrivé à l’âge mûr, sans faire jamais une analyse sur son passé, parce qu'il est conscient que celui-là a été tout à fait normal, c'est en observant les jeunes gens qu'y viennent divagant çà et là avec leur naturel, par le cours de la vie, c'est juste-ci quand le célibataire aussi conscient qu’inconscient de l'en être, qu'il se heurte de face avec le cirque de l'appariement ; bien que comme spectateur.
       Ce spectateur à qui le concours de jeunes, femelles et mâles, dans ce cirque-là, le lui montre curieux, sympa, anodin, irascible parfois, parfois gommeux, mais dû l'âge des acteurs il l'aperçoit, sinon normal du tout, pas dérisoire quand même. Quelque chose qui change quand le passer du temps traîne ces acteurs avec lui, transportant les conneries de jeunes avec un âge impropre à les faire ; comme s'ils fussent vieux casses, à moteurs Perkins trois cylindres incorporés, qui se déglinguent par les routes d'aujourd'hui en prétendant faire de la concurrence aux automobiles actuels.
 

mardi 16 août 2011

CRASSE-GRAISSE


     N'importe quel qui soit l'animal, mais, bien davantage parmi les humains, souvent se donne la circonstance d'individus qu'en croyant avoir de la faim, ce du qu’ils souffrent c'est de la gourmandise. Il n'a pas que laissez-passer un pas trop attentif regard sur la figure du supposé famélique pour l'en deviner.
      Quelqu'un suralimenté ; tout quand la nourriture ne le lui arrive pour assouvir les engrais de ses excès, il ne va pas avoir « sensation » de faim sinon qu'il se croira en le droit de se satisfaire coûte ce que coûte, même s'il le faut, des restes de ceux-là qui en plus d'avoir vraiment faim, à cause de l'en passer, ne les reste que la peau ; peu importe, du même que les fauves, après de manger la chair, ils rongeront les os.
      Voilà le système de l’empire de la médiocrité, surnommé, je ne sais pas pourquoi « capitaliste » où il s'est substitué l'emploi du muscle du cerveau, par ceux-là qui soutiennent l'égocentrique système accapareur de la « crasse-graisse ».
      L'absurde non seulement, prendre pouvoir, pendant nous, les dépouillés, en attendant que quelqu'un nous sauve : c'est croire en dieu et dieu est l'affaire des despotes. Nous pouvons pourtant, dans notre attente, avoir l'espoir que ces phénomènes crèvent de leurs excès, mais le despotisme va se régénérer, et dramatiquement d'individus sortis d'entre nous.
 

lundi 15 août 2011

INTERDIT DE RÊVER

      
    Je suis un rat de ville qui profite de la vie chez-moi, tout seul, sans gêner personne, embrasé aux livres où naissent les sources qui remplissent l’océan de mes rêves ; personne peut imaginer comme est-ce que je rêve, en fait, même tout en me réveillant de mes rêves d'endormi, je poursuis avec mes rêves de réveillé.
    C'est du déjà-vu, qu'une personne normale ne peut pas être à son aise comme elle veut (ou comme elle rêve, c'est mon cas) sans que l'on apparût un sauveur casse-pieds qui veut te rendre heureux, à qui, tu (dans ce cas moi) pour ne pas disputer avec lui, tu (soit, moi) acceptes son invitation.
    Une fois arrivé dans le merveilleux monde de la campagne, je bus et mangeai en excès, ce qui me provoque une somnolence qui me laisse étourdi sur un fauteuil de paille, je me sens comme sur un barbecue où le soleil faisait du combustible qui était en train de me rôtir ; tout de suite je me suis mis à chercher où me cacher de lui, il avait par là une piscine « découverte » je ne comprends pas une piscine qui ne soit couverte, c'est pour ça que je n'ai pas voulu m'y rafraîchir. Donc je me suis mis à nouveau à table, placée au-dessous de deux énormes chênes et comme je m’ennuyais, j'ai bu, mangé… la somnolence y retourne.
    Dans l'ombre, les bestioles me piquent partout, je m’énerve ; pour m'apaiser une autre fois, je bois, mange… surtout je bois, encore une autre fois, je tombe à nouveau dans les bras de Morphée et à nouveau je m'ennuie et je me sens soûlé !
    Le monde doit dormir, le silence est plein, je suis heureusement tombé dans le lit d'une chambre obscure, sans bestioles, sans rêves, sans sommeil, sans vivre, soudain un énergumène s'évertue contre la porte de mon improvisée cellule, entrant à toute voix, souriant comme un politicien en époque d'élections et vociférant : on y va, c'est l'heure de dîner !
       Je n'ai pas faim, j'y vais comme un vieux bœuf à l’abattoir, lentement à table, elle est pleine de nourriture, de vin, autant que mon estomac. À cette heure-là le Soleil s'était calmé, une brise souffle, pas de fraîcheur, un paysan tout près de là, il est en train d'arroser le fumier avec la pompe à purin.
       Ah non ! Je m'en vais, j'ai assez d'air pur, l'explique à mon ami, je dois rentrer chez-moi...

dimanche 14 août 2011

LE DOGME ASSOUPI SE RÉVEILLE

    Si sur la terre où l'on habite ne l'arrose pas, ne croîtront les plantes, à cause de cela qu'elle deviendra inculte, si en plus, on la remue, d'elle se fabriquera un nuage de poudre qui nous empêchera voir, donc, pendant le temps qu'il existe en profiteront les aveugles, plus habitués à se conduire dans les ombres, de prendre avantage.
 
     
    Nicolas Bonnemaison, avant tout un seigneur de la science dont il a par métier, je veux pour vous monsieur porter un toast, même en reconnaissant qu'est bizarre l'en faire sur la condition d'une personne qui n'a fait qu'exercer son métier avec le professionnalisme et le respect qu'il faut ; pourtant noblesse oblige, les choses aujourd'hui sont comme elles sont.
    Pourquoi, je me demande, ces médiocres qui agissent contre une honnête personne qui fait son travail si honnêtement comme il l'en est, n'agissent pas du même degré contre les grands voleurs, à qui laissent abriter derrière la loi, avec douteux stratagèmes, parce qu'ils, dès les centres de pouvoir soient-ils ce qu'ils soient, empêchent une répartition de la richesse laquelle ont créé nos retraités d'aujourd'hui, de façon que les gens à cet âge de mérité repos puissent le profiter : la richesse, ils sont qui l'ont produit ! Pas vous, satrapes-médiocres-faux-puritains-avares qui l'aviez usurpée pour la thésauriser au plaisir de l'avoir, quand non pour soutenir vos caprices dégénérés, est-ce que par hasard l'un d'eux prolonge la souffrance aux mourants sans résolution ? 
 
    
     Pour vous monsieur Bonnemaison, et pour tous les que soient comme vous j'ouvre cette bouteille de champagne que j'ai devant moi, en plus, ce n'est pas un sacrifice le mien, j'adore le pétillant élixir, comme j'adore aussi les personnes comme vous.

samedi 13 août 2011

BOTERO ET L'AÏEUL


    Appuyés au comptoir d'un bar et renversés l'une sur l'autre, deux figures « boteriennes » qui semblent plutôt accroupis que formellement assises, ce que pour l’apercevoir, il n'avait que prêter l’œil, dû que ce qui penche de leurs volumes, quatre appendices, qui étaient leur mollet. Ces deux corps à deux sexes différents qui composaient le conglomérat, faisaient de l’équilibre au-dessus de leurs correspondants tabourets où le couple embrasé, l'un à l'autre, se dédiaient à la lourde tâche, à la vue d'un forain, de se caresser, une besogne dont une personne accomplie choisirait mieux à faire, sans l'en douter, de moissonner à l'ancienne un vaste champ de blé.
      Occupant une table sur un coin du même bar, un aïeul tendrement fier (comme seulement un aïeul peut l'en être) de son petit fils, celui-ci très petit à cause de son âge, tandis que le grand-parent l'en était à cause de sa génétique. Cet aïeul-là petit la taille, tout en lui, il se le pouvait bien deviner sur sa face de radiante félicité, que son petit fût son image (tout au plus un peu plus haut, bien sûr que le temps le lui y va frustrer). L'amour à plus intense peut conduire à désirs, autant intenses qu'il en est ; le temps portera au petit, assurément, d'une taille supérieure à celle de son protecteur, qui l'aimera du même degré le lui regardant au-dessus comme s'il fut un dieu.
      Des choses comme ça, elles sont infinies, dans ce théâtre, qui est le bar, dont les scènes, par beaucoup qui se ressemblent ne se répètent jamais, seulement il faut regarder un peu plus loin que sur le propre nombril.
      Le passe en continu, le coût de l'entrée peut être un verre de vin que le payant va boire. 

mercredi 10 août 2011

CŒUR DE PEINTRE


  En me recréant des tons qui apportent mes amitiés de ma ville natale, et puis de réfléchir, le temps de boire trois ou quatre bières (il faisait très chaud, en ce temps-ci) je me dis moi-même : voilà ici les couleurs nécessaires pour peigner un beau tableau impressionniste.
     Le cocktail de qui se compose ce groupe si varié dont l'un, veuf, qui vive comme un marié, quoique ce qu'il fait est de se comporter comme un célibataire ; d'autres, les divorcés (les plus nombreux) qui vivant comme veufs, se comportent comme mariés tandis qu'ils prétendent se débrouiller en célibataires ; les remariés, qui vivent comme mariés angoissés, dont ce qu'ils aimeraient est d'être célibataires, cependant, ils se comportent comme veufs en rut. Ceux qu'y restent, les plus sérieux, vivons, nous comportons et aimons ce que nous sommes « célibataires » qui vivent et, bien sûr, à conséquence de l'en faire dans l'âge adulte, qui sans être l'âge ingrat, celui-là que je ne sais pas si nous avons fait ingrats ou c'est qu'il s'est porté ingratement avec nous, nous sommes parmi cette faune ceux qui mieux nous conservons, en apparence quand même ; en autre, prises et conséquentes de cet âge, la nôtre, il est bien sûr, ce qui nous fait autant garer les mœurs que nous habiller comme correspond à celui-là, en plus nous nous comportons sans stridences, n'allons pas aux discothèques et ne faisons le moindre effort pour draguer ; ce dernier affaire qui nous apporte des mêmes résultats qu'aux autres archétypes de cette hétérogénie homogénéité amicale. 
   Qu'est-ce que nous reste aux observateurs, aux peureux du ridicule, aux misanthropes qui ne soient pas de mettre la main aux pinceaux, les mouiller dans les couleurs et les étendre sur l'univers de l'imaginaire ?

mardi 9 août 2011

VOILÀ LA GRANDE MENSONGE

      On peut croire ses propres mensonges ou celles-là des autres : voilà l'histoire.
     Alors, si j'en dois choisir, je l'y ferais volontiers de l'histoire fondée sur mes propres mensonges ; d'abord, parce que j'ai assez d'imagination pour les y fabriquer. Ainsi les miennes seront bien sûr moins cruelles, plus amusantes, et en plus s’approcheront à la réalité que celles-là que l'on nous raconte ; il est tout simplement question de cohérence, de savoir faire et pourquoi pas de sens d'humeur. 

      L'histoire que nous est transmise, a été dicté, écrire est beaucoup pour analphabètes-esclaves, des vainqueurs de batailles si absurdes que criminels, faites contre l'intelligence, utilisant l'arme aussi anéantissant qu'efficace de la « concurrence ».

    La concurrence bouleverse tout type de transmission intellectuel, annihilant l'esprit social en bénéfice du « moi », et comme le « moi » ne peut pas exister sans la société, il fait tout pour esclavager ; à conséquence de cela que, le cerveau, soit, le muscle de la pensée, finira pour devenir, de tel exercice, un muscle comme n'importe quel autre des répandus par notre corps : voilà l'humain d'engrais.

   L'humain d'engrais, comme n'importe quel autre de ce genre, avale tout ce qu'on le met devant la gueule, tandis que l'on soit des protéines ; c'est pour ça, qu'aujourd'hui l'histoire présente s'en fasse de quelque manière, elle est comme la nourriture-ordure.

lundi 8 août 2011

LA BOURSE ... QUELLE BOURSE?

     Je ne sais pas qu'est-ce que se passent ces derniers jours, que l'on ne se parle presque qu'il ne soit de la bourse ?
      Venant vers Galice, je me suis arrêté en Aurillac, où meilleur m'orienter vers la recherche d'un coin perdu de ses alentours, où se cache le domaine d'un ami qui fabrique fromages « inénarrables » comme aussi du vin qu'il faut pour les bien arroser, sans que personne te dise de conneries comme que si l'alcool est dangereux, que si ne sait-il quoi de modération ; comme si le vin fût alcool !
      Ma surprise, est-ce que là aussi, cet ami à mol, il parlait, je ne sais pas quoi de la bourse. Je ne sais non plus si avec moi ou c'est qu'il l'en faisait avec les vaches ou les chèvres ? Donc, en l'y faisant avec moi, et changeant de thème, nous, nous avons bien amusé.
      En reprenant la route et, comme d'habitude, toutefois que j'en faisais celle-ci, je me suis arrêté à Burgos, chez Maria Teresa (une dame à teint rosé, des proportions qui doivent avoir une cuisinière comme il faut) pour restaurer ma langue de bois de mon rendez-vous de la veille (ce qui se passe chaque fois que j'en fais le susdit voyage, qui si n'est pas ici est là) avec son rôti d'agneau exquis. Il se laissait ouïr aussi par là, quelqu'un qui parlait de la bourse. Pas Maria Teresa, elle, je pense, avait la sienne cachée entre ses seins : Maria Teresa doit être très riche.
      Arrivé en Galice, je me détourne de la route prévue pour m'enfoncer dans les montagnes presque sauvages, vert, aux cieux gris, pour n'ouïr rien de bourse aucune, quand tout à coup, je me trouve un berger, une bourse penchée au dos ; on se salue ; causons tous les deux, il ouvre sa bourse, tire de là du saucisson, du pain, du vin… voilà une bourse dont je peux comprendre.

dimanche 7 août 2011

MOI, JE CONSTATE

    La culture n'est que l'imprégnation que nous, qui composons l'une parmi tant d'espèces de vie, prenons des caractéristiques de l'environnement de l'espace dont on habite ; il faut constater qu’autant soit la ressemblance d'entre les différentes espaces habitées. Il en sera aussi les cultures. À nouveau il faut constater (j'adore constater) que nous ne sommes pas dieu, que sommes-nous tout simplement qui l'ont inventé. À propos : un gros affaire qui a été la berce de toutes les affaires.
      Le passage de gens de secteurs très différenciés des récepteurs, d'abord on y va apporter de nouvelles connaissances à leurs amphitryons, toute fois que le nombre ne soit plus nombreux auquel de ceux-ci, parce que donnée cette circonstance, on peut trainer l'imposition de ce qu'on se l'en a donné par nommer culture ; la religion, qui en toutes ses variantes : démagogie, militarisme ou mercantilisme, est le germe de l'invasion pure et dure.
      Le temps nous a appris (l'empirisme n'est pas aveugle) que les organismes placés, hors de leurs habitats naturels en outre étrangers et surtout massivement, produisent dégâts irréparables dans l'environnement envahi ; en conséquence en toute forme de vie endogène, ce qui finira pour être inhabitable jusqu'aux envahissantes mêmes.
      Comme je constate du même que je prends un verre de vin ; je constaterai à nouveau et cette fois que, la grandeur de la connaissance, comme le mot bien l'indique est ce de connaître, et, connaître est sans doute le plus efficace utile à celle-là ; connaître est une aide inestimable même pour déraciner la perfide endogamie ; toute fois que les visiteurs ne la supplantent avec la sienne. Pourtant, quand n'importe qui, ni d'où part de chez-lui, par les circonstances lesquelles qu'y soient, il faut qu'il parte sans équipage, et, devienne, maintenant il est hors de chez-lui, précisément chez-lui. 
 

 

samedi 6 août 2011

BILLET SANS RETOUR


     N'importe quel animal (ce qu'il semble parfois, que nous ne sachons que c'est ça que nous sommes) dès le moment même de sa naissance jusqu'au jour de sa mort, il va être pris de la soif de l'apprentissage, où les paramètres élémentaires de celui-là en concordance avec ce que nous devrons être, ont déjà été inoculés à chaque individu depuis sa conception, de là, que l'apprentissage est l'essence de vivre. Pour vivre l'animal devra se nourrir ; et vu que la connaissance est cause de celui-ci, avec l'aide inestimable du temps, il faut donc, par mener la connaissance au plus haut degré, autant allonger la vie, comme l'amener dans les mieux conditions.
      Allons-y à, où je veux arriver :
    Nous naissons pour apprendre, pour être tout le sage que l'on se peut. Alors, qu'est-ce qui empêche le normal développement de notre désarroi intellectuel ? Je parierai, sans douter, par la médiocrité, cela qui nous a fait déboucher dans une animalité d'inusitée contra-nature, peut-être, à conséquence de devenir les grands déprédateurs dans notre espace, et qui nous a forcé de jouer ce rôle y restant les seuls jusqu'aujourd'hui, à l'en être de nous-mêmes.
      La débâcle mise à la table, ce menu que bien sûr ne va pas être composé des armes conventionnelles de toujours, sinon par le système économique étouffant à tout cela que ne soit lui-même : il est un mets que dévorent les commensales. 
 
      
    Je voudrais être gai, enthousiasment optimiste et même joli, mais tout cela me semble une faute de respect à la réalité, et compte tenu que la métastase de la médiocrité a déjà envahi tous les réseaux sociaux, j'ai fait le choix grâce au reste de mes jours : gronder et uriner sur les trottoirs pour marquer ma zone, la vie de chien est plus amusante.

vendredi 5 août 2011

LE BALLON VEXÉ

      
    Un groupe de personnes qui se sont engagées entre eux, par les couleurs de leurs pantalons courts et leurs maillots, ceux-ci numérotés tels que dominos, font tout pour que quelqu'un de cette bande donne des coups de pied à un pauvre ballon, au temps d'éviter quelques-autres formes aussi en bande, habillées de façon semblable bien qu'à différentes couleurs, ne possèdent pas ce même ballon ; comme s'il fût une vierge sicilienne de ces temps-là dont une vierge était une vierge comme il faut, sans résultat, car la supposée immaculée vierge serait flétrie, vexée, maltraitée, parce que le pauvre ballon, qui je ne sais pas qu'est-ce qu'il a fait à tous les composants de ces deux bandes qui luttent par lui ou contre lui, qu'il reçoit de coups de tous et partout, je ne sais non plus pourquoi on me vient à la tête l'image de la planète, la nôtre, il serait par la forme ? ou les formes ?
    Les spectateurs de cette brutalisation à laquelle est soumis un ballon : s'énervent, crient, rien, pleurent, quand non s'y outragent. De cette marée de gens mises dans l'enceinte où se célèbrent ces types d'événements surgissent des vagues et de l'écume ; au va-et-vient de cette marée qui tout soutient (même l'oubli de leurs propres défaillances) pour que les vagues pussent et l'écume vive au-dessus de tous.
 

Dans le monde de ce bâtard cirque, il y a quelqu'un qui ni étant dedans ni dehors, la ligne mise dans l'eau, la canne en terre, seulement à de mouiller un peu les pieds pour prendre un gros poisson, par exemple, de presque un million d'euros, soit le SMIC d'un bon nombre de souteneurs.

mercredi 3 août 2011

MOUVEMENT ET TEMPS


     Il y a eu des personnes de science, sans avoir aucun rapport des unes aux autres, qui après de longues réflexions, chacune à son aise (quelque chose d'évident vu qu'entre elles n'a eu aucune relation) elles sont arrivées à la conclusion de que sans mouvement n'a pas de temps.
 
     
    De cette conclusion dont, on peut se tirer la conclusion (outre, il y a conclusions par tous les goûts) de qu'il sera bon de profiter du temps pour tirer avantage de la seule chose que vraiment nous avons « La Vie » celle-ci qui s'en va oxyder inexorablement, donc ce processus, dépendant de sa vitesse à laquelle il soit soumis, va être plus ou moins agressif ; cependant, la vitesse ne nous va laisser apercevoir l'entourage par où nous voyageons avec la netteté dont nous l'y pouvons profiter en tout sa splendeur.
      Je veux vous rappeler qu'une autre personne, qui si bien pas de science, paysanne elle, qui habitait un hameau perdu dans une sinueuse vallée de n'importe quelle montagne de l'Europe humide (ce n’est pas un caprice, à mon avis, c'est où je suis sûr de trouver de fleuves dont leurs eaux coulent avec force et qui portent de truites, ou les truites les habitent) éclaircissement fait, je poursuis : cette personne avait dit : truite que s'endorme, l'amène le courant.

mardi 2 août 2011

TRISTE COMÉDIE

    Toujours frétille, tel que la queue d'un chien qu'y vient de recevoir une gourmandise, l'affaire du massacre norvégien, maintenant, dans les programmes de télévision dont il ne faut pas s'en douter de leur réputation, ils sont tout simplement médiocres, en profitant des miettes que la presse écrite, radiophonique et même les JT les a laissés après qu'ils ont fait leur beurre de ce drame.
     Quelque chose que m'a étonné est qu'à ce petit Néron, produit d'une société décadente, ensuite de le lui donner toute l'audience qu'il cherchait dont il est le seul protagoniste, le cataloguent comme intégriste chrétien, comme si la religion, celle-ci à la tête, n'aie pas déjà été assez protagoniste dans tant de tueries comme il a eu par toute l'Europe, parce que ces inconscients encouragent aux intégristes d'importation (je ne crois que personne en doute de leur concurrence). Comme si nous n'avions assez avec les nôtres, et sans être sous aucun dogme, bien entendu religieux.
      Ce type-là à l'importance qu'il n’en a aucune, qui ne soit un assassin, produit par cette stupide société, qui en plus fait de lui toute une marchandise très rentable, il faut le dire : des médias, fabriques d'armes et munitions qui se vendent partout, à ce que l'on peut ajouter d'autres armes autant que des équipes de sécurité pour se défendre de ceux qui les en ont acheté auparavant ; et pourquoi pas de fleuristes, chandeliers, funéraires, dont les clients sont les victimes subsidiaires, c'est-à-dire, les parents et amis des victimes.
      Il faut ne pas oublier aux victimes pas aussi proches, des chefs de gouvernements et militaires, qu'il y a chaque instant par tous ; gouvernements qu'il ne faudrait rappeler ont souvent une étroite relation diplomatique avec le monde nommé démocratique, dont elle en est toujours plus intense dans le commerce des armements avec lesquels massacrent les peuples, leurs propres s'il en est nécessaire : à leurs intérêts évidemment.
      On peut bien se dire que tout ça est comme un gâteau dont tout lequel qui se met à table dont on peut prend un morceau.

lundi 1 août 2011

LA TERRASE À LA PLACE D'ITALIE

    Assis dans la terrasse d'un bar, place d'Italie, un verre à la main, je me sens envahi par tout ça que l'on peut observer depuis la place que j'en occupe ; tout le petit grand monde qu'elle est la Place d'Italie où il y a d'amoureux partout en faisant les flirts ; amants épris d'une grande passion les uns, autres l'en dissimulant et d'autres qui ne dissimulent rien, ils y vont à ce qu'ils vont, quand même l'un de tous les deux.
     L'image, presque généralisée, qui donne cette aptitude si humaine parmi les acteurs, est celle des contrastes : l'esprit assoupi du mâle, aux yeux de bœuf égorgé, le corps raide, tête inclinée vers le côté de la main dont, on s'est accrochée une gracile figure féminine, sinueuse ; qui bouge, botte, se contracte et
 
 
dilate au rythme frénétique des émotions, se collant à son partenaire pour tout de suite s'y éloigner ; toute cette cérémonie sans se décrocher de la main de son amant, à qui l'offre de flatteurs regards temporaires avec cautèle, regards aux yeux d'une vache que l'on est en train d'être traînée.

  Dommage d'avoir moi le cœur gangrené, ce qui pour les affaires de l'amour empêche à pris de cette maladie de faire les couillonnades qu'il y faut. Ce que j'extériorise en se le disant à un ami, lequel était assis à la même table, différent verre, si je ne fusse pas boiteux, je me mettrais à courir derrière les filles. Bah ! Dit mon ami, tâtonnant la table à la recherche de son verre… le mien, je l'y tiens.