lundi 31 août 2015

L'HOMME QUI A CHANGÉ LA DANSE POUR LA MUSIQUE

    Notre homme était quelque chose comme un musicien soliste, qui si bien amant des grands orchestres, il n'y supportait pas le moindre désaccord, donc à faute d'harmonie il quitte la grande ville pour un village.
 
 
    Depuis qu'il y était arrivé, tout le monde murmurait de lui. Et, il chantait, tel qu'un ténor, à tous lesquels faisaient sonner les clairons, versionnant les chansons pour faire plaisir aux membres tous de la fanfare, dont une soprano un jour chante à l'oreille du ténor :
 
  
    -Manquez-vous de femme, laquelle vous fasse des chorus ? — Mais non madame !, répond-il, puisque toujours que j'ai dansé, j'ai dû l'en faire avec la plus laide, voilà pourquoi j'ai décidé me faire musicien.

vendredi 28 août 2015

SE BALANCER ENTRE LES SONGES ET LA RÉALITÉ

    Soit dans les songes, soit dans la réalité, tout le monde se balance pour toucher le plus haut.
 
   
    Pourtant, les cordes qui maîtrisent la balançoire ne font jouer celle-ci, qu'entre le toit et le sol, sont façonnés depuis l'axe dont l'autre extrémité de celles-là sont fixées.
 
   
    Jeu qui inverse souvent ce de tenir aux uns là-haut durant leurs songes et aux autres durant la réalité.

mercredi 26 août 2015

L'AMOUR EST UNE CONNERIE QUI NOUS DÉTOURNE D'ÊTRE CONS

    Que l'amour est une connerie, je ne l'en doute pas, mais qu'est-ce serait-il de nous sans faire des conneries ?
 
  
    On ne mangerait que quand on a de la faim. L'art n’existerait pas, bien sûr : quelle raison d'être aurait-il ? Tout ce qui se cuisine dans notre tête ne serait pour exister sinon pour subsister ; ce que fréquemment se passe chez quelques-uns, plutôt beaucoup, malheureux parmi nous… et ce qui est le pire : on ne boirait que quand on a soif ! 
 
   
    Donc, vive l'amour ! même que les soupirs que la dyscole attire, elle les esquive, se cachant en montrant son dos.

mardi 25 août 2015

IL N'Y A PAS PARDON DE DIEU POUR LES ATHÉES

     La vie a façonné (par rapport aux animaux) dont nous sommes encadrés, par moyen des fils, des fils de leurs fils, de sa descendance toute, la conception de l'éternité.
 
   
    De cette conception dont certains malins parmi les humains qui, à faute d'intelligence, puisqu'ils n'ont pas prévu les conséquences à long terme, ce qu'ils n'ont pas pu constater à nos jours, en créant donc dieu pour profiter ce qu'ils entendent par la bonne vie. Ce dieu quoi qu'il en soit, auquel leurs adeptes subrogent leurs consciences, obtenant ainsi licence, sous pardon de leurs péchés, voire dépourvus de conscience, à être les plus gros prédateurs, auto-prédateurs même, jamais conçus.
 
   
    C'est chez les vraies athées, lesquels au ne pas être graciés de dieu, dont la conscience est une dalle sur eux, laquelle se fait alourdir des méchancetés par eux commirent.

dimanche 23 août 2015

LE MALHEUREUX AMOUREUX RÊVEUR

   Sort du temps amour, laisse-toi : te caresser du soleil qui caresse l'instant présent…
    Fais-toi te rafraîchir par la pluie qui tombe…
    T'envelopper de la brume tellement cadeau surprise. Sans surprise !
   Te voiler par la nuit, pour que le jour s'en éveillant, lentement, te dévoile.
 

  L'amoureux, qui ne peut pas éteindre la bougie laquelle n'est que la lune, à l'attente qu'elle l'en fasse toute seule, durant ce temps qui suit, sourd, nappé de brume, jusqu'au soleil illumine de nouveau tout de sa splendeur, se rafraîchit-il, à faute de pluie, avec du vin.
 
     
    À l'arrivée du jour, le malheureux amoureux rêveur « pour que tout s'accorde en eux » s'en ôtant du temps présent, voyage par le temps des rêves, rêvant avec son aimée.

vendredi 21 août 2015

UN JOUR LES LIONS RIRONT

    Quand les lions laissent de faire sentir leur rugir, lequel s'enfuit par d'entre les barreaux qui les emprisonnent, c'est qu'ils se promènent, silencieusement, aux aguets, parmi les demeures où se gardent leurs geôliers.
 
  
    Geôliers prisonniers, entourés de luxes baroques, servis de leurs propres prisonniers… les pauvres ! Ah ! si les pauvres sans esprit l'en éveillent.
 
   
    Ah, si ce jour-là y arrive ; les gueules silencieuses à l’affût, menaçantes, montrant les dents, bien sûr abandonneront leur attitude, et en souriant écouteront les cris des geôliers auxquels dévorent leurs asservis captifs.

jeudi 20 août 2015

LA PAIX ET LA GUERRE: ÉPINES DE LA VIE

    La guerre n'est que le bras armé de la sans raison. frappée celle-là d'une face de l'arbitraire monnaie dont de l'autre, on s'en est fait le même de la paix, de celle-ci de qui les guerriers profitent à se justifier en sa poursuite, quand non les « pacifistes » font autant pour étourdir les cerveaux du peuple.
 
   
     Mieux qu'aimer, soit la paix, soit la guerre, est fait l'amour avec la voisine ou le voisin, selon le cas.
 
   
    La vie n'est que vie, une chose simple et cruelle comme a dit récemment Poutine ; donc, au ne pas avoir autre chose : profitons-en… et laissons profiter aux autres. Les roses sont épinées, mais si on les laisse vivants, on ne se pique pas et l'on peut également profiter de sa beauté.

lundi 17 août 2015

PIEUX ET IMPITOYABLES

   Parmi les humains, il y a quelques-uns d'une sensibilité hors du commun ; ceux-ci qui après de tuer un semblable, auquel parfois il a fallu préalablement le torturer, et, malgré être frappés par la douleur, de la douleur de leur victime, ils s'apitoient de son âme même qu'il soit athée.
 
   
    Ainsi comme il y a d'autres, aux sentiments bien entendu contraires, lesquels non seulement n'ont point apitoiement de l'âme ni du corps lacéré de leur victime (corps qui souvent est vendu en morceaux dans le marché de l'indécence) sinon qu'ils sont fiers d'être bourreaux. 
 
  
    Dur métier de pieux qui, n'en ayant assez de brutaliser les siens jusqu'à la mort, pour les sauver l'âme bien entendu même qu'il en soit contre sa volonté, qu'ils doivent faire autant, bien au moins sans sauver âme aucune, auxquels à leur bizarre choix sont les impitoyables, infidèles et bourreaux.

samedi 15 août 2015

LES MUSCLES D'UN PAYS

    Une société, telle que la nôtre, est quelque chose pareil au corps de n'importe quel animal selon, dont aux muscles qui le lui font agir, l'agriculture leur apporte de la souplesse de même que l'industrie l'en fait de la force.
 
   
 
    Ces muscles, auxquels la belle Europe depuis il y a longtemps est en train d'abandonner à leur sort : voire à celle des colonisateurs qu'y reviennent d'ailleurs, qui à nos jours ne sont qu'air ; air qui tient gonflée la belle en l'y faisant conserver l'apparence.
 
   
    L'air qui n'aime point être prisonnier, un jour quelconque il partira, dégonflant la belle de laquelle ne restera que la peau collée aux os… triste figure d'avare, soutenue d'une nauséabonde haleine de l'insatiabilité qu'y correspond.

vendredi 14 août 2015

L'OMBRE AUX YEUX OUVERTS

    Il était une fois une ombre laquelle s'était oubliée un jour, celui-ci qui en plus était tout ensoleillé, de fermer les yeux, ce qui l'a fait regarder ce que son maître faisait.
 

    L’imbécile, comme ne pouvait faire d'autre, faisait tant de conneries, qu'il se pouvait
bien faire passer, s'il ne l'en était déjà, par un professionnel de la politique.
 
   
    La honte, qui faisait son travail, empêchait l'ombre de fermer les yeux à cause. Donc, la pauvre, toute désespérée, met un cierge de son côté pour redevenir aveugle.

jeudi 13 août 2015

LES BRAS EN TANT QUE AFFICHES DE L'AMOUR

      Marcel avait déjà donné preuve de sa capacité amoureuse depuis sa plus tendre enfance ; il aimait tout, tous, mais surtout : toutes. 
 
   
    Cette prédisposition à l'amour qu'il a toujours fait, fier, remarquer. D'où, qu'à cette époque-là dont il fallait faire service militaire, au se voir Marcel forcé quitter le sein maternel durant, il s'est fait faire tatouer son sentiment sur un bras… soit quelqu'un l'en doute ! lequel disait : « amour de mère » encercle d'un cœur, comme il faut.
 
  
    Comme il n'a qu'une mère, cette déclaration amoureuse n'a occasionné aucune contrariété à Marcel. Pourtant, toujours qu'il voulait faire autant de n'importe qui de ses amourettes. Il doutait pour ne pas rompre le cœur à la suivante. Où il se fait tatouer son prénom dans un cœur, croisé d'une flèche. En laissant l'autre bras sans tache, dont il rempliait du prénom de l'aimée, à laquelle son tour le correspondait, avec un marqueur feutré préalablement effaçant le précédent.

mardi 11 août 2015

QUELLE MANIE DE DIEU DE CRÉER!

    Avant que la lumière eût été, personne ne peut dire comme les choses marchaient, mais depuis elle a été; le jour se passe la vie attendant la nuit, de même que la nuit l'en fait de lui.


    Donc, et compte tenu ce que les marchants de dieu tiennent comme vrai, il a créé la lumière.


    Pourtant, les humains n'en étant pas ses marchants ni en ne voulant rien d'eux, nous pourrions bien tenir à dieu par le plus enquiquinant casse-pieds jamais imaginé qu'a tout fait bouleverser.

lundi 10 août 2015

UN COCKTAIL D'INTELLIGENCE PEU INTELLIGENTE

    Qui que ce soit qui met l'oreille prendre le frais peut la faire entendre quelques prétendus astronomes, saxons évidemment, des deux côtés de l'Atlantique, dont il a un penchant à élucubrer sur intelligence extraterrestre, parler de celle-ci. Si vous avez de la patience profitez-en à vous amuser plus encore allongeant votre oreille vers ceux-là d'au-delà.
 
  
    Ces intrépides pseudoscientifiques qui prétendent comme certaines les plus extravagantes spéculations comme que Mars a été rasé par une guerre nucléaire quand il y avait vie intelligente.
 
   
    Brave conscience de l'intelligence qu'ils ont eu ; si telle qu'elle en est, il faut donc reconnaître de la supériorité des extraterrestres, bien entendu en l'intelligence y concernant. Dommage que, et vu le vu, les auparavant humbles mortels terricoles de plus en plus nous prétendons être autant intelligentes que les disparus martiens.

samedi 8 août 2015

L'INTELLIGENCE DES MÉDIOCRES


    L’intelligence de laquelle est doué l'animal humain peut bien, en faisant celui-ci mal usage des facultés que celle-là l’octroie, la faire retourner contre lui l'en faisant un parfait imbécile.
 
  
    Ce qui s’aggravera considérablement quand l'imbécile déjà en pleine forme se laisse influencer de la mesquinerie la plus absolue.
 
   En qui serais moi à penser pour penser quelque chose comme ça… parfois je pense que ma tête se va… de voyage ; ça sera parce que quelqu'un parmi nous prétend nous faire croire que l'on va vendre des brise-glaces ou quelque chose comme là où il n'a que désert.
   
    Bon ! Je ne crois qu'il y ait de tels personnages. Mais, avoir, il y en a.

mercredi 5 août 2015

SE PEUT PAS DORMIR TRANQUILLE

    Par mes rêves hantent tous les démons, qui même la clarté faite, quand je m'efforce à réveiller, éprouvent des difficultés à faire débarrasser la nébuleuse d'où ils me harcèlent.
 
   
    Ces démons qui me reprochent obstinément de ne jamais avoir fait en ma vie durant, quelque chose de droite.
 
  
    Pourquoi j'aurais dû y faire si j'ai toujours été gauchiste. Je ne sais pas si est-ce que les démons sont les dieux des satrapes, mais je préfère penser que n'existe aucun, soit : le bon dieu, l'officiel "le nôtre".