lundi 29 avril 2013

TOUT SEMBLE ...

    Contester les consignes de la vache sacrée, tout semble, selon ceux-là qui ne font que se regarder à son propre nombril, tirer à boulets rouges sur elle… pauvre ! Les boulets rouges ; la vache a une dure peau.


    
Messieurs les politiciens de la main qui prend, tout semble, que vous aviez oublié que les citoyens qui vous ont élu, l'en ont fait pour défendre leurs intérêts aussi que de ceux-là qui ont opté par autres formations, lesquels, tout semble, ils ont été beaucoup plus judicieux, puisque vous, ce qui ne semble aucunement, ne vous intéressez que des gains des spéculateurs, qui ne font qu'après d'exprimer vos concitoyens, partir avec leur jus par là où ces internationalistes, du même que vous, tout semble, patriotes de l'argent, exprimeront citoyens autres, d'autres lieux, qui si bien, ils auront moins substance, à l’être plus ; cela se compense largement, mais à vous tout cela vous importe une merde, vous n'étiez que marchandise à vendre bon marché.
 
   
    Vous, politiciens de la main qui prend, ne soyez que porte-paroles de la misère, de celle-ci des citoyens, de la vôtre et de celle de vos suborneurs, tous petits misérables voyageurs dans le même faible vaisseau, à cause de l'avoir bâtie en toute hâte, faiblesse qui lui va faire casser, et quand il coule, tous couleront avec, ce jour-là, dont vos longues mains ne vont avoir que le ciel pour prendre, mais nous les humains, ne sommes pas oiseaux, les oiseaux sont de ces bizarres types d'animaux qui ni achètent ni vendent.  

CROCODILES LILLIPUTIENS

    Maintenant que le temps est venu pour pouvoir faire la fête dans la rue, le froid servi par le vent du Nord (un peu de l'Est) empêche-t-il aux crocodiles lilliputiens sortir des anciens murs, ceux-ci chefs-d’œuvre de la propriété, dont la modernité a déjà fait, d'une autre façon, inaccessible l'habitation à eux.
 
   
    Les crocodiles lilliputiens doivent donc en aller fêter, à cause du froid, la fête de la chaleur, au-delà des murs, chez les gros crocodiles, payant l'entrée rubis sur l'ongle, pour se chauffer y parmi, s'en servant les gros de la chaleur que la bande des petits génère du frénétique danse, pour se chauffer eux sans effort.

samedi 27 avril 2013

EAUX TROUBLES

    Il faudrait que chacun fût maître de soi, pour libre, librement autant se faire du monde respecter qu'au monde respecter chaque.
 
    
    Qui se lave dans les troubles eaux qu'il y a, qu'y restent encore ; il se lave quand même ! Par contre, lesquels qui pour ne pas se laver dans les troubles eaux qu'il y a, qu'y restent, ceux-là qui dissimulent leurs pestilences avec les parfums fabriqués des eaux qu'il y a, qu'y restent, ils pourriront leurs corps sous leurs manteaux tricotés de nauséabondes fleurs, aussi que les nez ôtés de défense de leurs voisins du relent que d'eux, leurs potions avec, déprendront.
 
   
    Nous façonnons de tans que nous y étions, un gros monde, ce qui fait, que nous devions nous supporter de tout près les uns les autres.

mercredi 24 avril 2013

LE BIPÈDE ET LE VIN

    Le bipède s'est fait, pour pouvoir avec les pattes, tous les deux plus proches au cœur, cultiver la vigne, faire la vendange et élaborer le vin ; tout pour, prêt le nectar, faire lui preuve de générosité, ce qu'il mettait en scène tenant une terrine à chaque main, pleines elles du vin pour lui façonner : l'un afin d’inviter, l'autre pour accomplir le présent à l’honorer en faisant un toast avec. La gentille main libérée, elle s'était tout de suite, selon les canons de rigueur, assise à l'anse d'une amphore de vin remplie, pour faire encore tant de toast comme on avait besoin.
 
   
    Cependant, le mauvais ivrogne, si fainéant que d'agile de langue, invente dieu ; donc le bipède, petit à petit, se laisse prendre dans le piège, jusqu'à dévot par force, tombe esclave des maîtres de la foi.
 
   
    Toujours aujourd'hui les bipèdes adeptes à n'importe quel dogme, ceux-ci tous sous modèle du minable ivrogne, déambulent-ils par tout, faisant pour assujettir aux esclaves que l'on considère, autant qu'ils l'en sont, sans qu'ils ne se considèrent ni veulent l'en être : les bipèdes qui ont arrosé de leurs sueurs les vignes, sans boire du leur sueur de la terre, la sueur de liberté.

mardi 23 avril 2013

LA VIE UNE ÉRUPTION DANS LES FORMES

    La vie est quelque chose tel qu'une éruption dans les formes, celle-là qui incite durant, celles-ci qui s'attachent chaque à sa propre évolution. Tout cela qui est imprégné de vie, se soutient parmi les unes les autres, ce qu'en autre fait garder l'équilibre de la diversité.
 
   
    Nous les animaux tous sommes sous notre point de vue, le nôtre, l'éruption, ou forme de vie, la plus évoluée, dont nous les humains n'ayant assez de nous positionner au plus haut degré, honteux d'être ce que nous sommes, nous faisons appeler « êtres » et pour marquer plus de différences nous avons inventé dieu, pour dieux être nous, bien que ça soit l'en dissimulant… pauvres diables !
 
   
    La vie souffre quand on l’arrache, ce qui n'est que loi vie, laquelle il faut accomplir, profitant les uns des autres pour vivre ; la vie est cruelle, mais elle est comme ça, pourtant y parmi, si bien qu'il y a des formes que plus qu'autres, toutes font démonstration de sentiments, chaque à son style évidemment, montrant allure de gaîté ou tristesse… l'impavidité ne forme part de la vie. Dommage que nous « éruption humaine » en étant, que l'on sache, les seuls avec la faculté de l'humour, le germe de notre propre stupidité soit en train de l'éradiquer.  

LE TIGRE ALPHA DU SERENGETI

    En étant un ami et moi en train de faire une étude cynégétique sur tout gibier, femelle, de laquelle prendre pour proie, nous nous trouvons un ami commun à tous nous deux, connu dans notre entourage d'amitiés par son habilité en la chasse, d'où le surnom duquel il s'était fait accréditer « le tigre alpha du Serengeti » jusqu'à l'intromission d'une rusée chatte a fait de lui peu plus qu'un ours de peluche, en plus sans peluche. 
 
   
    Quelques pots, beaucoup de rires et banale causerie avec l'ancien gros félin sous supervision de la petite féline, celle-ci qui, à un moment capricieusement pour elle choisi, a eu assez d'un clac ! Pour attirer chez elle celui qui avait été le « tigre alpha du Serengeti ».
 
   
    Tous les deux chasseurs, y restons, en tenant un verre chacun, et sans dire d'autres mots qui ne soient que pour demander de remplir les susdits ; tant de fois comme nous avons eu besoin pour réagir, dont nous avons fait preuve de considérable lenteur ; il n'a fallu rien discuter pour nous mettre d'accord à renoncer à notre aventure de chasse, vu tout ce que nous venions de voir, qui voulait être chasseur ayant tous les bolets pour se faire chasser ?

dimanche 21 avril 2013

L'HOMME SUPPLIANT

   Parmi les humains, les uns qui vivent à genoux, auront sa gueule à la hauteur du cul des autres qui se tiennent débout… combien de gueules pour tant peu de culs !


   L'homme est un suppliant si congénital qu’hypocrite qui supplie par tout : à fin de vendre, d'acheter, de faire l'amour, de vivre, pour ne pas mourir, demandant pardon pour avoir fait un mauvais tour jusqu'à qu'il fasse un autre, et même il a imaginé l'imaginaire, pour le supplier que, ce qu'il ne veut pour lui le passe aux autres (comme si cela devrait impérieusement passer) mais pas à ses proches, si ce n'est pas indispensable, parce que cela peut devenir une charge à lui.


   L'homme suppliant, congénital, et voilà le pourquoi hypocrite : parce que tout simplement ce qu'il aime vraiment est qu'ils soient ses congénères supplient, mais bien entendu à lui, d'où l'appétit débridé d'être riche, ce qui l'induit en autre, à être croyant en l'imaginaire, même étant conscient qu'il ne croit qu'en soi ; et nouvelle auto-tromperie de la congénitale, puisqu'en sachant lui que cette bizarre affaire de l'imaginaire est une connerie, il fait tout pour se prolonger sur Terre modelant quelque héritier à son image, au but que les suppliants supplient à celui-ci comme s'il fut.
    Ce qu'il faut faire pour ne pas se mettre à genoux !

vendredi 19 avril 2013

NOUS DE PETITS ENFANTS

    Presque toute animal de notre espèce montre de tout petit enfant, dès qu'il est surpris par la vie, et bien sûr de ses proches, les yeux ahuris de voir sourires forcés pour le fait, il saura peu à ce moment-là, si de pour qu'il fût nouveau dans l’ambiance ou pour que ce monde-là l'en ait pris par imbécile ; ses oreilles attentives dégoûteront du cocktail (tel que l'un fait par un garçon bavarois) de mots, qui venant de toutes les directions, se heurtent contre le fragile appareil auditif de l'ignorant conscient.
 
   
     Une fois que cette victime de l'abrutissement inconscient est capable de se faire entendre, avec une composition qu'il a fabriqué des morceaux pris par ici par là, pour tout demander à savoir, au ne pas recevoir par réponses que tout type d'infumables conneries ; cela ne provoque en l’inexpert fumeur, qu'il passe de l'état de se savoir ignorant à se croire sage.
 
   
    Il ne faut pas beaucoup s'efforcer, pour déduire du pourquoi, notre espèce dans l'âge apprentissage demande de moins en moins, aussi comme de plus en plus prétendons-nous bientôt nous constituer en maîtres de dire conneries. La source de la connaissance est lointaine et le chemin pour y aller pas commode s'il ne s'en fait en compagnie. La mauvaise compagnie de la concurrence a cimenté l'individualisme, ce qui nous est délaissé en nous habituant à nous désaltérer dans les eaux dormantes de la superficialité. 

mercredi 17 avril 2013

QU'IL Y VIENT LE LOUP

    Nous, les humains, avons l'habitude de pour signaler un méchant y parmi, faire allusion (par exemple) au loup, aussi comme pour signaler une bonne personne l'en faire d'un mouton ; pourtant, le loup doit autant chasser comme se défendre, surtout de nous, de soi-même, tandis que le mouton, qui paître bucoliquement de la vie, végétale, celle-ci qui ne laisse pas de l'en être, et à la vie portant tant de fils comme il peut, pour entretenir prédateurs tel que le loup, pour sauver la sienne après, celle-là de quelqu’un de ses fils, une fois avoir sauvé la sienne. 
 
   
    Alors ! Pour ne pas faire moi d'innovations, je ferai de l'usage traditionnel dans cette petite mis en scène, voilà : il s'agit d'un loup, qui chaque fois qu'il montrât sa gueule, on lui offrait du gâteau, le loup à chaque intention, il goûtait la friandise pour faire des compliments, même en considérant que le plus qu'omnivore carnassier, c'est de la chair de ce qu'il avait besoin. Le si gentil que reconnaissant loup, assez de tant apéritif recevoir, ce qui ne faisait qu'agrandir sa faim, le jour est arrivé, qu'ayant impérieux besoin de manger comme il faut, pour apaiser le rugir de son estomac, à faute d'autre chose, il mange la main de la stupide qui lui donnait des gâteaux…
  
   
    Ce qui veut dire, messieurs les politiciens, qu'en étant nous au XXI siècle, on ne peut pas se permettre, ni parler, ni moins négocier avec les inquisiteurs, ni beaucoup moins dans une République, laïque comme ne peut pas être d'autres manières, parce qu'ils prendront des ailes, lesquelles à plus grands plus difficiles de couper ; en autre il faut ne pas laisser de mettre la civilisation au jour, nous sommes trop de monde comme pour faire quelques-uns du dogme l’empire de la sans raison !

CROIRE

    Pascal Agenoux était un homme si fort croyant que bien se pouvait dire de lui qu'il était un professionnel de la croyance, et comme tout croyant comme il faut, pour ne pas mettre dans l'embarras la crédulité, tout cela qu'il devait savoir de cela en qu'il croyait, ce n'était que tout cela que ne fût hors de cela en concernant à « l'être suprême » dont il était l'essence de croire ; cela suffit. Il n'avait question à se poser, dû que tout ce qu'il fallait faire n'est que croire.
 
 
    Pascale Agenoux était arrivée à un tel point de sublime crédulité, où l'image de croyance était l'être suprême, qu'il l’avait oublié d'aimer ; d'aimer les siens, de s'aimer soi-même, d'aimer sa voisine Généreuse, surnom avec elle-était connue dans le quartier, sans doute cause de la générosité de sa structure, comme aussi d'aimer le dieu, celui-ci qui était généralisé pour tous ; les croyants vulgaires bien entendu, qui plus que croyants du tout ne sont que me-croyants.
 
 
   Pascale Agenoux se croyant ne pas avoir d'espace sur Terre à sa capacité de croire, du même que tout croyant possesseur de la vérité croit que son espace est au-delà de notre espace qu'il s'en est allé chercher ; espace dans l'espace pour développer sa capacité de croire et n'ayant pas assez de monter là-haut en esprit, il l'en est fait accompagner de son corps. Donc, là, à faute d'atmosphère, son corps s'est asphyxié. D'où l'on put se tirer que ce de croire trop n'est pas bon pour la santé. 

vendredi 12 avril 2013

DEUX AMIS À MOI, POÈTES-CHANTEURS

     J'ai deux amis par la Galice, cette belle d'Europe qui n'a reçu dès toujours visiteurs d'autres qu'envahisseurs en règle, en allant, elle, pour tout recours à se venger des maudits, cela de faire piqûres dans le cul de l'Atlantique, pour provoquer que ses eaux enragés fassent désagréables les séjours des perfides.
 
   
    Alors ! Amis que sont sujets, Mini et Mero ils s’appellent, poètes-chanteurs tous les deux, revendicateurs de vérités auxquelles ils ne donnent jamais par perdues… une soirée en causant moi avec, ils m'ont offert à lire l'un de leurs poèmes destinés à musiquer, lequel racontait que nous, les humains, avons beaucoup de plantes. 
 
   
    Le susdit poème m'a fait réfléchir moi (je ne saurais pas dire si le beaucoup que nous avons de plantes, mais réfléchir quand même) sur si est-ce que les politiciens de métier, les tricheurs de la justice ou les spéculateurs de la sueur des créateurs de la richesse, dont ces satrapes se baignent… toute cette sous-espèce sont-ils, tel que, le reste des mortels, soit humains, puisqu'en tirant de la similitude, dont les plantes deviennent vertes de l'effet qui, en elles font la chlorophylle, cause de la susceptibilité à n'importe quelle altération, comme aussi se passe dans les humains, en étant celle-là en nous provoquant par l'hémoglobine, pourtant en cette sous-espèce il n'a rien ni personne qui altère son insensible peau.

mercredi 10 avril 2013

LE TEMPS TOUT A CHANGÉ

    À l'époque dont j'étais jeune, quand on se passait d'un coup, le jour moins attendu, de porter culottes cours à pantalons, plus pour protéger de l'intempérie les pendules qui font griffe d'identité masculine, c'est le cas, pour sauver la honte maternelle, en les couvrant, puisqu'ils commençaient déjà se montrer, à l'avis de celle-à qui les avait fabriqués elle-même, par là-bas ; laissant donc leur fonction identitaire à une barbe qui commençait bourgeonner en même temps que la griffe se faisait détacher. Eh bien ! À cette époque-là, tes parents te menaient chez le tailleur, le même qui l'avait déjà fait le costume de mariage à ton père, pour qu'il fît un autre à toi, sur mesure évidemment, pour te conformer comme il faut dans les relations qui n'en fussent des tout terrain.
 
   
    À la fabrication, du dissimulateur couvre couilles, il y avait qu'en aller tant de fois, qui n'étaient peu, qu'ils fussent nécessaires chez le tailleur (tout un rituel) mesures et preuves, lesquelles semblaient ne s'arrêter jamais, au but d'adapter le costume à toi, dont le fils du maître, à ce moment apprenti, te regardait "le sadique" sans rien dire, mais bien se le pouvait lire dans ses yeux : moi, je te ferai le tien, tout quand tu t'en ailles épouser.
 
   
    Maintenant le temps tout a changé ; aujourd'hui tout s'est renversé, au lieu d'être toi, qui te fait faire un costume sur mesure, il faut que toi, tu t'adaptes aux mesures préétablies, sous les rigueurs de la mode, choisissant parmi les exposés dans le magasin quoi qu'il en soit, tellement que tu dois être, qui doit entrer dans les costumes qu'il y a, résultant qu'eux s’accouplent bien ou mal à ton corps, de te pouvoir mettre en valeur toi-même, en tant que bien fait ou déforme, dépendant si entre mieux ou pire dans le jeu de mesures qu'il y ait.
    
   
    Une seule chose, en tout cela qui concerne, m'a fait plaisir, qui n'est pas chose d'autre que le petit sadique au regard insidieux, il ne m'a pris des mesures pour lui se faire le sien.

mardi 9 avril 2013

PLEUVE? JAMAIS TROP!

     
    La pluie, l'eau, la vie… tombe, s'en offrant gracieusement aux gens, capricieuses plaintives autant de l'abondance comme de la faute, du bouillon de culture où se cuisine la vie…
 
   
    Pourquoi pas, ne nager là dans l'abondance, même s'il faut devenir poisson, Neptune grognon, sirène chanteuse, vivants, qu'être mourants, sous le poison sordide de la sécheresse.
 

lundi 8 avril 2013

MOINS DE MORALISER ET PLUS D'HONNÊTETÉ

     Ou bien Éole s'est rendu amoureux d'une bouteille, d'où d'aspirer d'elle, il souffle de si tourbillonnante façon que les vents mélangent tout, ou bien peut être soit que l’imbécillité ait pris corps de pandémie, à conséquence de la pourriture de l'air qui s'est stagné. Qu'il soit l'excès ou le défaut du vent, la question est qu'il n'y a cerveau, toujours qu'il fonctionne même sous minimums, qui soit capable de digérer des conneries telles qu'actuellement, les seuls à se faire écouter mettent à table.
 
   
    Les politiciens à faute de honte, se mettent à dire qu'il faut moraliser la politique… ? y parmi s'en faisant maîtres moralisateurs les immoraux qui ont tout pourri, desquels ont tout apprit lesquels se font appeler de gauche, auparavant dites classe ouvrière, dénomination qui aujourd'hui est absolument désuète ; ils sont maintenant "de la classe politique" les seuls qui ont le droit de se faire écouter de leur dadaïsme. Pour le peuple qui ose parler… ces subversifs ! les patrons des mots ont de leurs asservis, matons recrutés parmi des opprimés, pour les faire se taire.
     
   
    Messieurs les politiciens, ne moralisez pas la politique, ce qu'il faut, n'est d'autre qu'être honnêtes, ce qui ne se peut pas atteindre, en faisant du politique métier… allez-vous chier, professionnels de la misère des autres ; vous qui ne laissez la vache faire, ni faire vous la vache, elles ne sont pas coupables de vos escroqueries et laissez-vous s'il vous plaît, nous casser les pieds prétendant nous faire croire ce de vendre des pommes au pommier !

vendredi 5 avril 2013

L'ÊTRE ET LE GRIS

    Si quelqu'un me demandât quelle couleur est laquelle j'aime le plus, je n'en douterai à le donner pour réponse, tout de suite, « le gris » même en criant, pour blesser les oreilles aux sceptiques qui croient, sans le connaître, qu'il est triste.
 
   
    Le gris est la couleur de l'absence. J'aime les gens gris, celles-là qui se débrouillent parmi les gens toutes, de toutes les couleurs, auxquelles le gris, les gens gris, qui si bien peuvent les ombrer, couvrir même par instants, mais jamais les effacer.
 
    
    Le gris n'est pas, noir ni blanc, il n'est, dans tous ses tons chacun soit-il clair ou obscur, que gris. Un monde peuplé du gris, chacun y parmi, soit chaque personne, elle ne sera que « être » puisqu'on n'aura pas besoin de pour « être » être une couleur.

jeudi 4 avril 2013

ILLÉGITIME LÉGITIMITÉ

     Il ne peut le renard, s'appuyer dans aucune légitimité en se plaignant pour que les poules ne pondent pas, puisqu'il est illégitimité, pour beaucoup qu'il déclare que de cela dépend le futur de sa nourriture, au ne faire chose d'autre, en cela qu'aux poules concerne, qu'en remplir de ces volailles-ci son ventre, sans prêter souci, d'un côté que les poules étaient encore petites, d'où qu'il puisse tirer peu profit et faire autant, d'un autre sur auxquelles qui étant reproductrices, ce qui empêchera, même qu'il soit égoïste le but, de se reproduire elles, soit sa nourriture.
 
   
    Il sera donc, en tout cas, le pas moins vorace fermier à se plaindre de droit, puisqu'il, au moins, se préoccupe de s'occuper, d'autant accommoder, donner de manger, comme d'assurer la reproduction du poulailler.
 
   
    C'est une connerie, je le sais, le conte du renard et des poules, pour dire en retournant ce que je pourrais bien le dire en direct, mais il y a du temps allons-y : Messieurs de cette chose qu'on se l'en a donné en appeler « droite » taisez-vous s'il vous plaît, vous n'étiez pas légitimés à rien dire ; bien sûr les autres désorientés par ce qu'on se l'est donne appeler "gauche" ceux-là qui si bien ne sont grand-chose en ce qu'à décence concerne, ils feront peu ou prou, mais ils font quelque chose pour nettoyer la merde propre, et ce qui est plus ingrat, le gros tas de celle-là que vous avez laissé.