Coulaient
les mêmes fleuves, mais autres temps dont l’église était qui
fabriquait la peur, en annonçant la fin du monde, par exemple ;
les gens y allaient lui demander pardon pour leurs péchés (en
payant religieusement bien entendu) en vue de sauver leur âme ou
quelque chose comme ça.
Vraiment,
à cette époque-là et, selon quelle époque de l’année, les
spectacles étaient rares, donc, quelque chose comptait pour
s’amuser.
Maintenant,
la chose a changé, le spectacle est élaboré par les patrons du
« capital » pour eux y empocher davantage ; des
charlatans à gages attirent le public, qui en va non pour sauver
l’âme. C'est la poche musculeuse au-dedans du ventre ce qu’ils essaieront de remplir tant comme pourront.