samedi 31 décembre 2011

UN CYCLE SANS FERMER

   La vie est une éclosion douloureuse et traumatisant, déguisée pendant ses commencements de joie inconsciente, qui va muter, de son caractère égoïste, inhérente à la vie-même, à la générosité de se dévouer à l'engendrement d'autres formes de vie à elle semblables ; jusqu'à il y en arrive au zénith de sa croissance, où fertilisation faite, est preste pour s'en aller doucement par la route du repos, par où, au fur et à mesure que le temps passe, plus consciemment, elle poussera sur terre pour fertiliser cette fois : la vie tout entière.
  Malheureux, auxquels la richesse a empêché de se préparer au transit qui inexorablement les en va emporter. Comme à la douleur de ne pas vouloir partir s'y va rejoindre l'effroyable misère de la spoliation, de tout ce qu'ils sont devenus « habitants de leurs tombes » d'où leurs successeurs tireront des richesses qu'y ait en tant qui éparpilleront, par-ci par-là, leurs dépouilles auxquelles l’embaument subi les empêchera s’intégrer à la vie. 
 

    Il ne faut pas trop dramatiser, il y a des dépouilles profitables

mardi 27 décembre 2011

L'HISTOIRE, LE GRAND MENSONGE

    Qui ne sait, ou ne connaît, au moins par ouï-dire, cela de que l'information est pouvoir ? ce qui est, peut-être, tout près de la réalité, mais qui n'est pas réalité. Le pouvoir fait tout pour nous faire croire, comme vraie, l'information qui lui convient, donc, voilà « l'histoire » celle-ci « du grand mensonge » dont on peut nous vendre comme un honnête homme, l'un des génocides plus gros de l'histoire récente, fait qui s’aggrave considérant qu'il a éteint le feu libérateur, qui bien a pu s'étendre par tout une continente. La question est-ce que ce pyromane, en ce cas du Chili, qui travaillant tout en profit d'intérêts étrangers à ce peuple-là, d'où il a pris, bien sûr, un gros morceau du gâteau (les morts peu importent, pour personnes comme lui) mais la question ne s'arrête pas ici, ce type a même été reconnu avec le Nobel de la paix ; pauvre paix, que les aura-t-elle faits ? bien que ce prix, chaque fois moins, dit bien peu, il a été décerné, en autre, à un pauvre confident de la récente dictature qui a subi les peuples qui cohabitent dans l'État espagnol, ce dernier qui en plus est un reconnu plagiaire.
 
    L'histoire pousse si elle est donnée à connaître, c'est pour ça que « L'Histoire » est une gisante qui se pourrit en dans un lieu lointain inconnu ; de là que presque toute celle que l'on nous montre n'est qu'un conte de fades, servi par narrateurs idiots, ou bien par asservis payés de quelques monnaies (en course, pas anciennes) ceux-ci qui selon les besoins de leurs maîtres feront disparaître payses, cultures, fabriquer réalités des légendes ou des réalités faire légendes, aussi comme fabriquer des princes bons ou tyrans méchants… toute une grande industrie.
    Si vous aimez l'histoire, laissez-vous de conneries : ne lissez pas l'histoire officielle, et vous souciez-vous de trouver sources où vous nourrir de l'information, ou pourquoi pas inventez-vous l’histoire à votre goût, en plus de vous faire plus de plaisir, bien sûr qu'elle s'approchera plus à la réalité.

lundi 19 décembre 2011

TOUT SE PÉRIME

Une fois un vieil homme, pas sage pour vieux, sinon pour connaissance, qui bien pourrait être moi, sinon pour sage, pour vieux, m'a raconté :

      Un vieil homme voulant tout connaître, tout savoir, du monde qui lui entoure, le sien se l'avait fait court. Donc, il s'est allé faire une tournée par là. L'intrépide curieux commence sa marche tout doucement, pour mieux retenir tout ce qu'il voyait, mais sentant l'avance vers son objectif ne progresse plus guère, il hâte le pas ; mais le temps, impassible, pressant, ne se laisse point prendre. À l’intrépide curieux le restant encore de force, se met-il à courir, même résultat, il n'arrive à rien, le monde tourne, lui aussi.
      Le vieil curieux intrépide, à ce moment-là un peu plus intrépide, a appris de cet échec plus pour bon observateur que pour vieux, que les humains n'avons pas du temps matériel pour tout savoir, la vie n'est qu'un instant dans l'immensité d'un temps, dont elle s'y va périmer, par rapport à lui, trop tôt. C'est pour ça que les humains voulons être dieux, et sinon dieux, leurs serveurs pour que l'un entre eux nous serve à nous prolonger dans le temps.
      Cependant, les dieux se périment, eux aussi, en même temps que se périment leurs idéalisateurs.

dimanche 18 décembre 2011

CE PLATHELMINTHES CASSANT

    Qui mange, consomme, mais c'est indispensable, nous sommes animaux, alors, qui mange en excès, gaspille, ce qu'en plus de ne pas être indispensable de tout, endosse à la société d'un déséquilibre autant de denrées que d'articles de tout genre (les moins à plus gros prix que les plus, y coïncidant leur utilité avec le luxe inutile) cause de ce déséquilibre dû à ce que trop souvent les gros gaspilleurs, consomment beaucoup plus que produisent ; ce qui gravera le travail d'autres, qui non seulement devront-ils y accomplir le défaut, sinon qui les entraînera à l'indigence sociale : cette anomalie ne sera qu'un trou inachevé tandis que nous soyons dans ce système. 
    Qui produit plus que consomme, s'esclavage lui-même, en détriment d'autres qui ne veulent absolument pas être esclaves, et compte tenu que ce plathelminthe, que l'on en a donné en appeler pouvoir, de tout ce qu'il peut profiter, y profite, un système dont les satrapes sont bien asservis, autant par des esclaves ouvriers que par des esclaves gardiens de proie ; et nous par là, dansant au milieu de la fête !
      Cette maladie-là, pour l'appeler de quelque manière, ce qu'est l'origine en la croyance disciplinaire en dieu, à ces malades ou fiers fidèles, auxquels je respecte bien, comme je voudrais qu'ils nous respectent aux non-croyants ; ce que j’en prie, solennellement s'il l'en faut, qui se sauvent eux tous seuls, qui nous laissent aux athées, pécheurs s'ils le préfèrent, le châtiment divin. Ah ! et du vin, du champagne, des huîtres, du caviar… sommes athées, pauvres, pas mauvaises personnes, mais non idiots.

jeudi 15 décembre 2011

CAUSER ET ÉCRIRE

     Tout quand on se met à causer ou à écrire sans avoir un sujet préconçu, on doit se débrouiller sillonnant toutes les artères : avenues, boulevards, rues, ruelles du cerveau ; scruter par : cours, parcs, places, coins... pour tirer de là, la réalité ou le mensonge, créature créative en plus d'amusante et plus proche de la susdite réalité, avec laquelle entamer le monologue ou le débat, celui-ci qui ne sera que la somme d'autant monologues qu’individus il y a, comptant même comme dialogues le silence parmi l'exerce. Ce silence qui inquiète et énerve aux autres, de plus en plus à moyenne de l’affecté parleur est ; ce groupe qui lui regardera soupçonneux du coin de l’œil, jusqu'à l'intrépide timide, passé un temps et ayant bu quelques pots, prétendra l’innocent, faire usage de sa parole... il paiera de l’ire, la rancune qu'il a générée.
       Écrire n'a pas, bien sûr, de la sauce du dialogue, elle doit se manger à sec, bien qu'elle puisse se mouiller avec du vin, elle est le dialogue du misanthrope, ce qui ne veut dire, qu'elle puisse faire rigoler l'écrivain ; être misanthrope ne veut pas dire être dépourvu du sens de l'humeur.
       Les politiciens ne l'en ont pas, n'étant que l'humeur soit s'en moquer des autres.

mercredi 14 décembre 2011

CYNISME

    Je n'ai jamais écouté que personne n'eût dit que Diogène fût un inouï, bien que souvent l'aient haussé au sommet de le lui appeler fou, il faut avoir en compte que la plupart de monde ne s'en considèrent pas, ce même monde qui non plus dit du grand Cynique qu'il fût imbécile ; personne appelle à une autre de son propre nom. Avec tout cela j'y veux ramener sur le tapis la connue anecdote du philosophe qui s'était mis « chercher un homme » par les coins de la ville dans laquelle il habitait. De ce coup de pinceau que le maître a donné à la pensée, et qui émerveille à n'importe quelle personne « normal ».
    
 
     Je ne vais pas être moi, qui allait dire que si l'amour est égoïste, que si t'en met les allures d'idiot ou que si t'en fait faire des imbécillités ; ni je crois non plus que Diogène aurait dit rien non plus, mais je suis sûr que le maître sourirait devant telle éphéméride.              

lundi 12 décembre 2011

TOUT EST SOUMIS À L'OXYDATION


     
     Dans l'univers où navigue la galaxie, que porte de passagers, entre autres, le système planétaire où tourne la planète, où nous, les humains vivons. Dans cet univers, temps-espace à notre perception, tout vibre, alors, tout ce qui vibre, vivre ; circonstance qui fait naître, dans ses transformations dues à l'effet de l’oxydation consubstantiel à la vie, créant de ce processus nouvelles compositions de celle-là, en conséquence, comme tout ce qui naît, meurt, ou se transforme, il n'y ferait que répéter le cycle, tandis que l'univers soit à notre portée, bien entendu.
       Dans cet univers-là, le seul que nous pouvons arriver à entendre, tout vibre, dès la plus petite particule à l'univers tout entier ; dès le lonsdaleite, l'essence minérale plus solide sur la terre aux animaux vertébraux, peut-être, les plus faibles, parmi lesquels sommes-nous, les humains.
       Nous qui sommes doués d'une vue merveilleuse, d'une subtile ouïe, d'un odorat appréciable, d'un sens du toucher notable et pour couronner le tout, nous nous pouvons communiquer avec une indescriptible diversité de voix.
       Nous qui avons fait du plaisir des choses quotidiennes si indispensables à notre existence comme boire, manger ou forniquer, qui arrivant même à nous avoir rassasiés, ce qui nous a amené mépriser d'autres plaisirs tels qu’uriner ou chier.
     Nous qui tout avons cru, même le domaine de la planète où nous sommes et ne sommes jamais contents de notre existence, quelqu’un stupide a eu qu'inventer dieu ou quelque chose comme ça. 

dimanche 11 décembre 2011

DEUX, DES AMOURS

    Il y en a qui aime un autre, parce qu'il est comme il est, et, il y en a qui aime que cet autre soit à l'image de l'idéel de ce qu'il veut aimer. 
      Ce second concept qui se tient, sinon toujours, presque, dans le sein familier, dont de la racine « je t'aime bien, mais… », peuvent sortir tellement de souhaits, qui parfois font que cet amour soit une affaire impossible, devant l’impossibilité de les accomplir, en autre, parce que quelques-uns ne s'en vinrent jamais présenter dans une vie entière, à moins qu'on l'y rejoigne d'autre ou d'autres. Ceci qu'à moi, il me résultera difficile à comprendre, compte tenu, que je n'arrive quasiment à comprendre l'existence dans laquelle j'ai de la sorte de toucher, comme pour me mettre sus la recherche de la réincarnation. 
    bref : une mère, par exemple, aime son fils sous condition qu'il soit comme elle veut qu'il soit, et s'il ne l'en est pas. Elle pensera qu'il l'en est ; finalement elle est sa mère, c'est comme ça, l'amour maternel. 
    L'amour spontané, soit le premier concept exposé, dont je ne crois qu'il soit spontanée du tout. Les images prises d'avant, et dormantes dans le subconscient, ajoutés à d'autres que le temps a poussé pendant son parcours, ont façonné un idéel, sus lequel le portant, un jour, fait botter soudainement son amour tel qu'une sauterelle sur l'heureuse ou malheureuse élue (donne le cas, évitez-vous ne lui tomber sur un œil, elle peut rester borgne de pour vie), ou vice-verse, c'est-à-dire de l'une à l'un (il faut les faire attention, on ne se sait pas, je deviens politicien, et elles sont la moitié du scrutin).
       La question est que l'amour, peut-être qu'il soit domptage, égoïsme, ou pourquoi pas caprice, mais je ne crois qu'il n'ait rien à voir avec le hasard, en tout cas de la coïncidence.

samedi 10 décembre 2011

LA FOLIE ET LA MÉDIOCRITÉ

    La solitude que n'importe qui a eu le goût, ou le plaisir, de l'en faire par copine, vivant lui dans n'importe quel zoo où s'agglomèrent ses congénères, bien elle peut, et l'en fait souvent, devenir folle à cause de la misanthropie ; ce qu’à mon avis n'est pas toujours une maladie, conforme à ce qui s'entend comme telle pour beaucoup qu'on l'en prend, elle n'est au moins si pernicieuse que cela de la stupidité, dont les plus ne le tient pas pour défaut ni maladie, même étant celle-là, très, très contagieuse, et qui se transmit comme toute peste, dans la plus ou moins étroite relation qui s'en fait, en ce cas, avec les médiocres : un genre à profusion et en augmentation sans arrêt, parmi les habitants de ces zoos-là.
  
         
    Que la folie soit une maladie, je n'en doute que la plupart des fois ce n'est qu'un appellatif des médiocres, dû à, que tout cela qui s'échappe de sa courte orbite n'est pas normal parce que n'est non plus médiocre ; c'est comment ça qu'il y est le registre des poids et moyennes des stupides.
 
         
    La folie, je ne crois que personne l'en doute (c'est pour que vous n'en doutiez aussi) elle est créative, c'est-à-dire « vivant », toutefois, l’imbécillité, la stupidité ou la médiocrité, personne n'en douterait non plus (ceci pour vous ratifier) qu'elle est amorphe ; je ne sais pas si cette situation se peut définir comme survivant, bien sûr d'aucune manière végétative, les plantes donnent de soi quand même des fleurs.

mercredi 7 décembre 2011

COURSE


    Un homme voulu l'en faire une course au temps, dans l'espace.
     Parie faite, il s'est mis à courir, sans arrêt, à toute la vitesse qu'il pouvait tirer de soi :
      Mangeant de l'espoir
      Buvant de la soif
     Jusqu'à que, tout s'arrête, la machine qui mesurait le concours est tombée en panne, celle-ci était fabriquée par les hommes.
 

mardi 6 décembre 2011

HERMÈS, TROIS EN UN

    Si vous causez avec n'importe qui, qu'il se tienne pour illustré, ce type de spécimens, qui appartiennent au genre humain, qui entendent posséder culture ce de posséder de l'argent, aptitude si normal en eux, comme quand on est en train d’uriner, observer si elle est là, même en la tenant par le cou, pour faciliter la manœuvre, ces autoprétendus prétentieusement illustrés, qui donné le cas, qu'un interlocuteur demande à l'un d'entre eux, son avis, dans une situation qu'y concerne sur l'ancienne culture grecque, le sujet en question, y ira tout de suite se mettre dans la tenue adéquate pour poser, ce qu'une fois fait, il tirera de lui un air circonspect (pour cacher son ignorance). Malgré tout, il opinera, même s'il s'agit d’Hermès, que s'il était un dieu, que lorsqu'il était beau et l'on peut ajouter quelques anecdotes inouïes.
 
    Hermès, petit bonhomme, riche, trop riche pour être un homme bon, de sa richesse, dont je ne vais pas être qui te la vole, mais peut-être Hermès, lui-même, qui bien pourrait être ton dieu, le vôtre : celui des voyageurs, du commerce et des voleurs. Quels sages étaient les anciens grecs, qui ont fait des trois en un !

dimanche 4 décembre 2011

LES TIQUES ET LES AUTRES

    Le pouvoir consiste en qu'une petite minorité (il n'y a pas beaucoup de places), qui s'est tellement accrochée là, qu'une tique l'en fait sur un corps bien poilu, pour s'y dissimuler, au temps de s'installer hors des moyens que l'animal infecté ait pour se défendre d'elle. Cette, puissante, minorité, qui tout qu'en doit faire, pour se soutenir juchée dans sa cage d'or, est tout simplement d'empêcher la prolifération d'autres cultures qui ne soit que l'inculture ; ce qui ne veut pas dire, que les tiges soient cultivées, ils n'ont du temps à autre chose que ne soit d'avoir leurs têtes mises en leurs affaires.
       
       La culture est reléguée... la pauvre ! limitant sa condition, pour les masses, au classique cirque, dans toutes ses expressions, celles-ci souvent présidées magnanimement par les tiques, et pour ces dernières, « la pauvre » est cuisinée par quelques asservis, parfois bien payés ; cuira-t-elle au goût, horrible bien sûr, des patrons et servi sur plat d'argent.

mardi 29 novembre 2011

L'"ADJECTIVÉE" PEINTRE, DE ROYAN

    Une soirée à Royan, en me trouvant dans un bar (évidemment) à plus précision celui de l'Astoria (lequel je conseille à tout vivant qui se passe par là) en causant avec une amie peintre, elle m'a avoué, tout délicatement, comment seulement peut l'en faire une délicieuse fille, qui a bien été surnommée par l'affable Didi, un centurion du théâtre, à ce moment-là sans centurie, en un monologue dont la splendeur fut éclairage dans l'épaisse fumée de l’ambiant, du soupir de lui… ah la douce peintre ! Revenant à l'aveu de la douce, délicieuse et délicate, où il faut ajouter la belle ; elle dit (comme correspond aux adjectifs-ci) vraiment les humains sommes un animal laid, parfois horrible, si l'on se le compare avec n'importe quel autre, moi, elle poursuit (évidemment dans la même ténue). Elle n'aime pas peintre des humains, ce que j'adore est de peintre aux animaux.
      Écoutant ça je me suis pris d'une exacerbée envie de me mettre à aboyer, ou d'imiter n'importe quel autre animal pour qu'elle me fît un portrait ou un nu, par exemple ; il avait, à son dos, à ma face, un stupide miroir ; à ce moment-là je ne savais pas si reprouver ou remercier qui avait placé le stupide miroir là.

lundi 28 novembre 2011

TOUT CONTINUE PAREIL

    L'état actuel, à cause de la modernité, est venu, progressivement, mais inexorablement, à remplacer l'ancienne religion ; c'est-à-dire, les citoyens, non seulement nous ne pouvons pas nous en sortir de notre éternelle condition de contribuables, sinon que, devant le fastueux autel à la patrie, une, impitoyable et toute puissante dont il faut, sous peine d'impitoyabilité, l'admettre comme « une » démocratie ; ce qui veut dire, que le jour que les nouveaux prêtres convoquent élections -ceux-ci de la patrie, bien entendu, les uns parmi les autres élus, à partir d'où, ceux-là qui n'étaient touchés de la dignité que leur donne le plébiscite, irons-nous former partie du chœur. Comme j'étais en train de dire : ce jour-là de la convocation aux urnes, les bons citoyens, qui auparavant croyaient en dieu (aujourd'hui, ils sont obligés à croire en la démocratie) devront s'abstenir d'en aller chier, pour déposer le papier destiné à se nettoyer, dans les susdites urnes, et par l'art de la magie, voilà démocratie faite ; ce qui n'évitera pas de suivre sous la peau de « contribuables » en bénéfice des nouveaux prêtres.
      Quelle mauvaise vieillesse l'est devenue à l'église, qui l'en allait dire ! elle, si impitoyable, toute puissante, une aussi, mais de l'un. Cette démocratie qu'y est venu tout gâcher. Elle restera un simple annexe, corps de contrôle, tandis que les idiots qui l'y restent fiers, ne s’intègrent au gros groupe d'idiots : fiers, eux aussi, à la patrie.

dimanche 27 novembre 2011

DE L'AMOUR ET DE DIEU

    L'amour est comme dieu ; alors, si n'importe quel d'eux vous rend service, même qu'il soit en vous taquinant, ça marche ; par contre, s'il ne vous apporte rien, tout simplement, personne ne saura qu'il existe ; mais attention : il faut ne pas confondre, ignorer l'existence avec l'inexistence, dans le sujet-ci, l'amour ou dieu, uniquement ignore celui qui croit, qui ne croit pas, il sait qui n'existe rien. 
      La différence entre l'amour et dieu, c'est que de dieu, il n'a eu personne et l'évidence nous signale qu'il ne l'aura jamais, qui démontre son existence de façon palpable ; l'amour par contre, il est là, il se peut toucher sur la structure d'une femme, que nous le voulons ou non, nous vivons dans un monde matériel dont la frontière d'entre la naissance et la mort est l’immatériel, c'est-à-dire, le néant.
      Si vous Mesdames et Messieurs, qui croyiez fermement en dieu : juge absolue et impitoyable, qui, en conséquence de vos actes, dans cette vie matérielle, d'où, il va vous rapporter de la bienséance éternelle…
       … merde ! êtes-vous tout simplement honnêtes, est-ce que vous croyez que l'on peut se croire que vous croyez en dieu ? Si c'est comme ça, vous soyez plus idiots de ce que l'on se pense, petits cons, vous vous étiez en condamnant, vous tous seuls. Pourquoi sinon vous, les plus croyants en dieu, en plus de vivre comme lui, en faisant tout pour malmener aux pauvres honnêtes athées, qui n'ennuient personne, que tout ce qu'ils aiment est de rigoler, de toucher la contraire… Ou l'inverse (les femmes aujourd'hui ont perdu la honte).
      Je vous en prie, ne nous sauvez pas ! sauvez-vous ! Vous le méritez.

jeudi 24 novembre 2011

LES MIROIRS DES BARS


      Toute personne se croit, ce qui est intrinsèque à notre nature, qu'elle est l'image de cela qu'elle veut être, en réalité si ses affaires économiques ne marchent pas, comme elle croit qu'y devraient (ce qui, par beaucoup qu'à l'avis des autres, soit de "prétendue" bienséance, ne l'en sera jamais à l'insatiable) la susdite personne, fier de soi, sera, en autre, fortement convaincue que les coupables de ses échecs sont les autres.
       Alors, si vous voulez savoir comment soyez-vous vraiment, arrêtez donc, de vous regarder dans les miroirs chez-vous, ou de n'importe quelle salle de beauté : ils vous tromperont, ils sont viciés… allez-y dans n'importe quel bar (un bar comme il faut, pas de conneries) et là, par un trou, dont les bouteilles vous permettent de regarder le miroir qu'elles cachent, cherchez vos yeux : vous y verrez ce que vous étiez ? Je vous assure que, vous serez mécontents de tout, de ce que vous aviez vu, d'ailleurs parce que, en l'étant, cela voudrait dire que vous seriez contre nature : la vie n'est qu'une constante évolution, il est dommage que celle-ci soit de la stupidité.
       Seulement, qui arrive à vieux, et pas par la sagesse sinon par vieux, se conforme de ce qu'il est, puisqu'il sait qui est, et jusqu'où il peut toucher ; qui ne l'en sait pas, pauvre homme (ou femme) il est arrivé à vieux (ou vieille) sans évoluer.

mercredi 16 novembre 2011

CONCLUSION SUR: DES POLITICIENS ET DES PORCS

    Une sérieuse étude d'un psychologue généticien, libre-penseur lui, qui travaille depuis longtemps sur les relations humaines dans l'affamée place « do Campo » et rues adjacentes, dans la ville de Lugo en Galice, cet endroit, en sont ensemble bien assortis de bars (l'un dans une maison, l'autre dans l'autre et ainsi de suite) ceux-là devenus amphithéâtres où ce maître penseur expose et débatte sur son ouvrage, avec d'autres insignes professeurs très versés en tant de matières comme ils sont. 
      Ce sage intellectuel-là (mettant en danger son intégrité physique, personne l'en doute, ils sont plus les amphithéâtres qu'il y a dans le susdit campus, qu'on le peut croire) puis de beaucoup de magistrales séances, il est arrivé à la conclusion que : avoir un politicien chez-soi c'est comme avoir un porc ; tous les deux sont si insatiables, qu'ils avalent tout ce qu'on se laisse à leur portée. Pourtant, aux porcs après d'un temps, on se les prend en affection, et non seulement parce qu'ils soient beaucoup plus intelligents, ils sont aussi beaucoup plus reconnaissants, étant même capables de te faire une caresse après de les avoir donnés de manger.

lundi 14 novembre 2011

DEUX RÈGNES

    
     Dans le règne de ceux-là, qui ont de l'esprit d'être libres, il faut qu'eux-mêmes se révoltent pour établir la République.
 
     
    Dans le règne des médiocres, le mieux est les laisser tous seuls tels qu'ils sont dans la royauté ; il ne se doit faire d'autre chose que leur empêcher d'y sortir, ceux-ci sont, eux-mêmes, la pire peste, la plus contagieuse, pour laquelle le royaume sera le mieux antidote, il sera leur, et son propre abattoir.

dimanche 13 novembre 2011

PAUVRE MISÈRE


       L'humanité, depuis qu'elle a été jusqu'aujourd'hui, n'a été capable de fabriquer qu'une société dont, la seule valeur est celui de l'argent, à n'importe le prix qu'il en soit ; ne nous faisons pas tromper. On se paiera de la dépouille du gibier peuple. La faim d'argent a laissé hors de jeu le concept de l'avare classique et même du puissant dans ce terme.
       La culture, le seul facteur qui nous devrait différencier des autres animaux (fait à part de la physionomie, bien que ce ne soit pas toujours une exception) s'est allée laissant à mains des manipulateurs, qui ont fait d'elle un gros affaire, en plus d'un fort outil à étourdir les masses.
       La richesse est elle-même un grand piège, ceux qui la possèdent font d'elle une impudique ostentation à l'égard de qui ne l'ont pas, auxquels l'envie les fait la souhaiter, au lieu de la combattre ; quelqu'un l'obtiendra ? peut-être ! voici où est le leurre, ce qui fait soutenir dans sa place à qui l'en ont.
       La moralité appropriée par les grands supermarchés « tout à vendre » avec l'inestimable aide cette nouvelle mode de la mondialisation et l'acquiescement d'un peuple endormi, de laquelle les prêtres de ces grandes aires font la plus grosse affaire jamais imaginée, dont il n'a pas d'autre transaction à faire, que vendre de l'inexistence de l’inexistante, dont seulement les immorales ont des moyens de se payer la grâce d'être moralement purs. Les pauvres pour être moralement acceptables (pas purs, purs du tout) ils doivent accepter les choses comme elles leur y viennent, bien qu'ils puissent avoir de l'espoir de devenir riches ou mourir en grâce de dieu : il pourvoira… des vers, bien sûr !


samedi 12 novembre 2011

CARESSER, POURQUOI PAS?


    Toute fois que les dieux nous regardent dès la hauteur, là où notre imagination les a placés, ils nous verront petits, misérables, gênants et pourquoi pas répugnantes ; ces appréciations que nous prenons, les humains, ne les avons inventés que pour être dieux nous… lesquels y arrivent.
    Si nous caressons la déesse mère Terre, elle, si près de nous, qui même se laisse rouler par nous, nous soutenir ; de nos caresses nous recueillerons leurs fruits, d'où, en le soigneusement traitant, obtiendrons le dieu Élixir, son fils. Ce Dieu si proche à nous, qu'il est qui nous invite à nous le Lui regarder, à nous approcher à Lui, le caresser de nos lèvres, de le mettre en nous, de l’humaniser pour nous humaniser.

vendredi 11 novembre 2011

POLUTION SONORE


      Dans n'importe quelle ville du monde moderne d'aujourd'hui, dans laquelle la vie soit acte pour d'autres animaux, en plus des « êtres », parmi ceux-là, aux oiseaux la pollution luminique, à laquelle il faut ajouter le chauffage à l’ambiance, les affecte de façon que pendant l'hiver étant les nuits plus claires que le jour, chantent-ils à ces heures prenant l'une par l'autre, et, il n'est pas le cas sympa, comme auquel, dont Tati dans le film « Mon Oncle » qui taquine l’oiseau de la voisine avec le reflet du verre de sa fenêtre ; cette question-là est plus sérieuse : les oiseaux se sont devenus fous, résultant l'augmentation de leur pollution congénitale, par la faute de repos de celle-ci, causée par la non-émigration des adorables ovipares, et à laquelle ajoutent de la pollution sonore, ce qui était de sa main.
 
      
    Les « êtres » pour nous mettre en garde, de tant de pollutions, la nuit, nous fermons les volets, et, nous taponnons donc les oreilles ; le jour, nous ne faisons que faire exercice de notre, sinon congénitale, irrévérencieuse imbécillité.

mercredi 9 novembre 2011

LA SAGESSE DES BÊTES


      Je n'ai jamais vu un chien pisser contre une plante armée d'épines, ou contre des orties, au moins en cas de l'en faire, ils ne s'approchent autant comme quand ils posent leur miction sur n'importe quel bouquet de fleurs et est évident qu'ils pissent plus à leur aise sur les fleurs, ou plus près d'elles, que des susdites plantes-là, pour mieux nous entendre, non pour qu'ils haïssent les fleurs, ni non plus, à qui en préfère le penser, pour les chiens se parfumer en frôlant dans les soyeux pétales de celles-là leurs roubignoles et annexes, pas de tout. C'est pourquoi, à faute d'humaine intelligence, la sagesse que les bêtes ont. Il se peut étendre à tous les autres animaux qui n'en sont pas « êtres » ne leur permet se butter contre la même pierre plus d'une fois.
 

lundi 7 novembre 2011

PUNIR LA PUNITION

    On ne s'est jamais parlé tellement de la permissivité, de l'entendement, de la culture, de la solidarité, de la compréhension et de quelques considérations comma ça, que dans ces temps-ci ; donc, il est aussi vrai que ces mots ne sont jamais restés, pendant ce même trajet temporel, qu'en mots, mots que, il faut remarquer, font de la bonne vie à un restreint groupe de prôneurs, auxquels ne les importe pas d'ajouter d'une autre charge sur le dos de leurs concitoyens (les mêmes de toujours, soit, la classe travailleuse) pour faire qu'ils font sur la peau d'autres dénués d'ailleurs ; ils sont, en autre, mi-aveugles : ils n'y voient pas tout près d'eux.
       Le jour que les victimes de ces charmeurs de fausses illusions se réveillent du léthargique songe (si c'est que celles-là arrivent se réveiller) qui les tient pris dans l'impassibilité ; le jour que celle-ci laisse d'être un mot (si c'est qu'elle y laisse) que personne s'étonne donc, qu'ils, les ouvriers, prennent d'une fois ces faux intellectuels et les embrassent en compagnons de travail. N'étant point cette fois, le travail, un mot.
       Si le travail est une punition, tous à lui, sans les dépenses inutiles des inutiles, peut-être sinon une joie, quand même, une douce punition.
       Des politiciens, il ne faut rien dire, je les emmerde, vous, vous faire ce que vous voulez.

dimanche 6 novembre 2011

MEA-CULPA

     Nous avons hérité un bizarre sens de culpabilité de l'époque dont, l'Europe s'est donnée en appeler « colonialiste » parce que les satrapes-esclavagistes qui n'ayant presque personne à exploiter ici, se sont allés chercher nouveaux horizons où exercer leur métier ; à cette époque-là, les honnêtes gens de l'Europe se mouraient de la faim, car l'église et leurs pieux acolytes faisaient proie de leurs denrées, des femmes si elles étaient à leur goût et des garçons pour divers emplois ; c'est-à-dire, comme aujourd'hui si l'on se laisse aller.
       Je ne me sens point coupable, des bêtises que les colonisateurs européens ont fait, même en trouvant dans les affaires de quelques ancêtres... je n'ai jamais exploité personne ; toutefois le colonialisme m'a exploité moi. Il est aussi en train de l'en faire comme à la plupart des populations par-ci par-là : le colonialisme en plus d'être intemporel ne connaît pas de frontières.
        En ce qui concerne aux pays victimes du colonialisme (n'oublions que nous l'en sommes aussi) si leurs patrons auparavant ne l'y ont fait subir dans d'autres, leurs populations ont subi, tout à fait, de l’exploitation de leurs propres satrapes. Le colonialisme comme l'esclavage n'ont arrêté jamais de s'exercer, soit d'importation, soit d’exportation, soit en régime interne, ils sont les formes qu'ont changées.
 
     
     Il faut apprendre de l'histoire, se laisser de conneries-miséricordes-plaintives, revendicatives de quoi, et à qui. Est-ce qu'on peut se faire, des affaires, avec qui a fait de sa vie une affaire ? L'affaire de l'homme d'affaires sont les affaires ; ce monstre que nous, l'humanité, avons créé. Peut-être la seule manière de le combattre sera l'oublie, de notre négligence à lui, il ne peut pas faire des affaires. 
 

samedi 5 novembre 2011

L'EAU CIVILISÉE

    Qui ne se bat pour un verre de vin, ne mérite que boire de l'eau ; et n'est pas pour mépriser l'élément incolore, inodore, transparent et insipide, qui assez disgrâces elle a, sinon pour le mettre en valeur, valeur ajoutée, bien entendu, face à qui ainsi ne la veut point profiter.
        

       L'eau, le sang qui l'en donne de la vie à la plante qui offrira le fruit, où le porteur de l’hémoglobine aura son plein splendeur, duquel les maîtres en la matière vont élaborer du vin, qui se servant, à nouveau, de la nature en sa dimension « temps » conjugué avec leur savoir-faire, avec tout ce, qu'ils apporteront de la grâce au complexe élixir qui ouvrira nos esprits à l'amitié.