vendredi 31 mai 2013

UN TRÉPAS QUI M'A RÉVEILLÉ UN SOUVENIR

    L'homme pleure par être homme, du même que son intelligence le pût à sourire aussi comme la stupidité le fait rire. La femme, par contre, ni pleure, ni rie, ni même sourit, que pour faire du mercantilisme de n'importe quel de ces trois exercices, quand non de tous les trois ensemble pour faire plus gros affaire.
 
    
    Attention messieurs-dames féministes tous, surtout, à chercher coupable ailleurs, parce que ces mots ni sortent de mon cœur, ni d'une rancune que je n'ai pas ; je les ai écoutés il y a longtemps, tant comme j'ai connu le déjà, à l'époque, un vieux sage indien, quand le hasard en passant par son pays, m'a fait faire connaissance avec lui ; et duquel maintenant je viens de recevoir la nouvelle, c'est pour cela que ses mots retombent dans ma tête, de son trépas… ceci qui ni m'a fait rire, ni sourire, ni même pleurer... la tristesse a soudain baisé le rideau.

lundi 27 mai 2013

L'HÉROS, LES ROSES ET LE VIN

    Tout lequel qui n'a pas besoin d'arroser des roses, il s'arrose du jus du fruit le la vigne ; celle-ci qui en étant sœur du rosier, lequel étant à son tour père de la rose, ce qui fait la délicate fleur cousine de l'exubérant raisin, c'est-à-dire quelque chose tel qu'une Iliade végétale, dont au supposé Achille, laissons-le en animal, mammifère, soit homme, pour cela de l'autonomie mobile, les sens, tels que ceux-là du goût, olfactif et de la vue, aussi que, même qu'il soit pour le casser les pieds, du toucher et de l'ouïe.
 
    
    La question est que le nouvel Achille (mammifère lui comme l'ancien) héros celui-ci de notre temps, qui de tant recueillir des roses, délicates roses, de pour ne pas les pétrir, en les prenant par la tige se pique-t-il les doigts ; tout pour après les laisser se faner elles toutes seules à faute d'autres mains (délicates) à qui les offrir. Pour si ça n'était pas assez, les chants de sirènes inondent les oreilles du nouvel Achille héros de notre temps, lequel se fait inonder du jus du cousin des délicates fanées, pour ne pas laisser en lui, coin où l'écho des chants des sirènes résonne.

dimanche 26 mai 2013

DE LA PEUR À LA MORT AU DÉGOÛT À LA VIE

    Dans des conditions normales, les personnes que l'on considère en tant qu'animaux civilisés ; comme aussi n'importe quel autre animal de n'importe quelle espèce, ceux-ci qui si bien ne soient pas dans le concept des civilisés que nous prétendrons être. Ce qui ne veut dire qu'ils n'en donnent forme à sociétés (celles-ci qui si bien leurs évolutionnismes sont différents au nôtre, qu'est-ce que c'est ça ?) sans lesquelles, en autre, ils laisseraient d'exister (forniquer est plus qu'amusant) nous tous, êtres vivants, comme j'étais en train de dire, avons peur à la mort, ou au moins en étant vivants, ni personne ni animal autre, vendons bon marché notre propre peau.
 
   
    Depuis que la vie l'en est, elle de soi conditionne tous les nées à vivre… la mort n'est d'abord qu'une inconnue et tout vivant qui par nature se montre méfiante à tout inconnu, il ne fait exception de la mort, jusqu'à on fait connaissance avec, ce qui petit à petit devient une habitude laquelle renforce des liens d'une bizarre amitié. Je vous avoue que de ce que j'ai tristesse, plus que de la peur même qu'à la propre morte. C'est de ceux-là qui, sans avoir vécu presque, n'aient pas peur à mourir.
 
   
    Vivre la vie, qui n'est qu'une école durant, où toutefois que le vivant est arrivé au temps du licenciement, il commence faire de la connaissance de la mort, à partir d'où les licenciés, même sans la désirer, ils sont prêts, soit bien pour ennuyeusement, soit pour lassitude d’atteindre la fin de ce délirant voyage de la mort par la vie, quand non forçant exprès le désir de s'y arrêter.

samedi 25 mai 2013

NOTRE JEUNESSE N'EST QUE NOUS

    On s'écoute dire souvent, trop souvent à mon avis, peut-être pour esquiver un problème de tous, que notre jeunesse qui demain sera nous, qui si elle vient une tordue, à manière d'un doux introït, pour à la suite charger avec des mots agressifs tels que : fainéante, maladroit et d'autres délicatesses, pour après les honorer, sans s'en faire rougir, de médailles telles que de l'imbécillité, l'ignorance, et jusqu'à cela du fascisme (comme que si le fascisme puisse être de lui-même tout seul, ce qui en autre serait signal d'intelligence en lui, même si pas trop, intelligence quand même). 
 
   
    Il y a beaucoup de gents, tout semble, qui ne veulent pas voir en nous, le miroir où se regardent nos futuribles, ceux-ci qui ne sont moins fainéants, imbéciles ou ignorants, que cela qu'ils voient en leurs progéniteurs ; l'autre, ce du fascisme, n'est que les champignons qui pullulent dans la faute de nettoyage de tout ceci qu’imprègnent ces miroirs-là.
 
    
    La jeunesse n'est ni si bonne que quelques parents insensés la peignent, ni si mauvaise que quelques-uns aux âmes impassibles la veulent voir ; la jeunesse n'est chose d'autre que tout cela qu'elle a appris de ses grands, soit de nous tous (il faut que je constate, que plusieurs en se regardant mon miroir, au lieu de se faire imbéciles se sont fait fous… un honneur !). Leurs grands, soit nous, qui peut-être à cause de la conscience perdue de notre animalité, et au ne pas assimiler bien du tout la technologie, personne ne veut reconnaître l'ignorance en ce que nous croyons nous différence des animaux autres, cela qui nous a fait nous faire dieux, bien que l'on soit en cachette, pour en cachette dissimuler notre ignorance, comme nos ancêtres (beaucoup plus humbles) les ont créés de la sienne.

jeudi 23 mai 2013

LA SOLITUDE; NOTRE GEÔLIÈRE

    Pour peu qu'on laisse vagabonder l'oreille, par ici par là, on écoutera partout, tout le monde, soit à cris, soit modulant la voix, soit marmottante, soit souhaitent le désir de vouloir s'échapper de la solitude ; comme qu'elle fût la geôlière de l'amitié, de la compagnie.
 
    
    Les têtes, les nôtres, abandonnent le plaisir de la convivialité, aux dictées de n'importe quel dogme, et, compte tenu que la doctrine n'est qu'une chaîne de production au profit de leurs prêtres, ceux-ci conviennent que l'exercice celle-là se place, dans les mâles, là-bas où la faute d'air étouffe la pensée libertaire.
 
    
    Pourtant, dans les femelles, le dogme leur a laissé la faculté de n'avoir besoin de tête autre que de se faire de celles-là de leurs partenaires ; n'importe pas où elles placent leur étalage (autre faculté qu'elles ont acquise) les abrutis se feront jusqu'à vautours pour y aller se l'en prêter volontiers. 

mercredi 22 mai 2013

IL A PU ÊTRE COMME ÇA

    Depuis cette époque-là perdue dans la nuit des temps, dont l'humanité a commencé voir sans voir, qu'il y avait d'espaces dans l'espace, tellement l'espace n'en fût qu'une profusion d'espaces, infinies pour que notre misérable convoitise n'arrive jamais à voir le but, le voilà ce qui nous a fait imaginer dieu.
 
   
    Une fois que l'on a tiré dieu de l'imaginaire, on l'a placé à l'inconsistance, pour nous nous tenir à la consistance, laissant aussi l'inconsistance en prix, auxquels y parmi, ils soient dépourvus de consistance, pour pouvoir accumuler celle-ci, ceux-là qui se sentant patrons, cela les a faits se croire (comme nous tous presque) que consistance et inconsistance se puisent réciproquement tenir ou non tenir.
 
   
    Quelque chose qui ne devrait se passer, si bien qu'en se déroulant, elle fait comprendre l’incompréhensible, ce qui n'est que les plus pressants à croire en dieu, ils résistent s'aller chez lui ; généreux messieurs-dames qui laissent place aux pauvres dépourvus… mais attention tous ! quand la vie commence nous montrer que tout n'est que fumée, personne n'arrivera, le veut ou non apprendre, apprendre la leçon, d'abord parce que la mort est fugace, et après il n'y a d'autre, la leçon ne servirait à rien.

mardi 21 mai 2013

RENCONTRE AVEC UN VIEUX CAMARADE

    En sortant d'un bar (ce qui bien pourrait être en entrant) je me suis trouvé avec un vieil ami, gauchiste évidemment, compte tenu qu'en étant vieille l’amitié, ne pouvait pas être d'autres façons dans une époque, dont l'amitié se cuisinait dans le même pot que la pensée.
 
   
Mon vieux camarade, le premier qu'il m'a fait savoir tout de suite, c'est célébrer le rencontre, d'une pétillante logorrhée, pendant ce temps dont le garçon ne nous met le pétillement dans les verres, c'est qu'il garde fort la pensée d'autrefois ; ce qui ni me surprend ni laisserait de me surprendre, durant un temps dont les ventres reconnaissants dérivent facilement sa route vers qui leur donne des gâteaux à présent, pour leur occulter la faim des autres, aussi comme de leur propre avenir.
 
    
La question est que mon vieux camarade, depuis que j'ai pris le tour de la parole, et vu que le pétillement est déjà dans les verres, je l'ai fait bouillonner d'un air pusillanime, ouvrant ses petits bras au temps que les gros doigts des aussi petites mains, tels qu'en ferait un curé prostatique réussissant à pisser grâce aux pilules, qui pour ne pas se l'en donner à la science se l'offre à dieu. Le vieux révolutionnaire devenu prêtre, prône : dans tout parti politique, il y a des nuances, donc, il faut les conjuguer avec la modération, le dialogue… mon oreille s'était étouffée ; ma bouche, aspirant d'un bel air italien lequel je ne sais pas comment est-ce qu'il y était arrivé, crache : va te faire foutre ! — Pour continuer le dialogue avec cette modération-là, comme quoi s'il la priât ; tandis que vous conjuguiez, les riches s'en font plus riches et les pauvres plus pauvres, et tout parce qu'ils ne conjuguent point, d'abord parce qu'ils ne savent pas, mais multiplier oui, ils savent bien.

lundi 20 mai 2013

LE MAL TOUCHÉ ESPRIT DES FEMMES

    Toutefois, que la partenaire, avec laquelle vous étiez disposés, un temps qu'en principe est tout, partager bonheurs et malheurs durant, elle va tout faire pour choisir vos amitiés plus intimes, même y parmi les vôtres, il faut que vous prêtiez attention, puisqu'elles ne l'en feront qu'à leur profit, et plutôt pour se renfoncer vers vous ; donc, lorsque vous aviez perdu femme, vous perdrez ces amitiés, comme auparavant vous avez perdu celles-là qui étaient les vrais, lesquelles qui évidemment ne s'étaient adaptés à son jeu.
 
    
    Il ne faut point mettre face aux femmes s'y affrontant, tellement quelques mauvais entendeurs prétendent et font ; par exemple "l’archiprêtre de Hita" puisque ni lui-même l'en a fait à malveillance sinon pour faire critique de toute une époque, comme elles ne sont plus malveillantes que leurs congénères ; l'histoire de leur esprit mal tourné n'est que cela de nous tous les animaux humains.
 
     
    En autre, il faut éclaircir, les propres femmes ont dans leur genre leur pire ennemi, puisqu'elles mettent le même savoir-faire de l'art de la tromperie, dans leurs amies qu'elles font dans leurs partenaires masculins, soit que dans la chasse à leur pauvre victime congénitale, quelqu’une pût prendre mieux gibier que le sien, ce qui est congénitale aussi à elles. Le mieux, c'est de se garder hors de sa portée et les laisser faire.

dimanche 19 mai 2013

GÊNANTE ET INDISCRÈTE IMPATIENCE

    De la patience, laquelle est perturbée par la gênante et indiscrète Éris en se mettant entre les amoureux les faisant devenir impatients (aux fils des dieux, d'elle-même, ses frères pourquoi pas ; pourtant ses sœurs, soient-elles filles des dieux ou d'elle-même, ne s'impatientent jamais) pour gâcher son désir, un sage a dit :
 
     
    L'amour qui n'est pas conquête sinon désir, comme tel il faut le tenir, puisqu'en considérant sa conquête le but, l’échec qui dans celle-ci en devient ou conquête... peut-être ? C'est affaire dont l'impatience ne commette point d'erreur, ni dans les chassés dans le premier coup, ni dans les qui se sont fait cette première impasse, pour les gâcher leurs illusoires esprits.
 
   
    Il faut aimer toutes les femmes (autre sage a conseillé, pour que personne ne reste, ou lui-même, sans caresses de femme) filles en tant que filles, mères en qualité de mères. C'est ainsi, comme tous, nous pourrons partager tout le reste dans les affaires de l'amour.

vendredi 17 mai 2013

DISCRIMINATION AU VIN

   Il est inconcevable, il est inadmissible, il est intolérable ; somme toute (et plutôt pour que non tout commence par in… bien que sans pouvoir éviter que cela finisse en… able) il n'est pas présentable, que l'aberration est la courante abstème, celle-ci qui impose son critère sur cela, dont on définit la composition du corps humain, en tout qu'au liquide l'y correspond ; en plus d'un 65 % de l'eau, on dirait que le vin, père de toutes les boissons, en ce qu'aux gens normaux y correspond, fusse fait de saucisson.
 
     
    L'eau ! L'eau ! L'eau… bien sûr qu'elle est importante quoi. Y parmi d'autres choses, pour humidifier la terre, dont les vignes l’extrairont réconfortée, parfumée, goûteuse, spiritueuse : soit le vin, qui pas seulement fait pour ce plus de 65 %, sinon qu'anime notre complète intégrité.

jeudi 16 mai 2013

NOUS EN TANT QUE CAPSULES ADN

    Où s'est formé, ou d'où vient l'ADN ? … Qui le sait ! La question est que nous, autant que n'importe quelle autre forme de vie, ne sommes que capsules dont l'immortel prend auberge par un temps, dès où il se déploie de tant manières possibles, tel que la propre reproduction des capsules.
 
    
    Nous, simples capsules, mortelles, pour nous faire de l'importance avons inventé, d'abord dieu, jusqu'à s'est fait insoutenable la chimère même pour les capsules de médiocre imagination, parmi lesquelles, celles-là qui ont fait semblance d'y croire, il n'est que pour se croire elles-mêmes dieu, ceci qui est dérivé en le plus concurrencé métier. Puis, en changeant de style de nous faire importantes, les trailles d'immortels, soit nous, en tant que capsules, nous sommes mis à regarder les pièces du puzzle que les composent, tel que sages observateurs, sans jamais reconnaître qui sont elles-mêmes qui se regardent tellement en ce qui nous considérons un miroir.
 
   
    Vraiment, nous, en tant que capsules, ne sommes rien ; la vie, la nôtre, n'est qu'une éphémère inquiétude.

mercredi 15 mai 2013

UN DIEU ATHÉE

    Depuis longtemps, juste dès qu'un ami à moi, auquel sa faute d'intelligence la compensait une immense bonhomie, m'a fait lui promettre (sous la conjonction où s'étaient trouvés une féroce langue de bois, en ce qu'à moi concerne, et une subite attaque de bonté, auquel mon ami n'a pas survécu) que je ferais tout pour trouver dieu ; à ce que moi, autant comme n'importe qui n'en étant croyant en aucun, on se tient à promesse faite, puisqu'en cas de la rompre, on n'y a pas dieu à qui demander pardon, et, dans les mêmes circonstances promesse fut faite, je me suis dévoué à elle, ce qui n'a que fait doublement dégoûtant le temps que je l'ai dédié.
 
    
    Dans la recherche de dieu, je me suis passé par tous les Olympes (ou quelque chose comme ça) imaginables ; combien de despotismes, népotisme, autoritarisme, et d'autres… "ismes" de rancœur, vengeance, haine et prépotence, j'ai vu par les uns les autres, dont les pires étaient les monothéistes, ce qui n'est pas bizarre, ces dieux s'ennuient de façon dont je ne peux pas la décrire.
 
   
    Les choses marchaient comme ça, jusqu'au jour est arrivé, dont j'ai décidé de donner fin ma promise l'en accomplissant ; j'étais assez de tante pourriture comme de ne pas pouvoir boire sans penser en le châtiment qui l'en est implicite, donc ce jour-là, les puis de beaucoup rechercher par-ci par là, les plus insolites Olympes, en écoutant un brouhaha sorti de quelque part, dont les rires sursautaient tel que bulles dans des verres de champagne, je m'y suis approché. Effectivement, champagne y avait, dont quelques personnes buvaient, y parmi le dieu du lieu, soit de cet Olympe-là ; à propos, ce dieu, comme il ne pouvait pas être d'autres façons, était athée. 

dimanche 12 mai 2013

DEUX CRÉATURES, OU LA RAISON DE VIVRE

    Ra se lève du lit, pour de ses rayons faire cuire le bouillon de culture, où s'est cuisiné la vie ; pour à celle-ci le donner le sens d'être, en créant de ces mêmes rayons-là « l'art » ombrant lui, dans le creux façonné entre les seins des femmes, qui pour qu'il perdure dans le temps, ont mis les appendices prisonniers d'insinuants soutiens-gorges ; pour qu'ils ne perdent point de leur exubérante vigueur.
 
    
    Raison de vivre, raison d'être
    Vivat les seins de femme !
    Vivat les soutiens-gorge !
    Vivat la République.
   Ceci de la République, il y est surtout pour cela de l'équité.

INTERVENTION DES FÉES ÉTRANGÈRES

    Les chats, assez de l'en être, ont mis toutes leurs prières aux dieux n'importe quels, pour non seulement muter eux en chiens, sinon pour, en un revanchisme sans précédents, faire muter les chiens en chats. Qu'en n'existant pas de dieux, ce ne veut dire qu'il est dénué de la chance, et vu que celle-ci prend bien dans l’imbécillité, elle a fait que le souhait des chats soit recueilli par l'oreille d'une fée marraine, qui à ce moment-là n'avait rien à faire (cela qui n'est rien d'étonnant, on verra) cette fée, porteuse de l'oreille ramasseuse, répond capricieusement en faveur du pas moins capricieuse sollicitude, d'une aussi autant soudain que surprenant défaut de professionnalisme, dont la faveur octroyée aux uns il n'a point observé le tort qu'elle a causé aux autres.
    
    Pour corriger cette erreur-là, il y a dû intervenir une autre fée marraine, qui si bien moins belle et délicate, beaucoup plus expérimentée, ce qui faisait que la faute de professionnels dans le métier qu'elle fût trop occupée comme pour faire les choses comme il faut, la question est que l'expérimentée fée, pour se tirer d'affaire, a fait du raccommodage de la situation, un rafistolage, mutant les souris en félins majeurs, soit en tigres…
 
   
     J'ai su depuis cette affaire qu'une autre fée marraine a dû intervenir, mais la chose, j'ai su aussi, n'a pas marché non plus bien du tout, peut-être, cela qui ne marcherait jamais comme il a marché auparavant de l'intervention… quelle manie de s’immiscer en réparer problèmes que les autres n'en ont, les créant, pour les faire irrésolus par toujours.

mercredi 8 mai 2013

FABRICATION DU MYSTÈRE

    Nous, les humains, avons fabriqué « le mystère » soit l'impuissance, l’incapacité, de tout immédiatement vouloir savoir, ce qui n'est incapacité ni impuissance de fait, sinon que ne pas vouloir reconnaître l'ignorance, la nôtre ; reconnaissance qui ne serait que le début du dur chemin à la connaissance.
 
    
    Lorsqu'une fois le mystère fut fait, le voilà la plus grosse affaire que personne n'eût jamais pu concevoir, se soutenant celui-là d'à plus ignorance plus avantageuses affaires, celles-ci qui sont devenues les animatrices de jeu du commerce de l'absurde, dont les supposés gagnants, soit les marchants, l'en sont ; le temps est déjà en train de le montrer.
 
     
    Le mystère lui-même est sans mystère ; le mystère est la foi, parce que dans celle-ci on n'a rien à démontrer ; le mystère est dieu, parce que, y avec on est fait fort noyaux de pouvoir, d'où à moins dieux plus gros noyaux, d'où aussi se peut déduire que, d'un seul dieu il se ferait un noyau absolu, qui après d'avoir absorbé les autres noyaux (ce qui est une question de noyaux) se dévorerait soi-même.
 
   
    Bref : il y est irréfutable que les ennemis des dieux sont : clarté, évidence et connaissance, soit « le démon » attention : madame Merkel et ses acolytes, ils ne sont pas démons, ils sont des dieux... prétendent quand même.

vendredi 3 mai 2013

MARIONNETTES SUSPENDUES D'UN FIL

    La vie est quelque chose comme quoi elle fut suspendue d'un fil, prit celui-ci d'aucune part, ce qui lui fait aussi incompréhensible à notre capacité de compréhension comme qu'il n'arrive non plus à aucune autre, de cet ensemble d'autant qu'il y en a, parfois les vents entremêlent les uns les autres faisant entremêler les vies lesquelles d'ils sont suspendus… parfois les vents étant si forts qu'ils font chuter quelques vies dans le vide, trop tôt, à l'espoir de vie prétendu.
 
   
    Y parmi les marionnettes de ces fils suspendues, les nôtres, prétentieux humains, qui souvent, trop souvent (autant que nous pouvons) de tant nous charger chacun du poids de la vanité, de peur que notre fil correspondant casse du surpoids, on tire profit des troubles que les vents façonnent pour le ficeler à d'autres, lesquelles n'ont pas su grossir, pour se soutenir à leur compte, pensons-nous souvent, trop souvent, que le fil devenu une corde l'en va éternellement faire… comme quoi l'éternité fut. 

mercredi 1 mai 2013

LE BONOBO HABILLÉ

    Un amoureux après de fort réfléchir sur son sort, conclusion faite, il attend le bouc émissaire pour la raconter, tombant proie, sur le seul banc du parc où avait par là, celui-ci qui n'était que le sien, un vieil homme sans souffle pour pouvoir reprendre la marche.
 
   
    Être amoureux, commence à réciter sa conclusion l'amoureux, est comme avoir un pouce à l'oreille, un grain dans le cul et une engelure dans l'orteil, tous les trois choses ensemble, si bien qu'il suffit chacun d'un seul de tous les deux côtés, l'en alternant à goût du souffrant (quelques privilèges il avait tenu) soit, que le piégé dans sa propre piège, à tort ou à raison, il sera taquiné, sinon pour cause de l'un, pour cause de l'autre, il n'y a pas repos pour l'amoureux ! Pourtant, que l'on se sache, personne, pour se soigner de tel ensemble de maladies, veut bien se vacciner en castrat, peut-être que cette option ne soit pas résolutive, puisqu'on pourrait ajouter aux piqûres produites par celles-là, la coupure de soi, et tout sans délaisser le désir (c'est-a-dire le problème). Par ailleurs, on pourrait, je pense, se faire bonobo, ce qui soignerait aux amoureux de toutes les piqûres.
 
   
    Le vieil homme autant sage par sage que par vieux, lui répond : bonobos, il y a parmi nous, plus que toi tu t'imagines ; ils se dissimulent habillés, les misérables faux complaisants qui incitent à renverser un marché depuis toujours tourneboulé. Donc, le vieil bouc se fait agir des ailes et part.