mercredi 28 novembre 2012

LES MAÎTRES DE LA TERRE

    Une tribu de visiteurs, extraterrestres, qui sur l’accueillante Terre, dont nous nous croyons les patrons dès une prétentieuse nuit des temps, se sont accommodés en prenant figure de souris. Ces touristes, qui de ce fait ont laissé de l'en être, en provenance, selon les renseignements que j'ai pu constater, de Pluton ; là où ils y auraient eu la figure qu'ici bien pourrait avoir été l'une d'un dinosaure. Malgré tout, ces géants nains venus, tous, ont décidé de rester sur la Terre.

  Depuis de m'avoir fait beaucoup tourner la tête, sur le pourquoi de ce contentement de la perte de puissance de ces visiteurs, qui en restant chez nous en nains, ils laissent d'être géants chez-eux. Je poursuivais sans rien comprendre jusqu'à-à un ami commun à eux et à nous, le chat Athaulf, plus sage pour vieux que pour chat, m'a fait réfléchir : vous ne voyez la vie que sous le prisme de la puissance, et, en plus, pour le côté que vous tenez à bien ; réfléchis-toi ! (c'est à ce point cela de la réflexion) Tous, tous les puissants qu'ont eu leurs pieds sur la Terre, à maintes reprises, tous s'en sont allé remplaçant les uns les autres à chaque fois de plus en plus petites. Alors ! Athaulf tousse, il lui faut se repousser, il est très, très sage, donc il recommence :

  Il faut penser que les extraterrestres sont, si nous ne voulons reconnaître plus intelligents, ceux qui profitent le mieux de l'intelligence que les qu'ici sommes, puisqu'ils sont les que sont venus, pas nous, en fait parmi les terricoles aucun s'en est allé aucune part qui ne soit pan pour nous emmerder les uns les autres ; d'où, il est facile déduire qu'ils sont savants de tout cela que par ici s'est passé, sachant donc que si vous étiez maintenant les maîtres de la Terre, auparavant il y a eu d'autres beaucoup plus grands, par rapport à vous, que vous face à eux, qui l'en ont été.

mardi 27 novembre 2012

CETTE ÉDIFICATION QUE TOUS Y AVONS

   En laissant le hasard qu'il choisissait un édifice quelconque, des qui s'en sont bâtis sur les épaules des individus de l'espèce la plus, peut-être, aussi compliquée qu'endormie, soit la nôtre. En faisant pour incliner le hasard, en tout le possible de nous, à choisir y parmi les spécimens auxquels il peut trouver dans un bar ; il faut que l'immeuble soit meublé, pas justement de façon ostentatoire, mais meublé quand même.

   Depuis d'avoir passé le seuil de la bouche du susdit, en s’enfonçant par l'obscur passage qui se présentera là, au fond, montant par le « contre gorge » en chaque étage, sur chaque palier, on trouvera infinis d'appartements, remplis, chacun, d'infinis alternatifs à la médiocrité, l’imbécillité, la stupidité, la mesquinerie ; aussi comme d'autres de type de qualités pareilles pour si celles-ci ne sont pas assez, somme toute, une absolue misère intellectuelle. 

   C'est pour ça que j'en prie, tout le monde, fasse tout ce que l'on puisse, pour faire réveiller ce monde-là, cela qui nous aidera nous réveiller les réveilleurs et nous aussi ; il ne faut que chaque fois que l'on ait rendez-vous chez quelqu’une de ces bâtisses, sans laisser de faire des compliments de rigueur : fleurs et champagne, y aller remplis de sonnailles, pour réveiller l'humain qui en tous nous habite. 

lundi 26 novembre 2012

LA VIE, UN MONSTRE INSATIABLE

    Notre intérêt pour voir la vie en rose, nous a fait nous désintéresser à voir la réalité, tel qu'elle est. 

    La vie est un monstre, auquel nous dotons souvent d'un présomptueux anthropomorphisme, d'où, on se le peut donc bien qualifier d’anthropophage, dû qu'elle a le si irréfrénable qu'insatiable plaisir d'avaler (ne mastique pas, elle est trop gloutonne) ses propres créatures avant qu'elles se fussent pourvues, la plupart de fois, de la capacité de penser (ce qui lui donne une longue marge de temps) ou, en tout cas, quand celles-là qui sont en train de peu plus que commencer, soit parmi nous, ceux qui étaient en train de faire bel exercice de cette qualité inhérente à n'importe quelle condition de vie (il ne faut oublier que la nôtre est commencée comme n'importe quel autre) cet exercice auquel, depuis avoir le faire fleurir, parfois même en fleurs bleues, il n'arrive jamais à donner des fruits ; effet produit des nuls soins d'un jardin, dont on s'est emparé, tout type de ronces stériles qui étouffent absolument des plantes fructifères.

    On peut déduire que nous (il ne faut chercher coupables ailleurs) n'avons pas les mains vertes.  

dimanche 25 novembre 2012

EXUBÉRANTE CLOTILDE

    La première fois que j'ai vu Clotilde, fut en arrivant moi tout juste qu'elle sortait du bar, où j'avais habitude d'en aller à cette heure, dont telle plus que lumineuse apparition, disparition (ce qui se passe fréquemment quand l'apparue n'est pas vierge, dû qu'elle n'a pas besoin d'attendre) de la belle Clotilde, qui marchait dandinant ses hanches, en faisant danser sa fleurie et vaporeuse jupe ; les palmes de ses mains, lesquelles semblaient s'être dépris de ses délicats bras, vraiment tout en elle était délicate, agissaient comme pour empêcher que l'haleine de la terre se mêlât avec l'air soufflé des étoiles pour qu'elle respirât délicatement bien sûr qu'elle ne va respirer comme un quidam !
 


     
    Au jour suivant, il ne devrait pas falloir le dire, je changeais d'habitude, temporal faisant avancer l'heure, d'aucune manière de celle-là spatial (je n’abandonne pas un bar jamais). Donc, dans la terrasse du même bar, devenu champ de bataille, je me suis mis aux aguets, assis, un verre à la main, à l'attente que la belle Clotilde y arrivasse. Maintenant ça se passe, pour me réconforter, je me suis battu avec toute sorte de breuvages, d'où j'étais sorti vainqueur à tous les assauts.
 
 

 
    À l'heure, plus ou moins préconçue, la disparue était apparue ; une jupe noire, envie de tout mortel, collée à cette fraîcheur, laisse apercevoir le dandinement de ses hanches, lesquelles s'ajustent au rythme que le laissent marquer les hauts talons de ses souliers rouges, la couleur des boutons de son chemisier d'un blanc immaculé, lesquels fermaient la porte des désirs des passants qui s'obnubilaient de telle vision s'en allait heurtant contre tout cela que l'on rencontrait ; des bras de la belle emmenaient les mains, cette fois à jouer avec l'air. Ce jour-là, je me suis contenté, ce qui ne fut pas peu, de sentir son haleine sur mon cou, à la superbe faire des bises de la présentation que quelqu’un lui avait fait.    

samedi 24 novembre 2012

ENTRE TOUCHES ET SANGLOTS

    L'amour est quelque chose de bizarre, dont il ne se peut pas choisir ; il te touche, c'est tout, et ce qui est pire, tu ne te peux point défaire de celle-là qui en sorte t'a touché, cela qui s’aggrave, surtout quand la touchée, elle n'a pas été touchée et pire l'en est encore si la non touchée, de laquelle tu es touché, en sachant la susdite que tu l'en es, le toucher à la sacrée pour te prendre de cible de ses… je ne sais pas ? ici chacun peut mettre cela que l'on veut ; moi, je n'ose pas, non par faute de hardiesse sinon parce que vraiment je ne sais pas. 

    Eh bien ! Compte tenu que l'amour est quelque chose de bizarre, on ne peut se tirer de lui, soient situations, soient dialogues, lesquelles ne soient que bizarres, tel que celle-ci de deux amis souffrants de la désaffection d'auxquelles, celui-là a ourdi la touchante trame. Voilà donc, le pas moins touchant dialogue :

    Tout commence en se disant, pour épargner des mots, d'une laconique salutation :

     -Quoi ?

     -Quoi ? 

    Après de faire le canard au temps qu'ils avaient fait agir les épaules comme un taureau fâché, mettant les yeux tels d'une vache qui vient d'être traînée, tous les deux découragés se décident à faire plus abondant le dialogue :

     -Tu sais ?

     -Mais… oui, moi aussi.

     -Moi, je sangloterai ailleurs.

     -Ah, Moi aussi je sangloterai. Où vas-tu ?

    -Eh oui, nous pouvons y aller tous les deux sangloter ensemble ?

      -Pourquoi pas.

      -Eh ! Champ de Mars, ça fait ?

     -Tu crois ? mais aujourd'hui est dimanche, il fait du soleil, il aura trop de monde-là.

    -Tu as raison, cependant tout est autant de même aujourd'hui.

   -Tu as raison aussi. Nous pouvons donc aller Père Lachaise ? Considérant que tout le monde va sangloter là, même à cause de choses puériles, ce que nous faisons est de sangloter dans cette même rue, vide maintenant. Regarde, tu restes à sangloter dans ce trottoir et je vais l'en faire dans celui d'en face.  Nous sanglotons comme il faut, et après nous partons prendre quelques pots par là.

     -Fait.

     -Allons-y donc.

vendredi 23 novembre 2012

NI CHAT NI CHIEN

     Dans les temps où nous vivons, si l'on veut trouver des politiciens, il ne faut que s'en aller parcourir les palais de justice…

     … il sera parce que les temps sont venus, depuis longtemps, emportant (tel que la marée de la mer l'écume blanche qui ne laisse pas voir la couleur de l'eau) une espèce de daltonisme qui nous empêche discerner un chien d'un chat, ceux-ci qui depuis toujours un chien était un chien et un chat un chat, jusqu'à l’idolâtrie que nous avons fait de nous-mêmes, nous a amené à tout faire à notre image... la pauvre ! La question est que plus pauvres sont les modèles choisis, parmi nous tous, soit les plus riches trésoriers de la sueur d'un peuple qui la donne volontiers, démocratiquement, sous la prétention occulte de qu'un jour ils pourront être les trésoriers de la sueur des qui sont ses égales maintenant. donc, je souhaite savoir, ce que les aura faits, aux uns et aux autres, la démocratie, la pauvre (pas moins que notre image) qui déambule en compagne de la justice d'une guinguette à un autre, s'en cuisant toutes les deux à pots-de-vin à faute de partenaire qui les invite à danser.

     Pourquoi il sera, en observant le style des politiciens, comme aussi ceux-là qu'y prétendent, il me fait penser que les palais de justice étaient devenus des bordels. 

jeudi 22 novembre 2012

DONNER DES AILES

    À cause de leur donner des ailes auxquels ne les avaient, au lieu de les faire, se comportant avec eux tellement un autre supposant qu'ils se comportent, marcher tel qu'au reste des mortels qui par le paysage républicain pullulent ; l'effet s'est produit, dont quelques y parmi, de profondes racines même, n'auront besoin que déplier les siennes, lesquelles étaient pliées depuis la République instaurée.

    Pourtant, selon les choses qui marchent, on peut déduire, parallèlement, que :

    Une ligne prendra la divergente, déjà que, et compte tenu, si à un âne, par exemple (servant du même n'importe quel autre animal non humain ni humanisé) si on lui donne un coup de bâton, pour le reste, toujours qu'il voit un bâton à la main d'un humain, il lui offrira le cul pour prendre la divergente.

    Nonobstant, nous passant par la même situation, des ânes, par exemple, nous prenons la tangente, c'est-à-dire, si à un humain, y parmi un politicien (dans ce cas qu'il n'y ait pas occasion à choisir tel qu'auparavant, puisque ces phénomènes sont une maladie qui seulement pousse sur nous) la donne un coup de poignard à quelqu'un des qui l'en ont élu, ils ont l'habitude ! Le « suffragant » qui l'en reçoit. Ils ont aussi, inexplicablement, l'habitude, après d'avoir être poignardé, bientôt qu'il eût vu venir l'arme, ou bien il se met à regarder le truc pour voir que plus il peut faire, ou se déshabille, parce que le bourreau ne met pas ses fringues en lambeaux. D'où se peut se tirer que n'importe quel animal a de la mémoire historique ; par contre, les humains ne l'en ayant presque, quand nous, prétendument, l'en avons, tout semble nous devenons stupides.

lundi 19 novembre 2012

PARTIR! ... VENIR ?

    On a l'habitude de faire de celui qui s'en est allé, patrimoine de toutes les qualités… question, si est-ce qu'il les en avait ? Bien sûr, celles-là qu'il avait ; laissant de côté, où tombe un sournois sourire de tous les qu'y l'en jettent fleurs, les défauts, dont il faisait charge.

    Le temps se passe, y durant qu'il ait survivants à celui-là qui s'est passé ce temps, en lui aura adouci son sourire, en tournant à sincère le sentir sa faute, je ne dis pas plus, si le disparu a laissé ouvre qui lui prolonge, sur ceux qui font devancière de la sienne leur personnalité.

    Si tout cela s'est passé, étant sa disparition une éventualité, mieux serait au disparu, qu'il boit de sa propre gloire à l'autre côté de la porte d'entrée, parce que, en le passant à nouveau pour entrer, la charge des injures qu'il devrait supporter, seront multipliés sur lesquelles l'en ont auparavant délivré.  

vendredi 16 novembre 2012

DEUX AMIS EXTRATERRESTRES

    Deux amis extraterrestres, pour faire quelque chose d'extraordinaire, se sont venus passer un fin de semaine à la Terre ; arrivent-ils de bonne matinée, au centre-ville de l'une des tantes qu'il y a, là où dès qu'ils avaient garé leur transport, se sont mis à promener par une rue, vide, de vie apparente, comme semblait être le reste de la ville, de qui la brume de l’automne avait fait sa proie.

    Les deux débutantes, comme touristes sur la Terre, ils se sont pris de l'impatience, comme il correspond à touriste qui se vante de l'en être, pour tout voir, de là qu'à ne pas regarder chose aucune qui ne soit que de l'eau en suspension, ils se sont considérés victimes d'une blague de longs parcours, de ceux-là qui les avaient conseillés de tel voyage, mais, soudain, par cette vaporeuse mer se laisse voir une espèce de marsouin, femelle, toute une guillerette qui fait agir son gracile corps se servant de deux appendices que de celui-là le penchent, desquels se serve la bête, en plus de pour se tenir débout, pour marcher ; d'autres deux poussent de la part supérieure de son corps pour garder l'équilibre, tout semble, se tenant avec, au voile qui couvre du sol de la planète aux confins dans la hauteur, par où sont entrés ces deux bizarres touristes à ce bizarre monde. 

   Faute mieux faire, les deux visiteurs se sont allés au derrière de la trace que de l'au-dessus d'entre les deux appendices inférieurs le marsouin dégageait. Petit à petit, sans les visiteurs s'apercevoir d'autre chose qui ne soit que la belle se voit chaque fois plus nette, sans compte tenir que cela est dû à l’évaporation de la vaporeuse mer. donc, tout à coup en ayant senti la disparition des eaux, voyant que la belle n'avait où se tenir, tous les deux sont prêts l'aider, le saisissant chacun d'un appendice supérieur pour qu'elle ne tombe par terre. De la peur qu'ils l'ont fait, la guillerette prend allures d’une effrayée, criant comme ils n'ont jamais imaginé que marsouin pourrait faire. Au secours de la femelle sont venus deux marsouins jumeaux mâles, qui sans un mot dire emportent les visiteurs, à un lieu où il y avait plus jumeaux lesquels gardent les touristes d'eux derrière un mur transparent à carreaux : tu sais où nous avons garé le transport ? Le commente l'un à l'autre de qui obtient par réponse : mais oui ! — allons-y donc et s'estompent tellement l'en avait fait la brume.      

DOMINATEURS DOMINÉS

    L'homme/femme/homosexuel/travesti ; jour le jour la chose se complique plus, on ne sait qu'inventer pour casser les pieds ; bref : les humains tous, nous sommes parvenus à dominer les montagnes, les fleuves et emmerder l’atmosphère, et sinon dominer du tout les mers, braver leurs tempêtes quand même ; tout cela avec, quelqu'un qu'autre contretemps, bien que, plutôt à cause de notre radinerie, que de notre savoir-faire. En conséquence, à cause de notre irrationnel entêtement de tout dominer, cela nous a fait perdre l'essence de ce tout, comme aussi de nous-mêmes, nous, les humains (je m'attache au bref), finissons pour devenir victimes de notre propre manie de tout dominer, devenant la plupart de nous : dominés, pour le fait de déléguer le fouet sur quelques prêtres, lesquels sont caractérisés, autant pour leur pauvreté intellectuelle comme pour leur riche médiocrité. Ces incapacités intellectuelles qu'ils sont à son tour soumis sous à une entéléchie de si douteuse perfection qu’inhumaine.

     Or, c'est ça qui nous domine à nous, l'inhumanité, résultat de notre phobie à ne vouloir pas nous considérer animaux, à tout vouloir bouleverser dans la nature comme si elle fût quelque chose d'encombrante, de l'harmonie perdue parmi nous, avec notre environnement.

mardi 13 novembre 2012

DE L'ARGENT ET LA NOURRITURE

     J'ignore, pourquoi, j'ai l'impression que nous les humains, nous sommes oubliés de ce que nous sommes : êtres vivants, organisés, doués de sensibilité et de mobilité, hétérotrophes, c'est-à-dire animaux, dont il ne l'en fera pas remarquer d'une mémoire fautive. Par conséquence, cela nous conditionne aux effets de nous entretenir et de nous reproduire, le premier, pour faire perdurer en nous la punition de vivre, la seconde pour punir nos engendres. Nous sommes conditionnés, à l’égal que n'importe quel autre animal, à vivre en société ; de là que la constitution de celle-ci n'ait pas pour but d'apporter esclaves aux chaînes de production ou de soldats aux armées. La société, dont la mieux définition, à mon avis, est sortie du cri de la République, dommage que la médiocrité des politiciens l'aient anéanti, comme aussi la société l'en est sous l'abstraction faite du pouvoir, représenté en quelques papiers signés par les patrons de ce pouvoir-là.

     Tous ces mots étaient déjà dits de mille manières, que je pourrais bien faire. Bref, avec d'autres, aussi dits d'autres mille manières : avec l'argent, nous pouvons manger, toujours qu'il ait qui nous vend de la nourriture, parce que l'argent de soi, elle ne se peut pas manger. Alors ! Où est donc le pouvoir ? 

lundi 12 novembre 2012

RÊVER; UN MONDE POSSIBLE

    L'aigle et le moineau tous les deux sont des oiseaux, de différente grandeur, considérable, ici dans la Terre, bien qu'il soit imperceptible dans l'univers extérieur, mais, compte tenu que, leur univers n'est, ni dans la terre tout entière, sinon qu'il se place sur une petite parcelle y dedans, dont ils connaissent bien, n'existant d'autres mondes, d'autres espaces à eux, que celui où ils vivent.

   Pourtant, les humains nous sommes parvenus à la grandeur et la petitesse, depuis que nous nous sommes mis observé l'espace auquel ces oiseaux-là donnent le dos, nous servant nous de moule pour fondre la grandeur, le rêve possible, aussi que pour la petitesse, nous sommes servis de celui de la réalité fictive.  


dimanche 11 novembre 2012

CONFIDENCES D'UN MUR

    Dès le gîte que j’occupai, dont avec l’ensemble de beaucoup d'autres façonnaient un gros bâtiment, j'écoutais souvent, sans même moi prêter l'oreille, les bruits qui traversent le mur qui séparait le mien de celui de mon voisin, auxquels j'étais, sans remède, obligé supporter.

    Ce voisin qui, quelques fois, rentrait chez-soi, tellement il fut un chevalier d'autrefois après de s'être battu en mille batailles, au nom de dieu, la patrie et le roi ; ces deux personnages, et, tous les autres marchants qui se cachent derrière le comptoir du grand magasin, lesquels l'eussent ébloui : l'en faisant à son tour, le premier avec l’immortalité, les marchants de l'or, et, le dernier avec la grandeur.

    Ces jours-là que, découragé le courageux, tel qu'un cocu qui ne l'en peut pas être à faute de partenaire, il fait danser chaises, table, et peut-être qu'un petit meuble, l'habitation ne fait beau à beaucoup plus avoir, qui ne soient un cendrier, soit un petit pot à fleurs, soit une petite Tour Eiffel, celle-ci pas facile de casser parce qu'elle, probablement, sera métallique. 

Eh bien ! Le guerrier, une fois avoir fait danser les uns, casser les cassables, se met à bondir sur le lit, celui qui s'en va, au rythme décadent des sauts, apaisant, des lamentos du sommier. Acte suivi, on s'écoute le courageux découragé passer des cris jusqu'aux sanglots, parlotant : pute… pute… pute… ? Le pauvre ! Il était amoureux.

vendredi 9 novembre 2012

SONS

    Une chose est le bruit de la solitude qui déposent les vagues de la mer, dans sa constante pour, avec la terre, adoucir leur contact ; façonnant des plages dont s'entremêle la mousse de l'eau et le sable de celle-là. Une chose autre est le brouhaha, différents, qui se déprennent des différents groupes de gens, tels que :  

    Le romantique, qui se musique dans les marchés.             Le "crispé" des qui fabriquent le pain qu'ils n'en ont pour manger.

     L'abruti, éructé à l'unisson par la chorale qui carillonne des amen, aux prôneurs de la peur.

   L’émotif hystérique avec lequel les dévots honorent le leadership de n'importe quoi, dont ils déposent leur liberté pour être esclaves de la médiocrité de ceux-là.

     Le muet, des sourds qui ne veulent ni écouter ni s'écouter, qui devient proportionnellement tumultueux au groupe qui entoure quelques mecs en caleçon et chemisette courant derrière une pelote. 

      On peut dire, qu'il y a des sons qui sortent de la fureur de la vie, aussi comme d'autres de l'étourdissement 

mercredi 7 novembre 2012

QUELQUE CHOSE DE BIZARRE

    Après d'avoir élucidé d'autant sensés que longues comme aussi profondes élucubrations, j'ai tiré, par géométrie, conclusion, de que les martiens ne sont pas dans leur planète, parce qu'ils sont chez nous, confondus avec, pour nous apprendre à faire du nôtre, un monde semblable à celui-là qu'ils ont abandonné, dont aux vers ne les est rien resté à manger.

     Alors que j'ai tenu pour conclu cette sérieuse analyse, je me suis proposé dorénavant d'élucider d'où vient cette phobie des martiens aux vers, laquelle, tout semble, a fort fourré dans notre subconscient ; celui des terricoles bipèdes de toujours, puisque ces nouveaux incorporés, à la planète Terre, en plus d'avoir devenu terricoles, ils ne se soutiennent pas, seulement aussi à deux pieds sur sol, sinon que passent pour l'un desquels y étaient enracinés d'origine. Donc, d'abord, je souhaite découvrir pourquoi, il m'a donné pour me défaire d'une puce, qui s'était mis dans mon oreille dès longtemps : pourquoi des types bizarres bizarrement habillés et pas moins bizarre comportement, prônent des dieux, fort concurrencés y parmi, et excusez-moi la redondance, pas moins bizarres que leurs prôneurs ; ces dieux qui attendent dans un ciel auquel leurs marchants magnifient, aux personnes mutées en moutons, et toutefois plaçant ce qu'ils ont appelé enfer, lieu de punition, au cœur de notre bien-aimée planète Terre. pensez-vous ! parmi le patronat, de cet enfer, joue un rôle plus qu'important les reptiles pour représenter le mal, qui, si bien, ils n'ont rien à voir avec les vers, amplifiés se les ressemblent quand même… ?  

mardi 6 novembre 2012

LE SOMMEIL ET LE RÊVE

    Le sommeil fait ou prétendre, faire, depuis que l’affecté s'est rendu à lui, le reposer du monde dont il habite, contraint et forcé à supposer bonheurs signés par souris, tendus parfois, parfois hébétés, quand non à malheurs, ceux-ci marqués de soumise condescendance, quand non de la belle vivacité peinte avec les pinceaux de l’intolérance, la révolte, l'indiscipline, l'insoumission, la contestation, à un monde qui livre bonheurs et malheurs par moyen d'une espèce de billets de loterie, dont ceux-là porteurs des nombres graciés furent auparavant libres parmi les émetteurs.

   Par contre, le rêve, cause du sommeil, bien que pas nécessairement toujours, dû qu'il faut discerner entre le rêve devenu sous l'empire de Morphée, lequel était soumis absolument à ses dictés, et, le rêve, dont l'esprit, aux yeux ouverts, façonne un autre monde possible, étant celui, peut-être, l'outil le mieux, pour abattre le mur de la mesquinerie.

lundi 5 novembre 2012

UNE SYMPATHIE RIEN SYMPATHIQUE

    Était un éléphant vert, sur le pont qui fait l'âge indéfini reliant le passé avec l'avenir, mangeant un crocodile violet, quelque chose qui s'est fait habituel, peut-être, à cause du climat rance tel qu'il est devenu. Bien que l'agape (donc l'éléphant était un seul, il fait par beaucoup) dans son apogée, par là passe un gros poisson en grève, protestant pour la pollution du torrent inexistante que le susdit pont sauvait.  

      Le poisson, qui n'était point d'Avril, hochant une nageoire (il l'en avait plus facile que l'en faire avec la tête) sérieux regarde le crocodile aux yeux, pour à la suite le reprocher le bouleversement survenu, à cause de types comme lui, qui vivant par ici ne font qu'en aller rapiner par là ; eh voilà ! Poursuivre le poisson : tenant par résultat que la Nature ait sa tête obnubilé, t'a métamorphosé végétal, il n'est pas grave ton cas à moi, si toute cette allégorie n'en fût faite une réalité, transcendant sur lesquels sommes à notre place, de l'explosion par sympathie, par des circonstances à nous étrangères ; cette sympathie, que bien sûr, n'est trop sympathique 

vendredi 2 novembre 2012

AUTOPORTRAIT

    Un peintre s'est fait devenir peintre, pour avec un gros rouleau trempé en noir, effacer toutes les couleurs qu'il avait peintes dans le tableau de sa vie, pour le mettre au néant ; mais tel qu'une plaie, sur la peau qui enveloppe un cœur blessé, perdre du sang, sur le tableau s'ouvre une autre, par où verse de la peinture bleue que le maître était prêt à couvrir.