dimanche 28 juillet 2013

LE TOUT, CHAQUE POINT, N'EST QU'UN POINT

    Un point, c'est ça qui tout le monde cherche, et même pour y faire, nous tous, soit le monde, prend un point comme point de repère ; ce monde tout qui fait route (pourvu qu'il y ait fallu faire dérive, pour l'en reprendre après) vers un point, somma toute, y parmi, chacun n'est qu'un point.
 
   
    Pourtant, tout le monde, soit nous tous, considérons un point quelque insignifiant, à notre avis évidemment. Alors, en sachant, nous que même en allant d'un point à un autre n'arrivons à être lignes ; nous ne voulons non plus reconnaître qui restons irréversiblement en point.
 
   
    Malgré tout, nous nous croyons des géants dans l'immensité d'un espace, dont nous pouvons atteindre. Celui-là qui n'est qu'un point dans le tout. Ce tout que nous ne pourrions jamais comprendre, parce qu'il n'est qu'un autre point, dont la mécanique de nos yeux empêche notre imagination l’apercevoir

samedi 27 juillet 2013

À COUPS AVEC LES EAUX

    Dans les eaux d'un fleuve, lesquelles coulent (parfois tranquilles, parfois révoltées, quand non tumultueuses) personne leur va donner un coup, sans penser que l'on n'y va pas tirer profit, même que cela se cache dans l'inconscient. Pourtant, soit par hasard, le plus probable, soit d'un bon coup, si l'acteur tue un poisson ; il faudra que le tueur se jette dans les eaux pour prendre le cadavre, ou, au moins se rapprocher à la rive pour l'en faire, s'en servant, le prétendu pêcheur, de n'importe quel truc ; à ne pas être qu'il soit un « nécro-poissonnier-voyou ».
 
    
    Donc, et il ne s'agit que le fleuve défend leurs locataires, pour ce que les eaux soient dangereuses, comme que l'en soient les cieux pour défendre les siens.
 
   
     Il s'agit plutôt, que nous, insatiables égoïstes, n'ayant assez avec la terre, notre moyen naturel, avons tout fait pour conquérir eaux et cieux, pour depuis d'avoir tout conquis, à faute d'autre, nous avons inventé dieu pour avoir quelque chose à conquérir, puis l'en faire entre nous-mêmes, ne laisse d'être quelque chose accablant, en étant chacun de nous un Alexandre plus ou moins grand, si incontinent, conquérant, qu'un prostatique l'en est de l'écoulement de l'urine.

vendredi 26 juillet 2013

UNE QUESTION D'EMPIRISME IRRÉFUTABLE

    En emmenant par les rues demi-désertes de la matinée fériée d'une ville de la Galice, le jour où ce pays célèbre sa fête nationale, avec un ami, tous les deux nos langues de bois taillées la veille, pour faire revivre le « Pinocchio » en causant, et pour ne pas perdre l'habitude, de la corruption des politiciens ; cela que, d'un coup d'empirisme irréfutable (mon ami vient de heurter un genou sur l'une des pièges semés par le trottoir) tout juste quand lui était en train de s'exprimer à quel titre s'en sont installés ces trucs, qui ne soit en profit d'avantageuses commissions aux qui nous étions en train de mettre en question, de leurs fabricants et installateurs, à charge aux poches, et à s'y heurter les genoux, les contribuables.
 
   
     Moi, en vue que la brise marine qui soufflait par cette ville-là, caressée par la mer, qu'elle seule n'était capable d'apaiser le logique, splendide même, incontrôlable démarrage d'attentions que mon ami versait sur les patrons de la patrie, cause de l’accident, je lui propose d'en aller dans un bar se soigner, ce que le blessé accepte de bon gré.
 
    
    Là-dedans, l'écran de la propagande se fait écho de l'horreur : auteur de 80 personnes furent mortes le jour passé à ce moment-là durant, nous étions en sculptant le « Pinocchio » qui à ces moments-là se fait nouvelle à nous. Les journalistes, intellos du pouvoir en place, reconvertis à techniciens cheminots, jettent des pierres sur le machiniste, qui n'est que l'un de haute vitesse, lequel marchait par une voie à tel effet récemment bâti, tout semble sans les moyens automatiques pour arrêter une locomotive qui marche dangereusement. Sur l'écran, à la suite se laissent montrer les politiciens au pouvoir, tous du même parti politique (pour le dire de quelque manière) habillés d’obscur, cravates noires, profitant autant à se faire des photos de famille, comme pour se faire dépositaires des condoléances. Le journaliste, allure de circonstances, en arquant les sourcils, et comme pour soulager, pet-être, les spectateurs concluent : ce malheureux accident, a transcendé même aux États-Unis…

mercredi 24 juillet 2013

PROFITS ET DOMMAGES

    C'est de la corruption politique, dont lesquels s'en sont fait professionnels, octroient privilèges, soit à individus, soit à groupes, soit à castes ; celles-ci surtout (sans délaisser les autres) dont leurs, sinon tristes, pathétiques figures, qui n'étant que guignols, ils prétendent eux-mêmes jouer leurs fils.
 
    
    C'est pour ça qu'aux politiciens ne se les peut jamais permettre de leurs postes éventuels, faire métier, puisque pour s'y soutenir, ils vont soutenir ces saltimbanques, du ne rien faire, pour distraire le peuple.
 
    
    Donc, lorsque de leurs profits, nos dommages, si bien est vraie que ces figures-là sont de soi, font ou donnent-ils des différents spectacles, il est aussi vrai que ceux-là ne sont pas au goût du monde tout entier. En conséquence, lesquels qui veulent se délecter avec, tout le monde est libre d'y choisir, qu'ils paient, chacun, le spectacle qui chacun veut, car il n'est pas juste que ceux-là qui n'en aillent pas là, paient la fête desquels y profitent.

lundi 22 juillet 2013

BARBARISMES DIVERS

    Faits divers : un évêque (soit un colonel ou quelque chose comme ça ; porte-parole de la plus puissante église occidentale dont le commandant en chef n'était pas autre que ce type appelé « le pape de Rome » même qu'il ne soit citoyen de la susdite ville) a fait un manifeste, dont il affirme sans ambages, ni même rougir, que la conscience est au-dessus des lois. Une femme violée a été condamnée, pour y dénoncer ; pour être ivrogne, indécente et menteuse, par un tribunal ecclésiastique d'une autre église d'orient, celle-ci qui en plus n'a même pas de pape.
    
    Quel est le mieux des mondes, celui-ci d'occident, ou celui-là d'orient ?
 
   
     Les lois, celles-là de tous et pour tous, équitablement puisqu'il faut partager, qui nous aident, personne l'en doute, à nous organiser, dans le monde massifié que nous habitons. Ce qui nous devrait permettre de coexister comme les êtres civilisés que nous nous y prétendons, parce que nous ne sommes si gentils pour qu'il soit la conscience de chaque qui dicte la loi. Autre, aux ecclésiastiques qui veulent sauver leur âme, qui leur empêche ça ? Qu'ils la sauvent quoi ! Ils ont le droit d'en faire, du même que tous nous qui n'avons rien à sauver que notre peau, en le nôtre de vivre… sans leurs normes évidemment… avec les nôtres nous avons assez.

dimanche 21 juillet 2013

DONNER DES AILES AUX CROCODILES

    Pour que les crocodiles volent, il faudrait les doter d'ailes. Puis, et donné l'envergure desquelles ils auraient besoin, leurs courtes pattes, et leurs corps rampants ; il serait indispensable les aider s'envoler.
 
  
    Le voilà, lorsque qu'une fois les sauriens en vol, ils auraient le même problème à atterrir, celui-là qu'ils auraient eu pour s'envoler. Le vol pris, ils n'auraient d'autre que se tenir par vie par là. D'où que l'on puisse tirer, et, compte tenu qu'ils peuvent atteindre une tonne, aussi comme que les animaux, nous avons l'habitude, inhérent à tous, de chier. À moyenne que les nouveaux ailés prolifèrent (je ne sais pas comme est-ce qu'ils en feront, mais bien sûr qu'ils se les arracheraient, fort prolifération qui serait due que là-haut ils manqueraient de prédateurs) la question est que leur prolifération, ferait un monde, le nôtre, de merde.
 
    
    L'autre question, c'est que telle chose se passe dans une République, ce qu'il serait autant comme permettre de perdre le respect au sang versé des tant de milliers de citoyens, volontiers ou non, pour qu'elle soit. Soyons sérieux : le charge de ministre de l'intérieur n'est pour être populaire, sympa ou dialoguant… il doit faire de celui qui l'occupe une personne grise, s'il fut habile un inconnu ou presque. Tout le monde le sait, ce n'est pas un travail à raffoler, mais il est comme ça. Il s'agit de faire accomplir droit « CIVIL » jusque pour les outils dont l'État dispose pour l'en faire accomplir.

samedi 20 juillet 2013

UN DÉVOUEMENT PAS GRATIFIANT

    À n'importe qui, en étant patron, on se le peut donner pour se rendre amoureux, ou pourquoi pas s'en aller à la guerre, tous les deux choses sont autant du même, bien qu'en plus, selon un si sérieux que contrasté analyse, plus pacifique est la guerre, en autre, dans celle-ci, il n'a pas besoin de faire de la désagréable connaissance de l'ennemi, ni moins, en conséquence, de fraterniser avec.
 
   
    Si dans cette dernière manière d'y faire. On risque de perdre, par l'action directe ; soit la rate, soit un bras, soit un morceau de jambe ou quelque autre. Il n'est pas moins grave ce qui l'on peut devenir de la première, dont les troubles psychiques, cause de la phagocytose de l'ennemie, provoqueront une inactivité dans le cerveau qui finira pour occasionner gros dégâts sur les organes moteurs, dû au déficient entretien, ce qui inévitablement se transmettra aux organes mécaniques. La carrosserie peut jusqu'à ne pas perdre de son allure, mais bien sûr la mécanique subira dégâts irréparables.
 
   
    La vie est belle ! Cri commun aux inconscients inouïs touches de l'amour, pris plutôt ! Ignorants volontiers de qu'il y a vie autre, pas chimérique, mais où l'air frais est constamment renouvelé, hors des misérables taudis dont ils se sont impassiblement laissés enfermer, aussi que l'espace ouvert à toutes les inquiétudes imaginables sans le besoin impérieux de s’acquitter du plaisir de la compagnie féminine. La vie est belle, toujours qu'elle l'en soit à l'avis de chacun, quand chacun est qui ainsi la pinte, à son goût, mouillant les pinceaux dans les couleurs que l'on aime, se soignant pourtant de ne pas les mettre dans la toile autre que la sienne.

vendredi 19 juillet 2013

LE SOURIRE DES LANGOUSTINES

    Si quelqu'un me demandât sur ce que je pense de l'intelligence des langoustines ; moi qui, je pense que le sourire est un geste spasmodique réflexe, indicatif de l'existence de celle-là, laquelle une fois corroborée, il peut se conclure sa qualité et compte tenu que je n'ai jamais vue sourire une langoustine, à moins que les langoustines soient constamment à sourire, ce qui, pourquoi pas, bien peut être. Je ne peux pas donner une réponse avec l'objectivité et de la détermination que la demande requiert.
 
   
     Donc je préfère, celle-ci qui souri, si ce n'est pas un tic sorti de la crispation, causé de la crispation faite par certains volontiers dialoguistes qui font tout pour ne pas se plier à ses ordres ; il y a un temps, durant, qu'elle ne se débride pas par-ci par-là. Alors dans ce cas oui, je peux être objectif : le 22 septembre est proche, et ce jour-là, 61,8 millions de ses compatriotes doivent choisir entre elle et son concurrent, ancien coreligionnaire avec, qui de tous les deux conduira leur destin. Malheureuse habitude, en autre, celle-ci hérité des colonies ultra-mer, du fade bipartisme… faute d'imagination qui a contaminé à la pauvre Europe, elle aussi.
 
   
    De ce fait, après d'avoir fait évaluer l'intelligence à partir du geste du sourire, le phénomène, l'indomptable actrice, elle bien se peut faire évaluer autrement par l'expression orale. Voyons donc si la gentille dame soupçonneuse de que son sourire n'est pas, il a fait tout un geste en ce que pour sourire s'entend, bien pourra-t-elle donc l'en montrer des mots, discutant ; même qu'il en soit sans être la diva commodément au pouvoir assisse.

jeudi 18 juillet 2013

FAIRE SCIENCE LA FOI

    Le tout qui est à notre perception, n'est que tout du même à différentes densités. Soit, que si bien pour nous nous enfoncer dans la terre, préalablement, il faut la creuser, il est, pourtant, plus facile à notre molle structure se plonger dans les eaux. L'espace gazeuse, tel que notre atmosphère, ce qui est à nous le moyen naturel où nous agissons ; aussi comme les solides compacts, à plus que l'en soient, deviendront plus impénétrables à nous fragiles corps.
 
    
    Alors ! Si tout l'univers devient d'une seule constitution uniforme, toute fois qu'il, uniformément, ait une expansion absolue par l'espace, supposant en même temps manque de troubles par là, du même que si ce tout se rejoint en un noyau, celui-ci n'a rien faire dans l'espace absolu, il ne se pourrait pas formaliser comme tel, sans la disparition de l'espace même.
 
    
    Il est évident que nous, qui en ayant toujours été humblement savants de notre infinie ignorance, pour nous faire prétentieux savants, avons-nous tous seuls, tout tellement embrouillé, faisant science la foi, pour tout faire facile à comprendre, avec l'incompréhensible invention de dieu.

mercredi 17 juillet 2013

L'INTRÉPIDE RENARD RICHARD

    Tous les animaux, qui savent, savent bien, que tout lequel qui s'est allé vivre dans la forêt, érigée en béton au sol carrelé, où habitant les bipèdes sans plumes, ce qui entraîne à se soumettre, dès aux caprices du bipède qu'on l'en ait touché de maître, ou bien faisant d'animal de somme ou à n'importe quel autre service auquel on puisse se prêter (tous à tout devoir, aucun droit) ou pourquoi pas être servi sur un plat, ou dans une assiette, depuis d'avoir été cuisiné selon le goût du gourmand duquel il n'est presque arrivé, ni à être esclave.
 
     
    La question est qu'un après-midi (ils étaient les 2 h 37 m.) un intrépide jeune renard, appelé Richard-André, « Richard » pour les intimes, il est comparable à un jeune humain que n'en servant à rien se sert des coudes pour faire carrière politique, et, tenant en compte que pour y faire parmi les siens Richard, il faut attendre la sagesse que seulement peut apporter l'âge, pour se faire détacher de ses jeunes camarades, il fait pari qu'il ira chez les humains, les taquinera, retournera chez les siens, traînant un de ses spécimens du cou (du cou de l'humain, qui après tous sont malentendus).
 
    
    Le temps s'est passé, et ni Richard-André a retourné jamais, ni animal de par là il a sur plus de lui. Jusqu'à un matin d'hiver qu'une meute d’humains bougeait par la forêt, sinon celle-là dont ils habitaient, celle-ci d'eux aussi. Tout le monde-là surveillait à distance les autant ridicules que dangereux bipèdes y faire exercice de l'un et de l'autre ; quand l'un des anciennes camarades de Richard-André les dit à ceux-là : eh voilà Richard où est-il, embrasse au cou de ce bête-là.

mardi 16 juillet 2013

UN CLIENT INDIGNÉ

    Ce qui semblait un amical échange de mots entre le patron du bar et un habituel, s'est tourné soudainement en une étrange action du plus violente, du côté du client, dont celui-ci qui tellement fut, méprisé, outragé, dénigré, il s'est transformé en quelque chose tel qu'un tigre enragé. Donc, il crache tout type des plus recherchées aspérités. Pour à la fin, avant de s'en aller, furieux, faire rugir le sentir d'un mortel :
 
   
    Si dieu te fait bien marcher les affaires, dis-le-toi, qu'il vienne te boire tes potions ; cet abstème emmerdeur.
 
    
    Le patron, ses yeux hors d’orbite, ne donnait crédit à ce débordement de la situation, comme non plus les pacifiés, lesquels y étaient, des potions de l'alchimiste, à ce moment qui tout cela s'est passé. Ce tout qui s'est fait compréhensible, à la suite que le stupéfait patron, ouvrant ses bras, exprime, à sa demande de comme est-ce que marchent les choses ici, en ce qu'au bar concerne, je lui dis « bien, grâce à dieu ».

vendredi 12 juillet 2013

LE DIVIN ET LE TERRESTRE

    À une époque lointaine dont il y avait dieux pour tout, et tout lequel juge bien s'en faire un tour, il pourra constater qu'en plus de que les divinités faisaient un amusant spectacle à l'égard des mortels qui, exceptant auxquels avaient aspirations divines, ni dieu, ni déesse, taquinaient. Puisque si les divinités n'avaient déjà assez à l'en faire entre eux, ils se leur ajoutaient les aspirants, que par ailleurs étaient chair à canon.
 
   
     Après ces temps-là, autres sont venus, dont les susdits aspirants, en voyant qu'ils n'arriveront jamais à être dieux comme il faut, se sont emparé du divin, l'en mondialisant, pour le faire plus maniable à se réserver la section des affaires. Ces cadres du divin ont fabriqué un dieu, un tout seul, chaque secte à son goût, mais tous aux mêmes caractéristiques : absolutiste, impitoyable et misogyne ; auquel tout cela qui soit amusante est susceptible de punition jusqu'à l’éternité, même que la faute ait été le petit plaisir que l'on peut tirer d'un baiser sporadique ; aux hommes depuis toujours, les femmes se sont libéré jusqu'à bientôt, puisqu'elles n'avaient d'âme. Cependant, l'affaiblissement des affaires a dû de les improviser une à toute hâte.
 
   
    À l'époque présente qui est laquelle doit nous intéresser le plus, ce que l'on peut constater, c'est que les choses ont mal viré envers les affaires divines, car depuis d'avoir fait effacer les dieux par excellence, leur substitut (par beaucoup d'allures qu'il y ait) ne diffère tellement des grands spéculateurs, ceux-ci qu'en autre sont plus versatiles. Bref : soit bien, l'impitoyable dieu, soit les faux miséricordieux spéculateurs, tous sont la même ennuyeuse merde.

mercredi 10 juillet 2013

UN ESPOIR SANS ESPOIR

    Dans le généreux monde par où papillonnons-nous, ingrats fils ou semence ingrate, aveugles plutôt de l'avoir été de naissance parce que nous n'avons jamais voulu voir. Cette nonchalance qui a provoqué en nous, pas seulement la perte de sens de la vue, sinon que celui du bon sens de la perception, du goût au vin même.
 
    
    Dans cet appauvrissement général, nous avons mis à arracher des bonnes plantes ; ordonnant la brousse de manière que, nous avons fabriqué un absurde labyrinthe, celui-ci qui a cru de façon tellement disproportionnée qui nous a ferme en soi, jusqu’à la porte aux cieux. De cette brousse dont maintenant les ronces qui prolifèrent parmi, pincent sur nous, dont la vigne n'y prolifère point.
 
    
    Aujourd'hui, quelques-uns disent voir de l'espoir, compte tenu, selon eux, que la vieillesse de la brousse qui constitue le labyrinthe, dont sa grandeur, d'où le besoin de l'eau (celle-ci qui ne sera assez) à la soutenir, l'en fera sécher ; et voilà donc, toujours selon eux, le jour que sera de notre libération. Malheureux buveurs des distillés de mauvaises herbes. Ce jour-là, nous serons perdus dans l'implacable désert, sans eau, et ce qui est pire, sans le vin, avec qui nous soigner de la piètre vie.

dimanche 7 juillet 2013

LE JUS DES PLANTES

    Parmi tous nous qui habitions par où l'on ne peut pas se dissimuler en plein air, tout lequel qui sent le besoin de l'en faire, parce que dans le milieu en, aucune plante n'existe à qui le pavé les empêche pousser, et quand non, elles sont prisonnières de murs, par gardes surveillées, pour auxquels qui veulent entrer chez elles les empêcher.
 
    
    Il faut pour y en faire, se mettre d'abord dans n'importe quel taudis, dont le miséricordieux qui s'y occupe, fournira le nécessiteux, du jus par les alchimistes tiré, des diverses plantes dont la vigne est la maîtresse.
 
    
    De cette façon, auxquels qui depuis d'en les en avoir bu, des plantes sont semées, ils n'auront plus besoin de plantes autres pour se dissimuler, ni même non plus l'en faire ! Qui à force de soi à être, pourquoi va-t-il se dissimuler ?

samedi 6 juillet 2013

NOUS REGARDER À NOUS MÊMES

    Une question, qui est devenue « un classique » dans la modernité, est cela de se vouloir connaître chacun soi-même. Ce qui souvent n'est qu'un simplisme, qui ne nous conduit qu’à reconnaître chaque parmi le monde, ses défauts, pour à la suite les dissimuler, les en justifiant.
 
    
    Une autre, si simple que de simple est si compliquée, qu'elle est impossible à résoudre, n'est que de se connaître en tant que l'animal que nous sommes, nous tous ; pour trouver réponse à ce que nous sommes, en qualité d'individus, chacun de nous évidemment en corrélation aux autres.
 
    
    Cela qui est compliqué, puisque si complique est la connaissance de la structure multicellulaire qui nous fait être, qui fait agir notre mécanique pour nous soutenir ; qui ne l'en sera à l'artifice qui coordonne le tout de nous ? Cela serait quelque chose tel qu'un miroir se regardant dans un miroir.

vendredi 5 juillet 2013

HONTE D'ÊTRE

    Les choses ne doivent pas marcher bien du tout, dans des pays, dont on se vante, plutôt de ses politiciens d'être démocraties. Démocraties exemplaires,  modèles de bienséance, s'il faut le dire pourvu d'esquiver la démocratie, quand de plus en plus il y a, parmi leurs citoyens, plus qui ont de la honte de l'en être de leurs respectifs.
 
   
    De tout cela, qu'en autre on peut déduire quelque chose qui ne laisse d'être captieuse, puisque, et constatation faite, personne n'en doute que les inducteurs à ce sentiment soient, un tas d'ordure de politiciens pliés à nauséabonds intérêts, ils sont élus par active ou par passive, par les mêmes qu'il y a de la honte.
     
   
    Cela qui peut être comparable à se sentir pécheur, ou sale, ou un sale-pécheur, pour rêver la nuit avec un succube, et décent, et même honnête, si c'est que l'on a couché avec une prostituée, pour le fait d'en avant ou après l'avoir payé.

mercredi 3 juillet 2013

PLEURER OU PAS PLEURER

    D'où viennent les fameuses larmes de crocodile, il n'a été que pour dénigrer les pauvres sauriens aux courtes-pattes, lesquels ne gênent personne que ne soit que pour la manger.
 
   
     Pourtant, quand on s'agit de nous les humains, des larmes ne se disent souvent que conneries de l'ordre de, que si elles sont étoiles étincelantes qui coulent par les joues, diamants, ou perles, ou quelque autre niaiserie comma ça ; si elles sont verses, bien entendu, par des filles, lesquelles doivent être en plus, belles et délicates, même que leurs larmes soient, symptôme de tromperie.
 
    
    D'autres façons, quand le liquide transparent secrété par les glandes lacrymales, produit quelquefois par la douleur, comme les plus l'en sont par le malheur d'un désir non accompli, ou par le surprenant accomplissement d'un autre ; il ne provient pas de belles jeunes délicates filles, sinon de tout le reste, cela qui prend différente tournure, dont les larmes ne sont ni étoiles ni diamants, ni perles. C'est pour ça que moi, qui ni pleure ni aime le voir faire, je pense que la solitude est l'état idéal, déjà que depuis d'une fois que l'on a pleuré, quand on est née, ça suffit.

mardi 2 juillet 2013

LES TAUREAUX, LES COQS, ET NOUS

    Les taureaux portent, fiers d'elles, leurs défenses sur leurs têtes, pour les montrer, ils préfèrent dissuader les concurrentes à se battre, si est-ce qu'ils se dissuadent, de laisser les uns les autres, son empreinte, à travers de femelle disposée à engendrer, ce qui n'est pas de l'amour : la vie est comme ça. 
 
    
    Les coqs, qui sont aux pieds où ont fait développer les siennes, les montrent de son gracieux marcher, s'en servent-ils des ailes pour se faire sembler plus grands, et s'exposer sur un haut, pour mieux montrer leurs ergots, au même but destinés que les cornes ces quadruples-là, non ailés, la vie pense à tous, jusqu'à nous qui marchons sur terre.
 
    
    Les humains (uns autres parmi les animaux, chef-d’œuvre tous de la vie, qu'elle a créé pour se donner de l'autonomie) inventeurs de la guerre entre nous, pour les gagnants, selon rang, choisir parmi des femmes, pour faire d'elles propriété. Propriétaires ceux-ci qui, généreux sans le vouloir, laissent pour ceux-là qui n'ont pas fait l'imbécile, la faculté de rigoler des cocus, celle-ci juste rente à payer à qui a de la propriété, comme aussi de les éperonner, et de faire l'amour, ce qui fait rire lui aussi, et en plus y profitent ces femmes-là pour orner les têtes de leurs mariés.