dimanche 30 décembre 2012

IL FAUT PARTAGER

    Mon ami, le poète Vespasien, à qui ses parents lui appellent Gustave Argimiro ; il faut pourtant respecter sans réserves l'appellation par lui choisi, j'ignore si, parce que son désir le tenait, une telle Claudia, parce qu'il aimerait bien que les britanniques se romanisassent, ou peut-être, comme tant de juifs, il faut le dire, il n'aime pas l'occupation controversée de la main de leur gouvernement, en profit des uns, de la maison des autres, ou pourquoi pas de tous. Il faut cependant ajouter, qu'il n'était pas, pour ne pas susciter une autre interprétation, Brésilien.
 
  
    Allons-y, à la question ; celle-ci qui m'est arrivée soudainement : je veux laisser clair que la question est une question importante, grave ; on verra, pour la lyrique, si grave (voyez-vous que j'insiste sur la gravité de la question) comme la perte à la poésie d'un maître ouvrier chanteur de vers, qui de tant se désaltérer dans ceux-là du pas moins grand maître, verseur de fluides vers, le camarade Bacchus.
 
    
    De là, y vient que je vous en prie tous, de partager des vers de Bacchus, bien qu'il ne soit que par égard à l'insigne poète Vespasien, en vue qu'il puisse se libérer de telle obligation, toute entière maintenant à lui tout seul ; un allègement qui sans doute permettra à l'insigne, se plonger à nouveau dans les siens.

samedi 29 décembre 2012

CONSTATATION FAITE

    Il y a parmi nous, beaucoup plus d'extraterrestres de ce que personne ne puisse imaginer. Moi, par exemple, j'ai eu connaissance d'un cas, qui bien pourrait avoir passé inaperçu, de ne pas être le perspicace œil d'un ami à moi, tavernier avec place par le boulevard Saint-Germain à Paris.

   Un jour, m'a raconté mon ami tavernier, un bon extraterrestre qu'était arrivé chez-nous, obtenir des renseignements sur place, sur tout le concernant à notre style auto-prédateur, de cela qui j'ai su, le lui tirant les vers du nez à l'intention de ses propos, comme aussi qu'il était spécialisé en anthropologie, humaine évidemment, comme évident, il était, que de lui-même, de lui-même rien de fiable, j'ai su, jusqu'à y est venu son substitut pour faire l'étude qu'il avait apporté chez-lui, tout ne semble pas cohérent du tout. Ce substitut, qui non plus s'était échappé à son œil. Après d'avoir fait de l'amitié avec, l'a dit de son prédécesseur, qu'il était un excellent studieux, mais qu'il n'avait pas absolument de l'expérience mondaine, où, bien sûr, avait été la cause de l'échec de son travail.

    La question est qu'au studieux, cette carence d'expérience lui avait fait, pour se dissimuler parmi nous, se mettre sous une chemise mauve à col pointu, dont sa fermeture en grève, orne-t-elle de volants vert pistache, qui laissait un espace libéré de telle offense, à une telle autre qui façonnait une chaîne dorée, de laquelle penchait un morceau du même métal ; si cela n'en fût assez, le pauvre visitant s'était monté sur des souliers à "sarkozystes" talons, et pas moins pointus que le col de la chemise  soit de telle guise, cette victime de la carence mondaine, sillonnait le boulevard Saint-Germain, le pauvre ! attiré par contagion des fringues, peut-être, sur toute prononcée poitrine qui agît par là, à plus proéminente qu'elle fût, plus était l'attachement, dû que de ce qu'il était vraiment pris n'était que des creux qui façonnaient les luxuriants soutiens-gorge qui soutenant telles proéminences.

     Mon ami, le tavernier, à manière d'épilogue, m'a raconté de la sorte qui l'était arrivée à l’anthropologue parachuté, cela qu'il avait appris de son substitut ; les renseignements qu'il envoyait chez-lui, lui avait raconté le nouvel envoyé, devenaient à moyenne que le temps passait de plus en plus imprécis et banals, il ne parlait que de creux par ici creux par là, tous, sans exception, d'une enivrante douceur bonheur, il a fallu que je sois venu pour constater qui nous n'étions pas trompés sur ce qu'ici. Nous entendions qu'il y avait, comme c'est le cas, les plus gros auto-prédateurs jamais conçus… le pauvre, il a fini pour me dire, aujourd'hui, est à repos dans une maison de santé mentale ; il criait constamment : je souhaite un creux, je désire, moi aussi, un creux ...  

jeudi 27 décembre 2012

LA THÉORIE DE POLOGNE

    Les grands patrons des églises en fois de faire autocritique sur ce qu'ils ont fait mal pour que leurs affaires soient devenues en prononcé déclive, en le concernant sinon à la désertion, cela qui y est nonobstant en est train de se produire, à la faute d'incorporation d'adeptes, même dans une situation qui s'y vient présentant, jour le jour, plus pénible autant social qu'économiquement, tellement, qu'il serait bien plus facile de croire en dieu, que par exemple, en les politiciens, pourtant ces prétendument sages patrons, ils ont eu du temps pour l'en être pour tout faire s'en plaignaient. 


   
Il y a un ancien dit polonais, dont les Polonais eux-mêmes tous seuls se disent (un dit tout très polonais) que de tant pousser les uns (ceux-ci pas polonais) d'un côté, les autres (ceux-là non plus polonais) de l'autre, il ne l'en est resté (cette fois aux Polonais) que de s'en aller chez dieu (cependant les Polonais ont dû émigrer, à cause d'ignorer leurs propres dieux, chez l'un étranger, laissant la bonne Pologne dans les mains de patrons aussi étrangers).


   Eh bien, tout semble que nous nous trouvons dans pareille situation, pas moins pareille à celle-là, dont M. Nobel a trouvé, en recherchant à comprimer la matière, la manière de la faire exploser.  

mercredi 26 décembre 2012

MON AMI AOWSTEGSIEN

    En étant moi de causerie avec un ami extraterrestre, provenant lui d'une planète, dont le nom ne vous va rien dire, située par là y parmi les bulles solides d'Orion, de celle-là il m'a fait une observation, sur nous les terricoles ; je ne sais pas si parce qu'il se croyait sage ou pour casser les pieds, mais je suis absolument convaincu quelle était la première de mes observations.

  Il m'a dit, sans tourner autour du pot (quelque chose compréhensible en qui a déjà assez tourné pour venir de chez-lui jusqu'à chez-nous), ce que je n'arriverai jamais à comprendre en vous les extraowstegsiens n'est chose d'autre que, puis d'avoir vous prêter des soins à vos progénitures, à qui vous avez mal accoutumé, nettoyant jusque de leurs propres détritus ; ne pas uniquement les procurer la nourriture, sinon que se l'en faire emboucher, même s'ils n'ont pas besoin d'elle, et, pour si tout cela ne fût assez, en plus, les rire vous, les insultes qu'ils vous font en leur langage, celui-ci qui vous ne comprenez point, puisque vous tous, au fur et à mesure que vous, en alliez prenant les caractéristiques d'idiots auxquelles sont à vous, j'ai constaté, congénitales, vous aviez oublié absolument pour le reste.

   Eh bien ! Ce qui me touche le plus de vous, poursuit-il, n'est chose d'autre (tel que j'ai déjà dit au commencement de mon monologue, parce que tu n'exprimas rien). — Je n'exprimai rien, car je n'ai pas de l'expérience familiale que toi, je lui ai fait constater. — Si tu m’interromps, je ne peux pas poursuivre. — Poursuis-toi ! imbécile, je lui encourage. — Qu'est-ce cela veut dire ? — J'ignore, une expression banale, allé poursuit, j'ai soif. — J'y vais donc… eh bien, eh voilà : après de vous vous avoir libéré de cette humiliation-là qui tourne autour de tous les pots de votre monde, à faute de renouveler les sadiques, vous prenez des mascottes y parmi d'autres animaux, pour vous vous torturez, les torturant, elles à son tour, les empêchant d'être ce qu'elles sont, pour les faire passer par vos sadiques progénitures… Eh ? — Et merde ! — Je lui interromps. Tu sais tout ce que tu sais, parce que tu l'en as pris de nous, il n'est pas que ce que tu dis ne soit vrai, la raison est là, elle n'a pas de propriétaire, en outre, tu parles de l'humanité, l'humanité sommes-nous tous, mais pas tous sommes du même ; allez, allons-nous au bar, mon petit con. — Qu'est-ce que ça veut dire ? — Une façon affectueuse de dire buse. — Cependant, je ne suis pas un oiseau. — Je sais ! On est arrivé... après toi, je t'en prie. — Passe-toi ou te casse la tête. — Si tu insistes ! 

mardi 25 décembre 2012

À PROPOS DU SEXE DE DIEU

    À ce qu'il semble, à cause de problèmes autres en Allemagne, dont tout le monde a du travail, même pouvant l'en faire en journées de seize heures, ou plus si le travailleur n'a besoin que ses jambes lui soutiennent, payées en mensualités de cinq ou six cents euros (ces ouvriers qui ne seront jamais sous contrainte d’exiger plus de salaire ; ils n'en auraient jamais non plus du temps à le dépenser) eh bien ! Dans le pays où habitent les bons Allemands, leur ministre de famille (pour ceux-là qui n'ont pas de famille, ils ont un concierge) vient de mettre en cause le sexe du bon dieu, puisqu'elle se dit contrariée du sexisme qu'il y a dans les contes de Grimm, qu'elle lit à sa fille ; d'auxquels elle doit avoir fait, en vertu que son rang lui confère, prescription obligée pour tous, y comprise elle. 

  

  Madame la ministre Kristina Schröer vient d'être soutenue absolument, par là jusqu'à présent coreligionnaire, madame Angela Merkel (sur laquelle j'ai entendu par ouï-dire, qu'elle veut changer de métier par un autre dans les plus hautes sphères) sur le sujet (je doute si par simple négation, ou par un ordre) dont il se nie ce que dieu soit mâle, ni femelle non plus (cette fois ni dieu, le pauvre, ne peut pas choisir) peut-être entre toutes les deux madames optèrent qu'il soit virago ou bien transsexuel, ou pourquoi pas homosexuel genre féminin ou masculin ? … nonobstant, le même problème subsiste, dont il n'a manière de s'y défaire que s'en défaisant de dieu, pour beaucoup que madame la ministre déclare que : dans la grammaire Allemande il y ait trois genres, soit le neutre de plus, bien sûr qu'elle n'en connaît aucune autre.

    La question est que les propriétaires, tout semble, de dieu ont monté en colère ; avec l'église du Pape de Rome, ils ont heurté ; les insultes sont servies, et de dessert pour que cette connerie ne soit pas, assez dommage de qu'elle soit vraie, on se l'en ajoute un autre, dont la presse à mieux faire s'en occuper, comme Le Figaro, par exemple, imprimant en titre : « En Allemagne, dieu n'est plus un homme » … ?   

lundi 24 décembre 2012

ANCIENS CHEMINS, ANCIENS

    Les chemins faits en marchant des gens, petit à petit ont rassemblé, au long (moins au large parce qu'ils étaient plutôt étroits) de leurs parcours, ouvrages par les voyageurs façonnés pour s'en servir à faire leurs voyages plus commodes. Ces chemins, impassiblement immobiles, parcourus incessamment par voyageurs, complaisantes, observateurs, sans mépris de la lourdeur ou la souplesse de leurs tracés, avec plaisir aux couleurs, aux odeurs, aux sons que les saisons diversifiaient ; supportant même, stoïquement, les inclémences que celles-là puissent apporter. 

   Ces anciens chemins qui ont subi du tapage de graviers, carrelages, bétonnages, goudronnages ; le passage du plus en plus lourd transport conduit par voyageurs indolents qui ne percevaient en eux que le gênant de leurs tracés, d'eux que les lignes peintes, continues, discontinues ; ces anciens chemins de plus en plus remplacés, abandonnés, par les nouvelles voies artificiels, sans vie, lesquelles blessent la nature sans pitié, sans rien leur importer qu'elles-mêmes. Ces anciens chemins, abandonnés à la jouissance de voyageurs qu'en profitent les jours ensoleillés, pour y aller crier comme pies et verser ses détritus impérissables ; à ces anciens chemins ne les reste beaucoup plus qu'aux derniers anciens voisins, anciens qui ne transportent que leurs propres peaux.

   Ces anciens chemins, anciens qui ne seront bientôt qu'une nouvelle blessure cicatrisée sur terre.    

dimanche 23 décembre 2012

QUAND LA LUMIÈRE CHÂTIE LA NUIT

    Les rues vêtues en timides éclairages accouchent ombres qui s'embrasent, pour chuchoter, engrossent groupes à moyenne qu'elles sortent de l'embrasse maternelle, auxquelles, quand elles débouchent sur les boulevards, livrent au gros transit, devenant les nouvelles nées de la nuit si bruyantes qu’inquiètes, partant elles de leurs pieds à la recherche de vieux coins de la ville, où les ruelles, plus intimes, se rencontrent en accueillantes petites places.

   C'est un vertige de joie, pendant ces moments-là, de voir les jolies, pimpantes, tout jeunes filles, garder l'équilibre, montées elles sur souliers d'impossibles talons, par places et rues en petits carrés de granit gris, pavées, parées de luminaires de fleuries couleurs, pour faire les honneurs à ces tendres fruits de la vie.

samedi 22 décembre 2012

PAYER LES PÉCHÉS DE NOS ANCÊTRES

    N'étant moi une personne que fréquent les mêmes couloirs que les gens à moi bizarres, du même que ces gens bizarres à moi n'en fréquentent pas, lesquels sont fréquentés de gens bizarres à eux comme moi ; malgré tout, je n'ai jamais pu laisser d'écouter, souvent, trop souvent pour mes délicates oreilles, la non moins bizarre inconséquence antinaturelle (compte tenu, et sans peur à me tromper, on verra, du concept qu'elles ont du travail) de qu'elles ne peuvent pas vivre sans travailler. Or, je vous conseille, tout quand vous aurez du temps, plus à gagner à votre connaissance qu'à le perdre, prêtez-vous vos oreilles sur ces gens-là lesquelles se tiennent, elles-mêmes, par travailleuses, et sinon, voyez-vous ce que je vous veux dire, faites donc un tour de vis sur elles, à la suite vous verrez :

    D'abord, vous observerez qu'elles se manifestent toujours profondément dévouées de dieu, toujours de dieux d'importation de n'importe quel credo, le travail est une punition divine, dérivée d'un péché commis par un ancêtre, duquel personne ne sait rien, ni même à rien de lui perçu en héritage chose d'autre qui ne soient que malheurs, exception faite aux grands pécheurs qui devront profiter de la bonne vie sur terre ; puisque, une fois leurs trépas soient venus, ils iront chez Lucifer, où seront soumis à l'étude, pour être libres, conviviales et tous deviendront du même rang.

 Suivant votre observation, vous apprendrez que ces prétendus courageux travailleurs, eux en soi, ils ne travaillent pas et souvent ils n'en ont travaillé jamais, que vraiment ce qu'ils aiment du travail, c'est qu'en autres l'en fassent, peut-être, ils pèchent, par les péchés que les autres ne peuvent pas pécher… les pieux ! 

mardi 18 décembre 2012

UN REPAS DE HAUT EN BAS

    Un verre de cognac tombe, se cassant, heureusement sans se perdre l’élixir dont le maladroit avait déjà fait un sort ; cet accident venu à conséquence l'haleine de Clotilde, feu humide de dragon, duquel l'avait pourvu Cupidon, dont elle s'était servant pour brûler le cou d'Arcachon ; au temps qu'elle imprégnait sa peau, laquelle faisait frémir du désir d'envelopper autre corps que le sien, les arômes que la belle abandonnait par là, de fraises, crème doucement fouettée, tout affecté d'une légère touche de cannelle (abandonnée, celle-ci aussi).

   Clotilde caresse de ses joues, si douces que la peau d'un camembert fraîche, la poitrine de sa victime, à la tordue intention d'apaiser le bûcher que ses flammes lui provoquent, pour élargir le soudain désir auquel Arcachon s'en était pris, ce qui le faisait avec l'aide que l'alourdissement du temps provoque incontrôlable de soi-même.

   La sibylline pécore, poursuit-elle napoléonienne conquête, dont dans une nouvelle bataille, elle en va profiter pour exciter Arcachon, en faisant introduire sa langue : magret de canard presque cru, baigné en moutard de Dijon, dans la bouche d'Arcachon, où on l'en finît de cuire là, en son jus, tandis que, elle profitera à approfondir jusqu'à son cœur. 

    Arcachon, plain, délaissé, crémeux, dormant tel qu'une crème Saint-Germain qui vient d'être servie dans l’assiette, en déprenant du tiède haleine (l'haleine de la soupe, pas de Clotilde ; qu’après le monde est à questionner que si j'ai dit, que si j'ai laissé de dire) soudain, Arcachon s'énerve criant, une scatologie impropre en étant à table, MERDE ! Donc, et au fur et à mesure qu'il poursuit son discours en va adoucissant son ennui. Depuis quand, dit-il, on se commence manger par le dessert et s'en finisse par la soupe ? Il avait raison !

    Pendant le repas s'était servi du Champagne et du Bordeaux ; taquiner avec des amourettes, c'est comme ça, mais on est parmi des gens civilisées.     

lundi 17 décembre 2012

MANGER N'EST PAS AVALER

    Quelque chose qui ne laisse pas de me surprendre, en nous les humains, ce qui en autre réaffirme notre absolue différentiation sur les autres animaux et pas justement en le concernant à la beauté, dont nous n'en tirerons pas bien du tout, sinon en notre faute absolue de solidarité sociale, faisant quelques, y parmi, de soi, quelque chose de religieuse.  

    Le grave de la question est que la « chose » ou, pourquoi ne pas le dire, la « grasse chose », puis de s'être autoproclamé « icône » toutefois qu'elle commence faire catéchèse de bouffonneries d'autrefois. Il trouve quelques tapageuses hooligans décérébrées, lesquels procureront de faire plus bruit que le monde, pour le lui faire écouter un dé syntonie malsonnante, discordante, gênante somme toute, auxquels s'en sont ajouté, les pas moins gênants percussionnistes pamphlétaires charognards, aux qui tout va bien à change de quelques sous.

     ... merde ! moi, comme aussi tout ce monde-là, je paierais tout content cent millions d’impôts, même s'il m'en reste l'un pour cent, ce qui ne laisserait pas à moi d'être un problème, par insurmontable bien sûr, mais un problème quand même, puisque je suis plus heureux, peut être, comme je suis, qu'en ayant de payer des impôts.

    … il faut payer radins !

samedi 15 décembre 2012

... AU POT, FAIRE DE L'HARMONIE

    Un ange s'était mis dans le corps d'une colombe, absolument blanche (il y avait par là d'autres, d'autres couleurs, même en les combinant, mais non, il a voulu qu'elle fût « purement » blanche) pour descendre, ou monter, qui le sait, sur terre, à l'intention de consoler un homme, dont les pleurs à ses infortunes, tout semblait, ou il voulait qu'il semblât quand même, discordaient avec les alléluias, dont leur chorale « hare, hare alléluia » dans les demeures célestes… je pense qu'il descendait.

    Donc, tout quand l'oiseau, absolument blanc qui enveloppait l'ange, s'est posé sur l'épaule du pleurant pour le consoler, l'homme d'un mouvement si vif qu'il serait digne d'une mangouste rancunière, Paf ! Il fait de la colombe sa proie, le lui faisant tacher la gorge, simplement blanche de rouge, au temps que, laissait-il de pleurer ou faire qu'il l'en faisait crier de satisfaction : tu auras chassé ! Puis, plus doucement, presque susurrant, dit-il, j'ignore si à soi-même ou à l'ange…  ou à la colombe peut-être : allez au pot. 

vendredi 14 décembre 2012

DEUX DÉROUTÉES

     Dans une société globale, soit la nôtre ; on peut s'être de droite et ne pas être honnête du tout, cela qu'en autre est quelque chose congénital à l'esprit de cette tendance politique, ce que je peux autant le comprendre comme ne pas l'en admettre, in admission à laquelle je suis catégorique, pourtant, être de gauche et ne pas être honnête, cela veut dire que l'on ne peut pas l'en être, parce que l'honnêteté est requise indispensable à l'esprit de cette tendance politique de l'autre côté, puisque dans celle-là partager les biens produits par la société tout entière est son essence.

   En vue de tout ça, on peut se déduire que la cause de l’épanouissement démesuré de la droite se doit, au se réveiller de la malhonnêteté subjacente dans le complexe animal que nous tous sommes, ce qu'en conséquence a provoqué que la droite moderne, déroutasse sont parcours vers la modération, pour reprendre celui-là de ses époques les plus obscures. Malhonnêteté qui depuis d'avoir fort poussé, elle aussi, dans la gauche, celle-ci qui s'est toute seule en train d'en aller vers son propre anéantissement.

     Eh voilà ! Le dilemme de toujours, qui n'est pas d'autre que d’être, ou de ne pas être ; que la droite retourne à ses racines du despotisme, sinon admissible, il est compréhensible, compte tenu que ces gens n'ont par culture que les formes, ce qui n'est pas compréhensible, c'est que la nouvelle née pour suivre que l'enjeu s'en était dérouté, elle aussi, celle-ci vers nulle part.

jeudi 13 décembre 2012

LA BURALISTE EXTRATERRESTRE

    En étant moi un jeune homme, cela produit un beau tas d'années, par le quartier dans lequel j'habitais s'est apparu une extraterrestre, laquelle avait choisi par demeure un appartement dans le même bâtiment où étaient installés mes parents. Il n'a pas fallu beaucoup pour faire de l'amitié entre nous puisqu'elle était une extraterrestre aussi sociable qu’agréable. Comme je n'ai pas connu personne et, comme la confiance élargit la langue, ma nouvelle amie a fini pour m'avouer qu'elle s'était décidée pour partir de chez elle ; cela qui avait été à cause des mandataires de sa planète, lesquels ont fait devenir toute une fabrique sans autre but que produire pour produire. Je sais, continue à s'exprimer l’extraterrestre, qu'ici les choses ne marchant pas bien du tout. Pourtant, au moins vous vous moquiez plus que de votre sort de vos dirigeants, vraiment ils sont drôlement amusants !

    Comme son raisonnement m'avait laissé étonné, moi pour tout lui dire et, en sachant de ses qualités de mutation, je l’avais conseillé qu'elle choisissait un autre modèle de personnalité, dont je l'en avais montré l'un, peut-être en pensant plus à moi qu'à elle, mais non, elle était déjà décidée (elle était malheureusement pour moi très décidée) de se faire buraliste à tabac. Je n'ai su jamais si c'est qu'elle avait une bizarre passion par la philatélie, par beaucoup qu'elle disait que ce qu'elle aimait de nous les terricoles était notre condition de pyromanes incontestables de nous-mêmes.

    Le temps s'est passé, et faisant une bonne soirée un parcours par mon ancien quartier, je suis entré dans un bureau à tabac pour acheter un journal, un paquet de cigarettes (pas des timbres-poste les portraits de ces personnages qui sont si petits qui ne servent, ni pour en aller aux toilettes) là était-elle, souriant heureuse, et moi de l'autre côté du comptoir, en me demandant : que panserait-elle de nous les terricoles ?

mercredi 12 décembre 2012

SALLE D'ATTENTE

    Quand le train, dont l'homme a voyagé, est en train d'arriver à la dernière station, où la halte sera la définitive, là, dans une salle d'attente, dont il y aura un monde sans vouloir rien attendre. Cette salle dès où ce voyageur-là verra l'univers, comme et n'importe à quel autre, se l'en fera petit pour se cacher de soi ; de tous les ridicules qu'il a fait pendant le parcours de son voyage, desquels il ne pourra pas compenser, pour les faire dissimuler, des actes conçus auparavant par lui comme remarquables, puisqu'il sait, maintenant, qu'ils n'en furent que, en tout cas, vulgaires.

    Cet homme, épuisé, las de la vie, reniant de la mort, sachant ce qui l’attend dans cette dernière salle d'attente dont personne ne veut rien attendre ; recherche le voyager, pendant ce dernier trajet qui coule, parmi ses ennemis (ennemis haineux comme il faut) auxquels, pourrait-il trouver là, pour se sentir vivant ; c'est alors qu'il pense, le marmottant à l'oublie : jamais j'ai pensé, que je pourrais aussi regretter la disparition anticipée de tant méchant crapule !

samedi 8 décembre 2012

UNE SOIRÉE AVEC LES DIEUX

    En faisant causerie dans un bar, dont il y avait, supposément, quelques dieux parmi nous, un casse-pieds, en profitant, s'est mis à plaindre du froid, de la brume, des longues nuits, de la neige… de tout ! et quand il épuise son vocabulaire plaintif, donc Épona prend la parole :

    L'empire du gris assorti de toutes les couleurs, même les en faisant s'effacer. Ainsi le monde voie les étoiles ; mais vous, insolents, insistiez en faire de la nuit un faux, pour illuminer de grotesques artifices vos fourmiliers, dont ils réfractent aux cieux, atteignant la nuit. Donc, vous faisiez à Éole souffler (il a un foutu métier) dès l'arctique pour renforcer le gris existant (que vous vous empêchiez en taquiner) d'une épaisseur qui tombe lourdement, en voilant vos ampoules électriques pour geler leur luminescence. Ce que je ne m'explique, c'est la peur que vous avez de l'épouse du jour, amant lui de la clarté, du même qu'elle l'en est de l'obscur, vous gîtant chez-vous, où la chaleur arrive morte sans savoir d'où vient, sans savoir de quoi elle est faite… amorphe ! Où vous vous cachez des cieux, de la vie.

     Pourquoi telle peur de la nuit, telle qu'elle est, avant tout femme, si à la fin sont les femmes qui vous donnent à la lumière ?

    Pourquoi pas ne cherchez-vous la chaleur de la vie, elle est cela ?

   Si bien est vrai que tous nous sommes faux dieux (les vraies n'existent pas) personne n'en doute qu'au moins nous soyons infiniment plus amusants.

mercredi 5 décembre 2012

QUAND LE FOUR NE CUIT ON LE MET MUSIQUE

    Tout le monde écoute, faisant accompagnement de timides mouvements des muscles de la boîte de la merde, aussi que d'autres, pas moins timides, ballottant de haut en bas l'avant-bras (tous les deux, si l'on n'est pas manchot) laissant nonchalamment les mains tomber tel que des figues mûres, la bouche en cul de poule susurre la mélodie qui sonne : dindon, dindon, dam ! dindon, dindon, dam ! … la danse est réservée aux professionnels ; un petit pas en avant, un autre en derrière, hop. Suivant : petit saut à droite, suivi d'un autre petit saut à gauche, les mains aux poches, des autres, retour des mains aux propres poches… dindon, dindon, dam ; dindon, dindon, dam. La même musique jour le jour.  

    Un ministre se débrouille par les messes de n'importe quel credo, un autre va, d'ici par là pour les en faire, quelques-uns disent ce qu'ils disent, quelques-autres disent que ceux-là, soit leurs collègues, qu'ils n'ont rien dit de ce qu'ils ont dit. Maintenant le four qui a laissé de cuire, poursuivre encore sans cuire, ce qui ne produit aucun souci dans cette cohorte de danseurs ; ils ont du pain et du beurre.

   Au rythme persistant de cette musique-là, les culs du monde ballottent, les avant-bras soutiennent les mains qui tombent tel que figues mûres (tout cela timidement, j'insiste bien que quelques-uns en prenant de la confiance, l'en font de plus en plus moins timorés, bien que la plupart, plus modérés, gardent la posture). Tout est confus, pourtant ce monde-là préfère penser qu'il est dans une guinguette, pour ne pas reconnaître point sur les danseurs gouvernants.

mardi 4 décembre 2012

THÉODOLITE FRIAND DE MARRONS

    Pendant cette époque-là dans laquelle toujours avait crocodiles prenant le soleil sur les rives du Nil, auxquels on leur donnait à manger : déserteurs des causes d'autres, aussi que les désobéissants à n'importe quelle connerie, de ces « autres » (d'où la prolongation de cette habitude, sur les concurrents au pouvoir (soit les politiciens) aient-ils, sans aucun genre de doute, provoqué l’extinction des sauriens du Nil) Eh bien ! À cette époque-là, vivait parmi les autres, le crocodile Théodolite, qui était un très gourmand des fruits des châtaigniers, tellement dévot aux marrons, qu'il méprisait absolument toute nourriture qu'elle fût ou pas (il faut constater, et compte tenu que ce fruit était d'importation-là, qu'à l'époque les crocodiles avaient un statut de privilège). Cette habitude alimentaire laquelle l'avait entraîné à Théodolite le mépris de toute la société crocodile, mépris causé pour les flatuosités produites de l'ingestion sans mesure de marrons.

   La question est que théodolite, autant assez de guerre lasse avec les siens ; comme de manger condamnés, auxquels, en autre, qui rien lui avaient fait, il s'est décidé d'émigrer, s'en allant agir sa queue par les eaux de l'Arno, où, quelqu'un lui avait dit que par là, sur les quais de Florence, il y avait plein, de marchants de marrons.

   Une fois, sur les bords de l'Arno, qui fait coquet, caressant avec ses eaux la belle Florence, là où tous les deux se sentent, sur les quais, étaient établis les marchants de marrons, auxquels la mode, capricieuse-t-elle, avait fait changer leurs gourmandises de toujours, pour une pomme à une petite baguette, pincées et baignées en caramel rouge. Tous les Florentins, tous, se promènent avec leurs friands à la mode. Théodolite, pour ne pas mourir de faim est mort d'indigestion, de tantes pommes à une baguette pincées, baignées en caramel rouge et recouvertes de Florentins… Théodolite ne supportait pas tant de sucre trop chargé. 

lundi 3 décembre 2012

TROIS EXCELLENCES

    Personne n'aura rien dit de nouveau, en disant que la vie entraîne, depuis l'un, un autre, soit toute une suite de dilemmes ; la question est que souvent, trop souvent, on fait pour faire le choix d'entre la stupidité et l'idiotie.

  Tous ces deux excellences-là, dont la société est constamment contrainte à subir. Ainsi, la pusillanimité généralisée des citoyens sert d'engrais à l'empire de la médiocrité, lequel, depuis tout juste leurs empereurs étaient successivement intronisés, et même s'ils, aussi successivement, seront reniés. Une autre fois, avec leurs mêmes habits, ils seront de nouveau intronisés.

    Mesdames, messieurs : en tout cela quelque chose ne marche pas, puisque le fait nous considérer de supériorité incontestable grâce à notre supposée intelligence, elle par contre nous a gracié d’une autre excellence, telle que le crétinisme, non à cause d'une carence absolue d'intelligence, la pauvre, sinon de notre absolue faute de volonté rationnelle.

mercredi 28 novembre 2012

LES MAÎTRES DE LA TERRE

    Une tribu de visiteurs, extraterrestres, qui sur l’accueillante Terre, dont nous nous croyons les patrons dès une prétentieuse nuit des temps, se sont accommodés en prenant figure de souris. Ces touristes, qui de ce fait ont laissé de l'en être, en provenance, selon les renseignements que j'ai pu constater, de Pluton ; là où ils y auraient eu la figure qu'ici bien pourrait avoir été l'une d'un dinosaure. Malgré tout, ces géants nains venus, tous, ont décidé de rester sur la Terre.

  Depuis de m'avoir fait beaucoup tourner la tête, sur le pourquoi de ce contentement de la perte de puissance de ces visiteurs, qui en restant chez nous en nains, ils laissent d'être géants chez-eux. Je poursuivais sans rien comprendre jusqu'à-à un ami commun à eux et à nous, le chat Athaulf, plus sage pour vieux que pour chat, m'a fait réfléchir : vous ne voyez la vie que sous le prisme de la puissance, et, en plus, pour le côté que vous tenez à bien ; réfléchis-toi ! (c'est à ce point cela de la réflexion) Tous, tous les puissants qu'ont eu leurs pieds sur la Terre, à maintes reprises, tous s'en sont allé remplaçant les uns les autres à chaque fois de plus en plus petites. Alors ! Athaulf tousse, il lui faut se repousser, il est très, très sage, donc il recommence :

  Il faut penser que les extraterrestres sont, si nous ne voulons reconnaître plus intelligents, ceux qui profitent le mieux de l'intelligence que les qu'ici sommes, puisqu'ils sont les que sont venus, pas nous, en fait parmi les terricoles aucun s'en est allé aucune part qui ne soit pan pour nous emmerder les uns les autres ; d'où, il est facile déduire qu'ils sont savants de tout cela que par ici s'est passé, sachant donc que si vous étiez maintenant les maîtres de la Terre, auparavant il y a eu d'autres beaucoup plus grands, par rapport à vous, que vous face à eux, qui l'en ont été.

mardi 27 novembre 2012

CETTE ÉDIFICATION QUE TOUS Y AVONS

   En laissant le hasard qu'il choisissait un édifice quelconque, des qui s'en sont bâtis sur les épaules des individus de l'espèce la plus, peut-être, aussi compliquée qu'endormie, soit la nôtre. En faisant pour incliner le hasard, en tout le possible de nous, à choisir y parmi les spécimens auxquels il peut trouver dans un bar ; il faut que l'immeuble soit meublé, pas justement de façon ostentatoire, mais meublé quand même.

   Depuis d'avoir passé le seuil de la bouche du susdit, en s’enfonçant par l'obscur passage qui se présentera là, au fond, montant par le « contre gorge » en chaque étage, sur chaque palier, on trouvera infinis d'appartements, remplis, chacun, d'infinis alternatifs à la médiocrité, l’imbécillité, la stupidité, la mesquinerie ; aussi comme d'autres de type de qualités pareilles pour si celles-ci ne sont pas assez, somme toute, une absolue misère intellectuelle. 

   C'est pour ça que j'en prie, tout le monde, fasse tout ce que l'on puisse, pour faire réveiller ce monde-là, cela qui nous aidera nous réveiller les réveilleurs et nous aussi ; il ne faut que chaque fois que l'on ait rendez-vous chez quelqu’une de ces bâtisses, sans laisser de faire des compliments de rigueur : fleurs et champagne, y aller remplis de sonnailles, pour réveiller l'humain qui en tous nous habite. 

lundi 26 novembre 2012

LA VIE, UN MONSTRE INSATIABLE

    Notre intérêt pour voir la vie en rose, nous a fait nous désintéresser à voir la réalité, tel qu'elle est. 

    La vie est un monstre, auquel nous dotons souvent d'un présomptueux anthropomorphisme, d'où, on se le peut donc bien qualifier d’anthropophage, dû qu'elle a le si irréfrénable qu'insatiable plaisir d'avaler (ne mastique pas, elle est trop gloutonne) ses propres créatures avant qu'elles se fussent pourvues, la plupart de fois, de la capacité de penser (ce qui lui donne une longue marge de temps) ou, en tout cas, quand celles-là qui sont en train de peu plus que commencer, soit parmi nous, ceux qui étaient en train de faire bel exercice de cette qualité inhérente à n'importe quelle condition de vie (il ne faut oublier que la nôtre est commencée comme n'importe quel autre) cet exercice auquel, depuis avoir le faire fleurir, parfois même en fleurs bleues, il n'arrive jamais à donner des fruits ; effet produit des nuls soins d'un jardin, dont on s'est emparé, tout type de ronces stériles qui étouffent absolument des plantes fructifères.

    On peut déduire que nous (il ne faut chercher coupables ailleurs) n'avons pas les mains vertes.  

dimanche 25 novembre 2012

EXUBÉRANTE CLOTILDE

    La première fois que j'ai vu Clotilde, fut en arrivant moi tout juste qu'elle sortait du bar, où j'avais habitude d'en aller à cette heure, dont telle plus que lumineuse apparition, disparition (ce qui se passe fréquemment quand l'apparue n'est pas vierge, dû qu'elle n'a pas besoin d'attendre) de la belle Clotilde, qui marchait dandinant ses hanches, en faisant danser sa fleurie et vaporeuse jupe ; les palmes de ses mains, lesquelles semblaient s'être dépris de ses délicats bras, vraiment tout en elle était délicate, agissaient comme pour empêcher que l'haleine de la terre se mêlât avec l'air soufflé des étoiles pour qu'elle respirât délicatement bien sûr qu'elle ne va respirer comme un quidam !
 


     
    Au jour suivant, il ne devrait pas falloir le dire, je changeais d'habitude, temporal faisant avancer l'heure, d'aucune manière de celle-là spatial (je n’abandonne pas un bar jamais). Donc, dans la terrasse du même bar, devenu champ de bataille, je me suis mis aux aguets, assis, un verre à la main, à l'attente que la belle Clotilde y arrivasse. Maintenant ça se passe, pour me réconforter, je me suis battu avec toute sorte de breuvages, d'où j'étais sorti vainqueur à tous les assauts.
 
 

 
    À l'heure, plus ou moins préconçue, la disparue était apparue ; une jupe noire, envie de tout mortel, collée à cette fraîcheur, laisse apercevoir le dandinement de ses hanches, lesquelles s'ajustent au rythme que le laissent marquer les hauts talons de ses souliers rouges, la couleur des boutons de son chemisier d'un blanc immaculé, lesquels fermaient la porte des désirs des passants qui s'obnubilaient de telle vision s'en allait heurtant contre tout cela que l'on rencontrait ; des bras de la belle emmenaient les mains, cette fois à jouer avec l'air. Ce jour-là, je me suis contenté, ce qui ne fut pas peu, de sentir son haleine sur mon cou, à la superbe faire des bises de la présentation que quelqu’un lui avait fait.    

samedi 24 novembre 2012

ENTRE TOUCHES ET SANGLOTS

    L'amour est quelque chose de bizarre, dont il ne se peut pas choisir ; il te touche, c'est tout, et ce qui est pire, tu ne te peux point défaire de celle-là qui en sorte t'a touché, cela qui s’aggrave, surtout quand la touchée, elle n'a pas été touchée et pire l'en est encore si la non touchée, de laquelle tu es touché, en sachant la susdite que tu l'en es, le toucher à la sacrée pour te prendre de cible de ses… je ne sais pas ? ici chacun peut mettre cela que l'on veut ; moi, je n'ose pas, non par faute de hardiesse sinon parce que vraiment je ne sais pas. 

    Eh bien ! Compte tenu que l'amour est quelque chose de bizarre, on ne peut se tirer de lui, soient situations, soient dialogues, lesquelles ne soient que bizarres, tel que celle-ci de deux amis souffrants de la désaffection d'auxquelles, celui-là a ourdi la touchante trame. Voilà donc, le pas moins touchant dialogue :

    Tout commence en se disant, pour épargner des mots, d'une laconique salutation :

     -Quoi ?

     -Quoi ? 

    Après de faire le canard au temps qu'ils avaient fait agir les épaules comme un taureau fâché, mettant les yeux tels d'une vache qui vient d'être traînée, tous les deux découragés se décident à faire plus abondant le dialogue :

     -Tu sais ?

     -Mais… oui, moi aussi.

     -Moi, je sangloterai ailleurs.

     -Ah, Moi aussi je sangloterai. Où vas-tu ?

    -Eh oui, nous pouvons y aller tous les deux sangloter ensemble ?

      -Pourquoi pas.

      -Eh ! Champ de Mars, ça fait ?

     -Tu crois ? mais aujourd'hui est dimanche, il fait du soleil, il aura trop de monde-là.

    -Tu as raison, cependant tout est autant de même aujourd'hui.

   -Tu as raison aussi. Nous pouvons donc aller Père Lachaise ? Considérant que tout le monde va sangloter là, même à cause de choses puériles, ce que nous faisons est de sangloter dans cette même rue, vide maintenant. Regarde, tu restes à sangloter dans ce trottoir et je vais l'en faire dans celui d'en face.  Nous sanglotons comme il faut, et après nous partons prendre quelques pots par là.

     -Fait.

     -Allons-y donc.

vendredi 23 novembre 2012

NI CHAT NI CHIEN

     Dans les temps où nous vivons, si l'on veut trouver des politiciens, il ne faut que s'en aller parcourir les palais de justice…

     … il sera parce que les temps sont venus, depuis longtemps, emportant (tel que la marée de la mer l'écume blanche qui ne laisse pas voir la couleur de l'eau) une espèce de daltonisme qui nous empêche discerner un chien d'un chat, ceux-ci qui depuis toujours un chien était un chien et un chat un chat, jusqu'à l’idolâtrie que nous avons fait de nous-mêmes, nous a amené à tout faire à notre image... la pauvre ! La question est que plus pauvres sont les modèles choisis, parmi nous tous, soit les plus riches trésoriers de la sueur d'un peuple qui la donne volontiers, démocratiquement, sous la prétention occulte de qu'un jour ils pourront être les trésoriers de la sueur des qui sont ses égales maintenant. donc, je souhaite savoir, ce que les aura faits, aux uns et aux autres, la démocratie, la pauvre (pas moins que notre image) qui déambule en compagne de la justice d'une guinguette à un autre, s'en cuisant toutes les deux à pots-de-vin à faute de partenaire qui les invite à danser.

     Pourquoi il sera, en observant le style des politiciens, comme aussi ceux-là qu'y prétendent, il me fait penser que les palais de justice étaient devenus des bordels. 

jeudi 22 novembre 2012

DONNER DES AILES

    À cause de leur donner des ailes auxquels ne les avaient, au lieu de les faire, se comportant avec eux tellement un autre supposant qu'ils se comportent, marcher tel qu'au reste des mortels qui par le paysage républicain pullulent ; l'effet s'est produit, dont quelques y parmi, de profondes racines même, n'auront besoin que déplier les siennes, lesquelles étaient pliées depuis la République instaurée.

    Pourtant, selon les choses qui marchent, on peut déduire, parallèlement, que :

    Une ligne prendra la divergente, déjà que, et compte tenu, si à un âne, par exemple (servant du même n'importe quel autre animal non humain ni humanisé) si on lui donne un coup de bâton, pour le reste, toujours qu'il voit un bâton à la main d'un humain, il lui offrira le cul pour prendre la divergente.

    Nonobstant, nous passant par la même situation, des ânes, par exemple, nous prenons la tangente, c'est-à-dire, si à un humain, y parmi un politicien (dans ce cas qu'il n'y ait pas occasion à choisir tel qu'auparavant, puisque ces phénomènes sont une maladie qui seulement pousse sur nous) la donne un coup de poignard à quelqu'un des qui l'en ont élu, ils ont l'habitude ! Le « suffragant » qui l'en reçoit. Ils ont aussi, inexplicablement, l'habitude, après d'avoir être poignardé, bientôt qu'il eût vu venir l'arme, ou bien il se met à regarder le truc pour voir que plus il peut faire, ou se déshabille, parce que le bourreau ne met pas ses fringues en lambeaux. D'où se peut se tirer que n'importe quel animal a de la mémoire historique ; par contre, les humains ne l'en ayant presque, quand nous, prétendument, l'en avons, tout semble nous devenons stupides.

lundi 19 novembre 2012

PARTIR! ... VENIR ?

    On a l'habitude de faire de celui qui s'en est allé, patrimoine de toutes les qualités… question, si est-ce qu'il les en avait ? Bien sûr, celles-là qu'il avait ; laissant de côté, où tombe un sournois sourire de tous les qu'y l'en jettent fleurs, les défauts, dont il faisait charge.

    Le temps se passe, y durant qu'il ait survivants à celui-là qui s'est passé ce temps, en lui aura adouci son sourire, en tournant à sincère le sentir sa faute, je ne dis pas plus, si le disparu a laissé ouvre qui lui prolonge, sur ceux qui font devancière de la sienne leur personnalité.

    Si tout cela s'est passé, étant sa disparition une éventualité, mieux serait au disparu, qu'il boit de sa propre gloire à l'autre côté de la porte d'entrée, parce que, en le passant à nouveau pour entrer, la charge des injures qu'il devrait supporter, seront multipliés sur lesquelles l'en ont auparavant délivré.