samedi 31 janvier 2015

À PROPOS DU SONGE ET DE LA RÉALITÉ

    J'ignore si, parmi les animaux tous, nous sommes les seuls à être touchés de la dichotomie : songes, réalité. 
 

   
Jusqu'à tel point ça nous arrive, que personne ne peut nier quelquefois a douté, quel de tous les deux est la réalité ou le songe.
 

   
Je dois avouer, préfère me tenir à la dictature de mes songes, qu'à celle-là de la réalité des songes d'autrui.

vendredi 30 janvier 2015

LES DERNIERS SURSAUTS D'UN EMPIRE

    Séraphin était un homme ou quelque chose comme ça, imperceptible autant sous l'empire de sa femme dont il habitait, comme hors de celui-ci. La seule reconnaissance à Séraphin était l'assiette de plus que l'impératrice, à laquelle il était soumis, mettait sur la table plutôt pour habitude que pour qu'il existât. Telle était l'existence de Séraphin jusqu'à un jour le hasard l'a conduit chez un médecin.
 

  
Le toubib, qui n'a senti non plus
Séraphin, pour justifier ses honoraires, a proposé son patient de boire du vin rouge pour se faire optimiser avec, la bonne marche de son cœur ; après cela, Séraphin s'est proposé lui-même tout seul, d'être lui le porteur du cœur en le plus optimisé état de fonctionnement que jamais personne ait eu.
 

  
Depuis ce jour-là tout a changé dans l'empire conjugal, dont si bien
Séraphin avait fait une habitude ce de fortifier son cœur, qui chaque fois moins impératrice avait dû prendre celle-là de faire encadrer l’assiette de l'ancien ignoré d'un verre et une bouteille de vin rouge. Le cœur de Séraphin prît de la vigueur, mais personne n'en doute, qu'à cause, ce soit ou non douteux, le cœur de l’impératrice était en train de donner les derniers sursauts.

mercredi 28 janvier 2015

FAMÉLIQUES ET GOURMETS

   Quand le peuple n'a rien, ou peu en tout cas, à manger, lesquels en ont y parmi, soit lesquels se sont fait ses maîtres, ils sont devenus des gourmets.
 
    
    L'église Christiane a traditionnellement soulagé la faim, même qu'il en soit un petit peu (desquels, bien entendu, se sont fait ses acolytes, croyants ceux-ci plus que de celle-là, de celle-ci) avec le pain et le vin. Autre église qui n'est pas ainsi de proche à nous que la Christiane, a fait que ses croyants se donnent coups dans la tête pour que la douleur dans celle-ci dissimule le douloureux vide de leurs estomacs. 
 
     
    La question est que les prêtres de l'une de l'autre église, aussi comme ceux-là de toutes les autres, tous mangent en compagnie des gourmets.

MIEUX NE PAS FAIRE DES COMPARAISONS

    Les vendeurs de peignes à chauves, contrariés par les verdeurs de perruques, au ne pas savoir s'en sortir, ils se sont mis sous la peau de politiciens.
   Ces défenestrés marchants-là, qui une fois tombés dans le chômage, à défaut d'intelligence se sont fait vendeurs d'eux-mêmes en tant que possesseurs de celle-ci.
  Ne vous laissez pas tromper les personnes normales, ce qui n'est pas être peu ! En vous croyant les plus sages ; ce qui le justifierait en vous comparant aux imbéciles.

mardi 27 janvier 2015

PAS CHANGER N'EST FAIRE DE LA POLITIQUE

    « Il n'y a pire change que celui-là dont ne se change rien »  je m'explique : d'abord, c'est un mensonge ! les politiciens ne sont ni larrons, ni méchants, ni flibustiers, ni minables, ni stupides, ni menteurs, ni brigands, ni traîtres, ni hypocrites, ni crapules, ni portent casque non plus pour se faire dissimuler. 
 
    
     La vérité est que lesquels se cachent dans un casque, les crapules, les hypocrites, les traîtres, les brigands, les menteurs, les stupides, les minables, les flibustiers, les méchants et les larrons, aussi qu'autres spécimens possesseurs de délicates qualités comme ça, se font passer par politiciens pour exercer leurs indésirables professions ; incompréhensiblement avec l'agrément de leurs victimes, ce que ceux-là font faire, disent-ils, démocratiquement.
 
    
    Alors que, quand un peuple, démocratiquement, élit-il tout simplement politiques pour se faire administrer la richesse à tous appartenant ; les faux, enragés, menacent leurs anciens exploités tous pour ne pas se laisser y faire. Petits satrapes : Vive la Syrie ! Vive la Grèce ; celle-ci qui va, peut-être, ressusciter sa fille.

dimanche 25 janvier 2015

BREF SURVOL SUR L'ÉVOLUTION DE NOS ÉVACUATIONS

    Avant de ce qui s'est donné en appeler civilisation, la nôtre bien entendu, l'homme évacuait partout, pour ne pas dire qu'il engraissait l'environnement après celle-là les agglomérations qu'à sa cause se sont déclenchées, ont fait que l'homme chie sur soi ; donc question de survivance : latrines sont faites. 
 
  
    Au début, les latrines étaient quelque chose d’incommode ; il faisait s'y mettre à croupetons pour mener à bon terme les besoins corporels auxquels celles-là étaient destinées, à ce qu'il fallait ajouter l'honneur qu'elles faisaient à son nom. Il ne ferait pas s’efforcer en déduire que l'activité chez elles serait plutôt brève. Les latrines ont perduré tel qu'elles chez nous jusque bien entré le XXᵉ siècle, faisant un lapsus de style dans l'époque romaine dont elles sont devenues, en autre des fonctions qui les étaient propres, et grâce à son architecture communale, des temples du pourparler.
 
    
    Les temps modernes ont transformé les latrines en toilettes, dont l’hygiène, la commodité, l'éclairage pourvu par lampes électriques… parfois servi par des fenêtres ! On y a fait même lieux de lecture, ce qui s'est en train de se perdre au fur et à mesure que s'imposent les ordinateurs portables.
    Quoi qu'il en soit : que vous le chiez bien !

jeudi 22 janvier 2015

NOTRE BELLE OUTRAGÉE

    Les Européens, de notre nonchalance qui nous a mené à nous croire bourreaux et victimes, à cause de ne pas nous déranger à prendre par les cornes le taureau violateur de notre belle (celui-ci qui gracié de notre permissivité a déplacé l'amoureux). Nous nous sommes tous mis dans les mains de ces mauviettes qui ont fait couler notre Europe dans le pétrin.
 

   
Ces oiseaux de mauvais augure, qui quand quelqu'un y parmi, il veut s'envoler hors de la volée, la maîtresse, que non celle-là du casqué, avec la règle, au lieu d'enseigner, tracer des figures géométriques, elle la pose, pas doucement, sur la tête de l'aventurier pour le faire mettre à la ligne.
 

  
Ces traîtres, qui vendent la liberté de leurs peuples, les nôtres, à la plus pelliculeuse indécence, ne sont pas les seuls coupables de telle ignominie, puisque sans l'acquiescement de tous nous « canards boiteux endormis » ils ne pourraient rien faire.
    Vive l'Europe ! sans les faux culs qu'y pullulent et la Russie, évidemment, qu'y fait part !

mercredi 21 janvier 2015

LE BONHEUR ET LE MALHEUR EN TANT QUE TERRES DE CULTURE

   Mieux souffrir la vie durant qu'être heureux par la mort, la mort n'est qu'un insignifiant soupir.


   Tous les gourmets de la vie (ce qu'il ne faut pas confondre avec les vivants tous) que j'ai connu, quand ils ont fait agir les girouettes pour faire savoir de leur bonheur, leur vie bientôt s'est rendue à la mort.


   Le malheur est de la bonne terre pour pousser la vie, par contre dans le bonheur pousse bien la mort.

mardi 20 janvier 2015

NOUS ANÉANTIR NOUS-MÊMES

    Quelque chose m'a fait déduire que les humains avons autant des chiens que des canards (même que ceux-ci ne soient pas boiteux) aussi comme des vers ; voyons-y.
 

   Imaginez-vous une meute de chiens poursuivant une volée de canards. Dans cette course pour la survivance ; dont, il faut le dire, les chiens avaient d'autres choix, quand les uns auraient épuisé leurs ailes, aussi comme les autres auront fait autant de leurs jambes ; donc, les vers, qui se venaient faisant les invisibles, qui n'ont ni ailes ni jambes, firent un sort aux uns aux autres, ce que les canards avaient déjà le numéro gagnant joué d'avant ; d'avoir, bien entendu, les chiens jambes. 
 

  
Quelle manie nous avons, les humains, de n'être qu’humains ; quel besoin nous avons d'être chiens, canards (en dehors de l'en être boiteux) ou vers… silencieux.

dimanche 18 janvier 2015

L'ENTÊTEMENT PEUT FAIRE L'AMOUR ÉTERNEL

    À manque que tu ne m'aimes, j'espère bien que tu me haïras ; ce qui me fait au moins heureux de toucher ta pensée… 
 
    
    … le disait le chien à la chatte, sans rien le lui dire, pressentant la presque impossibilité d'un amour partagé.
 
   
    Le chien, entêté personnage, pas moins que la chatte, il faisait autant silence quelle, l'un des aboiements, l'autre les miaulements ; se rêvant la nuit durant, se gardant le jour de ne pas se regarder.

LAISSEZ NOUS AVEC NOS DIEUX LAÏQUES

    Qu'est-ce qu'on a fait dans notre pauvre Europe ? de nos dieux ? — En rapport avec l'environnement dont nous touchons en sort à vivre, sinon que simples comparses de l'un des impitoyables, tout-puissants, mâles, omniprésents, et absolutistes, d'importation ; en les faisant saints martyrisés (manie de tout martyriser) ce qui a permis aux porte-parole des dieux étrangers : vrais maîtres du credo, s'emparer de nos vies, psychique-et-physiquement, pendant des siècles ; actuellement par voie économique.
 
    
    Pourtant, les déesses plus ont souffert ; jolies femmes amantes de la vie, de la joie de vivre, desquelles ces satrapes immoraux ont fait des mélancoliques vierges ; leurs grâces voilées, aux regards éteints des mortes-vivants.
 
    
    Cet obscurantisme qui a imprégné notre société de tous ses maux, ceux-ci qui se font sentir à nos jours encore malgré le décollement qui s'en est venu petit à petit faisant d'eux, et malgré aussi des acolytes d'un autre de ce type de dieux, lesquels y parasitent en silence… comme pour permettre maintenant le débarquement d'un autre de plus, qui nous transporte à nouveau aux profondes ténèbres… j’en prie ces étrangers nous laissant en paix, par la paix, souffrir nos dieux laïques. 

vendredi 16 janvier 2015

TROP COUCOU PARMI NOUS

    Tout problème doit se corriger, si l'on veut le faire, dans son origine ; puisqu'une fois il s'en est envolé, il ne va faire pour métier que de se masquer pour se dissimuler parmi le monde dont il va parasiter…
 
   
    … je n'ai pas été, furent les chinois, -ça au moins m'en ont fait croire à l'école- qui ont inventé la poudre.
 
    
    Quand j'ai dit auparavant « si l'on veut le faire » c'est autant du même que si j’aie dit : rien se laisse au hasard. De tout problème quoi qu'il en soit, si bien nuit n'importe quel peuple, il y en a un qui tire profit.  

mercredi 14 janvier 2015

C'EST LA LIBERTÉ QUI FAIT LA GRANDEUR

     Les dieux, dits de la paix, que l'on professe aujourd'hui par ici, tournent en ridicule aux dieux de la guerre d'antan, lesquels chevauchaient par nos terres et nos cieux, en leur métier concernant.
 

  
Ces dieux, et déesses, les nôtres, déplacés depuis le débarquement des dieux mâle-monothéistes-impitoyables dans « La Belle Europe » qui était de tout type de ceux-là assorti ; à tout besoin si l'on croyait l'en avoir et même caprice, pour que les citoyens s'en servissent à plaisir.
 

  
Notre Europe, après, sinon bien d'anéantir, de mettre à sa place inquisiteurs assassins d'un côté aussi qu'usuriers d'un autre (les uns les autres qui se sont devenus pédophiles et spéculateurs, ou quelque chose comme ça) maintenant, nous devons recommencer nous battre avec de nouveaux inquisiteurs…
 
   … on ne peut pas vivre tranquille !

dimanche 11 janvier 2015

PRÊTER ATTENTION AUX PUISSANTS

    Prenez garde des politiciens, ces nudistes de la honte ; quand moins on le pense, ils vont apparaître habillés, de l'appât du gain quoi qu'il en soit, au but, surtout, de ne pas perdre place dans les fauteuils du pouvoir. 
 
   
Et, faites-vous attention jusqu'aux clochards, en vous soignant d'eux. Ainsi, le jour qu'ils entendent, lesquels peuvent y tirer profit, ils ne vont point en douter, en vous rendant hommage, de se mettre à votre place recueillir les aumônes à vous. 
 
  
    Pour y faire, ils n'en douteront d'organiser un concours républicain, dont les invités d'honneur seront : monarchistes de race, despotes de tout acabit et curés « inquisiteurs » ceux-ci qui ne peuvent être d'autre, même qu'ils aient eu beau se déguiser de pieux hommes.

samedi 10 janvier 2015

HYPOCRITES !

    Les rats ne s'efforcent trop, ils ont l'habitude, à faire semblant d'avoir de la peine, cette fois à cause du décès du chat, tandis qu'ils mangent de l'assiette qui pour lui fut servie. 
 
    
    Le silence était gratté par des fines ongles des muridés, qui autour l'assiette le lui rythmaient de leur presque inaudible grignoter. En silence, elle aussi, la peste, qui l'a tué, est parti à recherche de nouvelles victimes.
 
    
    Par là, en regardant les funérailles, un chien, qui auparavant avait été le poursuivant du félin, verse une larme de douleur ... à la vie ! et une autre de peine pour la mort de son partenaire.

jeudi 8 janvier 2015

N'ALLEZ PAS CHEZ LES BOITEUX

  Il était une fois un monde, dont lesquels y appartenaient, tous, étaient boiteux, et comme en étant boiteux, que non imbéciles, ils blaguaient les uns les autres de leur défaut : l'humeur est un symptôme inéluctable d'intelligence.
     Et, si les boiteux savaient d'autres mondes dont la boiterie si existait, était un délit, ni ils y allaient boiter, ni se moquaient de ces gens-là pour ne pas l'en être. C'est comme que s'ils les ignorassent et y attendissent autant.
    Et, si n'importe qui ne l'en fût se rendre chez les boiteux, ceux-ci vont blaguer avec à cause, rien de grave, c'est sa manière de regarder la vie, bien que s'il ne voit que les boiteux s'y moquent, il suffit ne pas aller chez eux.

lundi 5 janvier 2015

LA FIN DE TOUT

   Le monde, l'univers, cette toute immensité, impénétrable, laquelle personne peut que mauvaisement pressentir.
    Dans ce monde, cet univers, se tient le monde de l'individu, dont poussent fleurs, qui ont pour pétales épines, sages du non-savoir, prophètes de l'obscur, patrons de volontés.
   L'individu, dont son indescriptible petitesse se trouve par l'incommensurable immensité, quand il s'éteint, s'éteint elle aussi.

jeudi 1 janvier 2015

LE PORC, ET SOIT L'HOMME SOIT DIEU

    Un porc ramassait des châtaignes, lesquelles il les emmagasinait dans lui, dans un bois dont se considérait patron, dieu, un homme qui le regardait de telle convoitise manière, que cela lui fait méfier d'une telle autre, qu'à dater de ce jour, en se disant lui-même, pour le dire à l'homme, au dieu, si tu m'as pris pour un entrepôt, va t'en faire foutre, Anastase, qu'il s'appelait, laisse d'engloutir et ne manger que l'indispensable.
 
  
    Le seigneur des bois contrarié de l’attitude d'Anastase, s'y approchant lui dit  –si tu ne manges maintenant qu'il y a des fruits, tu n'auras pas de réserves l’hiver durant, dont ils seront rares.
 
    
    Le porc le regardant du coin de l'œil lui répond : à moi ils seront assez, et desquels restent par terre désormais, y pousseront d'autres arbres qui donneront plus de fruits, pour ma part, pour toi et pour des animaux d'autres, en autre, si tu ne veux pas devenir un carnivore à cors, au lieu de gaspiller ton temps en regardant mes maigres chairs, va-t’en entretenir celles-là de ta femme, ou elle cherchera autre qui l'en fasse.