mercredi 31 décembre 2014

JE NE DIS QUE LE MONDE SOIT ÉGOCENTRIQUE

    N'importe qui verra le monde immense, infini même, s'il est regardé par le monde ; par contre pour lequel qui regarde le monde, celui-ci se le montrera insignifiant.
 
   
    Rien à nouveau : la mesure du monde, à convenance duquel le regarde, va être toujours relative.
 
    
    Pourtant, vous n'affligiez pas sieurs-dames pour la mesure du monde, qu'il va être assez à nous tandis que nous y étions, aussi qu'il sera, plus qu'insignifiant, rien, après.

dimanche 28 décembre 2014

LA MALVEILLANTE CHASSE AU RENARD

    D'au-delà des mers était venu un cavalier, lui monté sur un cheval ailé, sous la prétention de faire dans la vieille Europe la chasse au renard ; ce qui ne le fut si facile qu'il pensait, car depuis là-haut par où le menait sa monture, il ne pouvait bien observer ce qui se passait par les domaines du goupil.
    Ce cavalier, qui pour bien faire de la chasse, s'est fait servi d'une meute, dont tous qu'y faisaient part, prétendument avaient de la connaissance du terroir… grosse erreur ! aucun y parmi n'avait jamais sorti de son commode berceau.
    Quoi qu'il en soit, la chasse fut débutée ; donc toute cette équipe-là se met sur la trace d'un renard, celui-ci qui tirant avantage aux plans de ceux-là, il s'est assis à la fourche d'un gros arbre, si gros que la hauteur surpassait les nuages, depuis-là il observait le spectacle qui l’offrait ses poursuivants, lesquels leurrés de celle-là que leur gibier avait faussée auparavant, ce qui les a fait étourdir des tours sur eux-mêmes faits, soit que tout a fini, pour ces cons qui se sont fait chasser entre eux-mêmes.

samedi 27 décembre 2014

FAUSSE LIBERTÉ

   Dans les temps modernes aux esclaves se les assujettit plutôt avec des contes qu'avec des chaînes, pour disposer des chaînes on doit tirer, au moins, de deux minéraux : l'un pour fondre l'autre duquel les fabriquer, tout un lourd et onéreux, procès.
 
   
    Par contre, pour se faire des contes, il ne faut qu'acheter quelques baratineurs, qui aillent des manières à l'effet, et s'il y a des coûts : papier, imprimerie, etc. on s'en dédommage bien en vendant ces chaînes en papier à leurs propres captifs.
 
    
    Pourtant, personne étant esclave se plaigne de l'en être, puisque c'est bien de son choix en soutenant ses maîtres ; et si supportent impassibles les coups de leurs bourreaux, qu'ils ne se plaignent non plus, des reçus desquels sont esclavages à cause d'eux se laisser y faire.

jeudi 25 décembre 2014

DEUX MONDES

    Le monde a passé d'être quelque chose si fade que faute de sauce, à être porteur d'un dégoût qui ne stimule précisément ni un petit peu à y rester. C'est dégoûtant à la vie, qui mine y parmi la société tout entière aux de moins en moins personnes normales, ce qui est venu imprégnant dans celles-ci à cause, soit activement, soit subconsciemment, un caractère suicidaire.
 
    
     Il est évident (sinon, réfléchissez-vous, sur le sujet) que sans des personnes normales, la société n'est qu'un composite de prêts et adeptes, soit une substance viscose de matière organique. 
 
   
    Pourtant, mieux que cela de se suicider, je vous conseille de dormir. Dormez-vous profondément et rêvez avec le monde que vous fasse sentir bien ; et surtout ne vous oubliez pas de vous réveiller de temps en temps tellement le monde réel fusse un rêve, dont vous vous trouvez participants dans un opéra bouffe… pas tout va être sérieux, il faut rire aussi.

mercredi 24 décembre 2014

DIEU EXISTE!

    Vous pouvez penser que je suis devenu paranoïaque, mais non, c'est lui. Selon le dicton "dieu est partout" donc irréfutablement, c’est lui. 
 
    
     Regardez-vous, depuis qu'il a pris le ministère du seigneur, il s'est fait charger du tout en le concernant, et plus, il a gratté partout dont il y a pu, pour après sombrer de sa présence jusqu'à l'absolu.
 
    
    En conséquence, je me demande : il se fera charge lui aussi des bêtises promulguées, auparavant d'être lui le suprême, par monsieur Fabius ?

lundi 22 décembre 2014

LA VACHE! ... OU LE TAUREAU ?

    Aux vaches, on le tire son lait, on l'arrache ses fils, et jusqu’à on profite des chairs quand les cornues ont laissé de donner du lait ainsi qu'elles se sont comme toute femelle, à un certain âge, devenues stériles, dont elles seront remplacées par leurs filles.
 
   
    Pourtant, il y en a qui dit, qu'elles menaient pire vie que dans les temps actuels, dans ceux-là qui restent dans la mémoire de nos aïeuls, dont à défaut de machines agricoles c'étaient les vaches qui devaient faire les travaux que ces engins font maintenant. 
 
   
    Je vous propose sieurs-dames de vous mettre vous devant un miroir à réfléchir un instant, est-ce que par un casuel, même en étant quelqu'un y parmi homme, ne vous voyez-vous dans le verre étamé en vache ? Nonobstant donne le cas que vous étiez mâle, si vous vous voyez en taureau la question est bien autre.

samedi 20 décembre 2014

LA LUMIÈRE ENLÈVE LES OMBRES

    Ce qui s'est passé ce jour-là dans la vieille maison familiale, qui avant d'être dévorée par le béton tel qu'il est venu l'en faisant de tout le quartier, dont elle était la plus grande, ce qu’en étant moi un tout petit gosse, se faisait immense considérant la proportion. Ces événements-là qui d'avoir survécu moi tout seul y parmi lesquels étaient et compte tenu que j'aurais de la persuasion des ecclésiastiques. J'aurais peut-être fabriqué un mythe. 
   
   
    Tout s'est passé une soirée, sombre, y durant les ombres, entre lesquelles je passais inaperçu, transitaient les couloirs de la vieille maison. Par là le seul qui brillait, j'en suppose, ils étaient mes yeux fort ouverts. À ce moment même, il me vient le pourquoi je les en ai eu pour toujours tellement les ombres : obscurs. Ce jour-là j'ai dû de finir épuisé de tant les ouvrir, ce qu'en autre s'est étendu sur moi pour me faire devenir, pour le dire de quelque manière, personne peu travailleuse.
 
   
    Les souvenirs se succédaient, j'ai donc baissé au rez-de-chaussé, probablement pour m'enfuir des ombres. Cependant, là-bas il y avait plus, ombres qui parlaient à baisse voix, qui riaient aux éclats. Je monte tout de suite par où j'avais descendu et surpassant le premier étage, les escaliers se faisaient tourner, à quelques marches, dans un palier un arbre à petites fleurs était illuminé par une lucarne de la taille de la cage de celles-là. Une fois dans le second étage, dans la sombre de la mansarde il n'y avait pas d'ombres ; là le toit, au centre, était plus haut que dans le reste de la maison, mais où déclinait, il ne l’en était plus haut que moi… Depuis là, une fenêtre face où j'étais, elle laissait entrer les derniers rayons du soleil auxquels relayaient les de la lune…
    Voici comment j'ai entendu que mon chéri aïeul avait mort !

vendredi 19 décembre 2014

L'AIGLE, LE LION, ET LE TROUPEAU

    Un aigle, impériale, en voyant tout depuis les hauteurs, voyait tout, petit, jusqu'au terrain qu’elle convoitait, par là-bas où elle-même ne se posait jamais. Pourtant, elle s'est voulue faire un ennemi par terre choisissant à cet effet un puisant lion qu'y vivait tranquillement, forniquant et se reposant pendant la sieste, il laissait tout faire à leur plaisir les lionnes fainéantes, mais généreuses ! 
 
   
    Cette aigle-là pour faire honneur à son nom, cherche parmi les animaux sur terre, quelqu'un soit prêt, sous son commandement, à soumettre le lion, n'en trouvant autre chose qu'un troupeau de moutons, ceux-ci qui encouragés par l'ailée les a fait croire que le volume de leurs poils frisés les apportent la force y correspondante (pauvres "Sansons") aussi bien que leur myopie les faisait voir petits à tous les autres, que pour comble des malheurs les cocus sont maniés par une brebis laquelle n'avait pas besoin de la laine pour être grosse.
 
   
    L'aigle, impériale, qui si bien n'est trop intelligent n'est non plus sotte du tout, pour protéger ses vassaux fait fabriquer une cage pour garder le lion ; mais telle embrouille ont fait elle et ses acolytes que la cage est devenue la leur propre. Je n'ai jamais vu un lion rire de telle manière… soit, ils veuillent le tuer de rire ?

lundi 15 décembre 2014

SCÈNE ANARCHISTE

    Sous l'empire de l'anarchisme, athée lui comme ne peut pas être d'autre, le fût pouvoir anéanti, ce qui pour ne pas bouleverser soudainement les habitudes acquises génération à génération durant siècles, non seulement se sont laissé rester les églises, sinon qu'elles ont été aménagées de bons chauffages, mettant des confortables fauteuils à la place des "prie-dieu" aussi comme machines à sous à celle-là des boîtes d’aumônes. Ces machines-ci pourvues du truc, grâce auquel il n'a pas besoin de mettre aucune monnaie, ni billet même, tirer juste de la palanque à ce qu'elle répondra faisant toujours toucher un prix le tireur, celui-là selon le hasard, mais un prix quand même.
 
    
    Imaginez-vous les scènes que pourraient se jouer à la sortie des églises, telle comme celle-ci de deux assidues vieilles damas, le voilà.
 
    
    Tous ces deux clientes au centre sortent, comptant chacune les gains tirés de la susdite machine, conversation faite, commence :
    -Combien as touche, toi ?
    -Moi neuf et cinquante-cinq, et toi ?
    -Moi douce tout juste.
    -Tu as eu de la chance !
    -Tout le monde l'en a, personne ne perd ici.
  -C'est vrai. Que bel est l'anarchisme, quelle gentillesse on y a, quelle piété ; dommage que ça soit si pris de l'athéisme !
    -On ne se peut pas être tout mais, qu'est-ce que tu veux ? si jusqu'aux petites images des favoris sont gratis… et quels sandwichs servis accompagnés d'un réel pot-de-vin comme il faut. Rien à voir avec les misérables feuilles de gâteau toutes sèches d'auparavant.

samedi 13 décembre 2014

JOUER À PESER LA SAGESSE

    Je vais vous proposer de jouer un jeu, lequel s'agit de peser la sagesse ; ce qui ne va pas être difficile d'y faire dans un monde si concurrent tel que nous avons fait du nôtre, mais comme personne prétentieuse pour le jouer se mettant elle dans l'enjeu, j'ai opté à faire un tour et compte tenu que personne qu'est absente de la pensée, aussi comme dans celle-ci de chacune il y a un sage parmi les sages « lequel » (effet miroir) est le plus savant ; celui-ci que l'on utilisera en…  
 
    
    Excusez-moi, mais ils doivent s'abstenir à participer, dans ce jeu-ci n'ont rien à faire, lesquels tiennent par sages à tous lesquels ont pour tout mérite, ce de donner coups à un pauvre ballon ou pelote, captifs.
 
    
    Aux participants dans ce jeu imaginaire, dont évidemment l'imagination est condition indispensable, tel que l'en est aussi une balance, dont les plateaux, vides, étaient en parfait équilibre. en suivant, pensez-vous en votre sage le plus savant, et c'est donc que vous deviez tirer de votre imagination : mettez-vous toute sa sagesse dans l'un des plateaux —la balance tombera bien sûr de ce côté. Ne vous arrêtez pas d'imaginer ! et mettrez-vous maintenant dans l'autre plateau tout cela que votre sage le plus savant ne sait pas… vous verrez qu'il n'a pas besoin d'interrogation.

vendredi 12 décembre 2014

LES PROTAGONISTES DU FILM

    Peut-être les humains d'entre tous les animaux soyons les plus bizarres (pour le dire le plus doucement et compte tenu que nous considérons les protagonistes du film) puisque parfois de chercher y parmi quelque chose qui nous rapproche les uns les autres, chacun pense que les outres tous sont porteurs, de plus ou moins, défauts que l'on peut trouver, selon l’état d'esprit de chaque, sans celui qui cherche à penser ni pour un instant, qu'il puisse être touché d'aucun.

    Y parmi les genres dont notre espèce a fait comme que si nous y fussions deux ; les femmes, elles se rejoignent, pour stigmatiser à l'autre ; mais en cachette, souvent mal dissimulé, entre elles s'acharnent furieusement.

    Nous sommes (les hommes) beaucoup plus… comment j'en dirais : comme une girouette peut-être ? mais plutôt qu'accorde au souffle du vent, aux arômes qu'il emporte, ceux-ci qui en étant de femme, ça peut faire de n'importe qui un chasseur incontestable, acharné.

mercredi 10 décembre 2014

CANARDS ÉTOURDIS

    Il ne faut pas être trop intelligent pour constater que les intrus dans la politique ne l'en sont pas.

   Ces néfastes stupides suicidaires qui entraînent avec eux toute la société à son enjeu ; soit, les contribuables, desquels sont-ils en train de les faire devenir boue (ceux-ci qui n'ont non plus taille de grande intelligence pour faire « démocratiquement » de leurs bourreaux leurs maîtres) dans cette boue où finiront, plutôt, plus tard, pour s'enfoncer ces géniaux maîtres, vassaux des spéculateurs, dont les uns les autres, qui après anéantir « la classe travailleuse », se battent déjà en lutte fratricide entre eux à entasser richesses, jusqu'au cumul soit, j'en suppose, à un y parmi… donc, on verra !

   Il ne faut pas être trop intelligent pour deviner que l'anéantissement de celle-ci, nous anéantira tous nous.

mardi 9 décembre 2014

LA NEIGE ET LE GIVRE

   Avant que les cerisiers pointent parmi les impressionnistes points verts qui façonnent leurs feuillages, des cerises    rouges, ils se sont fait neiger d'autres, blancs, de leurs fleurs.

 
  Les citoyens de la vieille Russie ont bonne connaissance de ce tableau-ci.
    Pourtant, sur l'occident de la vielle Europe, plus que sœur, part, de son orient, un typhon venu d'au-delà de la grande mer a arraché toutes les feuilles de tous les arbres qu'il y avait.
 
   
    Y dans, le givre a supplanté la neige… les fruits n'en ont plus été.

lundi 8 décembre 2014

L'ÉTERNITÉ DANS LA VIE, ET DANS L'AMOUR

    La vie n'est que temps, semblant éternel celui-ci de celle-là du même qu'il se fait sembler dans les affaires de l'amour. Cependant, il n'importe quelle éternité de tous les deux, qu'une fois arrivée à son bout, elle se dilue dans le tout, pour disparaître à jamais en tant qu’entité propre.
 
   
    Pourtant, reconnaissons que l'éternité, dans l'amour se dilue si mal que l’huile dans l'eau, tandis que, en la vie suffit un coup juste dans la tête et tout est fini. Par contre l'amour ce n'est pas si simple, puisqu'il mute bien en haine que n'est que passion, celle-ci qui se fait, toujours plus compliquée à diluer.
 
   
    À ce point arrivé, je dois signaler que l'éternité, tandis que dans la vie se garde plutôt pour l'après, dans l'amour est tout un coup de foudre (du plus persistant tonnerre) dont la première est pour mieux supporter la vie et la seconde pour l'en faire insupportable. 

dimanche 7 décembre 2014

LES CLOCHES DE LA MAISON DE DIEU

    Elles sonnent, les cloches, agressivement, depuis les pointus clochers que les abritent, ceux-ci qui, agressivement, eux aussi, s'enfoncent dans le ciel déchirant les nuages qu'y passent pour arroser la terre pour la faire fleurir, ce qui empêche les églises là où elles ont été bâties ; en pierre à la terre arrachée, taille celle-là en carrés, collés ceux-ci pièce sur pièce du mortier fait de la terre même, et du sang, et de la sueur, des bâtisseurs. Églises où poussent les menaçants clochers.
 
    
Les paroissiens s'abritent dans les rues étroites, du tonnerre de l'empire de la peur, de sa vision même. Mieux l'en faire dans les bars, dont celui-ci ne s'aperçoit pas, et celle-là est étouffée quand non des paroles des amis, du chant de tous les paroissiens.
 
    
    Nonobstant quand le monde devient sûr de soi-même, oubliant le dogme, ignorant même que la maison de l'impitoyable est là, celle-ci ouvre la bouche, et après faire sortir son pestilente haleine, l'en fait faire en fanfare ses fantoches, en portant souvent un martyrisé par n'importe quel sculpteur, au goût bien entendu des maîtres de la maison de dieu.
    … l'église ne peut pas laisser personne tranquille !

jeudi 4 décembre 2014

UNE SOURIS UN PEU VANITEUSE

    Il était une fois une petite souris prétentieuse, Adèle, elle s'appelait, qui attirait les passions de tous ses voisins ; bon pas de tous, parce que le souris Emmanuel, malgré avoir lui été son éternel amoureux d'enfance, « je suppose tout le monde sait ce de l’éternité de l'amour » affaire qu'il avait délaissé pour donner pour l'en offrir, plutôt qu'un air platonique, un vent narcissique, résultat de ne pas avoir obtenu réponse à ses suppliques, cela qui l'avait fait vivre un supplice. Un autre était le porc Frédérique, à qui tout le voisinage, une bande d'étourdis, lesquels se tenaient pour intellos, qui tenant pour un ignorant Frédérique parce que selon eux, il ne faisait autre chose que dormir en silence.
 
    
    La question est que la petite souris prétentieuse avait refusé ses amoureux tous, sous prétextes adaptés à chacun ; que si le chien aboyait, que si le chat miaulait, que si le bélier bêlait, etc. sans parfois laisser de se montrer jusqu'à méprisant disant, par exemple, au coq qu'il n'avait que bon bec, ou au crapaud qu'il avait plus yeux que ventre. 
 
    
    Pourtant celui-là qui ne laissait l'esprit tranquille d'Adèle, c'était la tranquillité du porc, qui ne lui prêtait aucune attention. — Cet imbécile, se disait-elle, elle-même (soit que les autres aperçussent son intérêt pour le désintéressé) qui non seulement ne me dit pas un mot, sinon qu'en plus ne fait que dormir. C’est tous les deux choses dont autant Adèle comme tout le voisinage presque, il était trompé puisque Frédérique était un intellectuel, un vrai ! Qui tout le temps de son existence l'employait à réfléchir… qu'est-ce qu'il allait dire à telles sourdes oreilles ? Un jour Frédérique, à cause de tant réfléchir, avait oublié déjeuner, donc, après la prétentieuse pour le prétendre se fait promener devant son nez pour l'endormir de ses effluves phéromonales. Frédérique d'un coup soulage sa faim.

mercredi 3 décembre 2014

LES PLUTONIENS N'ONT PAS DU SENS DE L'HUMEUR

    Moi, j'allais manger un poisson, auquel préalablement de son dernier voyage, tel qu'on s'en faisait anciennement aux marins, je l'ai à pour qu'il l'en fasse, mais dans une poêle remplie de bouillante huile ; à ce moment dont la fosse lui allait recevoir, sort de la panse du cadavre un plutonien, de qu'il l'était, je me suis aperçu tout de suite, due sa petite taille, comme l'en correspond : à celle-là de sa planète, du même que l'acariâtre caractère à la sienne.

   
    Arrête-toi ! — Crie-t-il- qu'est-ce que se passe ici, je n'ai fait qu'y arriver chez vous, que quand j'étais en train de me restaurer, je me suis fait surgeler, donc je me fais réveiller d'une chaleur insupportable, et maintenant qu'est-ce je vois, qu'est-ce que tu veux me manger quoi ?
    Moi, une fois éveillé de la surprise, sans presque pouvoir dissimuler les rires, je lui dis :
    -Mais... qu'est-ce que tu fais au-dedans de mon poisson ?
    -Je te l'ai déjà dit, ce que pour nous faire n'en faisons comme vous qui tuez l'animal de qui en profitiez. Nous, une fois mangé de lui, pas trop, le laissons-le vivant ; peut-être qu'il fasse autant d'autre, sans le tuer non plus.
   Moi, qui en le voyant de si petit, sérieux, fâché même, assis lui sur poisson frit qui reposait dans mon assiette, je n'ai pu plus dissimuler le rire. Donc, il me dit :
    -Pourquoi fais-toi des grimaces ?
   -Je ne fais pas des grimaces, je ris. Ah, excuse-moi, j'oubliais que vous les plutoniens n'avez pas du sens de l'humeur.
    -Qu'est-ce que c'est l'humeur ? Demande-t-il.
 
    
     -Comment est-ce que je te vais dire… c'est quelque chose comme nous taquiner les uns les autres.
    -Je vois, vous les terricoles avez un drôle sens de l'humeur.

mardi 2 décembre 2014

AIME AIMER QUI N'AIME PAS LE POUVOIR

   La dérive qu'avons-nous pris, les bipèdes sans plumes dès il y a, très, probablement trop, longtemps ; en nous habillant au debout avec les peaux des animaux autres, après, à défaut d'elles, d'imitations, jusqu'à l'en faire d'autres excentricités, pour épater, au but, chacun à sa façon, de laisser l’imprégnation de lui-même, ce qui a fini pour tout simplement forniquer. Quelque chose qui s'est compliquée de plus en plus au fur et à mesure que le temps s'en est allé passant…


    … le temps qui tout l'oxyde, on se l'est laissé faire, et il nous a absolument rouillés.


    Arrivant, lesquels y sont arrivés, à un état, dont nos habits nous font belles jambes, pourvu qu'ils ne soient que : la gloire, la grandeur et tournons à nous tromper que le pouvoir puisse nous proportionner, celui-là qui la seule imprégnation qu'il laisse pousser n'est que le soi-même, sans être conscients que nous ne sommes pas éternels. Ah ! et cela de forniquer ne nous est propice non plus, soit que n’en soit exercice de voyeurs ; que forniquent les pauvres ! Disent-ils. J'ai senti un oui-dire dont ceux-là pensent que cela est un travail… concept bien sûr fabriqué par quelqu'un qui n'aime ni la gloire, ni la grandeur, et même non plus le pouvoir.

dimanche 30 novembre 2014

... ELLE N'ÉTAIT PAS LA PEUR

    Étant moi enfant, un compagnon parmi la bande que nous étions, habitait-il une maison, laquelle nous considérons quelque chose de bizarre, où aucun de nous allait volontiers lui rendre visite. 
 

   
La patronne de cette maison, qui habitait le premier étage, avait loué le rez-de-chaussée à une petite rigolote, laquelle ne se le voyait qu'y sortant ou rentrant. La mansarde l'avait aussi loué à la famille de notre pote. Elle, la patronne, n'existait qu’habille en noir ; elle était une ligne noire, derrière les volets, les portes, entrouverts… un cyclope ! … elle à nous était la peur. 
 
    
    À ce moment-là dont je suis en train d'y remémorer, j'ignore si de la peur à cette dame-là, mais la peur n'existe qu'en chacun lui-même. La dame n'était pas, bien sûr, qu'une pauvre mal baissée.

vendredi 28 novembre 2014

QU'EST-CE QUE C'EST LA ZOOPHILIE?

    Les dieux d'antan, dieux comme il faut, bien entendu, se transformaient souvent en n'importe quel animal, pourvu qu'il ait les faveurs de déesse ou simple mortelle ; sans que personne pour faire ça le traitât de zoophilie.
 

   Passé l'ère des dieux, cause d'une mécréance provoquée par l'impitoyable concurrence des dieux impitoyables, d'où il apparaitra l'actuel des politiciens dont il y a des femmes, qui en faisant liaison avec ceux-ci, sans que non plus personne les prenne par de zoophilies.
 

   
Pourquoi donc, je me demande moi-même, tout seul, pour ne pas scandaliser, quand un homme se rend amoureux, purement ! doucement ! j'en ajouterais, d'une femelle autre non humaine, on se le traite, de la main des femmes bien sûr, de zoophilies ?

    
    … les femmes sont des jalouses invétérées.

jeudi 27 novembre 2014

UN FANTÔME DANS LE PARLEMENT EUROPÉEN

    Les temps font tout changer, sans aller plus loin, les fantômes d'aujourd'hui ne sont ce qu'ils ont été ; auparavant ils étaient des méchants, qui comme y correspond ne faisaient que méchancetés.


    Ces derniers jours, on se parle, trop à mon avis, d'un d'eux, qui enveloppé en habits blancs, tellement se montraient les fantômes des contes d'enfants, auquel je ne sais pas qui, ni pourquoi non seulement l'a permis se promener par le Parlement Européen (ni que celui-ci fût l’opéra) sinon qu'on l'a laissé se manifester dans son contexte fantasmagorique, instant il, aux élus par le peuple, à être des bonnes gens avec les pauvres, auxquels ses coreligionnaires, aussi comme spéculateurs de toute sorte, ont provoqué leur état de pauvreté.


    Vraiment, je ne sais pas si ce que ce fantôme entend pour bonne personne est enculé, de fait, chérubins. C'est-ce qu'ils métaphorisent, ou l'en faire, métaphoriquement, sur ceux-là qu'ils ont appauvri.

mercredi 26 novembre 2014

SAGES DÉDUCTIONS D'UN ÉMINENT HOMME

    Un sage homme, qui règne au-delà des mers, lesquels ne l'en ont éloigné pas trop de nous, auquel un honnête peuple qui du même n'importe quel autre a pour Émir ou quelque chose comme ça, a formellement décidé que les femmes ne sont pas des égaux aux hommes, soit aux mâles. Malheureusement, la queue me l'empêche, puisque tel type fasse telle déclaration, pour ne pas être son égal, il me ferait heureux ce d'être femme.
 
    
    Ce sage homme, qui ne s’arrête pas pour que sa sagesse (je ne m'explique comment est-ce que tante puisse pousser en un homme tout seul) n'en ait de perte, poursuivre sa tâche didactique : ce sont les musulmans qui ont découvert l'Amérique ? et ces insolents américains s'empêchant en appeler à Allah : Manitou, Xipe Totec, Viracocha, aussi comme d'autres bizarres noms… manque de respect à dieu !
     
    
    Tâche didactique à laquelle il ajoute d'autres perles pour faire un gros collier, telles comme : renoncez à l'alcool, mangez plutôt du raisin. Quelque chose à lequel il ne me reste pas de lui donner la raison, puisque même que dieu n'existe pas, il faut reconnaître que certaines religions démontrent avoir des traits d'intelligence tel que d’interdire à leurs coreligionnaires de boire du vin. Je vous laisse avec lui, profitez-vous de leurs enseignements.

dimanche 23 novembre 2014

FABRIQUER UNE PUTE ET LA FAIRE ESCLAVE

    Les courtiers de la spéculation, s'en transformant en politiciens pour mieux faire leur métier, à défaut d'arguments face la raison utilisent le mensonge, celle-ci qui est la seule méthode que les idiots disposent pour y faire, et laquelle est bien acceptée par des idiots qui même manquent de méthode.
 

    La pauvre Europe a eu progressivement devenu, depuis d'avoir fleuri en Grèce, un jardin flétri, cause des vents pourris, lesquels ont ravagé la philosophie qui l'en était inhérent à ses déesses et ses dieux, lesquels (les dieux pas les déesses) ont été supplantés par autres étrangers, desquels spéculateurs, d'ailleurs n'ont pas voulu qu'ils fusent symboliques.
 
 
 
    À la pauvre Europe, les uns, les autres l'ont fait se prostituer… pauvre prostituée ! Que si bien de tous lesquels viennent se coucher avec, mais personne utilise prostituée laquelle se fit faire, puisque maniée par les barbares effrontés, n'est qu'une esclave par tous constamment violée !