dimanche 29 juin 2014

QUE LA PEUR À LA PEUR S'ÉVANOUIT!

    Des gens toutes qui composent la population d'un pays, au moins européen qu'ils sont les que je connais, y parmi seulement une petite part, les idiots, croient que leurs politiciens sont des gents intelligentes ; les plus dissimulent l'en supposer, il sera parce qu'ils les ont élus, et l'autre petite part restante soutienne sans ambages, qui uniquement grimpe en la politique le pire de la société, sauf cas exceptionnels, auxquels les temps que sont en train de passer ne les sont point propices ; que si bien ces grimpeurs en étant absolument fautes d'intelligence, mais non de vifs et malins, l'une les autres qu'il ne faut pas confondre.
 
   
    Que la peur à la peur s'évanouit ! Pour que les fleurs, qui de la peur se sont gardées, au s’épanouir, répandant des semences longuement enfermées d'où pousseront nouvelles plantes, sans uniformité, nées toutes de la même racine, différentes et égales, pour vivre en égalité, respectant toute vie différente et égale ; bienvenu sera l'immatérialisme productif : le raisonnement ...!
 
   
    C'est donc que l'on pourra crier : Vivat la vie. (sans casque ; il est pour les affaires de l'amour, même qu'elles soient trompeuses) … la mort, il n'y faut pas la nier, à son temps.

samedi 28 juin 2014

UN CONTE QUI PEUT LAISSER DE L'ÊTRE

    Des bouledogues s'en sachant pris d'une courroie, de la main de son maître au collier fixé à son cou, menaçaient un lion, qui sachant de sa puissance se reposait tranquille ; de ce que les bouledogues ne s'apercevaient pas, c'est que la courroie que les tenait était tellement pourrie, qu’à la force qu'ils la soumettaient pourrait la faire crever.
   Voilà donc aux obéissants bouledogues poussés par son maître, en aboyant au lion tranquille, qui tranquillement, comme ne pouvait pas être d'autres manières, les regardait du coin de l’œil, comme s'en disant à lui-même : pauvres cons, ils ont quelque point de sympa. Pourtant, la prolongation de tant point, de tante sympathie, façonne une longue, très longue, ligne un peu plus que gênante.
   La question est que la courroie, pourrie, comme, c'est resté déjà dit, depuis d'être soumise aux élans des bouledogues, elle est finie pour crever, ce qui a fait d'eux apéritif du lion ; lequel une fois dégoutté, s'en va derrière mets suivant, celui-ci qui, croyant occupé l'invité, avait prétendu prendre avantage en filant à bride abattue. En revanche, le lion tranquille, toutefois qu'il est in-tranquillisé, peut être plus véloce que l'on se pense.

vendredi 27 juin 2014

LA BELLE DANS UN FLACON

    Marie-Anastasie, surnommée « Marie-Anesthésia » à cause de son esprit ; dû, que même en considérant était une douce femme en le concernant aux affaires de l'amour, la douce n'aimait point : ni les hommes, ni les chats (ni chattes) ni les fleurs, ni, pour ne pas aimer, elle n'aimait non plus la vie. Tel manque d'affection qu'avait fait à Marie-Bis se garder dans un flacon, dont elle avait hermétiquement ferme.
   Dommage que tant de beauté s'oxyde, sans avoir parfumé la vie, sans jouer son odeur avec celui des fleurs, sans avoir caressé des chats (les chattes n'ont pas besoin, elles sont caressées par les chats) sans avoir fait plaisir même qu'il en soit un seul homme, qu'il glisse le bout de ses doigts par ses joues, respirer, son nez collé à son cou… le lui faire la Bis sentir des instants un dieu ! — Pas trop, soit que l'on devienne un autre monothéisme.
   … Quel mortel, l'amour-propre blessé et l'amour à la belle, qui est dans le flacon enfermé, ne subira pas du désir incontrôlable de prendre le morceau de verre creux d'entre ses mains, pour le presser jusqu'à le crever, pour que Marie-Anesthésia devienne la Marie-Anastasie, ce que jamais a dû laisser d'être ; pas précisément pour caresser les chats… que les caressent les chattes !

jeudi 26 juin 2014

S'ESTOMPER ENTRE ICI ET LÀ

    Corps assis par terre, abattus, leurs têtes appuyées d'entre leurs mains dont les coudes qui font racine des ante-bras, lesquels font tronc aux cinq branches, en incitant depuis les genoux à chaque corps y correspondant ; ces corps, enveloppes des hommes, rendus au néant, qui impavides regardent leurs ombres se battre entre elles.
   Il y a parmi de ces corps aigris, d'autres, gros, amorphes, aux yeux de poissons pourris, sans esprit pour lutter, ni même pour regarder la lutte des ombres des hommes qui ne luttent pas : ils sont les vendeurs des âmes des hommes à leurs propres ombres.
   Le spectacle est observé de loin par des animaux autres, auxquels leur insouciante indifférence les empêche voir le si près qu'ils ont l'effet dévastateur sur eux, que comme sur eux ont les hommes… accommodés sans s’accommoder hors de leurs corps, hors de leurs ombres… dans le vide.

mercredi 25 juin 2014

L'INDIVIDU DANS LA MASSE

    L'individualisme est l’expression de la solitude dans la masse, y dans laquelle personne consciente de soi-même veut l'en être.
   Par contre, presque personne souhaite être seule, et même si quelques-unes en trouvant la solitude cherchée, chercheront la masse, ou en tout cas auront de la nostalgie d'elle quand même.
   Nous sommes en essence, en tant qu'animaux, « masse » dont il n'existe pas « la personne » qu'il ne soit que dans le nihilisme…
   C'est choquant, que jusque pour être individus, nous avons besoin d'être une masse !

mardi 24 juin 2014

LES GRAMINÉES SAVANTES

    Certaines graminées vivent y parmi, dans un ensemble si épais, que leurs épis doivent se hausser, de leurs tiges, pour bien respirer ; celles-ci, dont celles-là sachant de leur impuissance contre le vent, se sont fait flexibles pour ne pas casser au pas du souffle d’Éole, pour reprendre son aptitude après.
 
   
    Pourtant l'homme lâche se laisse faire des plus opprobres vilenies ; venues, des puissants pour pousser au-dessus de ses égaux ; ce qui l’amène à s'étouffer autant parmi les uns pour ne pas pouvoir tirer la langue, comme parmi les autres pour ne pas la pouvoir mettre à sa place.
 
   
    En géométrie, les épis sachant que (on voit que les graminées sont savantes) une bonne part de leurs grains seront irrémédiablement mangés par les vivants mobiles, elles se font prodigues d'eux, pour s'assurer leur reproduction. Les lâches se reproduisent, eux aussi, généreusement, même que personne les mange, mais pour engraisser chair d'esclavage ; ce qui fera disparaître l'homme libre… on voit que ceux-ci en plus d’ignorants sont des casse-pieds.

dimanche 22 juin 2014

UNE INTERFÉRENCE FORTUITE

    Moi, que je suis un écouteur impénitent de tout débat politique, qui n'importe quel radio émettra, à ce qu'il faut que le temps m’octroie son permis pour lui prêter l'oreille, pour faire doctorat dans l'art du mensonge. La vieille d'aujourd'hui, une interférence dans mon récepteur, m'a permis d'écouter un appel, dont le ton de voix a fait que je n'en doute pas qu'il était entre martiens, l'un qui sans doute parlait depuis la Terre se communiquait avec autre qui était, je suppose chez-lui. Le seul que j’écoutai, était celui qui bavardait depuis chez nous, il disait :

  Parce que tu te fasses une idée comme marchent les choses par ici : le piment, par exemple, qui est une plante, pour décourager les animaux tous à le manger, après d'avoir rougi —le rouge par ici est signal de danger. Il s'est fait piquant, ce qu'y parmi, les humains n'ont pas mis longtemps à trouver plaisir au piment pour piquant… interférences, cette fois entre eux, une fois tout retourné à la normalité, il poursuit :

   Ces phénomènes, qui de quelque chose si ordinaire comme s'accoupler pour se reproduire, ont fait un autre plaisir, qu'ils ont sublimé, et auquel appellent amour, pour cela qu'ils se battent à pratiquer, au temps de, quelquefois, éviter le but de l'accouplement. Cet amour qui arrive au plus haut degré dans le déjà sublime quand ils l'appellent haine… soudainement un obscur silence. En petite claire voix, j'écoute, on s'appellera. Je crois que notre appel est intervenu.

vendredi 20 juin 2014

DEPUIS LA TERRASSE D'UN BAR DE PLAGE

    Il est curieux comme, les personnes aiment la chaleur, s'allonger sur le sable chaud… à la friture, pour quelques-unes, en abondante huile, se rôtissent en leur propre jus les plus classiques.

   Les hommes étendant, le traditionnel bronzé desquels travaillent à l'intempérie, par tout le corps (les plus pudiques par y presque). Les femmes se laissant embraser par Ra, probablement, pour faire pâture de jalousie à pudiques et impudiques.

   Parfois les corps se mettent debout pour s'en aller jouer avec les vagues, dont les femmes sont maîtresses. Les hommes, les pauvres, en prétendant s'y affronter ; ils ne savent pas de jeux.

APRÈS LA CALME L'HABITUDE

    Il est maintenant le temps des cerises, pendant lequel se récoltent les pas moins beaux qu’exquis fruits, ce qu'il faut l'en faire avec soin, progressivement, sans casser les délicates branches desquelles y penchent, puis en blessant le cerisier, ce qui fera que la rosace, pour l'an à avenir, ne se soit pas parée de ses savoureuses fantaisies.

   C'est pour ça, peut-être, que dans cette époque, aux abroutis politiciens quelque chose des cerisiers, en eux, doit avoir resté, puisque durant, ils ont laissé de côté les menaces, et même les mauvaises manières, que non les paroles stupides d'elles qu'ils ne peuvent pas s'esquiver, mais, au moins tandis qu'ils mangent des cerises, ils ne parlent pas.

   Cependant, passé le temps des cerises, quand les grandes récoltes de l'Été arrivent ; embringués de l'abondance, et, ne sachant pas discerner le bon du mauvais grain, retournent au seul qu'ils savent faire : ouvrir la bouche, pour depuis d'y tirer la langue à lâcher les bottes de leurs patrons, dire des bêtises auxquels ils se doivent, aussi comme à ceux-là, qui voudraient, qui pourraient, être des vraies ailés de leurs peuples.

lundi 16 juin 2014

À QUOI DE LA PEINE?

    Le boucher était de l'autre côte du comptoir, dont il expose des pièces de viande ; illuminées pour leur donner du lustre, protégées d'une vitrine, au verre immaculé, autant pour que le lustre ne pas se délustrer comme pour que les mains des clients ne touchent que l'intermédiaire à procurer le morceau désiré… il, le boucher, se sait, se sent fier, d'être lui le tueur de l'ensemble des pièces exposées.

   Il sera de la plus guindée hypocrisie, s'en aller chez le boucher procurer de la viande et le regarder du coin de l’œil pour avoir lui tué la bête, de laquelle faisait part la viande acquise.

   Pourtant, monsieur Vals, le plus populaire des ministres, parmi la droite, concurrente à la sienne, faisant la lippe, affligé, déclare-t-il : « la gauche peut mourir » ... ?

mercredi 11 juin 2014

DORS, MON CHÉRI, DORT

    Par ce paysage dont l'ours n'est que l'un parmi d'autres qui font faune, durant le temps qu'il prend pour se faire hiverner. On se respire par là de la tranquillité ; ce que ne veut dire qu'en étant la magnifique bête en activité, soit dangereuse au voisinage, toutefois qu'y parmi, bien entendu, chacun reste à sa place.
 
 
   Il faut donc ne pas le taquiner, soit qu'il se réveille enrage, la mauvaise humeur redouble la force, de laquelle l'ours est déjà pourvu assez. Mieux sera qu'il se réveille quand il l'en vient, de manière qu'en étant sa puissance étant canalisée, elle ne débordera pas.
 
 
   Alors que si ceux-là étrangères au paysage, vous poussent à vous, voisins les uns les autres, ne pas seulement vous faire taquiner, sinon d'entre tous gêner le plus fort, écartez-vous de pareille affaire, et, laissez qu'ils entrent dans l'antre de celui qu'ils vous ont vendu par fauve… peut-être qu'il ne le soit qu'avec eux.

lundi 9 juin 2014

LE PRISONNIER ET LE CORBEAU

    Il me vient à la tête maintenant un après-midi, dont celle-là me bouillait de manière si excitée que je me suis décidé la mener en promenade à fin d'apaiser le ferment. Le temps, le hasard, m'ont mis, hors de la civilisation, dans une allée laquelle était harcelée pour tous les deux côtés des féroces arbres.
 
 
   Depuis que je suis conscient où étais, ma tête s'est soudainement apaisée du tout, en laissant espace à yeux et à oreilles ; moi, rendant mes respects aux fauves, qui menaçantes agitaient leurs branches, soit qu'elles se soulevassent, marchait attentif à ce que mes radars mis en alerte m’indiquaient.
 
 
   En arrivant moi à un tronçon, dont un pré faisait trêve, lequel retenait l'un des géants dans son centre, j'en profite pour, sans sortir de la route, regarder le prisonnier face à face. Aux alentours du géant un corbeau jouait à battre ses ailes dans l'air ; un aigle était à l’affût du joueur, se jette sur lui, il esquive l'attaque en se laissant tomber sur l'arbre, dont il s'abrite, parmi les branches qui ne permettaient pas passer l’envergure de l'aigle.

samedi 7 juin 2014

UN AMOUR SANS CONNERIES

    Dans les affaires de l'amour peuvent se passer des choses si bizarres, comme qu'un renard se rende amoureux d'une poule ; une coquine, c'est le cas, qui en sachant du caprice de lui à elle, la coquette se passe le temps, picote que picote, lui donnant le dos comme de si de rien n'était, pour le mettre son cul devant sa gueule… ne soit qu'il s'y délasse.
   Si bien que, de ce bizarre amour, le renard ne poursuivît pas tirer rapport, au moins conventionnel, ce ne veut dire que l'amoureux ne fût pas touché de la jalousie, quand il voyait l'inquiète, à son avis, soulager ses ardeurs avec le coq Frédérique, petit-maître du poulailler.
   Compréhensible le renard de telle évidente réalité, mais ne pouvant pas détacher les liens amoureux que l’attachaient à la poule, il cherche la manière de comme faire satisfaction à ses désirs, en satisfaisant les siens, d'où, qu'il déduit : je suis un renard, donc si j'aime une poule, je dois l'aimer en tant que poule, et en tant que poule l'aimant, pour la faire heureuse de l'avoir choisi elle non autre ; chose d'autre, il pourrait faire… soit que le renard, amoureusement la mange et tous les deux contents… il pense !

jeudi 5 juin 2014

UN HOMME ASSIS, PRESQUE ALLONGÉ

    Un homme assis, presque allongé, fait sentir son corps le corps tiède d'une femme. Elle était debout, penchante sur lui, elle glisse sa main par-derrière son cou, y laissant son tiède bras (elle est un tas de tiédeur) pour que sa tête repousse sur lui, tandis que la douce main (et tiède, elle aussi, évidemment) de la belle le caresse sous le menton, donc, elle fait force de sa main (pas tout va être caressé) le lui faisant ouvrir la bouche… on s'écoute un presque silencieux monotone bruit… elle approche à la sienne, la sienne aux lèvres entrouvertes dont la langue pointe par un côté… leurs haleines se confondent ; presque imperceptiblement elle de son autre main, celle-ci armé d'une perceuse, laquelle soigneusement met dans sa bouche, pour là, la fait faire sur les dents que jusqu'à présent l'homme assis, presque allongé, s'était oublié de la douleur que le molaire l'avait fait subir.
   Fini le chantier, la belle enleva la machine de la bouche du forçat aux rêves pour tout de suite y introduire un tuyau, d'où, quelle horreur ! sortait de l'eau ; elle, la belle, tout semble conscient de sa faute, lui dit presque criant : crache ! Crache tout ça…
   Le pauvre homme une fois libéré de cette chambre inquisitoriale, sa bouche demi-paralysée, prend de la force du moribond que s'y résiste, pour prendre route vers le plus prochain « repos du guerrier » où y en arrivant, il demande au serveur :
   -Garçon, Un couple s'il vous plait.
   -Quoi ? Interroge le garçon à son tour.
   -Une bouteille de cognac, pleine et un verre, vide... je ne suis encore vaincu.

EN JOUANT ... JOUANT ...

    Les humains, jouant à être dieux, nous avons fait parmi des animaux autres, desquels par nous se sont laissé toucher, quand non bêtes de somme ou jouets si stupides que nous, puissant siège dès où faire montrer notre impuissance.

   En jouant, jouant, nous sommes arrivés à faire disparaître tant d'eux, en tant qu'ils en étaient (quand non les faire disparaître du tout) pour les convertir en fabriques de leurs propres chairs.

   Et, de tant jouer, nous sommes en train de faire de nous-mêmes des bizarres androïdes ou quelque chose comme ça, qui n'ont qu'un seul but : faire productive n'importe quelle production, dont personne est capable d'expliquer à quel but mène ce but.

mercredi 4 juin 2014

LE DROIT À ÉLIRE

    L’éminent Laurent Fabius qui du même n'importe qui ne sache rien faire s'est mis à faute d'autre chose à politique et ne trouvant pas ps problèmes à résoudre dans son pays opine sur la Syrie dont les occidentaux, ils ont tout fait pour introduire la pire infamie des orientaux à fin de raser le pays pour rien…
 
   
    … Ouf ! je respire, bon, j'étais en train de dire de ce que l'éminent a dit, le voilà : je déplore cette farce tragique (en se référant aux élections Syriennes) dont ce peuple n'a que le choix entre Bachar et Bachar, puis tous les deux autres candidats ne sont qu'inconnus. Que se passe-t-il donc ? Est-ce que par la démocratique Europe, où règne le bipartisme, ils sont élancés en mêmes conditions par les puissants médias, les siens, vos candidatures que les autres, et quand une autre patte le sort à la bête, vous vous sentez terrifiés à partager le gâteau à trois… dommage que la bête ne soit pas devenue quadrupède ! 
 
   
    En autre, messier l'éminent, par ces terres de la démocratique Europe, ces jours, c'est en train de faire (comme il se passe souvent en autres parts, autres jours) une substitution de chef d'état, dont auquel qui est déjà en place, le peuple n'a eu choix d'élire qu'entre un inutile et putschiste, par ce peuple n'avoir maintenant le choix entre un sot et inutile, et personne parmi tant d'éminents, comme votre éminence ne déplore rien… vous tous étés comme enfants ; enfants stupides bien entendu.

lundi 2 juin 2014

À PROPOS DE L'EXTINCTION DES DINOSAURES

    Nous, les humains, sommes aussi inconscients comme pour avoir la conscience de que tous les animaux autres sont dans le monde pour nous servir, c’est-à-dire : que nous nous croyons le centre du tout, en tel degré de prépotence que, cela a mené à quelques-uns parmi nous se servir, les esclavageant, jusque de leurs congénères. 
 
   
    Il faut ajouter chapitre pour éclaircir que : si bien dans toutes les civilisations, pour les appeler d'une certaine manière, s'est fait, d'une certaine manière, de la pratique de l'esclavage ; mais l'esclavage tel comme nous le connaissons aujourd'hui n'a pas été une invention Européenne, sinon l'un des apports des esclavagistes d'ailleurs, qui sont venus en Europe à esclavager.
 
   
    Suivant avec le chapitre précédent ; les animaux autres qui étaient dans le monde, le nôtre évidement, dont ils ont été, bien avant que nous, desquels l'une des branches s'est transformé (je n'ose pas parler d'évolution, en ce que concerne à nous, quand je n'en doute qu'il y a eu d'involution) en les tout-puissants humains… et je me demande moi-même après d'une profonde réflexion : est-ce nos prédécesseurs, les auparavant tout-puissants dinosaures, ils se sont fait anéantir à cause de faire de la politique un métier ?

dimanche 1 juin 2014

EMMERDER LA MERDE

    Europe a subi depuis que le débarquement des invasions s'est fait massif ; celles-ci qui en autre a été, malheureusement est encore, l'histoire de l'humanité, un notable changement à moyenne qu'elles s'y sont allé installant, s'en faisant leurs chefs, chefs des lieux occupés ; ce qui n'est pas étrange, c'est pour ça qu'on fait une invasion.
   Ces envahisseurs qui traînaient avec, leurs propres pestes congénitales, soit leurs dieux ; y parmi lesquels un type étrange, impitoyable, ennuyeuse même, qui évidemment n'avait rien à voir avec les aborigènes, ni personnes ni dieux, de cette terre, âme et amant de ceux-ci aimée, kidnappée par cette satrapie-là, dont parmi leurs dieux, leurs marchants ont subtilement fait pousser l'un, mauvaise herbe qui fait faner déesses et dieux qu'il y avait. Ces implanteurs, il faut le dire, qui ont allé perdant la subtilité au fur et à mesure que leur dieu s'est imposé.
   Revenant à la peste qui a traîné cette peste-ci, dont les chefs, après d'esclavager les populations aborigènes, ils se sont allés impitoyer » par ailleurs, en nom de l'impitoyable, autres populations. C'est étonnant que, il y ait stupides, parmi des esclavagés, lesquels déguisés de progressistes font coupables tous les fils de la désirée, de l'esclavage que nos esclavagistes ont fait partout, quand nos ancêtres ne se sont déplacé de chez eux que fût à cause de levée forcée. Cet acte d’auto-culpabilité qui est en train d’engraisser le terrain à une nouvelle vague qui traîne un nouvel impitoyable qui perturbe la peu de paix que nous avons… merde d'impitoyables pourquoi pas ne s'en iront « impitoyer » autre part ?