dimanche 30 août 2020

AU SECOURS!... ET ELLE Y VIENDRA ENCORE

    Si le visage est le miroir de l’âme, je me demande moi-même : si est-ce que les manipulateurs qui manient l’Europe (sans être élus en outre) ont âme ?
 

 
    Ceux-ci qui, en profit de leurs maîtres, ont fait de l’Europe « occidentale » une grosse incubatrice de fascisme.
 

   
Quand les bottes, des décérébrés, battant de nouveau le pavé, à nouveau, il fera que la méprisée Europe « orientale » redevienne cordonnière.

vendredi 28 août 2020

LA MARQUE D'UN VILAIN INTRUS

   La nuit avait déjà dépassé son zénith. Il faisait chaud. J’étais assis à la table bureau sur laquelle avait un peu de tout par tout y parmi un verre d’eau.
 

    En prenant un verre pour d’une gorgée le vider, la misère, c’est donc qu’à le poser sur une feuille dont des lettres entrelacées gisaient, je vois dans son cul la marque de s’être cassé. Cependant, quand je le lève pour voir sa blessure, la marque tombe sur la feuille, elle était à peine les pattes d’un moustique, lequel était par là aux aguets.
 

   
L’eau m’avait sauvé, probablement, de la piqûre du vilain intrus. Bon ! Pas entièrement, la soif était provoquée par la langue de bois qui me touchait.

mardi 25 août 2020

LA FAMILLE LOUP VA DÉJEUNER À LA CAMPAGNE

    Par ici, c’est aux loups que l'on tient, que non par prédateurs, mais par impitoyables assassins parce que, comme carnivores, ils tuent pour manger.
 

  
Effectivement, les loups tuent pour manger du même que la faune herbivore mange de la flore, vivante, elle aussi ; la vie se nourrit de vie, ainsi comme la terre s’engraisse des restes d’elle.
 

  Pourtant, l’homme s’entre-tue par des gains et tue par plaisir des animaux autres, du même que coupe la vie des fleurs pour orner, pour s’orner lui.

dimanche 23 août 2020

C'EST EN TROIS JOURS QUE TOUT ÇA S'EST PASSÉ

    Tout est commencé un autre insipide jour, dont étant Gaïa assez de son éternelle allure spartiate, sur elle a fait pousser luxuriante chevelure. 
 

   
Le jour est venu dont la verdure se fît débordante. Donc, la belle a pourvu de pieds quelques plantes, aussi que de dents, en créant les herbivores pour maîtriser celle-là ; ensuite, pour atténuer la prolifération de ceux-ci, à partir desquels la jolie poilue a créé les carnivores.
 

    
Au troisième jour sur Gaïa régnait déjà l’équilibre, jusque de ses deux dernières créations, le bipède déplumé, omnivore lui, se fit développer.

mercredi 19 août 2020

LES ARAIGNÉES SE GARDENT DE LA FOUDRE

    Les satrapes, planqués dans aussi luxueux que décadents bordels, croient faire de la politique en faisant à leurs sbires faire sonner les tambours de la guerre.
 

   Ils ne savent pas, d’eux-mêmes, ni faire cela.
 

  Ils ne savent non plus que la politique n’est pas d’y avoir le contrôle sinon d’en faire de l’exercice, y avec le temps révélera qu'il n’a pas de vainqueurs, mais de vaincus.

mardi 18 août 2020

LA VIE SELON NOS GENTILS COMPAGNONS

    J’aime bien les chats ; ils sont souvent tranquilles, silencieux.
 

 
     J’aime bien aussi les chiens ; ils sont fréquemment inquiets, bruyants.
   

    
C’est comme ça la vie ; parfois mouvementée, parfois calme.

samedi 15 août 2020

ET SI LES EXTRATERRESTRES SOMMES-NOUS... ?

    Seulement de penser que les extraterrestres soyons-nous, les humains, cela me fait des frissons, même jusqu’à me gèle le sang.
 

  Moi qui toujours, je les ai considérés tellement intelligents, ce que bien peut les faire sages avec tout ça que la sagesse apporte.

 

    Pourtant, la manière de nous comporter avec tout ce qui nous entoure, c’est tel comme si de ce tout rien ne nous concernât.

vendredi 14 août 2020

ET SI LES EXTRATERRESTRES NOUS SURVEILLASSENT... ?

    En nous croyant les humains le summum dans l’univers, on imagine les vies intelligentes y parmi sinon nos égaux en structure, semblable au moins ; voire : un tronc pourvu de jambes, bras, aussi que d’une tête pour développer l’intelligence, la nôtre quelque chose de pareil à un pot à fleurs sans fleurs.
 

   
Nous, qui en nous tenant par une des vies intelligentes, en défaut de celle-ci pour nous rendre chez n’importe quelle là « sibyllinement » pour en dissimuler, patientons qu’une d’entre elles soit qui s’approche à nous.
 

    On n’aura besoin que d’un peu plus imaginer pour déduire que (dans le cas que des intelligents extraterrestres se soient déjà approchés chez nous) depuis d’avoir observé un petit peu le comportement avec notre environnement ainsi qu’entre nous-mêmes, cela ne leur fera aucune envie de nous rendre visite.

mardi 11 août 2020

CHERCHER CE QUI S'EST DISSIPÉ

    Voilà ce qui m’est venu à la tête maintenant : quand j’étais un jeune homme, l’homme cherchait, cherche encore, vie intelligente ailleurs, hors de chez nous, par là, par l’espace sidéral.
 

   
(Je pense qu’à présent en moindre mesure, peut-être, parce que l'on ne saurait que faire avec la susdite intelligence)
 

    
Il ne sera que l’humanité a perdu laquelle lui restait ; bon, pas à tous, car les hommes sauvages (comme les « civilisés » les considèrent), ils ne se considèrent que partie de leur environnement.

dimanche 9 août 2020

UN FLEUVE FÉMININ

    Elle est tellement un fleuve
    Là-haut apparut discrètement, pétillante
 

  La descente la lui a fait devenir de plus en plus éclatante
  Jusqu'à l’arrivée à la plaine, dont elle devient progressivement calme.
 
 
 
  Maintenant, en s’approchant pour embrasser l’océan
   Elle s’ouvre tout large.

jeudi 6 août 2020

SATAN VEUT PRENDRE LA RETRAITE... LE PAUVRE!!!

    Vraiment, je n’ai vu que rares fois à Satan, ce qui, probablement, soit parce que les bars, les cafés, brasseries et quelque chose comme ça qu’il fréquente (où des apparemment joyeux personnages exercent de savants), je ne les fréquente absolument pas.
 

   
C’est pour ça, qu’un jour, je me suis surpris à le voir dans une taverne dont le seul artificiel était l’aussi immense comme imperturbable poitrine de la tavernière.

 

   
Il y était assis à une table ; triste, abattu. Je place mon oreille dans une autre table près de la sienne. Il marmotta : le crétinisme a si proliféré dans ce monde que je n’ai rien à faire ici. Soudainement, il part… les restes de sa voix frappent mon oreille : je dois prendre la retraite.

mardi 4 août 2020

LA BOUTEILLE D'ALADIN ET MON VERRE

    À autre chose mieux à faire, je me suis mis à rêver éveillé ; dans le rêve, j’ai rêvé qui me détachait de mon corps « espace-temps ».
 

    Donc, mon aura s’est allée, en quittant l’imperceptible minuscule point de l’espace dont on se trouve, aux confins de l’univers prétendument connu, où son expansion a atteint le but.
 

    Depuis-là, je voyais que cet univers d’où je suis venu n’est qu’un imperceptible minuscule point dans l’espace où j’étais maintenant.

dimanche 2 août 2020

LES AUTRES NE SONT PAS LES SEULS COUPABLES

    Le navire coule… Irrémédiablement !


    Passagers et équipage, tous, ont vu l’iceberg ; la responsabilité n’est qu’aux responsables d’y avoir mis des irresponsables au gouvernail.
 

    L’imprévision ne sauvera personne.