lundi 25 février 2013

HEUREUSEMENT IL NOUS RESTE L'ENFER

    Selon St-Mathieu, l'un des prophètes chrétiens, un cadre y parmi, pas un quelconque, il est plus aisé pour un chameau d'entrer par le trou d'une aiguille que pour un riche d'entrer dans le royaume de dieu ; d'où l'on peut se déduire que, ou bien les riches sont républicains, ou, donné la circonstance, ils sont aussi amants de la terre comme des cieux, pour ne perdre statut de privilège ni ici, ni là, dans la terre emmerdent les pauvres pour bien vivre (les riches bien entendu, c'est pour ça qu'ils l'en sont) en profitent de tel exercice sur ces pauvres de merde (ceux-ci ni veulent être telle chose ni l'en sont) pour à cause de souffrir des malveillances des qui tout prétend, faire devenir d'eux des pécheurs consommés, pour prendre, les égoïstes insatiables, place dans cette monarchie-là absolutiste.
 
    
    De tous les deux options au-dessus nommés, je m'incline, depuis de beaucoup réfléchir, qu'ils, les riches, sont plutôt, beaucoup plus que monarchistes, absolument absolutistes. Voyons ! D'abord, ce d'être républicains ni marche ni s'arrête, devoir que cela n'est assez de le dire, il faut vivre en ; monarchistes ? Ça peut marcher, toujours que la chose ne s'arrête pas en l'en être, ici arrive que cela ne peut non plus marcher, car tous veulent être rois, soit dieu, c'est le cas, mais tous être l'absolu, le tout puissant. Ce qu'on l'en va faire, c'est une habitude prise.
 
    
    Quelle histoire a façonné, sans le vouloir le pauvre St-Mathieu. Les riches qui tout l'en ont dans les règnes, républiques, empires, de tout type sur la terre, ils font faire fabriquer par ici une énorme aiguille, avec un trou par où tous puissent passer. Je ne peux que m'imaginer le royaume du maître de Mathieu, tous en bagarre, en se battant eux pour être chacun l'absolut, dans l'enfer, où ne règne que l'amitié, tous nous y allons bien nous amuser.

dimanche 24 février 2013

LA MACHINE ÉTAT

    La machine État fait de nous ce que nous sommes ; résultant : auxquels les circonstances aient été autant généreuses en les pourvoyant de moyens, comme radine en le concernant aux scrupules, ce qui me fait penser si est là où réside la vraie nature de notre essence, car si bien sont-ils, surtout des engendres sortis de la vie facile et vilaine, qui vont gouverner ; voire, manier les rênes de l'État le conduisant à leurs profits, utilisant pour bâtir le pavé de leur route les têtes d'un peuple, qui en autre ne souhaite que d'être comme ceux-là, le montrant quand non avec dévouement vers les satrapes, les faisant « élus » « démocratiquement » de cette manière affaiblissant plus le prestige de la déjà blessée de mort, démocratie. Ses satrapes qu'en plus n'étant pas du tout contents de l'être, ils fabriquent de fausses nouvelles élections pour s'incruster « démocratiquement » dans le pouvoir.
 
    Pour couronner le tout, la compétence judiciaire, soit le pilier de l'État, faible pouvoir qui exerce de la douce autorité sur les délinquants concurrents aux patrons de celui-ci, de l'aigre-douce aux pervers dépravés, ceux-là qui difficilement gênent aux patrons, aussi que de l'aigre justice sur les délinquants de nécessité, lesquels peuvent voler plus qu'un morceau de pain, se faire quelque insolence pour vouloir Être.  

samedi 23 février 2013

ADORABLE PETITESSE

    Aux femmes je les vois comme les nuages, il y a les qu'y sont tels que les cumulonimbus, belles, magnifiques même, mais il faut prendre garde de ne pas s'approcher trop, parce qu'elles t'attireront dans leur cour pour te phagocyter, et donc elles te détruiront ; d'autres nuages, obscurs, qui s’allongent par tout, qui autant que les belles font tout pour ne pas laisser voir qu'elles-mêmes ; allure pareille ont à ceux-là, ont les impénitentes arroseurs de tout qui se trouve à leur dessous, les voilà les Madeleines, lesquelles n'ont rien à voir avec les irritables jumelles en ce qui concerne aux nuages, bien ceux-ci orageux. Il y a des nuages, qui comme quelques femmes disparaîtront sans se laisser connaître, par là loin, rougis à cause de leur pudeur, en faisant jusqu'à rougir le Ra ; des blancs, et timidement gris, voluptueux, dont les femmes laissent entrevoir l'espoir à quelque de leurs possibles victimes, de l'espoir, avec qui coquettent, de la façon que les nuages jouent avec la lumière, sans laisser se percer par elles, ce qui parfois elles font, s’entrouvrant pour que les rayons du soleil, frappent dans les yeux des badauds.
 
      
    Que dire de celles-là, qui tel qu'un petit nuage, dont au monde habitué n'observer en elles que la grandeur, passent-elles, inaperçues. Moi, qui j'aime bien les petites femmes à petits talons, petites mains… tout petit dans les petites, dont comme d'habitude, dans toute petitesse, tout est bien placé, bien ordonné, pour que rien déborde, pour que seulement le juste y soit, à ne pas faire plus grand qu'il faut sa petitesse.

mercredi 20 février 2013

DIEU ET LES DIEUX

   Nous sommes dans un monde, dont quelques de nos ancêtres plaçaient la terre, soit nous tel que propriétaires, dans le centre. Le temps s'est passé, et cela nous a donné une vision plus ample de lui, mais les choses n'ont changé qu'en le considérable grandeur duquel nous croyons avoir conscience, pour le reste, nous suivons à nous croire le centre (le change fut une question de volume) maintenant de l'univers, et pour beaucoup que nous fassions pour le dissimuler d'être aussi ses propriétaires ; le méchant sens de la propriété qui nous a perverti. Jadis, avant la perversion, il y avait dieux partout, à plaisir de chacun, et celui qui n'en trouvait aucun au sien, il inventait un autre dieu que l'en fût, non comme dès l'arrivée de l'absolutisme déiste, dont il faut se conformer avec dieu, soit l'un soit l'autre, mais dieu ; soit des uns, soit des autres : le nôtre, c'est-à-dire en propriété lui aussi comme le monde, comme l'univers ; il n'en va faire tourner des bistrots, que ne soit pas chez-nous. 
 
    
    C'est évident que tant de crétinerie ne pouvait pas être bonne pour la santé mentale ; en conséquence s'est fait mystère de l'impalpable, l'en laissant de la main inexistante de « dieu », pour le rendre culte aux détritus solides de l'univers (exception faite des buveurs de vin, qui sucent le jus de la terre) desquels notre misérable intellect, incapable de réagir, reste impuissant d’écarter nos yeux de l’ordure, ce qui ne nous laisse pas discerner entre substantialité et matière.  

mardi 19 février 2013

LE POÈTE QUI VOULAIT SE FAIRE ÉCOUTER

    Un connu poète, dans le bar d'où il ne sort que pour aller chez-lui, jusqu'à il y revient ; bar dont tous nous qui y étions, tenons place important dans notre vie, pour, parmi d'autres choses, la plus essentielle n'est que de désaltérer notre soif de parler, rigoler, et surtout aiguiser l'aiguillon qui se cache dans nos langues, pour ainsi meilleur nous piquer les uns les autres. Je pose ce préalable, car c'est dans ce climat où se passe cette petite histoire de l’égoïste poète.
 
   Ce poète, qui insistait, insiste, toujours tous nous sommes vivants, infatigablement chaque soirée, sans répit, sans pitié, à nous réciter les poèmes par lui-même fabriqués dans la nuit de la veille, c'est-à-dire, que jamais sa poésie est fraîche ; c'est ça au moins que dit l'un y parmi, celui-ci qui pèse sur lui le noble titre de maître boulanger du quartier ; ajoutant le maître, sans ambages pour ne pas laisser espace au doute, moi, j'emporte tous les matins le pain toujours chaud, demandez-vous sinon au patron; à ce que, loin que personne ne sache ce qu'elle a à voir une chose et l'autre, tout le monde hoche la tête fermant les yeux, consentant le raisonnement du boulanger, mais muets, pour ne pas se compromettre trop… peut-être. Il faut remarquer, avant de poursuivre, qu'il n'est pas question de mépris que personne ne se prête jamais écouter le poète, déjà qu'y parmi les restants, personne ne s'écoute non plus, déjà que l’ambiance est toujours surchargée de discours desquels il y a autant comme personnes fourmillons par là, c'est-à-dire : une totale inexistence d'auditoire.
 
    
    Une soirée, quand s'est en train d’aménager une fête dans notre Bar, pourvue elle de quelque chose qui se prétendait orchestre, celle-ci qui à son tour était pourvue d'un microphone lequel était connecté à deux hauts-parleurs, lesquels vraiment marchaient. Tout marchait aussi, sans troubles qui ne fussent les habituelles, quant au moment le plus inattendu, d'un félin élan le poète se fait du microphone ; lui, il était là, face à face le truc, une main tenant les feuilles où dormait, en silence, un poème, l'autre coinçait sa proie : la technologie était à lui, il a fait à ce moment de tous nous auditoire, son auditoire, donc il commence :
    Les feuilles tombent, dans l'automne.
    Comme tombent les hommes dans le sien,
    soit loin, soit proche, l'hiver de leur vie.
    Les arbres… 
 
    Un vieux, vieux camarade, coinçant un verre, tel qu’en cela se l'en fût la vie "un professionnel" crie à voix-nature : les « hommes » tombent dans, ou en sortant des bars ! Le monde applaudit tel profond raisonnement, chacun le raisonnant, de vive voix, selon ses critères… le brouhaha vaincre la technologie. Le poète doit attendre meilleure occasion à ses propos si vils.   

lundi 18 février 2013

UNE SI HAUTE MONTAGNE

    Il était un pays, dont il y avait beaucoup de petites et douces, même gentilles, montagnes. Ce qui était quelque chose d'indispensable à l’évènement, qu'il y avait longtemps s'est passé par là, se soit passé tellement il s'est passé.
 
    
    Tout a commencé le jour dont une montagne qui s'est mise à grimper sur une autre, en arrivant au-dessus, étouffée la grimpeuse reste là pour prendre repos ; mais, prise de la hauteur elle reste par toujours, façonnant entre tous les deux une montagne, plus grande que toutes les autres ; donc, une autre petite montagne grimpe sur la grande montagne, l'agrandissant plus ; une autre des petites montagnes grimpe, elle aussi, sur la grande montagne, et successivement les petites montagnes qu'y en restent vont grimpant, faisant devenir le pays en une absolue « grimperie ».
 
   
    Quand la susdite « grimperie » s'est arrêté (il n'y avait plus montagnes qui grimpassent) le pays dont il y avait beaucoup de petites, douces et même gentilles montagnes, seulement conserve maintenant une seule montagne, il faut reconnaître qu'une grosse montagne, celle-ci dont le sommet est toujours gelé, baissant de là-haut elle est agreste et même en baissant à ses pieds avec lesquels commence la plaine, qu'est-ce qui est devenu le reste du pays, par toute végétation. On ne trouve que broussaille, car la disparition des montagnes a entraîné ainsi du même aux vallées et vals, façonnant celles-là, qui ont fait d'abord possible la grande montagne, cette fois un désert à ses pieds… cependant dans le pays, antan de petites douces et même gentilles montagnes, outre, il ne reste personne qui puisse être fier d'avoir une si haute montagne.

dimanche 17 février 2013

LES PORCS SONT PORCS, PAS SALES

    L'usage péjoratif, du nom dont nous nous servons pour faire dénomination des porcs, comme synonyme de sale, ce n'est pas seulement un faux absolu, sinon qu'en plus c'est injurieux à eux, car s'il y a un animal sale, à tous les effets dans lesquels la saleté se puisse interpréter, je ne crois que ni parmi les porcs, ni d'aucun autre de n'importe quelle espèce, soit capable de nous tirer avantage à nous, les animaux humains, compte tenu qu'y parmi, ceux-là qui en prétendront être, à plus propres, plus nous faisons asservir à tel propos, de nos propres congénères, ceux-ci qui, autre, ne sont pas toujours un exemple de propreté chez-eux, et pas toujours parce qu'ils soient sales, sinon parce qu'ils dédient tout leur temps presque, à nettoyer la merde des autres.
 
   
    À titre d'anecdote, j'ai à bien raconter une histoire que j'ai vécue étant moi garçon, dans une petite ville appelée Viveiro, vieille héroïne affrontée à la mer des jadis, là par le nord de la Galice, pays où à cette époque-là toujours se conservait un certain air du caractère animiste, duquel ses gens étaient imprégnés avant de l'invasion de la bizarre conception de la modernité, et où les animaux autres que nous, en étaient plus que culture d'élevage, parti de la culture de ce, en ce cas, merveilleux pays.
 
   
    Par les rues de Viveiro se promenait un homme avec son inséparable ami, qui n'était qu'un porc, amitié qu'au susdit l'avait permis d'arriver à vieux ; tous les deux marchaient, l'un grognant, l'autre parlant, l'un, de sa longue moustache, fier, l'en étant pas moins l'autre de ses pas méprisables défenses, l'un manifestait sa joie en son sincère sourire, l'autre en faisant agir sa queue. La question est que j'ai été plusieurs fois chez-eux et peut vous assurer qu'au-dedans de leur maison était d'une propreté, comme les plus que s'y vantent voudraient la sienne. Le porc bien sûr chie et pisse, comme n'importe quel humain, animaux tous les deux sommes, mais comme tout, chaque chose à sa place cela ne gêne personne… ni porc. Ah, Le porc, il ne se douchait pas tout seul… il faut l'aider, m'avait dit quelquefois son compagnon, mais il faut l'en faire, et lui est toujours prêt, de bon gré.    

samedi 16 février 2013

L'USINE HUMAINE

    L'humanité fabrique dans sa propre société, en sa diversité, la diversité de tout cela que nous sommes, dont le sous-produit de ces usines (pour les appeler de quelque manière) ceux-ci qui étaient majorité de celle-là, est au profit du groupuscule correspondant à chacune, rarement il va tomber à un seul satrape, au moins apparemment, déjà que sur plusieurs, adhérents ou comme vous voulez les nommer, toujours il va l'en être ; les services à un certaine hauteur se paient.
     
   
    La question est que, notre omnivore insatiable idiosyncrasie individualiste de laquelle nous sommes imprégnés, s'alimente de l’humanité, soit de nous-mêmes, et sans laquelle ces noyaux de pouvoir ne sont rien, de là que toute fois que ceux-là l'en aient épuisée, ils, du même que l’humanité tout entière, ne vont pas survivre, amenant avec, à l'anéantissement toute forme de vie qui respire dans le même environnement.
 
   
    Ne nous trompons pas, vu le vu, si c'est que l'on veut le voir, le sort en est jeté, le temps n'en dira, peut-être, pour lesquels y étaient, mais il est train, depuis beaucoup, en disant à cris, dont nous faisons la sourde oreille, quel futur deviendra à nos héritiers de vie. 

dimanche 10 février 2013

LA DAME-JEANNE LE VIN ET LE VINAIGRE

    Qui reçoit en cadeau une dame-jeanne, pansue elle de vin bien rempli, le gracié doit le boire, seul ou mieux en compagnie, le vin est un élixir social, tandis que le vin soit vin ; le vin n'est que vie, et, la vie n'est pas éternelle, autre, la dame-jeanne doit être libérée, après l'accouchement pour servir de porteuse à autre gracié, des honneurs que quelque bienveillant, soit prêt à l'offrir.
     
    
    En géométrie, celui qui reçoit en cadeau, par vin vinaigre, autre d'être contrarié, offensé même, il aura tout le droit. Il peut bien préserver le vinaigre, pour aciduler les salades, mais pas pour l'offrir à un tiers par vin ; tromper comme il s'est fait tromper fera de lui doublement trompeur.
 
    
    Alors ! Pourquoi, je me demande moi-même, je raconte cette connerie du vin, du vinaigre et de la dame-jeanne ? Déjà que si bien, comme personne normale, j'aime le vin, de là que je considère une offense l'offrande du vinaigre et la sorte de la carafe ne m'en va empêcher de dormir. Ah ! Il me vient : le dernier trompeur, là au-dessus, n'était pas trompeur, elle était trompeuse. Madame Merkel, pourquoi vous méprisez l'intérêt de tout un peuple qui veut faire justice à ses voleurs, quand vous vous voyez obligée (qui ne soit que les élections, chez-vous, soient proches) faire démissionner une stupide prétentieuse « lycéenne » tricheuse ; ils vous font croître les nains madame, dans votre cirque.

samedi 9 février 2013

SYSTÈME ET RELIGION

    Le Système capitaliste, bizarre conception, dont il s'agit de prendre le pouvoir à partir de l'accumulation de la richesse produite par le groupe social, productif bien entendu, est plus vieux de ce qu'il se prétend ; personne, et moins ceux-là qui le détiennent, n'ont rien inventé qui ne soit pas ce de faire possible ce Système-là.


     On peut bien se dire que le mécanisme du susdit Système n'a trace aucune d'humanisme, ni d'animalisme bien sûr, ni même de végétalisme qui ne soit que pour faire de la comédie ; le Système n'aime rien, ni à ses prétendus patrons, ni ses souteneurs, on pourrait dire sans peur à se tromper qu'il ne s'aime ni soi-même ; il est comme ça, un mécanisme qui marche tandis qu'il marche, prenant de l’énergie des humains, dopant les uns de vices qui dénigrent l'humanité tout entière, dont le gros de ses gens servent pour chauffer ses chaudières ; de ce groupe-ci dont il profite parfois même ses révoltes pour prendre élan. De ces révoltes dont j'ai pris, pas au hasard, déjà que je raconte toute cette histoire pour y arriver, à ce qui s'est donné à appeler « la Libération Féminine ». 


     Depuis que les religions, surtout celles-là d'importation, en cela qu'à nous nous concerne, ont soumis la femme, plus qu'à l'homme au mâle (ceci qu'il serait pour nous dénigrer par égal aux uns qu'aux autres) la chose fut en allant, il faut le dire de déplorable manière, jusqu'à hommes et femmes sortis de l'ensemble du gros victimaire du Système, ont décidé que la moité de l'humanité n'est que la moitié de l'humanité… d'où, mieux que s'affronter à la raison les mécaniciens du Système ont profité, puis d'engager quelques détachées révoltes, aussi que le la structure couple-famille émanée de la religion, pour pourvoir le Système de double main d’œuvre à moitié de pris.

vendredi 8 février 2013

MANGER ET REGARDER ... LA VIE

     Si dans le parcours de leur vie, il y a quelques-uns qui, depuis qu'ils sont, n'ont fait que la marger, comme aussi il y a d'autres d'autres qui ont choisi pour la regarder.
 
     
    D'où l'on ne peut déduire que, si la conséquence de son bien faire sera indigeste aux gloutons, aux observateurs, de cette vie dont tous sommes, ils presteront leurs yeux aux autres, ce qui leur empêchera se regarder eux-mêmes. 
 
     
    Évidemment, je ne vais pas être moi, souffrante de l'une des congénitales maladies de notre espèce, sinon d'autres que l'on peut se les ajouter, quelqu'une d'autre des tantes que nous y avons inventées, l'invention elle est aussi congénitale en nous ; comme j'étais en train de dire, ni je veux, ni je dois, ni je ne peux pas, donner conseil de ce qu'ils doivent faire les gloutons, quand le meilleur diététicien de chacun n'est que lui-même, autre, miroirs il y a partout, il faut tout simplement ne pas détourner les yeux.

jeudi 7 février 2013

SÉRAPHIN PARTERRE EXPERT SUICIDAIRE

    Séraphin Parterre avait eu un mauvais jour, duquel le hasard a voulu qui n'eût été le dernier à lui. Séraphin était fonctionnaire à la Poste de Vichy, dont il, qui pendant son existence n'a jamais été reconnu comme le grand poète que jusqu'à lui-même sait qu'il y est. Il est arrivé aux plus hautes instances comme facteur, en étant Directeur Général de la Poste, de la capitale des eaux minérales, poste qu'il occupait la convulsive journée, dont se sont passés des événements qu'à continuation je veux vous raconter, tellement à moi on me les a racontés. 
 
  
    Monsieur le Directeur de la poste (apparat qui dissimule l'insigne poète) vient de la gare du train, mesurant ses pas rue Paris, de voir, en cachette, son amante, laquelle l'a quitté ; tête bas, les mains embrasées à elles-mêmes à faute d'autre chose à embraser, au dos, pour dissimuler l'inexistence ; les muscles de la face inexpressifs, du même que tous lesquels façonnaient son corps : tout lui un guignol sans personne qui lui donnât vie. Rentrant chez-lui se chauffer de la chaleur familiale, Séraphin trouve un sépulcre dont une part de Parterre vient d'être enterrée, son épouse, elle aussi, l'a quitté lui laissant par toute explication, dans une enveloppe blanche immaculée, une pas moins immaculée feuille dont une petite tâche dit : je pars avec ton amante qui maintenant est la mienne.
 
   
    Séraphin s'en va promener ce qui le reste de Parterre, rive « gauche » de l’Aller (il a toujours été un homme fier à ses convictions) par où, trouvant un figuier, y grimpe, attachant à l'une de ses branches (pas la plus grosse) un extrême de sa cravate et se laisse faire ; il se convulse, agit les bras, piétonne l'air, un badaud l'observe sans rien faire (un inexpert peut-être qui veut apprendre) la branche casse, Séraphin tombe par terre, donc il met la cravate à sa place, l'apprenti s'en va petit à petit approchant, Séraphin tousse, prend de l'air respirant fort la vie, l'apprenti s'approche du tout, jusqu'à respirer son haleine, donc il dit à l’expert :
      -Ça va ?
    -Merde de branche, j'ai pensé qu'elle n'en allait casser jamais !

mardi 5 février 2013

FAIRE REVIVRE UNE VIEILLE HISTOIRE D'AMOUR


Merkel apporte son soutien à Rajoy, accusé de corruption

Le chef du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, "PRIS" dans un scandale de corruption, a reçu lundi 4 février à Berlin le soutien de la chancelière allemande, Angela Merkel, pour sa gestion de la crise économique.

    Sinon tous, presque, les médias ; ces rouges communistes anticléricales… anarchistes ! j'en dirais plus, ils se font écho de la nouvelle, dont elle « madame j'ordonne »  s'est prêt tout de suite, délaissée toute seule par tous, soigner du carnage, que ceux-là ont fait à son lâche bottes préféré, déférence que la magnifique sur son chéri Âpre au Gain auquel « la populace espagnole » veut abandonner sous les griffes de la polluante Justice.
     Comme antan leurs ancêtres politiques, le nouveau couple hispano-allemand se sont embrasés (pas sur la bouche, en vertu ce que la chasteté les défère) pour les faire revivre une vielle histoire d'amour, dommage que ne puisse pas y être le défenestré maître de cérémonie Italien pour faire ainsi revivre avec le triumvirat.
     Pourtant, quelque chose fait petit, cette renouvelée histoire d'amour, dont les respectifs anciens partenaires n'étaient si misérables (pour le dire de quelque manière) que les nouveaux, ceux-là à qui ne conformait l'argent qu'on puisse mettre sous une enveloppe, ils voulaient se faire, chaque, propriétaires de son pays, si bien est juste reconnaissance que le compatriote de madame a prétendu ; en plus, celle des pays voisins, toujours il y a quelque chose qu'y reste.

lundi 4 février 2013

DE L'ASTUCE ET DE L'INTELLIGENCE

    Il n'y a rien d'innocent dans ceux-là qui se font tromper par autres, personne se laisse tromper pour rien ; la personne trompée cherche autant du même que la trompeuse : « profit » d'où si l'on fait victime la première, on fera intelligente la seconde, quelque chose que ni l'une ni l'autre l'en sont. C'est l'astuce de chaque ce qui se met en jeu, d'où sortira gagnante (presque toujours) celle de toutes les deux qui ait les meilleures armes, c'est-à-dire, laquelle qui ait la vie plus assurée, et surtout des aspirations les plus banales.
 
    
     Je m'explique : la faim, fourni à qui la souffre, notamment, d'un besoin si impérieux, comme légitime, de se rassasier, tandis qu'un estomac satisfait à du temps pas seulement à se recréer dans les plaisirs, lesquels le plus souvent dénigrent au genre humain, sinon qu'à elle le restera toujours du temps pour rechercher d'autres vices qui surpassent les connus ; ce qui fait confondre autant ces triomphateurs-ci, comme aussi à leurs vaincus insouciants désireux d'être pas moins que leurs vainqueurs, de que tous lesquels qui montent sur le podium sont doués de plus intelligence.
 
        Les porcs, par exemple, sont beaucoup plus intelligents que la plupart de nous peut l'imaginer, pourtant, quand ils ont bien grossi, on les amène à l’abattoir, bien est certain qu'ils donnent des bonnes saucisses.  

dimanche 3 février 2013

POURRI MÉTIER

    Toute personne qui veut faire de la politique son métier, doit d'abord s'ôter de tout type de scrupules, puisqu'ils seront un gênant embarras pour bien nager dans les apparemment tranquilles eaux du pourri lac, en que tous les égouts versant les détritus du pire de nous ont façonné de la stagnation des eaux qui n'ont pu couler librement, puis briguer le parti choisi ; souriant les coups des coreligionnaires, lâcher les bottes de leurs supérieurs, et, à moyenne que l'on fait de l'escalade y aller piétinant tout lequel on ait surpassé en gré. Mauvais métier, dont tout s’achète, car tout cela qui s’achète se vend… dur doit être ça de faire affaires parmi des qui ont fait de sa vie une affaire.
 
    
    Les voilà le cancer de la politique, toutes ces bandes de profiteurs, qui déguisés de sportifs démocrates, jouent, arbitrant selon les règles qu'ils ont faites, dont ils sortent toujours gagnants, gagnant ou perdant et les peuples en haillons, de supporteurs appuyant leurs favoris.

samedi 2 février 2013

MON AMI ITIGORO

    Il y a longtemps, étant moi par une forêt dans la Tanzanie, mon coude gauche tellement que le droit de mon ami Tanzanien appuyé sur le comptoir d'un bar ; les mains qui se prolongeant, s'en servant des avant-bras, des autres respectifs tenants, comme il faut, chaque sa bouteille de bière. Ce que je n'aime pas me décoller trop du territoire urbain, ni veut dire que j'aie un impérieux besoin d'un bar pour être, ni que je n'aime pas la nature, c'est que j'aime la voir dès l'amphithéâtre.
 
    
    Mon sage interlocuteur, un brave homme, comme qu'il fût poussé de la terre dans cette selve qu'il aime, dont il a crû en toutes les dimensions, et laquelle il va engraisser pas sans auparavant avoir donné tout de soi aux siens, me taquinait fréquemment pour nous amuser tous les deux, sur mon ignorance dans tout cela qui se passait en cette scène-là. 
 
  
    Un jour mon copain tanzanien me demande, devant qui tu préfères te trouver, d'une lionne méfiante ou d'un lion sûr de soi-même ? — évidemment devant le lion, répondis-je tout de suite, ajoutant : étant la lionne méfiante, si elle va m'en attaquer, elle l'en va faire sans réfléchir, quelque chose qui rarement fera le lion s'il était confiant, ce qui, au moins, me donnerait quelque espace à m'en fuir. Tous les deux, nous sommes, comme d'habitude, bien rigolé, bien bu, et bien consolidé notre amitié. Je parle maintenant de mon ami Itigoro, de qui je viens de recevoir une lettre de lui. 

J'AI EU UNE MAUVAISE JOURNÉE

    De la politique, entendue comme dialogue social pour y faire de l'équilibre sensé de la richesse de tous, dont son irrigation atteindre équitablement ses légitimes propriétaires, s'est emparé un système de pouvoir, si anachronique comme étrange aux bâtisseurs de la richesse ; un système dont il y a de jour en jour, moins actifs à produire des biens. Ils doivent supporter journées de travail de plus en plus longues pour produire le même sinon plus, de postes de travail progressivement précaires pour être plus soumis, et de moins en moins (pas tout allait être plus) rémunérés.
 
   
    En tant qu'au travail scientifique, il ne s'en tire beaucoup mieux ; la recherche est soumise à subdivisions dans les divisions des différentes matières lesquels ont à leur tour subi d'autres, d'où qui parviennent des tâches très spécialisées qui s'accouplent à noyaux, par d'autres techniciens qui, quelquefois, ne connaissent point aux précédents dans les travaux qu'ils reçoivent. L’inconnaissance, entre eux, ce qui les fait maîtres de la science aux marchants qui connaissent tous.
 
    
     marchants-ci qui à leurs alentours laissent proliférer : tout type d'inutiles vendeurs de peignes à chauves, policiers parallèles à la protection de leur ordre mercantiliste, tandis que le police publique se plonge sous la plus sale corruption ; d'un côté, de leurs propres, inéluctables, contrôleurs économiques lesquels n'ont cerveau qu'aux intérêts de la main qui les donne fictives caresses, et d'un autre des fabricants des plus misérables pièges qui sans pudeur attentent contre la Fiscalité de l'État et le Judiciaire. 
 
  
    Pour si tout cela n'était assez, pseudo-intellos ainsi que progres-décaféinés, qui pour ne pas s’arrêter d’outrager à qui ne s'occupe pas d'eux, se disent anarchistes ; prônant partout que si la politique est une merde, la démocratie, fausse, elle y est autant… que la démocratie est débile personne l'en doute, comme non plus que la politique est pourrie, mais pas la politique, ni la démocratie l'en sont de soi ; c'est la vermille qu'il y a de-dans.