vendredi 29 juillet 2016

VICTIMES COLLATÉRALES

    Nous avons fait péjoratif le nom de l'âne, notamment, pour nous dénigrer entre nous, en faisant synonymie avec : d’abrutis, de sots… voire totalement fautes d'intelligence, quand n'importe qui parmi nous, s'il le veut, peut constater que chez ceux-là celle-ci est bien plus éveillée que chez la plupart de nous : maîtres insulteurs !
 

  Qu'il y ait beaucoup d'ânes, du même que d'autres animaux non humains, desquels nous avons fait nos esclaves. C'est quelque chose évident, comme tant de nous-mêmes l'étions de quelques-uns d'entre nous.


   Pourtant, lesquels sont esclavagistes de ses confrères, ne sont pas libres d'être esclaves, eux aussi, soit, les uns, les autres à son dessus, soit de l'entéléchie « pouvoir ». L’esclave ne l'est seulement à cause de son ineptie, sinon aussi de celle-là des esclavagistes : tous sommes perdants, les animaux autres sont uniquement victimes collatérales.

jeudi 28 juillet 2016

LA SOLITUDE EN TANT QUE RICHESSE

     La solitude, elle peut bien être un amas de richesse « tranquille ».
 

  
Celle-ci que l'on peut, bien aussi, la dilapider d'un élan d’intranquillité.
 

  
La richesse que celle-là octroie ne sert pas dans les affaires mercantiles.

dimanche 24 juillet 2016

TIREZ VOS ÂMES DE LA PRISON

    Quand l'âme est, on la sent, éteinte, que non morte, il faut actionner sans délai l'interrupteur qui lui coupe l'énergie, et, si celle-ci ne lui arrive pas, c'est qu'il n'y a pas.


   Sortez hâtivement Messieurs-Dames, tous ceux dont la vitalité qui anime vos âmes s'est épuisée, de chez-vous, allez-y à la taverne plus proche à vous restaurer.


   Mesdames-Messieurs
* chez-vous les murs qui vous encerclent ne sont que des geôliers de lumière, ils n'aiment que l'ombre… allez-y donc : boire, rire, causer…

   *J'ai fait inverser les titres pour ne pas blesser des susceptibilités.

jeudi 21 juillet 2016

TOUTES LES VOIES ONT UN BUTOIR

    L'homme de cette histoire a une histoire familiale de longs parcours, celle-ci qui a commencé depuis longtemps quand un ancêtre s'est proposé, à ce qu'il a réussi, d'être le plus riche du cimetière. Tradition qui s'est venue soutenant sinon par tous par quelques-uns de ses descendants jusqu'à son tour lui fut arrivé.
 

   
De ceux-là qu'il y a eu, en chaque génération, un au moins qui n'y a pas perdu la main. Desquels, qui pour respect à leurs défunts, ont eu, changeant de site, pour l'en faire de cimetière, pour ne pas évincer du titre à l’ascendant y correspondant. Ce qui les a faites s'en aller déménageant de ville en ville à chaque fois plus grande.
 

   
Pauvre riche ! Celui de cette histoire, qui maintenant ne peut pas presque avec la sienne dont les successions ont mis si haute la barre (dans la grande ville dont le cimetière, s'il est déjà concurrencé, il ne va pas laisser de l'être de plus en plus) que même en la surpassant ce n’empêchera qu'autre ne la déborde plus largement.

mercredi 13 juillet 2016

DOUCE CONSOLATION

   Un homme se lamentait de son sort, lorsque qu’elle avait été touchée d'une flèche de Cupidon, plutôt que de la blessure que celle-ci lui avait infligé, du venin dont elle était empoissonnée.
 

   
Qu'est-ce que j'aurai fait, se disait le blessé, pour mériter telle punition de cet impitoyable chasseur que l'on peint demi-nu, ailé, et aux allures de dégouttant gosse, graisseux, de teint rose ?
 

    Pourtant, à quelque chose malheur est bon pour lequel qui pour se consoler d'un tel revers n'a que faire ce qui le plaît le plus, dont il se sert, en autre, à se justifier de son assiduité aux bars.

mardi 12 juillet 2016

EN BRAVANT LA TEMPÊTE

    Il était un homme que n'arrivait pas à mettre pied à terre pour marcher ni était pourvu d'ailes pour voler.
 

    Cet homme qui ne faisait autre chose que se tenir à l'attente du temps; au cas où celui-ci: ou bien pourvoie la Terre de voies chaussées, ou bien pourvoi à lui d'ailes pour s'envoler.

    Pauvre naufragé dans la mer de l’inconsistance… moribonde! souffrant de la tempête de l'attente.

 
    Recommandation: il faut fort pratiquer de la natation.

 

dimanche 10 juillet 2016

ESPRIT VAINCU

    Lorsque l'humour s'arrête en nous, il y en commence l'humeur.
 

   … ? La musique de l'esprit ne fait plus danser le corps.
 

    C'est donc que le matérialisme s'empare absolument du spiritualisme.

vendredi 8 juillet 2016

PARMI LA PARABOLE D'UN CASQUE !!!

    Un casque peut protéger la tête de n'importe qui le porte de quelques coups de quelqu'un qui lui a pris pour cible.


   Plus facile qu'un boiteux, qui pour laisser de l'être a beaucoup boité un temps durant après de s'être fait faire une jambe neuve, le tient un imbécile, sinon pour laisser de l'être, pour sembler au moins qu'il soit quelqu'un de sensée… suffit qu'il ferme la gueule !!!


  Pourtant, ce même casque mis dans la tête de l'imbécile ne protégera pas aux autres des conneries de celui-.

mardi 5 juillet 2016

DIFFÉRENTE MANIÈRE D'EXISTER

    Parmi les chemins tous sur lesquels, on peut faire marcher la vie, j'ai trouvé un par lequel ne transitait personne.


   Un chemin sec, abandonné, dont la poussière reposait tranquille comme qu'elle n'existât pas.


   Donc, je m'y suis mis faire route, et, en soulevant l'endormi, j'allais laissant mes traces par terre et par ciel.

samedi 2 juillet 2016

LES PIEUX LA DÉMOCRATIE ET LES DÉMONS

    Au leur profit, les maîtres des sectes adoratrices du Dieu Argent, ils se sont efforcés de faire confondre ce de gouverner avec ordonner. 
 

  
Ces maîtres qui, à l'ombre, gouvernent les biens usurpés à leurs paroissiens ; autant je ne sais que je ne crois que personne ne sache à quel but.
 

  
Ceux-ci qui sont fort assistés des prêtres de celles-là dont ils étaient placés, lesquels se servent des enfants de chœur à carillonner leurs ordres.
   
    La démocratie… la pauvre ! Elle est égarée par les pieux en la déguisant de démon.