samedi 3 mars 2012

LE FASCISME UN MAUVAIS METS

   Le fascisme est déjà servi, en plats d'argent, inconsciemment, comme tout ce qu'ils font, les pseudo-progressistes, les pseudo-intellectuels, pseudo-tout ; la table est prête, en attendant que les commensales y arrivent. Parmi de la nourriture, ces acteurs-là, une fois en table, pourront choisir en plus de leurs victimes propitiatoires, les mêmes défenseurs de celles-ci, des ouvriers (comme d'habitude), qui ont bâti et aménagé le site de la célébration ; les meubles, les couverts, vaisselle, utiles de cuisine, et même prépare l'agape là où ils resteront en nourriture. Les penseurs libertaires se serviront de dessert.

         La question est que, quand ces sauveteurs-là tombent du cheval, dont ils se sont montés, celui-ci se sera métamorphosé en Pégase, et il sera en train de voler par là-haut, dès où la chute sera mortelle.

       Messieurs-dames pseudos : l'étrangère n'existe qu'en celui qui ne veut s'adapter au lieu qu'il a choisi pour vivre, la patrie, ne sommes pas les personnes, celle-ci est l'espace, dont la terre, le feu, l'eau, le climat, qui lui composent et façonnent ses couleurs, ses odeurs, ses sens, et pourquoi pas la manière de nous taquiner : tout cela est la patrie.

        Néanmoins, il ne faut pas être si patriotes, il faut être personnes.     

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