Autrefois, j’aimais les mères des filles.
Le temps fit au temps sourd.
Maintenant, je désire les filles des mères.
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Autrefois, j’aimais les mères des filles.
La stupidité de nos politiciens (il faut constater, par nous tous élus) fait intelligent n’importe qui, même parmi leurs électeurs.
Il me vient à la tête de l'histoire bizarre d’une charrette conçue par le roi (par Dieu nommé) du peuple, pour l’amener à son plaisir.
Le poids tombe sur les roues et sur l’axe.
Manque de clientèle, Dieu, dans son immense sagesse, fit reconvertir les tristes églises, dont on l’adorait, en magnifiques discothèques dont jouissent les paroissiens.
Maintenant que, les participants au carnaval de la peur enlèvent les masques, les masqués de la guerre prennent le relais.
Un petit monde dans le monde, de berceuses et berceaux qui rythment des comptines mensongères, lesquelles dorment tout le monde qui leur prête l’oreille.
Dans le monde, le nôtre, il y a un petit monde de minables cuisiniers.
Elles ont honte.
Il était une fois, un vieux canard, le seul vieux parmi toute la volée (qui ne volait pas) laquelle vivait dans la volaille d’un volailleur.
Il était une fois un coucou, qui était « une ». Ces oiseaux que si bien, ils ont une vue extrêmement perçante, celle-ci était fort myope.
Depuis toujours les chiens, les chats et les souris ont été ennemis acharnés.
Évidemment, jusqu’à leurs maîtres soient quand même.