dimanche 29 septembre 2013

LA COURAGEUSE ET L'AMOUREUX

    Une courageuse casse-pieds qui n'avait rien mieux à faire que courageusement pratiquer tous ces deux qualités, s'en faisant, pour y faire, des oreilles d'un ami à elle, affaiblit, le pauvre andouille, cause d'une mésaventure dont il n'avait tiré que des amours contrariées, pour l'expliquer à l'amoureux  que rien sentir, c'est bien senti, tout autant que, ne pas sentir c'est ne pas sentir.
 
   
    Pourtant, continua la courageuse à qui les oreilles de l'amoureux l'en avaient fait plus fort courageuse, celui-là qui fait faire émaner de soi des effluves d'amour sur unes narines touchées du rhume de l'indifférence, il ne fait chose d'autre laquelle ne soit que cracher côté au vent. On ne se peut pas lutter contre les éléments, puisqu'ils se sont conformées dès toujours, par rapport à nous bien entendu, et ne vont pas maintenant s’emmêler avec des conneries, lesquelles sont propres à nous.
 
   
    L'amoureux respire alors, tellement un bœuf à la poursuite d'une vache en chaleur, pour s'armer de courage. Une fois encouragé, il se met à émaner renouveaux effluves phéromonales, tellement un bœuf qui a déjà pris une vache, en chaleur évidemment, effluves qui cette fois il dirige vers la côte du vent, où dissimulait s'abriter, la courageuse, des tempêtes… quelles deux fauves ! Courageusement amoureuses tous les deux sont devenus.

vendredi 27 septembre 2013

QUE VOUS LE RÊVIEZ BEAU

    Rêver un rêve, c'est faire de la recherche à un plaisir qui n'est qu'être ; par contre ne pas rêver, un rêve, un deux (pas plus parce que cela ferait un embarras de rêves) est comme avoir l'esprit mort, c'est-à-dire : l'être.


   Pourtant, rêver une réalité, en plus de se faire cassant, ennuyeux, tortueux j'en dirais, le plus souvent, pour ne pas dire toujours, n'arrive qu'à échec ; puisque la réalité n'a pour but d'autre que croître, et, espace pour en faire, il y a.
 

 
   Vu la carrosserie, allons-y étudier la mécanique, dont si bien le vin invite au rêve, autant que Lucifer, l'amour, et la liberté, il faudra nonobstant ne pas confondre le rêve avec le sommeil, celui-ci où l'attachement au verre vous amènera, boire de la bouteille ou de n'importe quel autre récipient est autant du même, comme non plus Lucifer « esprit inquiet » avec n'importe quel dieu « esprits soporifiques », ni l'amour avec soumission du même que prendre la soumission par amour, et soignez-vous aussi que la Liberté ne casse les pieds à celle-là des autres. Soyez-vous donc attentifs et ne laissez que personne ni dieu rêve pour vous, et que vous rêviez un beau rêve !

jeudi 26 septembre 2013

IL FAUT FRANCHIR LA PORTE AU MONDE RÉEL

    J'adore les vieilles et étroites rues, auxquelles leur semble faire semblance tellement qu'elles fusent embarrassées, que parfois des impertinentes petites places débouchent leurs parcours ; vieilles étroites rues de n'importe quelle ville ou même d'un village tout entier, survivantes des terrifiantes attaques des spéculateurs, leurs prédateurs naturels.
 

    
J'adore les transiter ces matinées sans métier, qui ne soit pas aux marchants qui par là sont aux aguets, dans leurs trous, leurs souris prêts, des clients éventuels d'entre les personnes qu'y passent ; lesquelles ne sont en leur plupart que des dames, les unes se débrouillant légères à faire les courses, celles-ci qui esquivent unes autres qu'y marchent lentement, les plus, leurs visages d'une gaîté radiante, peut-être en se souvenant des temps passés quand elles courront par là, quelques personnes âgées qui auparavant avaient pu être ses compagnons, lesquels se font marquer le pas de leurs cannes, pour en aller à n'importe quel bar dont leur était interdit l'entrée, à cause d'être mineurs, pour s'en venger de l'offrande, peu importe que la vengeance faite l'en ait été largement. D'autres vieux, plus jeunes que ceux-ci, transportent lourdement leurs bedaines, ces travailleurs d'eux-mêmes, ils vont faire autant que les autres… vengeance ! 

   
    J'adore jusqu'à ces troupeaux bizarres que se font détonner sur leurs pavés, armés tous d'étrangers appareils, tous pâles, tous souriants, bondissant (tous aussi) tellement sauterelles, comme si les pacifiques paroissiens n'auraient autre chose à faire que leur donner chasse. Ils doivent aussi être pacifiques, mais bien sûr très, très peu vindicatifs.

dimanche 22 septembre 2013

LA FIN PROCHAINE D'UN LONG PARCOURS

    Chaque forme de vie l'en est pour être à cela qu'elle a été conçue. Pourtant, nous, les bipèdes sans plumes, avons fait de la nôtre, depuis la nuit des temps, tout pour faire quelque chose d’étrangère à la condition dont la nature nous a ménagé, comme prétendre voler. Résultant de cet entêtement sous lequel nous y avons fait notre parcours, qu'il soit arrivé le jour, dont nous, nous aurons oublié de marcher.
 
   
    Nous avons, tout semble, laissé déjà d'être, chacun un être vivant parmi un ensemble d'autant d'autres, pour former part d'une masse en état constant de fermentation, jouant les couds les uns les autres, dont chacun n'est que sa profession (laquelle à la valeur de l'argent que l'on peut apercevoir, ou bien de l'argent par lui accumulée n'importe comme elle soit gagnée) dans cette masse dont chaque individu n'est qu'une éruption y parmi qui veut tout ce qu'il peut infecter.
 
   
    Ne désespérez pas, la nature a survécu à pires catastrophes que nous, et nous en autre ne sommes indispensables que plutôt à la mort qu'à la vie, et si bien la nature, sage, ce qui se dit sage, ne l'en est pas du tout nous en laissant nous y partager vie, ou bien pourquoi pas peut-être elle a du sens de l'humeur ; parce que comme animaux de compagnie, personne l'en doute, nous sommes bien amusantes, quoique dangereux à long terme… mais ça s'arrange !

jeudi 19 septembre 2013

QUAND L'ÉCHO NE L'ÉCOUTE QU'UN MÊME

    Un chanteur s'était fait voyageur, pour en allant sillonnant le monde se faire écouter des gens. D'ici par là il chantait, sans faire que confondre son chant avec le brouhaha d'un public, si diversifié qu'il n'en était que, chacun y parmi, chercheur de spectateurs à ses paroles.
 
   
    En arrivant le voyageur un jour de petit matin, à un nouveau pays, il se met tout de suite à chanter, dont il se sent à la fin, reconnu de ses gens, du silence prêté par elles à son chant. En croyant lui que pour le prêter leurs oreilles, il ne savait, qu'il avait était arrivé au pays des sourds.
 
   
    Le chanteur laisse de l'en être, pour rester, restant-là, en chanteur. Tellement lauréat, il se sent, qu'il n’arrête de chanter… jusque de ne pas écouter autre chose que lui-même, s'en oubliant l'étourdi qu'il est le chanteur. Donc, de tant se faire écouter, il arrive à se faire dégoûter.

POMMES CRUES, FRITES, OU CUITES

    Il arrive un moment dans la vie de tout lequel l'en ait promené durant son parcours, dont ce transporteur épuisé, se met-il repousser, assis face la table d'un bar ; ses coudes sur celle-ci appuyés du même que de ses mains croisées l'en fait son menton. Le réfléchissant abandonne ses yeux dans un verre rempli de vin rouge, qui par là semble-t-il aussi abandonné, lequel l'y fait de miroir, tout cet apparat est indispensable pour bien réfléchir, et voilà que c'est donc, que, ce type-ci qui est en scène, en se regardant dans l'improvisé miroir, il se demande lui-même :
 
   
    Qu'est-ce que c'est l'amour ? L'amour sans sexe ou le sexe sans amour ?
 
   
    Analysez vous-mêmes ; parmi tous les autres animaux que nous, les mâles doivent se battre pour accéder aux faveurs de femelle, exception faite, que je sache, des bonobos, qui forniquent au lieu de se cogner, l'une l'autre deux manières de payer ces faveurs-là, si bien que cette dernière, en plus de plus gratifiante, on poursuivra le but. Alors que, nous, les bipèdes sans plumes, lesquelles peut-être nous les avons perdues, à cause de nous laisser plumer de l'amour dévoué, à une toute seule, quand c'est de la diversité d'où se peut renouveler le plaisir au plaisir.

mardi 17 septembre 2013

CHAIR OU POISSON

    Un poisson rouge mis dans un bocal, il n'est pas une sirène à queue rouge, assise sur un rocher qui s'avance au-dessus des sables d'un idyllique plage tropicale, sombré, dont le classique cocotier, au-dessous duquel personne sensée se met du risque permanente de recevoir un sérieux coup de coco sur tête ; d'abord parce que les sirènes habitaient les côtes de Sicile, puis parce que celles-ci n'ont existé jamais, et pour conclure : un poisson rouge qui peut vivre captif dans un bocal n'est qu'un qu'un ridicule poisson, et en plus rouge.
 
   
     De tout cela que l'on peut se déduire que : les longues jambes d'une fille, laquelle chausse des souliers à hauts talons, rouges, ne peuvent pas appartenir à une sirène, parce que c'est la part du corps qu'y lui correspondant dont les sirènes prennent leur métamorphose de poisson (soient rouges ou de n'importe quelle autre couleur). Il faut laisser, de se laisser hypnotiser des balances des haches, d'où les jambes penchent, et, enlever la vue, ce qui en outre sera bien sûr énormément gratifiant.
 
   
    Fait ce qu'il faut faire, et une fois que la fille aux hauts talons rouges (ou d'autres couleurs, il ne faut pas être non plus trop exigent) soit pleine dans toute votre optique, vous pourrez donc l'en appeler poisson, sirène, ou Marie de la Conception, si c'est que vous voulez quelque chose concevoir avec, ou bien Marie de la Bousculade, si ce que vous voulez n'est que vous entre peloter, et, puis faire semblance de ne pas vous reconnaître. En réalité l'amour est quelque chose comme ça, mais à plus longue durée.

FAIRE HÉROS DE LA PIERRE

    Je ne vais pas être moi, qui va mettre en doute la valeur artistique de l'art gothique, ni même que celui-ci soit habillé de flamboyant, ni non plus celui-là qui a mis lumière, soit la renaissance.
 
   
    Personne ne peut nier que l'art de cette longue époque, surtout pour qui a fait possible qu'il y ait monté, à ses dépenses, soit le peuple travailleur, qu'il n'a pas profité de sa contemplation tellement que nous à nos jours pouvons y faire, comme l'en ont fait de l'usage, du même que pour satisfaire leurs vanités, les bourreaux desquels ont fait possible : le gothique, ses habits et porté de la lumière.
 
   
    Comme personne nie potentiellement non plus que cet art-là a fait possible, si miraculeusement que l'on est comme pour croire en dieu, que la pierre ait fait saints et valeureux guerriers, héros tous ; de tous auxquels en chair n'ont été que : fous, flibustiers, despotes, criminels pourquoi pas, fainéants de luxe et quelques autres beautés comme ça… ou peut-être soit la stupidité ce qui nous fait reconnaître comme héros ces bizarres personnages.

lundi 16 septembre 2013

NE VOUS LAISSEZ PAS BÉNIR

    Les pommes sont prises aux branches des arbres, du même que les hommes prennent de leurs mains des verres, pleins de vin, car ceux-ci seraient sinon délaissés par ailleurs.
 
   
    Peut-être qu'elle en fût, la faute de vin, ce qui a fait des hommes, arbres sans branches, troncs, zombies qui se tiennent débout sur la terre, dont ils, auparavant, ont gaiement dansé.
 
   
    Danser maudits ! Ne vous laissez bénir des prêtres du pouvoir, puisqu'ils prendront de vous, un à un le vôtre, ce ne fera que renforcer le leur. Prenez des verres de vin, enlevez-les et faites un toast à la vôtre…
   
     … aux pourris : de la pénicilline ! 

samedi 14 septembre 2013

DE SANGSUE À REQUIN

    Génération sur génération tous lesquels appartenaient au monde Concurrence, étaient nés sous le stigmate de cette civilisation dévorante, celle-ci qui aménageait leurs vies d'un seul objectif : être gagnants, et, si bien chaque y parmi s'en pourrait faire débrouiller, à poursuivre tel but par les moyens pour lui choisis, tous avaient une même ligne d'arrivée, celle-là qui n'était que la valeur des biens, dont chacun qu'y arrivât, fût possesseur.
 
   
    Dans ce monde-là Jean-Pierre-Louis-Philippe des Sables-Longues et de la Pierre-Rochefort partait en course avec une incontestable avantage, tradition de la sage familial dont de sa succession de gagnants, il était successeur. Famille qui lui avait déjà en étant un nourrisson, il s'est fait nourrir par une nourrice aux plus nourrissants seins jamais conçus. Après, sa jeunesse il fut dopé durant, de tous les trucs imaginables à faire de lui le plus gros accapareur ; quelque chose qu'il n'a pas fait d'autre d’adulte en plus de ne pas dépenser que n'en fût en vue d'y tirer profit.
 
   
    Cet homme d'autant triste figure (probablement de la consommation excessive du lait) comme de tapageurs noms et prénoms a vécu une vieillesse, perturbé de seulement penser que quelqu’un lui puisse dépasser, depuis une nouvelle course, faisant périmer l'épitaphe de son tombeau, lequel dit : ici gît l'homme le plus riche du cimetière… il ne doit point dés là avoir peur, la terre que l'a avalée, va finir pour avaler aussi son monde, et, je ne sais pas, malheureusement, à tous les restantes avec.  

vendredi 13 septembre 2013

INTRUS TOUS

    La manie d'arranger la vie d'autrui peut devenir frustrée, comme il est le cas, quand celui-là choisi par n'importe qui de la commune espèce « madame J'ordonne » pour y faire, il a chez-lui invités, auxquels y fout d'abord déménager, quelque chose, peut-être, trop compliquée si les hôtes ne veulent quitter son invitant, et surtout si qui les commande s’appelle Poutine.
 
   
     Sur ce sujet dont celui qui est maintenant mis à la mode, quelques-uns, tenus pour experts analystes, ont dit, péjorativement, sur l'illustre hôte duquel ils considèrent un tirant, qu'il joue avec son homologue (le grand amiral, pas l'amiral de pédalo comme un fâché ex-votant à lui l'a titré) à qui l'illustre satrape l'a appelé son allié (tout cela sans rougir, sans n'avoir pas perdu contenance, et même il y a eu qui a dit que jusque sans rire dans sa barbe) au chat et la souris. Plus qu'un bon chat, un bon chat, il doit d'être.
 
   
    En la Russie messieurs les experts analystes, depuis longtemps il y a l'habitude de jouer aux échecs, ce qui invite à l’analyse, à la calme, soit à réfléchir sur cela qui s'en va faire : en voilà une bonne maîtresse politicienne. Cette fois ils sont déjà gagnants, ou peut-être tous perdants, puis de la côte de la prépotence, le nôtre, ne se fait que dissimuler les bavures qui crachent les incontinentes langues de nos élus, d'autres qu'ils sont capables de faire plus grosses.

mercredi 11 septembre 2013

L'OGRESSE ET LA DRACULIENNE

    Sulpice, pas le saint, mais presque- était un marié, à qui au non le laisser faire chez-lui accomplir les fonctions qu'ils y en étaient propres, quand il épargnait en quantité suffisante, de carotter dans les courses faites à l'ogresse féroce, il s'en allait chez une douce draculienne, dont il se faisait fêter, des sous tirés de la tirelire cassée, le mâle qui restait en lui.
 
   
      Une fois, entrant chez-lui, Sulpice, satisfait de l'exhibition faite chez la draculienne, qui à faute de canines, signait sur le cou de ses victimes ; de ses lèvres tièdes ; et comme l'habitude fait perdre l'habitude, Sulpice avait cette fois délaisse la sienne, de passer sa main par son cou, dont la captive salariée aux passions des autres, laissait-elle son essence, pour la porter son captif, pet-être pour la dernière fois.
 
    
    Une fois Sulpice dans l'antre de l'ogresse, celui qui n'est que son propre, en voyant la bête la marque de l'ailée, son désir de lui arracher le cœur, se voit-il troublé de la jalousie que l'a envahi, la bête n'a pu faire qu'offrir ses chairs, au pauvre disséqué à cause des plaisirs de l'amour… dans les affaires de l'amour, pense soudainement Sulpice, il n'y a de mieux faire que ne rien faire.

mardi 10 septembre 2013

LE MENSONGE ET LA TROMPERIE, DIEU ET LE DIABLE

     Le mensonge est part intégrante, à mon avis, et, je suis en disposition de l'affirmer de manière incontestable, le plus important de nos vies ; il alimente notre imagination, notre créativité, notre illusion. Le mensonge nous fait vivre tout cela que l'on n'y pourrait qu'en le racontant jusqu'à ce menteur bien nourri, il arrive le croire lui-même. Le mensonge nous fait, en définitive, rire des événements anodins, les cuisinant au goût qui suscite tel plaisir.
 
   
    Depuis l'invention de la religion, dont il n'y a pas dieu sans diable, c'est dieu, qui a inventé à son temps les péchés, plaçant le mensonge y parmi, le préservant aux pieux, lesquels apportent de l'or pour s'en faire pardonner. Le pauvre diable vient faisant tout ce qu'il peut, pour libérer le plus des personnes pécheresses qui ne l'en étaient de la tromperie, malgré tout celles-ci éblouies par l'or se montrent inopérantes.
 
    
    Ces personnes toutes qui ont laissé, pour prescription théologique, de s'en servir des mensonges ; pour s'amuser, afin de s'illusionner, pour s'en sortir des rails dont elles sont encastrées, castrées intellectuellement, prisonnières de son propre destin. Elles doivent pourtant stoïquement supporter les mensonges : faites des tromperies, des pieux de dieu… je m'en moque de tout ça, mais je ne m'en contrefous pas… Vive le Diable ! 

lundi 9 septembre 2013

LE PETIT BELLIQUEUX

    Le petit François avait été élevé sous la tutelle de son tonton qui, avait à son tour en plus de s'être élevé dans un lieu étranger aux mœurs dont le petit était enraciné, était un gros mensonger.
 

  
Quand le petit François avait laissé de l'en être, et dans l'étape durant, qui l'amenait à grand, il ne s'était pas arrêté de crier par tous les toits, qu'il ne voulait y arrivant qu'être une personne normale. Le pauvre Quichotte n'a jamais compris qu'à cheval sur un nuage ne se marche pas sur terre, où habitant les gens normaux, qui souffrent les maladies, que les anormales auxquels se croient à leur dessus, les font infester de leurs rêves belliqueux de malsaines grandeurs.
 

    Pour que les plantes soient normales, les unes les autres, dans n'importe quel entourage, il faut les laisser pousser sans les mettre des guideaux, ce qui ne fera que faire grandir dans le frauduleux crétinisme… la nature n'est point idiote.

samedi 7 septembre 2013

UN BREF SENTIR SUR NOUS

    Notre vieille Europe a laissé d'être caduque : elle est maintenant moribonde, ce qui fait traîner avec non seulement le monde sous son influence, sinon aussi lequel tourne, soit par hasard, soit par obscures affaires, autour de toute cette bientôt nécropole.
 
   
    La peste de la médiocrité, qui a donné dignité de grands seigneurs auxquels ont accumulé la misère des majorités pour se faire riches, sans autres intérêts que la richesse même. C'est ça qui nous a mis dans cette dynamique, dont on ne se peut obtenir que : de la somme du gain des minorités, au désintérêt des majorités ne résultera que morts riches et morts pauvres ; d'où qu'ils soient gagnants les pauvres déjà qu'ils sont en infiniment plus nombre.
 
   
    Pour les petits restes qu'y restent, d'humanité, en conservant le caractère d'elle tellement qu'on se l'en est donné pour la définir peu, peuvent-ils faire à la renaissance de l'humanité tout entière, car, le cadavre pourri de la mourante fera impuissante celle-là de l'étouffante peste que celle-ci rejette.

vendredi 6 septembre 2013

MANIÈRES DE S'INSPIRER

    De même qu'Agathe Christie s'inspirait pour tricoter les trames de ses polars mise dans une baignoire, en mangeant des pommes (cette prolifère dame qui devait l'en faire toujours avec les fruits du même pommier, aussi qu'immergée dans l'eau à la même température, les britanniques sont fiers de se tenir aux mêmes habitudes) ces tricots-là qui pour les débrouiller, la célèbre romancière ne faisait que tirer sur le fils, depuis qu'elle avait enlevé les aiguilles avec lesquelles elle l'avait façonné.
 
   
    Ainsi que les romanciers, tenus par historiques, doivent manger du même aliment que tous lesquels sont mis dans ce groupe, fournis tous, tout semble, par l'esprit, y fait impérissable par eux-mêmes, du sujet à traiter. Au contraire desquels qui embrouillent la trace de leurs stylos sur le papier, pour raconter quelque chose tel que des « échos de société » qui doivent animer leurs esprits, pour le faire tangible, de manières telles comme : passant le fer sur le linge, ou en promenant le balai chez-eux.
 
   
    J'ai trouvé réponse, ce que tout le monde peut faire, profitant durant à se rafraîchir, faisant un éventail de faire passer les pages, lesquelles les poètes ont décoré de leur inspiration magnifique, comment est-ce qu'ils l'ont atteint ? Sans doute tout ce monde arrivera à la conclusion, qu'ils se sont fait toucher de la veine des intouchables exhalations des vins, dans des bars, à plus vieux, plus imprégnés : de la boue des cuves, de la vie par là laissée à morceaux, de tous auxquels se sont passés par là.

jeudi 5 septembre 2013

UNE AFFAIRE TROP VISQUEUSE

    Je ne sais pas qui est la plus sublime sensation : si sentir dans les bouts des doigts la douceur des caresses doucement faites sur la douce peau d'une douce femme, ou le frémir de tout le corps de la douce, des douces caresses que doucement on l'en a fait.
 
   
    Il ne sera que de cet excès de caresses, on se trouvera mis dans la mélasse de tant de douceur, éprouvé autant pour le bout de ses doigts, comme pour le sentir des sensations de joie de la douce réceptrice, à laquelle on a offert de tant de douces caresses.
 
   
    De toute façon, pour qu'il en résulte une affaire si édulcorée, difficilement on se fera assortir, d'un mec si doucereux, comme d'une pas moins doucereuse nana… heureusement, tant de douceur est imprévisible chez nous, ce qu'en revanche nous ferait tous devenir diabétiques.

mardi 3 septembre 2013

DRAGUE À DRAGUEURS

    Le pavé gris de la ruelle brillait tellement qu'il voulût faire clair là-haut : l'obscur de la nuit, tandis que dans les bars qu'il y a, à un côté et à un autre d'entre le gris et le noir, les proies se gardent, en attendant les chasseurs qui déambulent dehors, entre la fumée troublée par la lumière qui déprennent les lampes penchées des toits de ces antres.
 
   
    Là, où le chasseur entre, doucement, l'un de ses coudes cherchant le comptoir, de la main du bras qui manœuvre dans l'autre, du courage, mis dans un verre, pour attaquer la proie qu'en s'apercevant de son entrée, se mettra à exécuter, parcimonieusement, la danse de la perdrix.
 
   
    Doucement (il faut être très douce même qu'il résulte trop édulcoré) le chasseur se met, croyant qu'il est qui prend, dans les griffes de celle qu'il se croit est gibier… pauvre dragueur ! À cet instant même Il est prêt à être avalé par l'impitoyable machiavélique drague.