dimanche 4 mars 2012

L'OURS, LE ROI DÉTRÔNÉ

    Il y a longtemps, avant qui eussent entré en vigueur, en Europe, les religions tripartites venues d'orient à interdire ceux qui étaient nos plaisirs, desquels nous jouissions les commémorant avec nos déités originales, pour les en réserver à eux. Ces barbares despotes qui se sont mis à la tête de ces religions, notamment du christianisme.

        Dans ces temps-là, au début de l’invasion de cet impitoyable tripartite, cela qui a produit le début, d'une certaine manière, de la décadence de l'Europe (de l’héritage de ces temps-là se sont fait les nôtres) le considéré comme le roi des animaux était l'ours, celui-ci déplacé de son symbolique trône, par les chrétiens crétins, pour mettre à sa place le lion. J'ai recueilli quelques anecdotes sur ce sujet, dont toutes coïncident que la cause de ce changement n'est pas d'autre que la ressemblance des ours, quand ils se tiennent à deux pattes, aux humains ; ce qui sera, peut-être, à ceux qui composent la hiérarchie ecclésiastique, je ne veux pas mépriser les ours. C'est une comparaison physique, laquelle je n'oserais jamais considérer en ce qui concerne au champ intellectuel, ni beaucoup moins moral.

         Je ne sais pas si c'est de ce changement de trône ci-dessus, d'où l'église s'est prise de sa manie des changements de couronnes par-ci par-là à son sa capricieuse convenance ; jusqu'à qu'elle a trouvé un beau bouillon de culture dans la même famille de dégénérés endogamiques, dont elle a répandu par tout le continent : pactisant mariages, aussi que guerres, traités etc, dont l'église a toujours été d'intermédiaire ; en outre les églises entre elles ne se battent jamais, elles négocient, les affaires sont leurs affaires.

        À nouveaux temps, nouvelles solutions, donc, je me demande : est-ce qu'elles ont aussi changé les rois en présidents. 

  

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire