dimanche 31 janvier 2016

QU'EST-CE QU'ON A FAIT DE L'AMOUR?

    En tant qu'amoureux, les humains l'en sommes souvent éperdument, d'espace, amants dominants, si est-ce qu'à ça se peut nommer amour.
 

  Amants dont homme ou la femme, en les différents concepts de l'espace que tous les deux ont, tout ce qu'ils aiment, aiment l'aimer, non comme est cela qu'ils aiment, sinon comme ils aimeraient qu'il en soit.
 

     Donc il se peut bien déduire de tout ça, que les humains, amants d'espace, plutôt qu’amants, sont, sinon dominants de fait, prétendus.

jeudi 28 janvier 2016

L'AMOUR À LA DIVERSITÉ

   Tout lequel aime l'Europe, il aimera de force la diversité, dû que l'Europe n'est que diversité, j'en oserai même dire que l'uniformité, si n'en est absolument pas, elle respire du fascisme qu'une brise presque imperceptible fait envahir l'air qui demeure chez la Belle.
 

     J'aime bien l'Europe, diversifiée, comme j'aime les femmes aussi diversifiées, bon, je n'aime
vraiment pas qu'une toute seule, car la diversité en elle fait plein, ce qu'en l'ajoutant à la mienne fait que nous tous les deux n'arrivons jamais à consommer.
 

    Soit que je m'en fous et contrefous des commerçants tous. Lesquels prétendent, tout, tous nous, homogénéiser pour faire de nous quelque chose tel que zombies dévoués à leurs affaires, desquels ni eux-mêmes n'en profiteront point… la vie peut être belle ou pas, mais non éternelle.

mardi 26 janvier 2016

TOUT ALLA BIEN LA MATINÉE JUSQU'À ...

    Tout alla bien la matinée jusqu'à qu'un énergumène, qui en délivrant son génie sur une casse, pour un rien, avec son inconsciente victime, n'a pas fait de moi une autre. Je traversais la rue, à ce que si bien je ne suis pas fort habitué, le hasard a fait qu'il fût, comme il faut, par un passage zébré.
 

    Moi, que je ne fais de l'amitié, pour en être ami, faisant exception des animaux autres que les hommes, articulant la poussée sortie du fond de mon âme, j'ai crié au chauffeur : bipède ! En ajoutant tout de suite pour ne pas manquer de respect à d'autres qui n'en sont pas des nôtres : humain !!!
 

     Calmé de ma fureur, et après de rendre le bâton menaçant lequel je brandissais pour appuyer ma thèse "insultante". Je me suis resté étonné de l'effet étonnant sur lesquels ont prêté leur oreille à celle-là, aussi comme à l'énergumène, j'en suppose, puisqu'il s'est allé heurter contre un poteau indicateur par là.

lundi 25 janvier 2016

L'EXCÈS FAIT LE BOUCHON

    L'habitat de n'importe quelle tribu est quelque chose comme son estomac, lequel peut digérer presque tout presque, ce qu'on le fait ou laisse faire, entrer par la bouche, pourtant, l'excès lui tient mauvais à y faire.


   Excès, que l'on engloutit, sans le savourer évidemment, ne laisse pas sentir les saveurs dégoûtantes, marque du nuisible. En autre, l'adiposité que l'excès engendre au consommateur, lui fera perdre agilité physique et mental, et en plus lui fera devenir anti-esthétique.


   Donc, pour éviter de se soumettre au traumatique remède choc qui est la diète, lequel va inévitablement faire apparaître d'autres inconvénients à cause, mieux il sera de manger avec modération, savourant ce que l'on mange.

samedi 23 janvier 2016

LA MALVEILLANTE BALADE GRATUITE

   Il est cette heure du jour dont la crue des gens inonde l'avenue se précipitant en vagues par les rues qu'y débouchent ; vagues qui se heurtent contre les vagues qui par celles-là descendent.


  Quelle tempête mon dieu il faut braver ! — Dit un croyant. Merde de foule ! — Dit un mécréant (celui-ci qui au ne pas être habitué à l'oraison est plus concis).


   Depuis là-haut de la falaise à l'abri de la tempête les politiciens la contemplent ; ils ne parlent pas, ne pensent non plus ils n'ont pas l'habitude. Ils font comptes sur ce que quelqu’un d'entre eux a dit :
   
   Pourquoi pas grever la tempête d'un impôt ???

mercredi 20 janvier 2016

TROIS SPÉCIMENTS À SOULIGNER D'ENTRE LA FAUNE HUMAINE

    Il y a parmi la faune humaine trois spécimens, qui sont de la pire racaille, ce qui en autre, par incroyable qu'il le semble, vous pouvez le croire, une bonne partie de leurs victimes souhaitent, en catimini, appartenir leur club.
 

    De ce club dont je mettrais en premier rang lesquels qui à faute d'intelligence consacrent leurs vies à entasser richesse, en deuxième les politicards, enjôleurs avec ses votants, lèche-bottes, lèche tout, avec ceux-là du premier rang, le troisième orner, toujours à mon avis, ces dévoués à la nonchalance qu'ils sont les prétendus économistes, lesquels font de métier justifier les additions que leurs maîtres font à leur profit, et à faire autant de la soustraction faite aux autres en leur détriment.
 

    Pauvres crétins tous ces trois spécimens-là et tous lesquels les font confiance. Les uns qu'en faisant du mal aux autres, les autres en se laissant y faire, tous à plus long plus court terme se feront faire du mal eux-mêmes.

mardi 19 janvier 2016

DES YEUX VOYAGEURS

    Les yeux se font voyageurs quand une belle passe… quel moyen de transport si plaisant !


   Ce qui même surchargée, « elle » dans la course, se balance gaiement par entre les amants de la beauté.
 


    Elle, qu'en marchant légère, vaporeuse, sans être contrainte du poids lourd qu'elle traîne avec.

samedi 16 janvier 2016

CHAMPIGNONS DE VILLE

    Si par ces latitudes dont nous sommes la pluie est fréquente, cette époque l'en fait plus persistance, de l’humide que la fait encombrant pour qui ne sait pas en profiter. On est très pressé de courir derrière le temps, le vaincre, pour qu'il ne passe pas. Personne s'arrête voir le pavé que la pluie fait briller, à ses pieds, lever les yeux, pour regarder le tout par elle voilé… la pluie fait de l'art !!!
 

    Heure pointe, jungle de béton : les champignons poussent partout, ils ne sont que des gens (à plus petits plus dangereux) en leurs parapluies enfoncés, les tiges de ceux-ci pointues disposes pour attaquer. Ombres sous ombres marchant au pur style de canards effrayés.
 

    Ombres qui font ombre dans le pavé brillant, en silence, silence dont la pluie se musique durant, tombant sur les ombres, sur les espaces d'entre elles dans le pavé marquant autre rythme.  Ombres qui se heurtent, les unes les autres impitoyablement dont on doit être prudent : leurs parapluies sont des armes redoutables aux communs des mortels.

vendredi 15 janvier 2016

VIVRE EN UN VIVANT

    Au fur et à mesure que temps fait mûrir l'âge des vivants, leurs amis morts, petit à petit, vont nichant dans lesquels n'y en sont pas arrivé durant.
 

   Ces morts qui vivent dans lesquelles vivent jusqu'à ce que les vivants soient morts eux aussi.
 

  Donc ceux-là dépourvus de leurs teneurs laisseront de vivre du tout, et ceux-ci de morts iront vivre dans quelqu'un autre, vivant lui, s'il y en a qui les tient.

mercredi 13 janvier 2016

LES ROIS SELON L'ÉGLISE

    L'ours après être détrôné (sans qu'il, en autre, jamais eût su d'avoir être roi) par l'église d'importation chez-nous, en couronnant à sa place le lion. Détrônement devenu à cause de sa ressemblance aux dieux en place, voire les bipèdes sans plumes et sans cornes. Ce qui personne de bon sens doutera, comme personne n'en doute qu'au plantigrade, républicain il, ne lui ait pas causé trauma aucun.
 

    Bon ! quoi qu'il en soit, suite le limogeage du roi qui ne l'était pas, les inquisiteurs et leurs acolytes n'ont pas laissé d’inquiéter le si calme que respectueux, aussi que, bien élevé plantigrade, donc il s'en est allé dans l'énorme sanctuaire qu'il y avait... qu'il y a encore, hors du terroir de ceux-là, dont il attendait n'être pas gêné de personne, mais non, il rêvait, même là ces furibonds allèrent le taquiner. 
 

   
Dans ces terres-là par tous lesquels y étaient partagés, dont personne ne gênait personne soit quelques amants de la bonne table qui l'en faisaient sur lesquels l'en étaient destinés. Plaisir partagé par l'ours, en tant que commensal, comme de bien se reposer après, à ce que le dérangeaient ces morpions. L'ours patiemment s’amusait avec les bestioles ; mais la somnolence pique elle aussi… et fort !!!

dimanche 10 janvier 2016

LE PAUVRE, LE RICHE, ET LE FAUVE

   Une fois l'hiver est arrivé. Dans la maison du pauvre, celui-ci se garde du froid accroupi, dans le lit. dont il est contré de prêter son oreille aux soudaines notes improvisées, que le vent fait sonner au s'y inviter, entrant par les fentes d'une vieille fenêtre dont Éole a fabriqué une anche.


    Le même hiver l'en est aussi dehors la maison du riche, pas au-dedans puisque qu'elle est chauffée, artificiellement. L'hôte de celle-là, confortablement accommodé dans un fauteuil, écoute des notes tout parfaitement ordonnées, enregistrées, qu'une chose artificielle, lui aussi reproduit.


    À l’extérieur, le fauve rugit, il se fait ouïr pour tous. Le pauvre sait bien qui est la faim, l’interprète ; pourtant le riche cherche à savoir ce que le fauve veut dire, à il ne l'inquiète point, l'approche de ses hurlements qui progressivement s'approchent à lui… il ignore qu'il est nourriture !

vendredi 8 janvier 2016

DU LIT AU POT

    Jour le jour, on se réveille, on se lève, on s'habille, on sort de chez-soi ; dont il y aura toujours quelques-uns, qui quelques fois entre n'importe quel acte et autre, soit en catimini, soit à la débauche, on se lave.
 

 
  Dans la rue. Dans le bar du coin (s'il n'y a pas bar, dans le coin, dans le coin d'un bar qui ne se place pas au coin) on prend un petit café pour s'éveiller du tout. Durant l'attente à, que le susdit café ne brûle pas la langue au somnolent, celui-ci se fait brûler les yeux en lisant n'importe quel journal disposé à l'abrutissement de la clientèle, dont il peut apprendre que les élus, élus successivement. Ils sont comme toujours à casser les pieds de leurs électeurs.
 

    
L'électeur, quel qu'il soit, n'agit pas, n'existe qu'en état végétatif ; donc il ne se désespère ni réagir non plus, pour tout faire, il attend qu'on l'arrose : il n'est qu'une plante enracinée dans sa propre merde.

jeudi 7 janvier 2016

POUR DÉDUIRE ÇA, MIEUX NE PAS RÉFLÉCHIR

    En réfléchissant, en réfléchissant, je ne sais pas pourquoi m’est venu à la tête quelques conneries telles que je vais vous raconter.
 

    Masturber n'est pas forniquer, ce qui peut, de même faire plaisir, dont si bien on y a l'avantage (il ne faut qu'un peu d'imagination) de profiter y parmi les femmes à choisir (je parle du point de vue masculin, du féminin sera autant), il y a aussi le désavantage que l'on ne fera pas de l'amitié ???
 

   Mis de nouveau à réfléchir, sur le pourquoi j'ai déduit connerie pareille, je me souviens, qu'auparavant j'étais à penser en les politiciens !!!

mercredi 6 janvier 2016

L'ODEUR DU RANCE

    Il s’écoute souvent, trop souvent ces derniers temps, quelques-uns durement critiquer quelques autres parce que ceux-ci se moquent de dieu « le rance mâle impitoyable ». Ce qui blesse la sensibilité des croyants, disent ces mécréants-là, ou au moins, parfois, trop parfois, ils se vantent de l'en être.
 

 
   Ce dieu d'importation imposé par les adorateurs du commerce ; maîtres dans l'affaire de ne rien faire que d'accumuler richesse aux dépens de la plus-value du travail, desquels seront acheteurs du produit généré du leur propre.
    
 
    Celui-ci par lequel nous avons nargué les nôtres, quand non les faire des serviteurs, voire saints et vierges, de l'impitoyable rance mâle monothéiste. Je conseille ces critiques se promènent par notre pas lointain inquisiteur passé, dont ils pourront apprécier la délicate sensibilité des rances prêtres du rance dieu.

lundi 4 janvier 2016

L'IRRATIONALITÉ DES PRESUMÉS RATIONNELS

    Je suis convaincu, du même que je suis, l'un des animaux qui tous sommes les uniques avec la rare habilité à faire quelque chose, dont animal autre, d'autres espèces bien entendu, ne ferait pas.
 

    Parmi nous, par exemple, certains sont capables de manger tout cela qui s'est mis à table pour tous, plutôt que le manger tel excès, pour que les autres qu'y sont, ils ne mangent pas.
 

    De tel effet l'obésité est cause, que si bien elle ne fait pas beau, lesquels y arrivent feront pour la faire belle. N'importe que de celle-là on fasse celle-ci, on crèvera comme crève le ballon de l'excès d'air.

samedi 2 janvier 2016

IL FAUT ENLEVER LES ŒILLÈRES

    Nous sommes si habitués à mettre en valeur tout cela que nous entre, ce qui si n'entre pas pour grand, plus désiré, par les yeux, tandis qu'à ce que l'on sent d'autres sens, on ne le prête pas attention.
 

  Cette habitude qui nous a toujours induit à faire du « plein » image du bonheur, pourvu que celui-là ne soit pas un coup de pied dans les couilles... ou quelque chose comme ça.
 

   Pourtant, que le vide fasse du malheur, ce ne peut se tenir que pour une illusion, à contrarier le bonheur, puisque ceux-là qui font le vide bien sûr qu'ils sont plus heureux que lesquels le méprissent.