jeudi 30 janvier 2014

POSSIBLE FUTUR PRÉSIDENT

    Une mère, qui avait par fils toute une diversité, et pour mari un étalon, à laquelle l'habitude chez elle s'était institutionnalisée en règle, celle-ci qui l'avait fait devenir la bonne de tous. Cette bonne qui jour le jour donnait à bouffer au prolifique de premier ; celui-ci qui depuis de s'être servi à son goût, laissait sur table tout cela qui ne l'en était, bien qu'en assez de protéines pour toute sa progéniture.
 
   
    Cette mère, amant de ses fils, que non de qui n'aimait que soi-même, elle avait observé, qu'une fois que l'auto-amoureux avait rempli son estomac, déjà que cœur il n'avait pas, quand elle appelait ses fils à table, ils y arrivent, presque toujours il n'avait que manger.
 
   
    La mère, en voyant ses fils maigrir de façon fort disproportionnée à la grosseur prise de l'un y parmi, met en garde sur le sujet à cela que les petits tenaient par père, pour qu'il enquête sur ce qu'il était à se passer par là. L'idiot, en regardant du coin de l’œil son portrait de jeune faire et voyant qu'il était la cause, dit à la mère en riant, fier d'avoir parmi l'intelligence un autant sot que lui : ce coquin ! Il en va y arriver très loin… à président au moins ; et vu ses manières, je dirais de la nation.
    Proverbe : pas pour être victime, on est innocent de son sort ; un opportun coup de pied dans les couilles et s'est fini l'étalon.

mercredi 29 janvier 2014

LA NUDITÉ DES ARBRES

    Dès que les arbres se sont habillés, leur arrive le point d'orner leurs habits, leurs feuilles, de fleurs ; à ce que les cerisiers prennent de l'avantage sur tous les autres, pour adoucir le brusque changement du blanc, qui aura disparu au temps que la neige, avec le blanc que le touffu de leurs fleurs façonnera.
 
   
    Passé le temps d'une jouissance l'en relève une autre, dont les arbres, sous les exubérants, bien que sobres vêtements qui habillent la maternité, donnent à la lumière, à l'abri de leurs timides ombres, des fruits, rafraîchissants, revigorants ; dans sa propre gaine, autres, pour se conserver. Le chêne, qui nie se féminiser, prend d'intermédiaires les porcs, tels que s'ils fussent gaines de leurs glands, pour fournir nos tables, le temps durant que tous les généreux font du nudisme, montrant fiers leurs splendides corps, criant au vent, pour s'annoncer de leur auguste présence.
     
   
    Il y a aussi y parmi forêts des stériles conifères, lesquelles ne seront pas, pour être, en solennelle solitude. Ces arbres moines qui ne se déshabillent jamais, heureusement aux yeux sensibles, puisqu'ils n'en devront subir d'un paysage qui semblerait un monde de squelettes de sardines penchés du ciel.

mardi 28 janvier 2014

UN CHASSEUR DÉCONCERTÉ

    Une ombre promène son ombre, celle-ci qui ombre à son pas, de l'aller et venir durant, devant le creux qui fait d'entrée au gîte, où se tient aux aguets le chasseur.
 
    
    Chasseur auquel l’intermittence a tellement confondu, qu'il ignore à présent de ce qu'il est chasseur… ? si est-ce que de l'ombre ou de la lumière ?


      Le chasseur s'y garde, attendant, mais la rentrée, la nuit, quand tout lui semble devenir au clair, c'est maintenant la Lune qui fabrique des mêmes, nouvelles ombres.

lundi 27 janvier 2014

UN JEUNE HOMME TRÈS POLI

    Quand Philibert était arrivé à jeune homme, il était essence des polies manières dont il fut élevé, celles-ci qui se montraient sur l’apparence de douce harmonie, mais autant rigides comme absurdement compliquées, ce qui faisait contraster avec la schématique, plus qu'amer, despotique, relation, que les appartenant à son entourage avaient avec lesquels de leur travail, ils faisaient possible la pratique de cet apparat de douce harmonie aux rigides, absurdes et compliqués, manières, qu'ils entendaient par si délicates que distinguées.
 
   
    Un type qui s'est élevé dans un ambiant comme ça, il ne lui reste qu'être nécessairement, pour le dire de quelque façon, un gommeux impénitent, puisque ce qui tient tout cela qu'y se passe, par force, pour normal, il n'est pas pour auxquels sont hors de là, que cela soit tout simplement anormal. 
 
   
    Il ne se peut pas apercevoir comme bizarre, que Philibert soit un bizarre type, et même tout le gommeux qui vous voulez. Philibert, par exemple, ne pissait pas, il faisait des mictions ; ce qui était plus délicat. Il ne faudra dire : que de chier, ni lui, ni chez-lui, personne ne parle… quelle honte ! Là où Philibert n'a jamais vu manger sa mère, ni même mise à table. C'est pour cela qu'il était sûr qu'elle ne passait pas par tel encombrant processus, manquerait plus que ça. De fait, une tante à lui "fierté de la famille" morte avant qu'il fût née, à cause de pour ne pas se faire honte, s'être elle quitte de manger…
    Pauvre Philibert ! qu'il n'a pas pu arriver à tel degré de sainteté. On vient de l'ensevelir : il est mort d'une galopante diarrhée.

dimanche 26 janvier 2014

S'HABITUER FAIT MAUVAISES HABITUDES

    Il était une fois, dans le monde des marionnettes, dont leurs montreurs, à qui comme est habitude, l'habitude d'y faire, a fait d'eux des insoucieux dans leur métier. D'où, autant du mauvais entretenir comme du pas moins défaillant, manœuvrer les ficelles qui font agir ces habitants-là, lesquels avaient perdu la capacité de l'en faire par eux-mêmes, il a tout fait dérouter par la plus absolue décadence.
 

    Depuis cette fois-là, celle qu'elle a été, un jour est devenu, dont l'un des montreurs qui ayant les ficelles, de la marionnette qu'il maniait, toutes embrouillées, en persistant "le couillon" en la faire agir sans s’apercevoir que l'un des fils entortillait une couille à la pauvre marionnette ; ce qui lui avait fait épreuve de telle douleur, qu'elle arrache soudainement tous les fils d'union à l’abruti, et se mettre à marcher par soi-même.
 
   
    Cette douloureuse affaire a fait du souffrant Mouton de Panurge ; puis à la suite subir, l'expérience subie, petit à petit les unes les autres jusqu'à être les marionnettes toutes, elles ont coupé les rênes, desquelles leurs inutiles exploiteurs les tenaient, sans elles-mêmes savoir, depuis d'y en faire, et grandement élucider, d'où s'est-ce que s'est tiré cette absurde habitude.

jeudi 23 janvier 2014

LES AMANTS DE LA VIE

    Les amants de la vie (que non les de hollande) se succèdent les uns les autres chez son insatiable amoureuse. Tous ces amoureux qui après d'y exercer avec l'exploit qui caractérise la jouissance de la jeunesse, ils passent à être proies de l'épuisement, des troubles, d'un amour, qui est devenu habitude.
 
   
    L'habitude, qui n'est que lassitude, laisse l'amant prêt, tel que s'il fût un fruit mûr, pour que l'insatiable le dévore.
 
   
    Nouveaux amants, fils des amants dévorés, comme l'en ont été leurs pères, et les pères de leurs pères, et toute une suite d'arrières, laquelle se perd dans la nuit des temps, qui l'en ont été. Comme les fils des nouveaux amants, et les fils des fils, et toute une suite de successeurs qui se perdre dans les jours des temps à venir, ils l'en seront.

UNE QUESTION DE CONCORDANCE

    Ils sont nombreux les nefs, qui recevant des ordres du cerveau, font agir les muscles de la main gauche, de n'importe quelle personne décente, pour la fermer à faire des justes revendications, ou l'ouvrir, soit pour travailler, soit pour la partager.
 
   
     Par contre, et quoiqu’ils soient beaucoup moins les muscles du doigt indice de la main droite, aussi comme les mains qui l'y dressent pour ordonner, en plus ces muscles- ne soient pas commandés moyennement les nefs du cerveau, après réflexion faite, c'est cet élan d'androïde, qui manie le monde tel qu'une madame j'ordonne fait chez elle, là où son mari semble ne pas être qu'un pensionnaire.
 
   
    Il se peut bien faire comprendre, même qu'il ne soit pas facilement assimilable, qui de la nette infériorité des mains droites au droit dressé à cause ; les mains gauches avant de se fermer pour se plaindre, ne réagissent pas, elles en prenant l'insultant doit indice et le mettre par le cul à son maître : la majorité se fait débile face l'infériorité, de l'indécision d'elle-même quand il ne faut qu'un peu de coordination.

samedi 18 janvier 2014

FOUDROYANT PAR ICI FOUDROYANT PAR LÀ

    En m'offrant moi-même en cadeau une visite, plus que brève foudroyante, à Bordeaux, une fois-là, me trouvant moi dans un bar, en étant boiteux, je ne peux pas me promener. C'est pour ça qu'il soit dans ce type d'établissements, où je trouve le monde, et comme c'est le cas, cette fois la partie de monde était une jeune amie avec laquelle le rencontre a été plus foudroyant que la visite à la ville.
 
   
    Cette jeune femme, dont sa jeunesse ne me fais pas autant jeune moi, avec qui, avant les derniers présidentiels, j'avais discuté sur les pas douteuses qualités à mon avis de celui-là, qui plus qu'arriver en, il a gagné les susdites. À qui, la non pas moins douteuse en tant que jeune, défendait-elle sans en douter, disciplinairement, le candidat face moi, de façon qu'elle fît sembler que j'étais un casse-pieds « des » droites : droites, il y a par tout, ce qui imite « la » gauche, à différence qu'elles ont toujours le même et unique patron.
 
    
    Je ne voudrais pas de manière aucun être de ce pari gagnant, mais ce n'est pas le hasard, il a été le temps qui a parlé. Eh bien, rencontre faite, bises de rigueur. Donc ma « jeune » amie en voyant en moi, peut-être, un sournois sourire, elle, sans me laisser moi tirer de la bouche l'arme, se dépêche m'embraser à nouveau, à façon d’adieux, pour tout de suite, en justifiant d'être pressée, s'en aller. Ni jamais de ma vie une femme m'a embrassé deux fois en tant bref espace de temps, ni jamais j'ai vu personne qu'entre dans un bar sans rien boire. 

jeudi 16 janvier 2014

L'IRRÉFLÉCHI ACTE RÉFLEXE

    La vie dans un animal comme tel, comme nous les humains, par exemple, l'y est en un état transitoire qui se déroule depuis que l'on est né jusqu'à on est mort.
 
   
    Parce que la vie puisse être, il est essentiel d'abord : respirer et puis, pour y soutenir la mécanique de ce mouvement réflexe durant, que non réfléchi, parce que celui-ci le plus probablement embrouillerait « le réflexe » auquel le ferait aboutir à rien. Il faut alimenter la machine, soit l'animal qu'il en soit, lequel se développera jusqu'à qu'il en arrive, s'il y arrive, à adulte, âge dont il s'accrochera d'ongles et de dents, dans sa décrépitude, tout le temps qu'il pourra. 
 
   
    Il peut sembler incompréhensible, mais voilà que même après d'une vie affreuse, qu'y arrivant l'heure de lui faire livraison, s’entêter pathétiquement à ne l'en faire.

mardi 14 janvier 2014

OBSTINATION POUR SE COMPLIQUER

    Nous, les humains, nous obstinons en nous croire quelque chose de compliquée, pour ne pas vouloir entendre que vivre en société, il ne s'agit pas de nous faire chasser les uns les autres.
 
   
    Alors, compte tenu que tous les humains partageons société, bien que, tandis que les uns l'en faisons en victimes, les autres de bourreaux ; évidemment en plus gros nombre les premiers, ce qui ne veut pas dire que les uns soyons plus stupides que les autres (c'est incontestable que les riches sont « plus » stupides, pour quelque chose ils sont « plus » riches) puisque si les victimes l'y sont déjà, ceux-là, soit les bourreaux, à plus court ou long terme l'en seront, eux aussi, cause de leur aptitude ; donc les humains, d'une façon ou d'une autre, nous serons tous victimes de nous-mêmes.
 
   
    D'où que l'on puisse se déduire qu'au ne pas pouvoir comprendre que la simplicité que niche en nous, est à cause de notre obstination, qui l'empêche y faire à notre faible capacité de raisonner.

lundi 13 janvier 2014

LA LUTTE, ANTIDOTE CONTRE LA TRISTESSE

    Il fait triste sentir le peuple, les peuples tous, se plaindre pour être exploités, maltraités ; pleurer par être esclavagés, par les puissants quand ceux-ci prennent leur force pour y faire, de la force de ces peuples exploités, maltraités, esclavagés.
 
   
    Dans un état qui se tient pour démocratique, le peuple n'a pas du droit de se plaindre, ni de pleurer quand même, des défaites, conséquence des abus que les font subir les satrapes d’opérette qu'eux-mêmes ont élu pour bien gérer la richesse de tous. Ce qu'ils n'en font, en autre, ni de la sienne, sinon de cela de leurs patrons ; voilà l'abstraction que tous nous laissons faire de la démocratie… la pauvre ! Cela qui dans les satrapies plus sérieuses se fait autant que dans ces imitations de pacotille, mais sans se couvrir de bouclier de cette connerie-là qu'ils font croire, qu'ils fabriquent de la démocratie.
 
   
    Il fait triste que les uns les autres, qui fondant son pouvoir sous l’exploitation, l'esclavagisme, du peuple, qu'ils prenaient la force pour l'en tenir, des bras mercenaires de ce même peuple, lesquels se font bien acheter par quelques pièces.

dimanche 12 janvier 2014

L'IMPORTANCE DE L'OMBRE

    L'importance que l'ombre a pour l'homme le passe à lui-même presque toujours inaperçue, pourvu que l'homme ne puisse pas exister sans ombre en qualité de personne. Un homme sans ombre est quelque chose comme une sardine en boîte : on ouvre celle-ci, celle-là y est ; elle fut sardine, mais elle ne l'en est pas encore, ni elle l'en sera plus.
 
   
    En voyant moi une fois un homme, normal, promener son ombre par la vie, à celle-là se la voyait battue par le soleil contre l'asphalte, ce qui la faisait sembler un résidu de lui, mais non, elle y était part, fidèle, elle ne lui abandonnera jamais, ni dans l'obscur, qui est l'ombre du tout, par où parfois on dérivait ; d'où l'homme, écu à la lumière, en sortant, elle en sortira de son écuyer bien servi.
 
   
    La mort, qui n'est qu'ombre, l'ombre de qui en vie à elle l'en a soigné, dans l'ombre elle l'en soignera à lui. Les fastes luminescents après la mort de qui n'ont pas eu d'ombre, ils ne feront que faire de l'homme qui n'a pas su mourir, un guignol qui jouera durant qu'au carton-pierre des souvenirs l'humidité ne lui fasse disparaître.

vendredi 10 janvier 2014

PEAU VELOUTÉE, MUSCLES D'ACIER

    En appréciant extérieurement le corps humain, on peut observer qu'il est comme un ensemble de pièces, où même à faute d'aucunes l’humain ne laisse de l'en être ; mais si bien dans l'homme la tête a été pièce fondamentale, le temps l'a resté petit à petit de l'importance, celle-ci qui l'en est allé prenant le cul en la même mesure que la tête a perdu, et surtout en la femme.
 
   
    Le cul est devenu, sans nul doute, la pièce de notre structure qui fait plus de fonctions qui nous caractérisent en tant que nous sommes ; quelque chose que l'usage habituel nous fait semblance de banales comme nous asseoir : indispensable, j'en dirais, celle-ci pour y être ; aussi que d'autres tout à fait banales comme dire : j'y suis ! 
 
   
    Le cul est notamment « expression de beauté ». On peut s'amouracher en regardant aux yeux une fille, dont la brillante aquosité hypnotiseuse fait que sa victime soit assoiffée d'elle ; mais rien comparable à la convoitise qui attire un fessier dont à une peau veloutée la font frémir des muscles d'acier.
    
    Laissez-vous : caresser par la souplesse du velours, faire des massages des muscles d'acier, cependant, méfiez-vous des yeux circonspects, qui ne sont que des épées d'acier étincelant.

mardi 7 janvier 2014

NE VOUS FAITES PAS COMMUNIER AVEC QUENELLES

    Jamais le fascisme s'est caractérisé pour le sens de l'humeur. Cet ennuyeux fantôme qui hante par tout, toujours aux aguets, pour prendre pièce de tout esprit libre que se fait mettre dans son atteinte. Ce fantôme qui prend de la force depuis qu'il fut bercé pour n'importe quelle église, à leurs profits, dont il fut élevé, pour après être placé, préférablement, là où la corrosion peut faire plus dégâts, soit dans la moderne classe politique. Tout le reste était déjà il y a longtemps sous contrôle.
 
     
    Ne faites-vous cas de l'image uni-coloriste qui nous ont fait croire le fascisme y a, puisqu'il est incolore, ce qui l'en fait tellement maniable, à se dissimuler, en vue de s’imprégner dans n'importe quoi. Pourtant, ce que cette peste ne peut pas faire dissimuler, c'est la faute absolue du sens de l'humeur, celui-ci qui ses adeptes en le prétendant faire, ils ne font que quelque chose de fort mauvais goût, que parfois de faire sentir l'humeur, une personne normale est touchée de la honte d’être humaine elle aussi.
 
   
    Ces adeptes, dont on excelle, si l'on excelle, on peut dire, la banalité, la misère intellectuelle, l'absurde, du non absurde, de la médiocrité, qui se placent dans le pouvoir politique, soit de la couleur qu'elle en soit, pour se justifier d'y être sous le désir explicite, fait du peuple qui les a élus… charognards ! mais n'oublions pas nous, que nous tous, sommes coupables que ces sangsues éteignent dans la place de bourreaux, cause de ne pas réfléchir chacun de soi, en laissant y faire par nous à nos propres esclavagistes.

samedi 4 janvier 2014

LE PRIX DU RESPECT

    Marcellin, tel qu'il s'appelait le lion que se regardait dans le miroir imaginaire qu'il avait façonné de ses âgés, pas précisément pour se coiffer sa crinière, sinon pour regarder l'avenir, le sien, miroir dont il se voyait vieux et sans crinière, que coiffer ; sans la force avec laquelle il avait défendu le terrain de chasse des chasseurs autres parce qu'ils y chassent à son plaisir les chasseresses, qu'à ce moment-là de sa vieillesse étaient en train de le chasser à lui du troupeau.
 
   
    Le lion Marcellin, pour ne pas perdre place chez les siens, se met-il résolu apprendre, choisissant à en faire, par toute leçon, celle de regarder le portrait que d'eux-mêmes montrent les bipèdes sans plumes, dont il apprend qu'ils respectent leurs ancêtres par leur sagesse. De cette salade qu'il se monte entre le miroir et le tableau, il crut absolument trouver là le truc à la sauvegarde de sa vieillesse, ce qui est seulement se faire sage tel qu'il supposait, l'en étaient les vieux bipèdes.
 

    À la suite, Marcellin met tellement de la force à se faire sage, qu'il ne l'en a fallu se faire à vieux pour y arriver, puisqu'il, avant que l'en eût prévu, était déjà parmi les siens quelqu'un, soit de sage, ou quelque chose comme ça, mais à être considéré. Résultant de cette considération qu'il fut défenestré avant d'arriver à vieux. La population de son troupeau devait d'être assez de celle-là, pour se mettre à chercher une fenêtre dans le Serengeti, au pauvre tant de sagesse lui a fait confondre celle-ci et le pouvoir.
 

jeudi 2 janvier 2014

ÉCLAIRCISSEMENT SUR LA VIE EN MARS

    Selon l'un des prismes à travers desquels nous voyons, celui-là de l'astronomie en ce cas, lequel nous permet l'en faire en le concernant à l'espace extérieur ; il nous confirme qu'aucune vie n'existe sur Mars. Personne n'a osé affirmer que (compte tenu la perception de la vie que nous avons, dont nous, fils de dieu, pour dissimuler, révéler que nous l'en étions) avec prisme ou sans prisme, la vie n'est qu'à notre image et ressemblance ; donc sur Mars la vie n'est-ce pas.
 
    
    Autre question est s'il y l'en a eu quelquefois, ce que, soit par intérêt scientifique, soit par allonger le conte, chez nous tout cela que l'on s’allonge à pour habitude d'accroître les avantages, même sans croire en le sujet. Ainsi il faut faire croire, même sans croire, qu'il y a eu de la vie sur Mars.
 
       
    Pourtant en écoutant la nouvelle, laquelle peut donner de la clarté, sinon pour qu'il ait vie à présent en la planète rouge, le pourquoi ne l'en a pas, dont les participants d'un programme « télé-réalité » seront envoyés là pour fonder une colonie. De cela que si les martiens eussent eu connaissance par avance, ou bien ils se seraient immolés, habitude en autre des peuples héroïques pour ne pas se soumettre aux envahisseurs barbares, ou pourquoi pas ils auraient abandonné leur planète prévoyant la catastrophe.
    
    Les martiens, les pauvres, bien sûr étaient savants qu'ils n'en avaient pas de moyens à combattre pareille armée.