Lequel qui fait des lignes droites sur le papier, il ne dit rien… Mais, peut-être, il pense !
Pourtant…
ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
Lequel qui fait des lignes droites sur le papier, il ne dit rien… Mais, peut-être, il pense !
Ce qui s’est passé dans l’un des rares espaces qui restent sur la Terre encore libres, voire, d’être volés à la Dame Nature par un père supposé.
En rêvant, j’ai rêvé que tous lesquels se croyaient le centre du monde, ils n’étaient pas que des âmes perdues dans l’inexistence. Ils n’existaient plus une fois celle-ci s’était évanouie.
Au fur et à mesure, les nageurs sortent de la piscine, quelques-uns, moi y parmi, descendent dans la saune : purgatoire dont on fait purger les toxines.
— Tu crois en Dieu… J’en suppose ?
Le patient homme lui répond durant : — je ne sais pas, je n’ai pas du temps à y penser.
Alors, insiste le prophète : —Quand tu mourras, que deviendras-tu ?
— De la merde qui fera pousser les plantes qui mangeront les vaches qui je mange !
*Je n’ai jamais pu bien fumer cela de « la noblesse » avec la noblesse
En étant moi, rien désireux de tenir les pieds sur la Terre.
Dans la prétendue dualité dans le monde « dieux et démons » dans lequel je me vois, je ne vois pas que démons.
En reniant de l’animalité, l’homme s’est fait nommer « être ». Deux « êtres » donc, au-dessus de tout sur Terre, dans l’imaginaire humain : l’être humain et l’être Suprême, voire Dieu.
Lorsqu’une émotion te fait verser une larme (ou deux, plus, c’est pleurer) celle-ci (ou tous les deux, donné le cas), elle, ou elles, tomberont sur la paix.
Je sens la vie désagréablement soporifique
C’est comme si l’air s’y était raréfié
Mes lèvres proches des siens
Respirant de son haleine
Ensuite, mon esprit s’en est allé revivifiant.