mercredi 28 août 2013

UN PARFAIT IMBÉCILE

    Il aimait « la femme » (toute une seule en, le radin) la regarder de loin, à travers du rideau translucide qui séparait le réel du rêve, de ce côté-là, dont elle se dépouillait peu à peu, doucement, de la peau d'au son monde extérieur ; jusqu'à sa silhouette doucement (elle était très douce) s'abandonnait sur le lit, donc un clin d'interrupteur, et à bientôt.
 
   
    Il aimait parmi les fleurs : les roses « blanches » les tenir dans un vase de cristal, si transparent qu'il ne s'en puisse point faire apprécier, pour tout d'elles pouvoir contempler. Il aimait les prendre, de ses mains, de leurs tiges, fortement, jusqu'au sang coulait d'elles, assez, pour faire des roses blanches, roses rouges.
 
   
    Il aimait du vin, plus que le boire, même qu'il en fût, imperceptiblement, tenir le verre, dont il passait inaperçu chez lui ; caresser sa joue avec le cristal, gorger parcimonieusement du nectar sans s'en laisser imprégner, sans jamais avoir senti de la sainte ivresse.
 
    
    Il mourut comme il était né, tellement que sa vie n'eût pas passé : sans toucher corps de femme, sans rire, et sans boire du vin comme il faut. Voilà l'histoire d'un puritain pusillanime petit con, lequel ni à grand con fut arrivé.

mardi 27 août 2013

LE COLONEL ET L'OUVRIER

    Un colonel est un colonel, dès qu'il y en est arrivé, place qui lui donne une trêve à ses rêves, pour se faire gonfler de sa charge. C'est donc, mise la pression en juste titre, que le colonel les en mettra sur le généralat. D'un mec comme ça, de qui se poudrait dire que : si dans son illustre carrière, abstraction de ce qu'il y a fait durant, il aurait empaqueté un kilo de sucre. Il y aurait fait quelque chose d'utile.
 
   
    Pourtant, un ouvrier n'est qu'une personne qui travaille, laquelle en son état psychique normal le seul rêve qu'il y a, c'est de ne pas travailler plus, même tenant en conte qu'il ne fabrique que des choses d'utilité, exception faite, quand la cohorte de ceux-là l'en font fabriquer des armements, qu'il doit utiliser lui-même après, ou bien articles somptuaires qu'il ne va jamais utiliser, ce n’est pas lui coupable de faire des conneries.
 
    
    Alors ! Pourquoi un ouvrier fait des conneries ? Voyons : la différence entre ces deux types de citoyens, que pas concitoyens, est que le colonel fait part avec, en autre dès siens en tous les différents échelons, des forces répressives autres, politiciens, spéculateurs de tout type, personnages du ne rien faire qui se vendent en intellos, écolos, artistes et quelque chose comme ça, psychologues et journalistes fidèles à n'importe quels soient leurs payeurs et tout type de maîtres du fer mal vivre aux plus faibles ; sans s'oublier de la grande patronne : l'église en toute sa diversité.
     Pauvre ouvrier, il est tout seul !
   Imaginez-vous par un instant, que les choses se renversent, non dans le changement du pouvoir, que ça serait autant de même, sinon dans la question du travail, en travaillant une heure chacun, chaque jour, il n'aurait plus de faim. Cependant, il n'aurait que réviser la journée de travail, en vue de la réduire pour réduire aussi la surabondance de production, c'est-à-dire le stockage.

dimanche 25 août 2013

TOURNER LE DOS AUX ÉCLATS

    Il se peut bien mieux regarder au loin, tournant le dos au soleil, que l'en faisant face.
 
   
    Ni le moindre ni, l'excès, si c'est que le moindre existe dans tout cela qui est excès, d'un exubérant éclat qui ne s'est montré jamais, la chaîne de travailleurs qui sous pénurie ; puisque pénurie est ce de bâtir la somptuosité, travaillant sans pain (le saucisson n'est plus éclatant que le pain, peut-être pour ça les travailleurs ne l'en ont non plus).
 
   
    Pourtant, en tournant le dos aux éclats, d'abord il s'éclairera l'espace que l'on aura en face depuis lors, de manière qu'on le pût regarder en long et en largue tellement il est. En autre, méprisant le méprisable, jusque de se battre en luttes anodines, celles-ci qui deviendraient dangereuses, puisqu'il aurait besoin d'utiliser les armes que les marchands de faux éclats vendraient aux révoltés… donc, à nouveau, tous lesquels se tiendront en libérés, sans pain ni saucisson.

samedi 24 août 2013

FAIRE L'HUMAIN

    Je me souviens de ces temps-là, pas trop lointains, dont tous lesquels avions de la vocation sous-jacente de couturiers, en allions faire pratiques de mesurage par les allées des parcs ; chacun sur les figures, dont le mètre à ruban, duquel fut pourvu son sens de l'esthétique, puisse-t-il de son étendue l'en faire.
 
   
    Dès ces temps-là, auxquels nous y sommes, tout à bien changé. Dans ces allées par où papillonnaient, tellement fusse le vent qui les fît voltiger, les merveilles mesurables jusque pour mon court mètre ruban, maintenant elles sont devenues pistes de course de bizarres types, pas moins bizarrement habillés en haillons signés de griffes à la mode. Ces coureurs trempés de sueur, leurs traits altérés, dont ils semblent qu'à chaque souffle leur sortir le cœur par la bouche. Pauvres cons, qui n'ayant assez de leurs brutales bêtises à eux, regardent les personnes civilisées, insolemment, méprisantes ils, pris de grands airs (lesquels, faute les feraient à eux, pour y mieux respirer) parce qu'elles n'en font, comme que si elles ne puissent pas, faire autant de conneries qu'eux.
 
   
    L'un des chaleureux après-midis du mois auquel l'en sont propres, qui provoque la faute de mesurables par le centre-ville me réveillent les souvenirs de ces temps-là. Par conséquent, je me suis mis en disposition d'en aller vérifier sur un parc n'importe quel, si ces courants-là d'air frais s'étaient allé reprendre leur ancien cours, mais non, les seuls ruisseaux qui par là se faisaient couler, étaient ceux-là des sueurs des forçats volontiers. Sur cette manie d'en faire, qu’un vieil homme qui était en bonne compagnie d'un pareil, interrogeait-il à un trempé (j'avais volontiers prêté mon oreille) celui-là qui était évidemment connu à lui, puisqu'il s'était détenu le faire des salutations. Duquel n'obtenant par réponse que : pour être en forme, afin de ne pas grossir, pour se conserver jeune et quelque chose comme ça. 
    Donc : dit le vieux… ?      
    
    Pour être beau, pour bien draguer... Pourquoi pas ?

    Radin ! Crie le vieux, ajoutant d'un ton sévère :
    
   Pour ne pas donner vie aux putains, tu jettes la tienne par les égouts du parc.
   
  Son semblable acquiesçait la thèse de son compagnon hochant la tête. 
    Je suis parti moi aussi en hochant la mienne.

jeudi 22 août 2013

LA BOUCHÈRE "CONSORT"

    Aux yeux de tous mes voisins du quartier, il n'y en personne ne sache qu'un camion est une machine, qu'un éléphant est un animal, aussi comme la femme du boucher du coin est un autre, celle-ci qui, bien entendu, l'en est du même que tous nous humaine d'espèce, pour beaucoup qu'entre elle et tous les deux autres, la différence de volume ne soit pas considérable.
 
   
    Même un aveugle, qu'il souffrît de son connu fin sens du toucher, pourrait se confondre entre l'éléphant, le camion, et, la plus qu’heureuse, volumineuse, épouse du boucher : bâtisseur de ses formes ; à celui-là le tireraient de doute ses oreilles, pour peu fines qu'elles fussent, à cause du ronflement cadencé du bruit de la machine, après le Broum ! du démarrage, d'un côté, et d'un autre, le strident barrissement de l'éléphant, qui sonne tel qu'un délicat clarinette, si on le compare avec le grondement de "la bouchère consort" lequel fait passer inaperçu, jusqu'à celui-là du plus puissant tonnerre imaginé.
 
  
    T'as-tu aperçu ? il me dit une matinée que l'on faisait les courses chez le boucher, de l'air malin qui laisse à la vue l'intelligence, une vielle dame, voisine-t-elle comme tous nous y sommes, dans la queue, dont personne ne s'en fait pas pour perdre place, en vue de retarder le plus possible l'arrivée où elle aboutit : le cul, qui est dans ce cas la face du monstre, qui derrière le comptoir ne donne pas repos sa mâchoire qui, tandis qu'elle mange (poursuit ma voisine) elle ne parle pas ; son mari est sans doute plus intelligent de ce que tous nous pensions.

mercredi 21 août 2013

LA PENSÉE DES SCULPTURES

    La pensée n'est que les sons du passé, lesquels au se heurtent contre les formes, s'en transmettent à l'avenir. Qui est donc capable de nier de la pensée à une belle figure humaine teillée en marbre, blanc immaculé
 

    À nous, les humains, toutefois la corruption, pour ne pas perdre le rythme des mots, nous a doué de la faculté de fourvoyer la pensée, pour y tirer profit, chacun, de louches affaires.
 
   
    En ce qu'à moi concerne, je ne vois que dans les fillettes ; ces beautés que seront bientôt arrivées à la perversité, quelque chose la plus semblable au plus blanc immaculé marbre, sans macula, j'insiste, en ayant celles-là en plus l'avantage d'être déjà taillées. Ainsi, comme dans quelques-uns, qui sont arrivés à vieux ; bien est vraie que de ces derniers, l'ouvrage semble plus fait en pierre. 

mardi 20 août 2013

FOUTUE GLOBALISATION

    Quand on va chez le cordonnier, tout le monde a la manie de, si l'on achète, acheter deux souliers, même que l'acheteur n'en aille qu'une seule jambe, par conséquence un seul pied ; en autre que, de cette habitude, le patron ne les vend qu'à paires. On pourrait bien acheter, même en ayant lui les deux jambes, un seul soulier, pourvu qu'à celui-là ne pas joindre les deux bouts, à s'en faire avec tous les deux, laissant que le temps en fasse à remplir ses poches pour acheter un autre, mais non, ce victime du marché globalisé, doit-on acheter la paire, et pas seulement assorti, sinon que de la même mesure, sachant que le corps humain n'est pas parfaitement asymétrique.
 
   
    Imaginez-vous dans quel embarras ne mettra un mille-pattes en entrant chez un cordonnier bien, car si bien les myriapodes n'en a que 42 pattes, dans quelle boutique va-t-il trouver 21 paires assorties et en plus de la même mesure ? Personne, je m'imagine, va nier les droits mille-pattes aux myriapodes scolopendres, dont si quelqu’un se veut chausser.
 
   
    Cette manie de globaliser, qui nous conditionne à être soumis à dictature de la mode, aussi que de mœurs étrangères, dont personne n'est capable d’expliquer avec force détails, du même qu'il serait fait raisonnable : la déraison, d'où je me demande : ne sera-t-il que nous avons inventé dieu pour tout embrouiller, et faire de lui, le pauvre imaginaire, bouc expiatoire, l'en haussant au degré d'infaillible pour de lui tirer profit ses porte-paroles sans rien dire que : il le sait tout, vous ne comprenez pas… nous oui, laissez-vous nous faire ; allez-y donc, à chier (ils ne disent pas comme ça, mais bien sûr ils l'en pensent) … somme toute, ce qu'ils nous auront fait les myriapodes, lesquels n'ont jamais gêné personne, pour ne pas pouvoir se chausser, s'il les plait et comme à eux les plait ? Problème que, il faut le dire, dieu n'aura pas quand même.

lundi 19 août 2013

CHACUN DOIT SE CONDUIRE SOI-MÊME

    Au fur et à mesure qu'une machine, adéquate au transport des gens, qu'y a fait de n'importe quel passager, voyageur, qui prend de plus en plus vitesse ; de moins en moins ce voyageur-ci obtiendra netteté du paysage par où l'engin circule ; arrivant le véloce aventurier, depuis que la vitesse se fait considérable, à ne pas apercevoir qu'un tout, estompé.
 
   
    Par contre, si la machine, celle-là de qui l'on parle, ne démarre plus, celui qui soit en elle ne sera passagère, ni beaucoup moins voyageur ; il ne sera que le centre d'un monde qui bouge, ce qui est aussi chacun y parmi, dont, chaque est à son tour le centre. Pourtant, en tant que machine, si elle fait sa tâche, bien qu'elle tellement fût un hippopotame asthmatique, le voyageur, de prompt digérer, subira, le plus probablement, de l’indigestion, autant de trop comme de toujours avaler du même.
 
   
     Il faudra donc maîtriser la vitesse des susdits engins, chaque, à l'égard du passager qu'il y porte, puisque voyageant en troupeau, sous les canons desquels ne sachent rien d'eux-mêmes, on ne laissera jamais d'être que ça : troupeau. Chaque estomac a sa façon de digérer ; personne est plus, personne n'est moins, nous tous sommes à différentes manières d'en faire… c'est la force de la diversité, n'oublions pas qui nous écarte d'être troupeau.

samedi 17 août 2013

IL N'Y A DES DIEUX QUE DE LA GUERRE

    Tout le monde le sait, et qui l'en doute, peut le constater, à présent en ouvrant les yeux, aussi comme à travers les temps passés ouvrant l'histoire, quoiqu’elle soit écrite par les vainqueurs, à vrai dire, ils s'y vantent en. Que c'est la religion, elle a été, cause des pires tueries dans l'humanité, en tant qu'elle y a été, elle y est.
 
   
    Les uns y parmi, en moines habillés, bénissent la richesse, fléau qui tue à qui non de la faim à qui veut manger, qui ne soient pas eux, d'autres prônent la guerre sainte, même il y en a qui, habillez-lui en ce que l'on s'est donné appeler occidental, après l’apéritif d'une malheureuse soirée, dont il a parlé avec « son » pieux dieu ; pour tuer le ver, qu'en autre, il y avait placé auparavant dans un appétissant fromage. Il écrase celui-ci tout entier ; faisant pourrir de ses déchets toutes les denrées autour.
 
   
     Quel paradis peut vous offrir, agneaux de dieu, l'un qui vous fait haïr entre vous. Figures modelées de la rancune, qui vous laissez manier par des opprobres dégustateurs de corruption et plaisirs ignominieux. Même les pasteurs des vrais agneaux, il les garde, les soigne, les fait grossir (j'ai ouï dire que quelqu'un qu'autre les tient jusqu'à amour) il sera donc dieu à eux le boucher ? Vive l'enfer ! Ne bêlez pas, crient-ils.

vendredi 16 août 2013

GRAND MAÎTRE, PETIT MORPION

    Dans le rez-de-chaussée de l'un des bâtiments qui présentent façade au boulevard Sébastopol, là y est le magasin lingerie (celui-ci qu'y montre, lui aussi, la sienne comme devanture) dont Marcel, le patron héritier de l'établissement fondé en 1882 ; selon fait remarquer la griffe de la maison, des mêmes caractères que son ancêtre fondateur a fait dessiner.
 
    
    Ce précurseur-là de la maison qui a eu en Marcel un remarquable descendant dans le métier, auquel il a consacré sa vie. Cet expert, qui quand par son domaine font irruption, deux vénérables rotondités, exubérantes, prépondérantes fantaisies en recherche d'un nouvel soutient, Marcel n’attendre pas, que l'en fasse la porteuse, il n'a pas, dès ce précis instant, plus yeux que pour les volumes auxquels il doit revêtir, il les baise, ses yeux, lentement pour profiter à superviser le ventre, jusqu'à l'angle que façonnent les jambes, se tournant lui, pour les mener, ses yeux, prendre mesure des pas moins vénérables... et tout cela qui le suit, grosses joues du derrière.
 
    
    Eh bien ! Ce bon homme amant de son métier à qui je connais depuis quelques années, de maintes occasions nous trouver, y étant lui toujours à la même heure, moi si c'est que je fais coïncidence, évidemment dans un bar, plutôt que de nous croiser des mots, nos regards, dont le sien par défaut professionnel, le mien pour offrir à mes yeux de la beauté, à cause de n'importe qui de cela brille par là. La question, à mon avis, est que jour en jour, il devient de plus en plus maigre, sinon qu'il diminue tout entier, tel qu'il voulût se rétrograder à morpion, pour ainsi dire, en prévoyant que le jour de sa retraite soit arrivé l'en faire donc dans le paradis de ses rêves.

jeudi 15 août 2013

TÊTE EN FRICHE


    Parfois il ne faut ne rien faire ;

mettre la tête en friche.

    Mais ce qui semble tout simple :

repos du guerrier,

    Combattant !

    Qui poursuit la raison dans la sans raison… comme que si elle s'y pût trouver.

    Il n'y a pas d'espoir dans le désespoir,

    C'est peut-être dans l'essence,

    Dont l'essence n'est que l'essence de ce que nous sommes.

   





                                                                             



mardi 13 août 2013

L'HUÎTRE ET LE HOMARD

    Une jeune fille, tout si belle et fraîche qu'une fraîche huître l'en peut être à n'importe quel amant de la fraîcheur des huîtres fraîches, marchait toute contente, prise du bras, tellement qu'il fût une perche, celui-là qui bien pourrait être un appendice d'un gros homard. Personne ne saura dire, si pour s'y bateler elle, ou pour pousser, c'est une manière de le dire, le grand à son caprice, si ce n'était de son sournois contentement.
 
   
    Il n'a fallu que le trame qui peut offrir la terrasse d'un bar (il faut reconnaître que la susdite faisait coin) par où ce grand-là se pavanait montrant son puissante apparence, pour constater qu'il était la petite, perche à la main, qui maniait la grosse bâtisse.
 
   
    Si bien Sartre avait déjà dit : « l'univers tourne autour d'une paire de fesses » on pourrait, pas moins bien, ajouter, qu'aux astres qu'y gravitent, l'attraction les fait faire face d'idiots.

jeudi 8 août 2013

TOUT UN PROBLÈME

    Pas seulement entre le mec A, celui-ci qui était un tel Erwan, et le mec B, cet autre qui était un tel autre Dardand, ne s'était jamais rien passé, sinon qu'ils ne s'étaient non plus jamais vus, ou, au moins aucun de tous les deux n'en était pas conscient de telle conjoncture, ce qui n'est qu'autant du même. C'est-à-dire, qu'il n'y a eu entre l'un l'autre, d'autre chose qui n'ait été qu'un partage commun d'absolue ignorance.
 
   
    Alors que, et compte tenu que la vie n'est qu'un, sinon un cumul de problèmes, qui soit sensé se sait vivant s'il en a, desquels, y parmi leur diversité, chacun aux siens ; ce qui pas tout le monde comprend, tel qu'il y était le cas de Dardand, qui parmi des siens, chaque fois qui lui affleuraient quoi qu'il en fût, l’intrépide croyait que cela était quelque chose étranger à lui.
 
   
    Bref : l'insensé-intrépide-osé Dardand, qui en étant touché de n'importe quel problème, pour s'y débarrasser, met le susdit en charge à Erwan, celui-là qui, en conséquence, fait de son problème, un problème à celui-ci ; ce qui fait faire à Dardand avoir un vrai, puisque Erwan, qui avait assez des siens, met le généreux présent de Dardand par cela qu'il croyait son cul, d'un coup de pied… Dardand, le pauvre, en étouffant avec… il n'a jamais pu arriver être sensé pour savoir que la vie est un cumul de problèmes.

mardi 6 août 2013

UNE BONNE SOIRÉE PEUT FABRIQUER UN MAUVAIS SE RÉVEILLER

    À la veille de la soirée, dont il s'était célébrée chez Bacchus, quelque fête n'importe quoi (la question était en fêter) en honneur Cupidon, reconnu crampon, là où s'était rendu l'incube Séraphin, pour taquiner l'ailé ; comme si lui de son prénom n'y puise pas être objet. À cette soirée le suit l'épouvantable se réveiller auquel Séraphin s'est vu soumis.
 
   
     La question est que de la susdite fête, tout le monde, avait été sorti, bien servi, comme il était de l'habitude chez tel généreux patron, tellement que Séraphin, et c'est le cas que nous concerne, pour qui l'heure de son travail en allant arriver, il n'avait encore sa tête dégourdie de l'engourdissement acquis.
 
    
    Se mettant donc l'incube Séraphin au travail, de cette manière étourdi, qui en arrivant l'heure de le finir, à celle-ci qu'il était arrivé, cause peut-être du frénétique dévouement avec il s'était engagé plus éveillé quel l'en avait commencé. Plus que surprise, quelle horreur ! Chez qui est-ce qu'il s'en était mis à horrifier ? … le pauvre !

dimanche 4 août 2013

UN MAUVAIS CLIENT À UNE SUCCUBE

    Le succube Margot s'est fait mettre, par hasard, à faute de mieux faire, faire son métier dans las songes de Germain ; celui-ci, qui était un homme, dont la rudesse et la vigueur étaient enveloppées d'une aussi vaste peau comme résistante, jusqu'au gonflement qu'elle recevait de tout un océan de muscles, ceux-ci en constant mouvement, même quand il était en repos.
 
   
    Ce repos-ci auquel cet ensemble-là prolongeait si lourde que longuement en raison de son généreuse proportion.
 
   
     Ce jour-là, quand Germain s'est réveillé ; Margot, qui n'ayant pas presque la force pour s'en sortir des susdits songes ; mais de la peur à s'en dormir, elle, dans l'attente à les reprendre, ce que la ferait rendre place chez qui devrait avoir été sa victime, de laquelle, elle était devenue, tire, la pauvre, du désespoir, s'en traînant, pour sortir de là, pour n'y jamais retourner.

vendredi 2 août 2013

LES AIRS DE LA MER ... DES MONTAGNES

    L'air marin, de l'été, y vient, quand il souffle sur terre, imprégné des odeurs des différentes graisses les gens avec, et surtout des femmes, s'aident, dans les plages, à se rôtir au feu solaire, en s'allongeant sur l'arène réfractaire.
 
    
    Y parmi les gens, celles-là de bon sens, notamment des hommes, troublés leurs papilles gustatives, dont la perception olfactive a fait écœurer, pour beaucoup que les yeux aient accru la gourmandise, ils partent à la montagne, là où les airs ne traînent que des odeurs du cru, dont ces réfugiés, assis sous la treille d'un bar, prêtent leurs yeux aux grappes vertes, goûtant le jus desquelles il y a longtemps ont mûri.
 
   
    Ces patients hommes-ci se font impatients, cause des airs appétissants qu'y viennent du fond, de la cuisine, comme aussi de femme, des femmes qui par là pullulent… mais ils restent, impassible l'attitude, comme il faut, à être servis. 

jeudi 1 août 2013

FAIRE OBSCURE LA CLARTÉ

    Nous, voire tous lesquels nous avons fait appeler occidentaux, avons pris l'habitude de nous faire coupables de tous les maux des orientaux. Ce qui n'est qu'une connerie qui se somme à une autre, et en plus nous fait oublier les nôtres propres.
 
   
    Première connerie : si nous sommes l'Occident, et, compte tenu que les pays Européennes de l'est l'en sont, eux aussi, même la Russie ; à notre occident, c'est la Sibérie qu'y reste majoritairement, celle-ci qui est en quelques manières, par parrainage, partie intégrant de l'Europe. À notre occident, traversant l'Atlantique, apparaître l'Amérique du Nord, elle aussi considérée, celle-ci qui, en autre, par l'est est à notre orient. Donc, il ferait situer la mappemonde, dessiné sur un plan, dont l'ouest au sud, l'est au nord évidemment, pour placer l'orient à sa place. C'est-à-dire : tout cela que depuis la nuit des temps tant de sages hommes ont mis à sa place, enveloppant la mappemonde dessinée sur un plan, pour faire de lui la boule où tous nous habitons, pour tout devenir à un chaos incorrigible.
 
    
    Seconde connerie : nous, les Occidentaux, avant de nous faire coupables de tous les maux d'Orient, nous devrions considérer, que nous crûmes, plus prêt plus loin dans le temps, sous l'influence de ces cultures qui font aujourd'hui cause de nous donner des coups dans la poitrine. Il faut se tenir à, que d'une ou d'une autre manière, depuis que l'humanité l'en est, cette grande voyageuse a façonné ce que nous, l'Occident c'est le cas, sommes. De là que, la stupide « histoire » de faire, des bons et des maux parmi nous tous, ce ne fait que des mauvais des intelligents comme des bons des abrutis ; ce qui n'en étant d'aucune façon certaine. Pourtant, c'est vraiment dangereux. Aux coupables, aux victimes, il ne faut pas les chercher ailleurs, tous l'en sommes et chaque peuple a les siens.