lundi 31 octobre 2011

SALE POLITIQUE

     Quand de la culture (sic l'idiosyncrasie) d'un peuple se fait de la sale politique, confirme une fois en plus, que la qualification de sale, de celle-là parfois reste courte. N'importe quel peuple, qui même n'étant pas un exemple de convivialité respect aux autres (ou autre), ça ne veut pas dire que les autres (ou autre) l'en soient ni avec respect à celui-là, ni entre ceux qui restent non plus.
 
    
    La culture, il faut ne pas confondre culture et religion, LA CULTURE est connaissance de soi, dans le milieu de vie qui l'a correspondu, soit pour naissance, soit pour vivre-là dont on a bu de la culture que l'on a, soit, pourquoi pas pour libre élection, ce qui y oblige l'individu se respecter, d'abord soi-même, dans ce milieu, pour respecter tous lesquels la partagent, comme aux autres dans celle-là qu'ils ont.
 
    
    La culture est convivialité, respect. Les invasions, guerrières ou déguise de pacifisme de « dogme » il n'y a pas invasion dans l’intégration. La patrie est la culture de la culture, laquelle se livre dans chaque endroit de la Terre qui permettre de la cultiver, l’humanité n’est que partie avec.

samedi 29 octobre 2011

UNE TERRASSE À MONTMARTRE


      Dans une terrasse de Montmartre ; entre la table que j'occupais et celle-là de l'autre côté, où faisait autant une belle vieille dame, fraîche telle qu'une rose, au regard lucide et inquiet d'un renard « fontainier », était laquelle s'interposait entre la dame et moi, où campait un de ces couples qui aiment partager leur progéniture, même si les invités à tel plaisir ce qu'ils aiment, soient aux couples qui aiment leurs progénitures pour eux-mêmes.
       Comme je présentais que ces piranhas finiraient pour m'attaquer ; tirant de moi un regard de bœuf égorgé, je me suis mis à meugler plaintivement : j'adore les gosses ! … j'avais trois… quel dommage ! .
       Une disgrâce ? M'interroge la mère, curieuse.
       Eh, oui, Dis-je, comme à moi-même, ajoutant d'un air de rage : un jour, je les ai tués tous les trois parce que ne laissaient pas, de bourdonner autour de moi.
       À ce que la belle vieille dame fine oreille, voyant tout le danger s'en aller à elle, lance résolument : Ô monsieur. quel décourageant et pourtant quel courage se devine en vous. Je suis tellement convaincue que vous seriez de nouveau un patient bon père.
     À ce que j'ai répondu soudain, presque criant : moi, j'ai aussi tué ma belle-mère ! Pour me contredire.
       Le couple amoureux, de leurs enfants aussi, s'est resté du temps pour prendre leurs bestioles et s'en aller, ou s'en fuir, je ne sais pas.
      Un clin d'œil a été assez parce que la belle vieille dame et l'assassin, partagent la récemment table vide, faisant cliquer les fois qu'il a fallu, les verres successivement remplis de calvados…

vendredi 28 octobre 2011

DISTANCE


      Bien qu'elle soit contraire à ce qui devrait être la synthèse de la société, dans celle-ci tout est dissociation, c'est-à-dire, distance, une bizarre distance, qu'à différence de celle-là de l'univers, qui tout sépare inexorablement au fur et à mesure que le temps passe, nous inclus, mais, sans dissocier l'ensemble. « La bizarre » marche de façon semblable à ce qu'il l'en ferait un poulpe perdu dans le centre d'un immense hangar.
    Notre société est soumise aux critères les plus simplistes, des uns et des autres, qui se sont mis sur la table (et non celle-là d'un bar, ce qui les ferait moins ennuyeux, quand même) pour analyser sa réalité sociale, où les uns et les autres, proposant comme unique objectif, de regarder vers le futur, ce qui n'a personne avec possibilité logique de le voir. Pourtant, nous ne nous avons point encore affirmé dans le présent, ni nous ne nous sommes pas même advenu analyser la réalité de notre passé. Ce que nous conditionne à vivre constamment dans le passé, bien que, petit à petit plus moderne. Par conséquent, la distance (la bizarre) marche dans l'intérieur de la société, sans elle-même n'avance que dans l'espace comme n'importe quel autre objet.

jeudi 27 octobre 2011

LE ROSIER ET LA ROSE










      
   Le rosier fait pousser dans les tiges portaux des fleurs, épines ; pour que les parmi nous "anacoluthes vertébrées" qui n'ayant pas assez de la beauté des roses, quand on ira les prendre, en se piquant où l'intéressé, par rustique qu'il soit, au sens du toucher, on fera sortir de soi un cri de la douleur, lequel inondera ses oreilles (se suppose qu'il aurait deux).

       ... Le rosier lui donnera trois sens cadeau !

dimanche 23 octobre 2011

SUSURRE











        

      Tellement que l'on aime le silence, tout le monde attend, sinon le grondeur des cieux, un susurre qu'y vienne de la terre ; qui en se mettant par les pieds, pour s'en aller à la tête, en faisant dans ce parcours, vibrer le corps, jusqu'à une fois qu'il est arrivé à son but, il ajoute dans la palette des songes une nouvelle couleur.

 

vendredi 21 octobre 2011

SILENCE

  
        Le Silence:



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       Que le silence existe, c'est quelque chose  qu'on se peut démontrer, en plus, c'est conseillé de faire pratique de son exercice, cela évitera de dire des conneries.
    

lundi 17 octobre 2011

OÙ EST-CE QUE JE SUIS


      Tout ce que j'aperçois, comme est la vie, me semble si étrange, qu'elle pourrait bien être, à mon avis, un complexe songe le mien, ou celui d'un autre ? qui le sait ?
     La question est que cette troublante existence, ou non existence, me tient. Je souhaiterais me réveiller de ce songe de con, ou que le con qui le rêve se réveille ; le pari est fort, je le sais ! Il s'agit d'être ou ne pas être, ce qu'en étant dans un songe, ce n’est pas être.

dimanche 16 octobre 2011

ATTENTION LES INDIGNÉS


    
     Tout de suite que l'on prend la résolution de faire n'importe quelle revendication sociale, révolte ou pourquoi pas Révolution, tous ceux qui y participent doivent être disposés à virer à coups de pied dans le cul tout lequel qui s'en va diriger à la masse pour deuxième fois, sans attendre une troisième, pour chercher de l'accord de la façon d'agir, il faut renouveler le porte-parole, les messages doivent être faits par tous les qu'y sont, car s'il y a parmi, un individu, souvent soutenu pour un petit groupe, qui sera bientôt tenu par « élite » dès ce moment même, ils vont prendre les privilèges propres que celle-ci les apportera, devenant lui, si la protestation triomphe, du même dont on s'est révolté. En autre, ils ne vont pas les problèmes d'auparavant. pourtant, la revendication est échouée, ils s'en vont faire soutenir avec les votes de ceux-là qui l'en avaient fait éclater, dont la plupart suivront à vivre dans la boue, s'intégrant à la politique commerciale, bien sûr avec nouveaux sigles charmants, sinon ils s'en sont faits incruster, avec l'expérience prise dans cette autre école politicienne, dans les rangs politiciens les plus classiques.
       Je sais que je ne dis rien à nouveau, mais merde ! Pourquoi toujours nous nous heurtons dans le même caillou ?

samedi 15 octobre 2011

ON S'ÉCOUTE PARLER

    Dans les médias, si n'est pas l'un est l'autre, pour une raison ou pour une autre, chaque fois, on s'écoute de plus en plus parler sur la religion. Je suis tellement convaincu, que si dieu existait, on ne parlerait pas tant de celle-là.
       L'avant affaire du gros affaire de la religion est cela, que l'on converse d'elle ; ce qui, selon les prêtes à laquelle correspond, soit un interlocuteur qui les donne la raison avec condescendance, soit-il, un autre, purement objectif ; l'un les offrirait la raison par condescendance, l'autre par intransigeant. C'est péché, qui de mot écrit ou parlé, doute, et ce qu'est le pire des mots que dieu, ni a écrit ni a non plus parlé : il n'a pas eu besoin de rien dire, c'est pour cela qu'il est dieu, c'est tout.
 
      Je dois avouer, que je suis impatient à la prochaine originalité qui peut faire sortir l'éloquent grand prête chrétienne. Ainsi d'un temps que son carillon ne sonne pas, il l'en fait sonner à grands cloches… il est d'un créatif !

vendredi 14 octobre 2011

LA RECHERCHE

     Il était une personne, qui cherchant le monde perdu, a eu le malheur de l'en trouver, dont elle a pu constater, que celui-là n'était pas mieux, que celui-ci où elle habitait : tous les deux étaient vraiment le même, bien que l'un soit l'envers de l'autre. Cela le lui a produit une si forte déception, qui a transformé son espoir en enfer. Un sage homme, qui passait par là, en voyant s'épanouir par ses allures le désenchantement, l'a dit : 
 
     
    Qu'importe de naître pour mourir ou mourir pour naître, ce qu'importe est vivre.
 

mercredi 12 octobre 2011

LES OMBRES ET L'OMBRE

    Il était un homme, qu'ayant peur des ombres, pour se défendre d'elles, allumait chez-soi de toutes les torches qu'il en allait fabricant ; cela qui a tiré en conséquence, qu'au fur et à mesure qu'il allumait plus de torches, plus d'ombres il trouvait, même qu'elles fussent timides, chaque fois plus timides, jusqu'à, toutes les ombres avaient disparu, de tellement fort qui était la lumière chez-soi.
 
      
    La joie a été si brève pour lui, qu'il durerait un canard à l'orange, garni avec pommes à la danoise et abricots confits ; pour boire, cinq ou six bouteilles de Champagne (il n'est pas question d'être radins) dans un bar, dont les chômeurs pullulent par là, à midi, à voir envoler les mouches, sentant notre peureux, que pas toutes les ombres avaient filé ; où était cela qu'il était incapable de voir ?  pourquoi pas, elle ne serait lui-même ?

lundi 10 octobre 2011

LE FURET

    Le furet dont je parle, se cache dans son studio, se laissant voir pour qui passe par la rue. Il daigne alors de lever les yeux sur la fenêtre qu'au sien correspond dans le premier étage de l'immeuble, pendant ces petites espaces de temps dont il a daigné, aussi, se regarder, au-dessus des lunettes qui protègent ses paupières, derrière les vitraux qui l'isolent du monde extérieur ; il ne perd pas son temps, ni même dans ces brefs coups d'œil à l’extérieur, ils n'en sont que ça, un bref attente, sans qu'il laisse arrêter son méthodique, inébranlable, infatigable fouilleur par le réseau, ayant lui, ouvertes tous les ongles imaginables, sur son énorme écran, ce qui fait du réseau, partagé par tous les locataires de la résidence, pratiquement impraticable ; nonobstant, personne du voisinage connaît le truc du pourquoi la ligne ne marchait pas, quoique tous se plaignissent de son mauvais fonctionnement, même au vieux furet (mes excuses) au vieux prof, à qui tout le monde aimait bien.
 
       
    Cherchant solution à cet encombre : solution trouvée, par là, face la résidence qui faisait face au centre d'enseignement, d'où l'on ne pouvait pas prendre ligne internet. On pouvait se voir tout un monde, abrité jusqu'aux oreilles, les nuits de l'automne dans la Garonne ne sont pas quelque chose, ce monde-là, assis par trottoirs, poubelles, penchés des lampadaires, juchés sur les sémaphores, montés les uns sur les autres ou les autres sur les uns, ou comme ils pouvaient, pour se connecter à la machine du XXI siècle.

dimanche 9 octobre 2011

DES MAUVAIS SE REVEILLER

    C'est ennuyeux écouter, quotidiennement, dès le petit matin, celui qu'y correspond à chacun, la même chanson, à tous les rythmes imaginables : « la crise qu'y vient » celle-ci Mesdames et Messieurs porte-paroles de ce que vous-mêmes appelez politique, ne vient pas, la crise est établie dans le modèle de système dont nous étions ancrés dès qu'il l'en est.
    La crise de qui s'est accroché au pouvoir comme les tiques, ne soyez pas vous, vous n'étiez si importants que vous vous croyez, parce que si vous n'y fussiez pas, il y a tout un monde à la queue pour vous remplacer, le problème est le pouvoir même qui sous son angoissant attachement à l'appât du gain, qui étouffe la société, le progrès, s'étouffe soi-même et même étouffe les abeilles.
      Bref, pour se nourrir, seulement il faut de nourriture, pour voir de la connaissance (le savoir existe) de la culture ; la technologie de laquelle forme part nous donnera plus de temps, au fur et à mesure qu'il se passe dans cet exercice, pour agrandir le muscle que tout semble nous l'en avons engourdi.
      Quelque chose indispensable dans cette affaire est, bien sûr, un très gros réseau de tuyaux destinés au versement des détritus de cette société pourri, pourtant est bon reconnaître que cela serait suicidaire. 

samedi 8 octobre 2011

UN ÉLÉPHANT SE BALANÇAIT

    Tandis qu'un enfant éléphant se balançait sur une escarpolette du parc, une petite enfant humaine, tout en face de lui, pleurait comme un enfant cigogne en attendant la nourriture qui le devrait amener sa mère, parce qu'elle voulait se balancer, justement dans cette escarpolette-là, bien qu'il y ait d'autres ; le petit éléphant, gentiment, le lui laisse sa place, partant tout content, agissant sa trompe de l'un à l'autre côté, jusqu'à qu'il trouve un cerceau par là, avec lequel il se met à jouer ; la fillette, qui l'avait suivi, commence de nouveau pleurer tel qu'un crocodile (pas nécessairement enfant) après de manger, parce qu'elle souhaiterait jouer avec ce cerceau ; le petit le lui donne, gentiment le cerceau, c'est une façon de le dire, accomplit la gentillesse il part en courant agissant la queue et pliant l'oreille gauche contre son épaule pour regarder du coin de l'œil si la pleurnicheuse le suivre, quelque chose qui se passe. Le petit éléphant (qui non pour être bien élevé était idiot) accélère sa marche, dessinant formes indescriptibles avec ses oreilles, queue et trompe, de manière que la pleurnicheuse devient une braillarde consommée ; menaçant le petit de ses cris l'éléphant : tu verras, quand j'aurai grandi, je te ferai faire tout cela qui me plaira.
   À ce qui répond petit éléphant (gentiment, comme ne peut pas être d'autres démarches) je croitrai moi aussi ! Ma petite adorable, à bientôt.

jeudi 6 octobre 2011

LA CHENILLE NAVIGANTE


Une Chenille qui s'était posée sur une feuille d'un chêne, laquelle en se décrochant s'envole l'en faisant au-dessous de la forêt, portant la chenille de passagère au plus pur style Aladin, qui a supporté toutes les cabrioles que le vent l'en fait faire à la susdite feuille. L'improvisé Aladin n'avait du temps ni d'être fier ni même peur de la prouesse, il l'employait tout ce temps en s'accrocher à la feuille comme il pouvait. Cependant, au fur et à mesure que le temps, ou le vol, coulait, la prouesse devient sa prouesse, car équilibrant, d'une manœuvre de son corps, la feuille d'un coup de vent qui l'en allait de nouveau révolter, il se veut croire à partir de ce moment-là un grand navigant, par conséquent en perdant la peur et gagnant fierté en soi.
       La chenille (notre Aladin) volait si heureuse qu'un oiseau qui passait par là, lui plus haut, ce qu'il fait que l'oiseau heureux de voir une proie servie, bien que sur un rustique, mais un pratique plateau.
       Inévitablement, étant moi dans la peau de la chenille, je préférerais que me mange un oiseau par conduire moi mon propre destin, que le destin me mange moi à son caprice.

lundi 3 octobre 2011

ZEUS MON DERNIER ESPOIR


       Quand on s'est confronté à n'importe quelle adversité, souvent on se souvient d'un qu'autre dieu, et non, souvent aussi, pour le prier, surtout s'il s'agit de l'un, étrangère lui — les affaires chez-soi s'arrangent d'autres manières.


 
       De ma part, je ne crois qu'il n'ait que parcourir aux dieux d'importation. Ainsi, en Europe nous avons tout type de dieux à choisir pour dissemblable qu'il soit le fait, dont il s'agit ; c'est pour ça que j'ai mis tous les espoirs en Zeus, au but qu'il nous soulage de ce temps caniculaire, donc je l'ai invité à venir à la Gironde faire un toast dissimulant une connerie quelconque ; je sais bien qu'il aime le bordeaux, ce qui fait beau n'importe quel prétexte pour qu'il vienne le goûter.

       Une fois lui ici, il ne faut que taquiner notre Zeus, son caractère le lui en aille faire perdre les pédales. De tous est connu que la puissance est proportionnelle au caprice, si à cela s'ajoute la manie des dieux à tout punir, bien sûr que Zeus ne nous va frustrer la confiance misse en lui, peut-être qu'il l'en fasse laissant tomber deux ou trois nuages par terre ; pour lui, ça n'est rien et pour nous il sera une punition divine... les estivantes ont déjà eu son content, les personnes normales, nous avons aussi le droit de nous soulager, bien qu'il soit avec du vin, doux, chaude, aromatisé à la cannelle.

dimanche 2 octobre 2011

UNE FAMILLE HEUREUSE


       Il faisait un jour caniculaire, j'étais allongé sur une chaise longue à l'ombre des palmiers de la terrasse d'un bar, ma main droite tenait une chope de bière bien froide, l'autre soutenait un cigare avec lequel je jouais à être une locomotive, tranquillement, en quelle chose. Il faut passer le temps, ce temps-là, léthargique, où seulement semble qui agissent les lézards, jusqu'à j'ai vu la lumière, par là y vient, sous l'image d'un couple et leur progéniture, dont le père pousse une poussette, où dort, tranquillement, sans se le sentir, sans rien agir. un petit s'accroche comme un possédé au pantalon du père d'une main, de l'autre, comme qu'il fume, son doigt, le gros, une petite, très débrouillée, qui pour vouloir mener elle la poussette le lui met entre les jambes, à celui qui se le suppose son père, et à qui moi aussi je suppose heureux, bien qu'à son intérieur, car dehors il était tout occupé, comme la mère, qui y vient derrière avec le plus petit, peut-être, à ses bras et le grand à son côté, celui-ci qui imitait son père, et à mon avis faisant tout ce qu'il pouvait pour non-rire.

    Tout quand cette procession était arrivée chez où j'étais, la mère, doucement sentence : Pierre, il faut aller ailleurs, il faut changer la petite ! par qui la pourrions-nous changer ? Laisse tomber le grand, à ce que reprendre son père en voix grave : Pierrot, ta gueule ! Continuant : prenons une table sur cette terrasse même, sans laisser ses enfants de leur faire leçon : personne ne demande rien au sadique vendeur qui y viendra, je ferai la commande.     
        Je suivais à faire de la fumée et boire de la bière ; cette chaleur qui m'avait frit le cerveau m'avait aussi fait réfléchir… et moi, qu'est-ce que j'ai fait de ma vie ? Célibataire, seul, ici tombé en attendant que le jour rafraichisse pour m'en aller d'ici par là sans but, selon l'inspiration du moment, à tout hasard ; donc, je me dis à moi-même, allons-y

samedi 1 octobre 2011

UN SIMPLE BAGAGE

        
    Une personne n'importe qui, si elle va faire un voyage, elle doit passer par le rite d’aménager ses bagages, quelque chose pas facile, pour beaucoup qu'il ait qui, pour s'en sortir de la règle disait qu'il, en faisant cet exercice, met l'indispensable, et en marche, parce que celui-ci comme quelques autres ne laissent pas d'être un style. La difficulté de cette opération réside autant en ce qui est strictement nécessaire, plus ou moins nécessaire et ce qui ne l'en est pas : tout un dilemme !
 
     
    Moi, qui, je ne suis précisément une personne soigneuse sur rien de ce que je fais, il y a une chose, quand même, que je mis dans mon équipage mécaniquement, sans rien me questionner ni sur son besoin ni sur utilité, ils sont deux condoms qui voyagent avec moi il y a, peut-être, plus de trente ans et en le faisant par les cinq continents ; ils sont plus que des fiers compagnons. Ils sont parts de moi, en fait s'il me passe par la tête, qu'est-ce que j'en ferais si je devrais les employer ? soudain par réponse, un tic me fait arquer les sourcils, suivi d'un rictus de désapprobation de seulement penser que je devrais les jeter à la poubelle… sacre bleu ! Cela serait une amputation. Coûteuse affaire par un geste de plaisir… ou non ? Je m'en fiche des curés, des politiciens et des faux puritains
       Vive saint Robespierre vierge et martyr.