lundi 23 janvier 2012

JOSÉPHINE ET L'OGRE

    Les ogres grouillaient partout, et Joséphine ; pas une Joséphine quelconque : une Joséphine belle et délicate, grouillait, elle aussi, par où elle ne puise pas tomber proie des ogres.
   L'un des ogres, scrutant du coin de l’œil la belle et délicate Joséphine par là, il est qui tombe, mais amoureux d'elle (le pauvre), qui pour dissimuler de cet attrait, aux autres ogres, il s'écarte de la meute comme il peut, pour se rendre au pied de la charmante.
    Elle, la belle et délicate, aussi que charmante Joséphine, souri au stupéfait amoureux, de ses lèvres cramoisies, allume ses jolies et délicates joues (tout en elle est délicate) étendent son cou fin et blanc, écarte les cheveux de son front (il fout voir tout ce qu'il fout faire pour épater un misérable ogre). Bref, elle fixe ses yeux tels que deux épées d'acier étincelant sur le féroce ogre, qui après d'être assoupi, il servirait de mets du jour, à bon prix, à la belle et délicate, aussi que charmante Joséphine, que lui mangerait tranquillement.

samedi 21 janvier 2012

DE L'AMOUR À LA FAUNE.


    Nous, les humains, pouvons aimer d'autres animaux n'importe lesquels, par exemple, un chien parce qu'il est obéissant, ou un chat parce qu'il ne l'en est point ; un poussin parce que si, comme pas une poule parce que non ; une souris, tandis que le caprice à lui reste, ou un aigle parce que le caprice à la tenir reste inaccessible ; un cheval parce qu'il est docile ou idiot, mais pas un âne, peut-être parce qu'il est, de façon incompréhensible à la plupart de monde, intelligent.
      Cependant, entre nous, l'amour est la guerre, ou pour le dire, pas sans feinte, plus doucement, la concurrence, cela qui fait que nous ne soyons différents de l'autre faune, que dehors de ce que peut être était notre propre bourreau : la sacro-sainte Technologie.
      En autre, bien est vrai que l'on y en a qui aime le cochon de son époux ou la vache de son épouse, celui qui se passe, entre l'après la fureur des échanges des fluides corporels et l'avant de se quitter, ou en tout cas de s'habituer à l'ennui.
     À la fin, nous, les humains, ne sommes qu'animaux comme les autres, en plus habillés, dommage elles sont si belles ! ces incitatrices à la guerre. Seulement la solitude, l’Écartement de la meute nous fait différents des autres espèces, si ça n'est pas à dégoût.
    Ah ! excusez-moi, les coupables de tout sont les politiciens.

mercredi 18 janvier 2012

ERREUR HORRIBLE

    Il nous est venu de longtemps, la croyance absolument absolutiste, en considérer civilisation, homologue de culture, progrès, poliment, ainsi que d'autres fleurs mises dans le même vase, là où la libre pensée n'est qu'une branche d'épines qui ne fait plus que déranger, même sachant tout le monde, qu'elle ne survivra là plus que le temps d'expirer ; parce que l'on puisse vivre hors de ses racines. Il faut être : simple, docile et maniable, entre autres infécondes qualités, réservant la fécondité à la plus fructifère reproduction dans leurs courtes vies. Pourtant, une branche avec épines, si bien que morte toute suite qu'on la coupe, y va tenir ses épines tandis qu'elle soit blanche. 
    Toute civilisation se fait remarquer des monuments qui l'y sont propres, et qui ne servent à rien qu'à glorifier dieux et demi-dieux ; les uns sortis de l'imaginaire pour contenter stupides, les autres les jardiniers aux grands ciseaux pour couper les ailes s'ils (les stupides) se sont révoltés.

    Dommage que la civilisation se soit détournée de son essence pour devenir le jardin de l'infamie. Il ferait attendre, sans branches d'épines, elle n'y a pas de fleurs.

mardi 17 janvier 2012

HISTOIRE D'UNE ÉVOLUTION

    Dans une ère très lointaine, perdue de la mémoire des mortels, vivait un ours, si pacifique que charmant, duquel toute sa méchanceté, même l'ajoutant sa malignité, bien se tenaient dans le nuage que peut produire le pet d'une fourmi.
    Et, parlant de fourmis ; Marguerite, l'une contemporaine du susdit ours, reterse-t-elle, un jour s'en promenant par la forêt qui à son avis était la peau de Frank, c'est comme ça qui s'appelait l'ours, où la retorse n'ayant pas assez de le laisser faire de son hôte, essaie partout de le gêner utilisant à l'effet les, à sa taille, disproportionnées mandibules.
    Rien se passe, jusqu'à qu'elle arrive à la délicate enveloppe des couilles du poilu ; c'est maintenant qu'elle s'en va évertuer, jamais mieux dit : casser les couilles de l'ours, vu que là si fait du mal.
        Le piqueur produit du bien faire de Marguerite, circonstance qui oblige à Frank se gratter là, de telle sorte qui traîne dans un ongle la fourmi. Il nettoie son appendice le léchant, ce qui lui fait goûter la bestiole… ce jour-là est né l'ours fourmilier à tourment de toutes elles.

lundi 16 janvier 2012

QUATRE COMPAGNONS

     
    Un homme avait amené vivre chez-lui parmi d'autres animaux : un âne dans l'esprit que personne se plaçât sur un rang supérieur à lui, au moins dans son domaine, en ce qui concerne à l'intelligence, un cochon pour faire du même à l'égard de la politesse, donc, et pour si tous ces deux ne fussent pas assez, il avait ajouté à la troupe un loir ; il voulait aussi être le plus active, dans le nouveau monde qu'il était en train de fabriquer.
    Une fois tous les quatre chez-eux, chacun prend place où l'on est plus à l'aise. La maison autant bien chauffée qu'assortie de denrées, met au loir dans un état de frénétique activité, s'emparait-il du salon-bibliothèque étendant d'ici son espace vital par le sous-sol où il y avait une espèce d’atelier-laboratoire.
    Le cochon, grand sybarite, se passait le temps entre les exquis qu'il cuisinait, dans l'espace aménagé à ces travaux, dont il avait fait son domaine et la salle de bains, dans laquelle il se faisait constamment la toilette. 

  Celui qui reste, l'âne, animal de notable intelligence, pour coucher ses réflexions, n'avait trouvé mieux place que coucher dans le lit qui avait été celui-là de leur amphitryon, celui-ci, qu'à faute d'autre chose avait pris siège, par-ci par-là, du couloir où il ne gênât pas les nouveaux patrons de la maison.

    Notre homme dans son prétendue sagesse, il ne savait qu'il y a d'autres qui vivent là où ils vivent, mais pas par leur choix.

samedi 14 janvier 2012

TRIPLE "A"

Toute la presse d'aujourd'hui met en jeu tous les guignols possibles pour faire de comparse dans la pièce « la triple A » où une « agence de notation » privée, mettre en valeur l'économie de tout un pays tellement qu'elle l'eût aménagé pour le mettre en vente dans n'importe quelle foire.
 
       
    Toute une sorte de bizarre diversité de spécialistes en économie, payes par le système capitaliste qui prétend, à faute de ne pas se pouvoir approprier de lui, le gouverner, sans se soumettre à aucun scrutin électoral devant la classe travailleuse, celle-ci la seule créatrice de la richesse. Ces prétendus spécialistes, opinent marquant points, virgules, multiplient en profit leurs payants et surtout soustraient à la classe travailleuse, dont ils prennent tellement les personnes qu'elles fusent nombres.
 

       
    Merde de types, jusqu'où nous laisserons manier par leurs conneries de merde, la merde ne génère que merde (je parle métaphoriquement pas biologiquement) compte tenu que : tout le monde sait, ou doit, ou se le doit exiger de savoir, que n'importe quel peuple a fondamentalement besoin, tout simplement de Culture=Liberté, Nourriture=Égalité, Santé=Fraternité. 
 
       
    La triple A n'est que nourriture pour que les poules (ou politiciens) se battant. Je m'y chie (sans pardon) avant de leur donner (aux politiciens), les poules ne sont coupables de rien, cette triple A ; moi, avec une seule A, tout juste ornée d'un cercle qui l'entoure, j'ai assez.

vendredi 13 janvier 2012

PAUVRE PAUVRETÉ


    Le coût de la vie monte tellement que, pauvres des pauvres qui n'aient de l'imagination, comme vont-ils savourer des gâteaux pendant qu'ils mangent du pain, de la viande en mangeant des patates ou des fruits de la mer en aspirant de sa brise ?
 
    
 Pauvres des pauvres qui gaspillent toute leur imagination en penser qu'il n'y en est pas.
    Pauvres ouvriers à qui seulement leur propre esclavage les libère d'être pauvres.
 
       
    Bien pourrait quelqu'un d'autre continuer jusqu'au fin de vos vies… la mienne resterait si bref.

jeudi 12 janvier 2012

UNE QUESTION DE VOLUMES

    La seule différence que l'on peut trouver entre un éléphant et une fourmi, se regardant chacun dans le miroir que l'y soit proportionnel (il ne doit pas être le même, quand même, question de volumes) cette différence sera, la grandeur de la glace qui absolument aura besoin l'éléphant, contre la petitesse de celle-là de qui aura besoin de la fourmi ; parce que ni le grand se pourra voir dans un miroir qui ne soit proportionnel à lui, ni la petite se trouvera dans l'un qu'il soit propre de sa concurrente.
 
      
    Pourtant, en tout ce qu'y reste, c'est tout simplement une question de perception de chacun de tous les deux, qui donnée la différence entre leurs volumes, on empirera l’indifférence entre tous les deux tandis que ne soit, dans l’extrême coïncidence de qui marche sur les pieds de qui.

mercredi 11 janvier 2012

ÉQUILIBRE

   Parfois il se passe qu'une personne se trouve avec quelque chose comme un étau, qui pince la tête des tempes, dont la maîtresse ou le maître que la manie, bien pourrait être (je pense), dépendant du point de vue, autant dès qui a la main prend comme de qui a la tête pressée, cette maîtresse-là, qui tout semble est (personne qu'y soit souffrante ne se regarde pas lui-même comme causante de celle-là) constamment à faire tourner la vis qui serre sans piété le gênant étau… progressivement. Voilà : taquiner en se taquinant, bel exercice.
     Beau aussi désir du désir, en autre si humain que libertaire, dont autant le refus que le rapprochement sont à l'attente du choix volontaire des participants dans l'enjeu, où il n'a rien d’imposition sur l'être ou ne pas être par beaucoup que le désir doit être… En partageant. Que toutes les guerres soient comme ça !

mardi 10 janvier 2012

PANACÉE

    C'est dès l’Europe libre, dès où les pseudo-intellos-progressistes-pisse-froids locaux prétend, le jouant le jeu (inconsciemment, à faute d'intelligence) aux satrapes-apatrides-impérialistes de l'argent, c'est faire la panacée du monde aux dépens de la surexploitée classe travailleuse aussi locale.
 
      
    Vivat la démocratie ! Vivat la liberté ! Vivat  l'égalité ! Vivat la fraternité... mais pourquoi pas vivat le chômage.

     
    Alors, vu que les travailleurs de l'Europe libre…? ne se laissent esclavager comme il faut ; allons-y, disent et font les patrons de l'argent, exploiter ailleurs au nom de tous, soit les européens, pour fournir de babioles les grands et petits marchants d'ici ; qui les vendront à qui ? à une classe ex-travailleuse délaissée de l'indigence ? ou, peut-être aux fonctionnaires qui aperçoivent jour le jour moins de revenus ?
     
    
     Pourquoi pas n'exportons-nous ces sauveurs qu'y prolifèrent de plus en plus, là où le nouvel esclavagisme prend de toutes leurs forces ; si de ces pisse-vinaigres nous n'en faisons du beau affaire en leur vente, il sera un si fort soulageant avec l'allègement de ces crétins-gommeux quand même.

lundi 9 janvier 2012

ENTRE LE TIC ET LE TAC

     
    L'espace du temps, entre le TIC et le TAC de l'horloge de la vie, bien pourrait être une éternité si l'on ne se la mesurât pas.
    Quelque chose que nous ne pouvons pas éviter de l'en faire, parce que nous sommes parties de cette horloge.
    Donc, au moment même que n'importe qui, d'entre lesquels qui sommes, personne n'écoute le susdit TIC TAC, ça ne veut dire que nous soyons dans l'éternité
       Plutôt, il sera une pièce, de cette machine intemporelle tombée en désuétude. 
 

dimanche 8 janvier 2012

LE MARCHÉ DES CAPUCINS

Dans le marché des Capucins à Bordeaux, les petits matins quand toujours la nuit insiste, surtout samedis ou lendemain de la veille de n'importe quel jour férié, à la profusion des odeurs, des couleurs, que sont propres à un marché comme il faut ; toute une frappante fantaisie, à laquelle se l'ajoutent les sons des pourparlers des marchants, d'entre lesquels sortent par ici par là appels d'attention affinés autant en baryton qu'en soprano, accompagnées des percussions de casses vides, pleines qui retombent partout.
 

    Ces jours-là, le spectacle s’incrémente avec l'entrée en scène d'un improvisé tumulte de jeunes gens, et non tant jeunes, qui crient, causent, chantent, balbutient remuant comme ils peuvent leurs langues qui deviendront en bois dans le triste réveiller.

      L'énergie dans le fêtards les oblige se déprendre de leurs manteaux qui ôtent comme qui en épluche une orange, mutant leurs couleurs sévères pour un harmonieux désaccordé d'autres, tout un arc-en-ciel embrouillé, au temps que se déprennent des odeurs de la sueur de fête, de femelle les qu'y sont. Les filles, les femmes prolongent leurs jambes faisant monter leurs jupes, celle-ci collées de leurs culs musclés, en haut, fines tailles inquiètes « inquiétantes » d'où se forme la coupe qui soutient leurs turgescents seins, leurs délicats cous, leurs visages, tout un poème aux yeux avides en complicité de leurs joues, de leurs bouches, encore d'un étrange sourire, encore en cul de poule…

       … et moi, en me laissant être, comme un Faust démodé, assis dans un coin, saisi comme un possédé à une bouteille de bordeaux. Attention : l'autre main, je l'avais tenant un verre.

vendredi 6 janvier 2012

FIDEL CASTRO PAR LA GRÂCE DE L'EMPIRE

    Il y a eu de toujours, rois, empereurs ou dictateurs, tout qui est du même par tout : Amérique, Afrique, Asie, Australie, par là où ils ont tardé à arriver, aussi comme en Europe dont ce métier a été très concurrentiel et où toujours restent par-ci par-là de ces types-là, que si bien ne font que de l’empiétement de ses mains l'en font subsidiairement en forme de rente foncière.
       Ces personnages, qui prônent leurs devises, sont ce qu'ils sont par la grâce de dieu ; qui les en graciant, disgrâce de sa grâce le reste de la population, qui n'en a fait que l'adorer parfois, ou rien vouloir savoir de lui. Mauvaise habitude de ces dieux d'en foutre les humbles, et ce qui est pire, ceux-là que ne veulent rien savoir d'eux.
     
       
    Il endommage que font ceux qui ont emporté ces dieux d'ailleurs ; les nôtres, les vrais, qui correspondraient aux Européens, se gracient et disgracient entre eux, et en tout cas sur des humains qui se leur rapprochent ; laissant aux autres de se soutenir à la marge. 
     
    Aujourd'hui le centre du pouvoir, où se place la nouvelle féodalité, soit, les différentes mafias, celui-là qui après d'avoir dansé partout, s’est assis dans le Nouveau Monde, dès où il accorde de sa grâce tout type de satrapes par ses zones d'influence (prétendument partout) et même sans le vouloir, évidemment, il a gracié, sans le vouloir celui-ci non plus, un gros révolutionnaire, en dictateur : Fidel Castro, à qui ne l'en est resté d'autre, à cause d'éviter que le peuple Cubaine, soit devenu la prostituée des oligarques mafieux dégénérés.
      De la taille intellectuelle de Fidel Castro (il faut le lire, il a beaucoup écrit) ne devrait douter personne de qualité intellectuelle, de leur qualité, rien à avoir de cella-là de ses ennemis artificiels, qui machinent contre lui, contre la révolution Cubaine, qu'est qui importe, comme fauves de chasse dépossédées de tout principe moral le plus élémentaire, aux intérêts des ennemis de l’humanité, n'oublions pas, les nôtres, les de tout un monde qui veut vivre en dignité.
        Je ne doute que le sport soit bon pour la santé du corps, celui qui soutient notre tête, mais il n'a pas raison d'être si nous laissons nos têtes en friche, ce qui est de nous mettre volontiers sous la guillotine.

jeudi 5 janvier 2012

ÉCRIRE

    Comment est-ce que ces satrapes captieux qui sont depuis la nuit des temps dans le pouvoir, souterrainement ; qui, en se servant de subterfuges, se sont implantés, sous dogmes fondés en folles rêveries si incongrues que sans fondement et imposées comme faits réels, dont la doute était puni du bûcher, aussi qu'autres tourments (qu’aujourd’hui n’utilisent pour délicatesse) dont il faut reconnaître, ils ont développé une grande technique dans toute leur diversité ?
    Les mêmes qui aujourd'hui « exigent » du respect à leurs institutions.
    Les mêmes qui menacent (ce qui est un art à eux) de ce que l'on se dit sur leurs sacrées institutions.
    Ce tout qui n'est qu'écran, ce qu'ils veulent n'est que leurs valeurs en bourse proportionnent des gros gains ; comment ils y viennent ? À coups de qui ? Ce n'importe pas. Cela fait du mal, du mal, auquel s'en tiennent les inquisiteurs, pas du mal qu'il est d'écrire.
          Écrire est un exercice, dont il faut jeter tout le poison qui a macéré dans le patron de la main qui l'en façonne. Écrire est une expression instinctive, sauvage ; non seulement le rythme des mots, ni moins un dicté. Écrire, c'est faire sortir l'écho de l'intérieur ; pas tirer un pet sur un coin pour vérifier s'il est supportable ou pas.

       Comparez-vous entre un aigle en vol et une poule pondeuse encagée dans sa place, un porc d'engrais et un renard dont vous n'avez vu que la pointe de sa gueule et celle-là de sa queue, tout d'un coup d’œil, avant qu'il disparaisse faisant sortir le susurre de la brindille… voilà : écrire et écrire.

mercredi 4 janvier 2012

LE DÉDALE DÉBORDANT

    Jour le jour, on nous est plus difficile nous en sortir de l'intérieur du Dédale où se cache ou où se protège, l'âme de chacun de nous, celui-là fabriqué par la conscience qui nous a imprégné et qui nous fait si différents des autres espèces animales.
    Cette conscience qu'en a fait ce labyrinthe-là de plus en plus compliqué, à cause d'avoir elle perdue son sens original, peut-être à raison d'avoir été depuis longtemps détournée pour les dogmes, autant religieux, que politiques intéressés (dans les dogmes religieux, ne remarquez pas l'intérêt, il y est implicite) ces dogmes, tout dogme, nous empêchent être librement respectueux, de nous-mêmes, de l’environnement où nous vivons, celui-ci qui n'est que l'origine de nous-mêmes, et lequel nous sommes en train d’épuiser à cause de notre surpopulation, dont elle partage le gaspillage débordant d'une petite partie de ses individus, et la misère pour le reste (polluante en sa proportion, même la misère débordante, pollue, elle aussi, et parmi nous tout déborde, et déborder-ci n'est pas une redondance). Sans oublier la promotion vers l’anéantissement où nous traînons avec nous de grande partie autres animaux compagnons de voyage.
 
     
    Tout cela qui a fait croître tellement la végétation qui bornée les accès à notre intérieur, faisant du Dédale un groupe serré.
     Je suis vraiment convaincu que le fait de nous avoir cru sages, nous sommes arrivés à faire complique le simple, d'où, nous n’avons seulement pas perdu notre essence animale sinon en plus l'essence acquise, humaine.

mardi 3 janvier 2012

PUTAIN CONSCIENCE

    Quand je me à penser l'heureux que sont les croyants, de ce qu'ils pensent qu'y iront à la fin de leurs vies, à côté de dieu, chacun à celui que lui correspond, je sens des remords de n'avoir du courage de ne pas pouvoir, pour les aider à attendre tout d'un coup (sur la tête, par exemple) la gloire recherchée… ma pourrie conscience d’athée ne me permet pas faire ça.
 
        
    Dommage que nous tous, gens sans foi, ne soyons pas faits de la même étoffe qu'ils sont faits.

lundi 2 janvier 2012

AMOUR AVEUGLE

    On peut se rendre amoureux, l'un de l'une, ou vice-verse, ou comme vous voulez, selon le plaisir de chaque. La question, que je prétends, est de différencier l'amour à l'aura, pour le dire de quelque façon, de l'amour au corps.
 
     
    Si l'on s’énamoure de corps d'une personne, ce qui marchera souvent très bien pour copuler, si l'on marche ; comme on sera, aussi souvent, décevante pour faire de l'amitié, déjà qu'il ne faudra pas remarquer que la copulation, ainsi il se peut insister en la répéter, jusqu'au corps supporte ou les pilules stimulantes ne s’épuisent pas, c'est quelque chose si bref.
     

     
    Donc, si l'amour sans amitié reste en copulation, il restera évidemment si bref, que celle-là. Alors que, dans le cas où cette attraction, une fois consommée, a servi de leurre à la connaissance, à l’amitié, on peut marcher, mais j'avise, cette relation toujours serait imprégnée d'une connotation physique, qui affaiblit potentiellement, l'affaiblissement des corps. 
 

     
    Toutefois, une relation amoureuse née de l’attirance à une personne. Comme elle est, le corps de la bien aimée, quoi que l'orthodoxie universelle de beauté ne soit pas une excellence en elle, pour l'affecté, elle sera la plus belle ; en autre, elle ne fanera jamais, en tout cas elle changera.
       L'amour est aveugle, le pauvre !

dimanche 1 janvier 2012

L'AMOUR À LA GUERRE

     L'épatant amour à la guerre, que quelques-uns le professent et à laquelle ils se tiennent, sous la seule condition qu'ils soient gagnants ; il se passe que, cette fureur, non utérine, appelons-le donc « patriotique », que y selon la circonstance que la guerre soit perdue, elle deviendra injuste, cruelle, haineuse, génocide, etc. C'est-à-dire rien de bon à aimer.
    Une guerre finie, les gagnants s'oublieront bientôt du coût humain, exception faite desquels, qu'en ayant perdu un proche, ne se sont laissés contenter avec une médaille en fer-blanc peinte à la purpurine et de vains honneurs ; l'or et les fanfares ainsi que les discours pompeux, sont réserves auxquels qui sans se battre sur le champ, ont en commandé dès les donjons chasse-peurs, les combattants.

        De la guerre il faut dire, que les vrais gagnants de n’importe quelle, même dans la même n'importe du côté qu'ils sympathisaient, ceux-ci parmi ceux-là qui n'ont non plus l'honneur de combattre, ni de l'en commander, si bien, ils ne seront que spectateurs (bien que d'honneur) du faste pyrrhique de la prétendue victoire, pourtant ceux-ci, autant du côté gagnant comme de l'autre perdant, ils obtiendront des gros bénéfices. Les affaires sont les affaires et ils ne se sont faits que pour gagner.