mercredi 7 mars 2012

SILENCE: VOILÀ LA RÉFLEXION

    Ni le bruit de la frivole musique, ni celui-là des supporters des différents partis politiques, n'en ont pas fait, ni ils ne feront jamais, inquiéter le pouvoir, patron de la misère social, sinon qu'en plus, celle-là brise les circuits cérébraux des masses, tandis que ceux-ci regroupés en bandes, plus ou moins compactes, lesquelles sont maniées par individus sans scrupules, qui poussent la populace y participante, assommée de chants de gloire, à gaspiller toute son énergie en affrontements entre ces différentes tendances qui se disent procurer un même but… ?

          Les choses tellement qu'elles y sont, dont le pouvoir, déguisé en structure politique, restera à sa place, pour soutenir l'ordre du désordre social, tirait-il, de toutes ses forces de son contexte l'anarchie (essence autant de l'ordre naturel) contraire à celui-là institutionnalisé, pour la faire adjective, homonyme de désordre.

                  Par contre, le bruit du silence, il ferait claquer les dents de toutes les branches du pouvoir. Imaginez-vous, seulement part un instant, une ville, par exemple, Paris, en silence absolu, les branches appartenant au pouvoir législatif, exécutif et judiciaire, aussi que les autres greffées dans le même tronc, telles que les curés, forces répressives, les individus qui ont le vrai pouvoir ; dès le jour même, dont le silence commence, au plus, en huit, la crispation ferait élaguer l'arbre de ces branches pourries, stériles dont l'adjectif se ferait nom commun.

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