DE TOUTES LES FAÇONS, IL FAUT GARDER LES PROPORTIONS

    Qu’une tique d’un chien (supposé) vous attaque, cela gêne !

    Pourtant, on ne doit pas s’en prendre avec son malheureux hôte, il ne pique pas, il souffre lui aussi les conséquences de ces parasites suceurs. Ce qu’il faut faire, après de chasser l’acare en question, c’est aider notre fier compagnon à se défaire desquels pullulent sur lui.

    Le chien bien sûr vous remerciera de tout cœur et tous contents.

CEUX-LÀ QUI NE SAVENT PAS RIRE

    Tout s’est venu cousinant, lentement, jusqu’à nos jours dont le plat mis sur la table présente nos anciens dieux en paranoïaque brouillon.

    Nos ancêtres avaient des dieux assortis dont ils pouvaient choisir, à leurs besoins, ou pourquoi pas à leurs caprices, mais Constantin, au sien, a monopolisé les divinités implantant une importée d’ailleurs, qu’il a nommé Dieux en chef. Maintenant, c’est la débâcle, la concurrence monopoliste y est arrivée ; donc, si l'on ne croit pas au nouveau dogme, on risque la tête. Pourtant, même en acceptant celui-là tenu par vraie, dont il a tellement de versions, que n’importe laquelle peu te le faire la perdre aussi.

    La débâcle est telle, qui ne se sauve ni les mécréants. Tous les pieux croyants veulent nous chasser, mais nos rires étoufferont leurs cris.

LA BELLE, LE CHIEN ET LES DÉSHÉRITÉS

    Une insipide soirée, en étant dans un coin d’un bar, je me suis mis à savourer le spectacle qui s’offrait : une fille caressant sans arrêt, tendrement, un chien.

    Le susdit chien, échauffé d’être lui le seul à recevoir des si délicats soins ; exultant ! il regardait de haut les déshérités de caresses. 

    Un autre déshérité par là se faisait servir, au rythme des caresses qu’il ne recevait pas, des verres de vin, mais la serveuse n’avait yeux que pour le chien. 

PARFOIS, LA CONNAISSANCE MÈNE PLUTÔT À LA MÉFIANCE QU'À LA SAGESSE

    On vit parmi un monde dont chacun est un défaut, qui se multiplie au fur et à mesure que la connaissance, en croissant, se diversifie.

    Le monde même, dont on vit, est défectueux : rien n’y est parfait.

    Donc, pour vivre le monde avec une certaine harmonie, il faudrait surfer chacun, doucement, les eaux orageuses lesquelles, façonnons-nous tous.    

MENS FLOUE IN CORPORE AMORPHE

    Désormais, les chouettes doivent chasser à plein jour ; la nuit est réservée à l’incontournable covid.

    Les ennemis actuels du peuple ont beaucoup appris des anciens nazis, ceux-ci qui, auxquels ils tenaient par virus, ou quelque chose comme ça, les faisaient mettre une étoile sur la poitrine (pas sur l’épaule évidemment) et desquels, lesquels ne brûlaient pas, ils étaient « libres » de se débrouiller par un peu partout quand même.

    Maintenant les ennemis de ces satrapes-là, ils nous ont fait, sommes tous : le peuple tout entier.

TYCHÉ FAIT JOUER LA CHANCE

    Dans ce monde où on vit actuellement, on y apercevra (au moins lesquels aient de la volonté de le faire) beaucoup de monde vivant dans l’apathie. De façon que ses captifs n’ont que d’envie autre qu’elle ne soit de rien faire.

  Un remède, sinon infaillible marche parfois, pour adoucir ce sordide état, c’est de jouer au « loto ». Donc, en pensant que si l’on touche la cagnotte, ce qu’on va faire avec le pognon ; on pensera quand même.   

    Les rêves commencent et redémarrent presque sans repos : espoir déchu, espoir renouvelé. Nonobstant, il faut comprendre Tyché, car en étant maintenant si nombreux les apathiques elle ne peut pas bien satisfaire tous.  

EFFROYABLES GYMKHANAS

     Les rues pleines d’obstacles semblent gymkhanas.

     Il y a des crottes de chien que leurs maîtres humains ne ramassent pas, ainsi que des humains-crotte. Petites celles-là et grandes ceux-ci qu’il faut esquiver pour ne pas se faire imprégner de la merde.

     Pourtant, malheureusement, la pestilence y reste.

MONOTHÉISME OU GLOBALISATION, BERCEAU DES DÉCÉRÉBRÉS

    Je vois notre culture en aller absolument de plus en plus à moins. Voire nos lointains ancêtres avaient dieux pour tout et s’ils n’y avaient assez, ils fabriquaient d’autres selon besoin.

    Ces peuples-là se moquaient les uns des autres par rapport à leurs déités respectives. Tradition que dans la civilisation gréco-latine et chrétienne s’est maintenue avec la création de nouveaux saints et saintes, ceux-ci qui ne sont que des déités d’antan mises à jour, dont la concurrence reste.

    Où je veux y arriver, c’est que la globalisation n’est pas une invention moderne ; tout a commencé, et voilà notre déclin, avec la création des religions exclusivement monothéistes.

LE REGARD DES SATRAPES

    S’il est vrai ce que les yeux sont le miroir de l’âme, j’y crois absolument.

    Donc, esquivez de regarder n’importe quel politicien (en usage) aux siens.

    Car, cela va vous faire étourdir, voire vous faire confondre et n’y rien trouver.

IL HABILLE LE MONDE... D'ELLE !

    En ayant un amoureux imprégné le bout de ses doigts ;

de son amoureuse.

    Comme une vague, il vague par le monde ;

le lui en imprégnant d’elle.

    Vu qu’en voyant lui, l’amoureux, le monde nu sans elle ;

il veut, d’elle, l’habiller.

LE JOUR QU'UNE GUÊPE INSOLENTE FIT GRANDIR MON NEZ

    Moi, je suis un si engagé écologiste ou quelque chose comme ça, jusqu’au dévouement ; voire : très respectueux envers la nature avec laquelle je ne me mêle jamais pour ne pas la gêner.

    Malgré mes soins à ne pas interférer, un jour, face chez moi, dans la maison d’un voisin où parmi d’autres il y a un rosier où poussait un bouton lequel attire mon attention. Dès ce jour-là, jour le jour, je lui rendais visite. Le bouton grandissait jusqu’à s’est ouvert. C’est donc qu’il laissa entrevoir quelque chose comme des lèvres, timidement roses, qui au fur et à mesure qu’ils s’épanouissent devenaient de plus en plus rouges.

    Le jour est arrivé ; la rose, rouge, avait pris toute sa splendeur. Moi, émerveillé, sans la toucher, je m’approche pour la sentir ; donc, y en sortant une abeille, celle-ci fit grandir mon pas gros appendice.

QUELQUE EXISTENCE OU INEXISTENCE M'A SOUFFLÉ À L'OREILLE

     Peut-être… !

 

    Peut-être que la vie n’est ni un doux rêve ni un cauchemar, ni même rien.

  … Peut-être !!!