samedi 30 novembre 2013

UNE INTRÉPIDE GEIGNARDE

    Madeleine est une femme laborieuse qui fait cumulard dans le rôle de pleurnicheuse (subjectivement en parlant, soit pour la réaffirmer en son prénom, bien que l'on puisse bien dire qu'elle est une geignarde invétérée) prenant elle, pour scène à le jouer, n'importe pas laquelle, de son jour le jour courir les magasins, d'y parmi ; travail, on se peut le dire comme ça, que les jours de marché dans le quartier parfois la surpassent.
 
   
Madeleine commence quotidiennement son travail de bonne matinée, d'un professionnalisme indéniable et même qu'elle n'en ait rien à acheter, elle se passe, en commençant par le kiosque à journaux, par tous les magasins du quartier se plaignant, avec une désinvolture, une maîtrise dans le métier qui personne qui l'écoute ne peut pas mettre en doute.
 
    
    Pourtant, il faut dire que pas toujours Madeleine a de la reconnaissance. Ce matin même (presque midi, il était sa dernière actuation) chez le boucher, homme si avide de vendre de la viande, du même que les chairs de ses clientes ; surtout lesquelles façonnaient le creux entre leurs poitrines ; il était un passionné amant de la spéléologie. C'est donc qu'en commençant Madeleine son actuation, se plaignait-elle du monté sans arrêt des prix, comme que la monte des salaires s'est arrêtée depuis longtemps… l'ogre interrompe la dame : mince et geignarde dama, et il n'est pas opportun de dire ce qu'il lui a dit, depuis de la regarder pas justement aux yeux.

vendredi 29 novembre 2013

HÉRITIER HÉMATOLOGIQUE DE LA BELLE ITALIE

    André Filippetti, parisien de race, sans laisser d'être héritier hématologique de la belle Italie, sang de celle-ci qui l'arrose, bien qu'au ne pas se réfrigérer du tout dans sa tête, ça fait de lui un impénitent dragueur, qui ne pardonne pas fille qu'y passe à l'atteint de ses phrases d'accroche.
 
    
    Affaires ceux-ci dont Filippetti n'avait jamais eu d’échecs, parce qu'il, selon lui, ne perdait pas le temps en comptabiliser des conneries ; mais comme dans le temps et l'espace où nous sommes, tout cela qu'en sort y arrive, Filippetti un jour a eu que comptabiliser son premier.
 
   
    L’échec, c'est-à-dire la belle, qui se lui avait collé dans la pupille, marchait si légère, hors de l'atteint de ses chuchotements, mielleux comme d'habitude, que pour qu'ils la touchent, il a dû faire tel que chien qui suit les effluves de sa prétendue. Malgré tout, le refus s'est consolidé.
 
   -André Filippetti ne se rend jamais ! S'est-il dit à soi-même, et d'un vil sournois sourire (baisant la lèvre du côté droite, au temps qu'il fait un coup de l’œil d'à son dessus) a-t-il se dit, à soi-même, cette fois en haute voix : lorsque j'arrive chez-moi, je ne saurais où tu seras, mais tu vas savoir qui est Filippetti.

mercredi 27 novembre 2013

LA BELLE DU MAILLOT À BAIN NOIR

    Son maillot à bain noir était tellement que s'il fût un pot à fleurs, duquel sortaient ses délicats blancs bras pourvus des mains en ivoire taillées, ses jambes parfaites, blanches, elles aussi, elle en allait toujours toute assortie, sa face la fleur.
 
   
    Elle était par là laissant entendre comme qu'elle ne sût pas qu'elle y fût ; interprétant avec ses mouvements la plus belle danse, lesquels menaient à ses tours les yeux badauds, soit tous, surpris de tante beauté.
 
   
    Beauté qui faisait tintinnabuler le mouvement des yeux, des corps paralysés de tant d'admirateurs, effet causé par d'autres pots à cactus, dont de l'un, rancunier, a sorti une main qui a fait glisser une savonnette sous les pieds de celle-là.

mardi 26 novembre 2013

ENTRE CONTACTER ET SE COGNER

    J'aime bien les chiens, plus même qu'aux femmes, pas pour autre chose qui ne soit pas dû, que j'ai eu depuis toujours plus de contact avec les quadruples à poils qu'avec ce type de bipèdes sans plumes, quelque chose, en autre, pas bizarre puisque tout le monde sait qu'il est le contact qui fait pousser l'amour, pourtant j'ignore en quelle proportion, mais supposant que j'aie connu plus déplumés mâles, ce qui a été plus qu'en ayant contact en me heurtant.
 

    C'est pour ça qu'il soit l'amour que je professe aux chiens, ce qui m'a fait réfléchir sur si ce que j'aime sont bien les chiens ou ces êtres métamorphosés comme tels, lesquels pris par une espèce de cordon ombilical, à ce qui se suppose leurs patrons se promènent tous les deux (parfois, quelques humains semblent le maître d'un harem) sans savoir qui promène à qui.
 
  
 Réflexion faite et considérant le que me reste, il n'est pas question de me mettre en profondeur, je ne suis pas en âge de nager, donc je ne vais pas maintenant me faire de nouvelles amitiés avec qui échanger attachement, même en sachant que les aboyeurs sont des humanisés. Il sera uniquement dans le fond, je ne sais pas si pour aboyeurs ou humanisés, j'aime aussi les déplumés tous, bien qu'y parmi mis à choisir, j'avoue mon absolue préférence, à me heurter avec eux, contacter avec elles.

lundi 25 novembre 2013

VOYAGER COMME IL FAUT

    Il y en a qui aime voyager en voiture, qui l'en faisant en train ou en avion, et même il y a quelques-uns démodés qui préfèrent le bateau, comme aussi des plus d'avant-garde qui préféreraient se faire emmener dans des navettes spatiales.
 
   
     Moi, pour voyager, je préfère absolument l'en faire mis au lit, ne m'important pas même y en aller tout seul ; toujours il y aura par là un oreiller auquel me serrer. Il sera bien sûr plus chaud qu'une ne pas intéresser qu'à elle-même.
 
   
    Dans le lit, d'abord on voyagera par où l'on veut, ensuite : quand on voudra et comme on voudra ; sans étiquettes sur les habits pour l'identifier, ce qui fera-t-on sembler aux bêtes de ferme ; sans berger impertinent qui fera-t-on y aller par où était auparavant programmé -à toute vitesse pour ne rien voir- ; sans besoin de se lever de bon matin, épuisé, parce que même que l'on se soit couché tôt, on sera trop fatigué ; sans attendre queues jusque pour pisser, sans supporter sourires ou mauvaises mines sans avoir rien fait pour y mériter et d'autres beautés comme celles-ci ; somme toute, que dans le lit, allongé ou accroupi, on voyagera à son plaisir, et en plus sans polluer, à ne pas être que l'on ait parmi ses plaisirs ce de se prononcer, parfois, en lâchant un pet. 

vendredi 22 novembre 2013

UNE MÉNAGÈRE RANCUNIÈRE

    Les Legoupil étaient déjà avant d'avoir tous les deux le même nom, très populaires dans le populaire quartier dont ils ont passé toute sa vie. Devenus voisins, y avec leurs fils, une sage fille et un pas moins sage fils, tous tenaient éblouies les yeux de tout le voisinage, lequel les tenait en modèle de bien-être, et pourquoi pas une certaine saine envie.
 
   
    Une soirée, monsieur Legoupil surprend « bruyamment » ses paroissiens « en tout l'ample sens du mot » chevauchant sur une grosse moto (cette fois il les avait éblouis, renforçant potence, avec le potent phare de la bête d'acier) celle-ci qu'il, chez ses potes, la présente comme la maîtresse avec qui, il a trompé sa femme l'en faisant croire qu'il avait payé par son amante trois ou quatre fois moins du réel.
 
   
    Madame Legoupil était aussi bonne et amante épouse que mère, économe ménagère, discrète au temps que gentille paroissienne y parmi d'autres qualités, mais pas pour maîtresse.  Pourtant, elle n'était aussi idiote comme pour se laisser tromper par un crétin présomptueux, qui pour se vanter à califourchon d'un truc mécanique, bouleverse-t-il le budget familial. La rancunière, qui ne va pas esquiver sa vengeance, mais sans charge aucune au budget quand même, faisant sa monture d'une machine de chair, qu'elle s'en est allée chercher par ailleurs.

jeudi 21 novembre 2013

CAPTIFS DE LA RÉFLEXION

    La neige tombe, ensevelissant le tout de blanc, tous aussi, qui s'en gardant entre des draps blancs ; abrités au-dessus des couleurs du monde, au-dessous l'en étant par l’absence de ceux-ci, de ceux-là des ténèbres.
 

  
Prisonniers
de l'hiver : il est le temps de l'attente ; on est dans le temps de réfléchir.
 

   
Le jour venu, dont la chaleur arrive, en faisant que la vie fleuri ; il faudra choisir entre émerger à la frivole existence, là où l'être sera inexistant, ou s'enfoncer dans l'inexistence du banal, où peut bien demeurer l'être existentiel.

mercredi 20 novembre 2013

ADSF. *Amoureux Domicilié Sans Femme

    Lionel était un homme gentil et généreux, qui s'en rendant follement amoureux d'une folle amoureuse, pour faire de la complaisance à la mystique, il s'était fait dissimuler de tous ces deux qualités-là, pour se faire déguiser d'arrogants radins.
 

    Lionel avait accueilli chez-lui un ami, un vrai, auquel les circonstances l'avaient laissé sans abri. Lionel était correspondu de l'amitié de ses amis, de la même façon qu'il offrait la sienne ; mais comme la vie menée par l'amoureux ne plaisait sa capricieuse amoureuse (amoureuse à lui, pas elle de lui), elle avait fait que le fou devînt idiot ; donc, s'est allé de chez-lui, chez-eux, ou pourquoi pas chez elle, son ami, aussi comme s'écarter de tous les autres, avec qu'il faisait vie auparavant. L'amant, puis d'avoir phagocyté au pauvre amoureux, lui donne en amis les siens. Le temps passe et avec, les ennuis, c'est ainsi qui est l'amour, jusqu'au jour qu'est arrivé, dont l'amoureuse, comme j'ai déjà dit, elle ne l'en était, s'envole chercher autre, je ne sais pas si coucou ou cocu.
 

    À partir de ce jour, le malheureux Lionel reste triste, sans les amis qui ne l'en ont jamais été, ni évidemment non plus auxquels l'en avaient été, jusqu'à son fier SDF qui, à ces temps-ci, s'est fait devenir DAAF* amoureux correspondu et ami de ses amis.
    *Domicilié Amoureux Avec Femme.

lundi 18 novembre 2013

STUPIDE MÉMOIRE

    C'est peut-être la stupidité ou quelque chose comme ça, qui ne nous laisse pas nous servir de la mémoire, puisque tout le monde sait, ne nous trompons pas, que si les politiciens sont, se battent, pour se tenir à la place dont ils ont fait métier, il n'est que pour s'en profiter.
 
   
    Pourtant, le monde qu'y reste sans avoir pris place-là, dès le fond de son ventre creux aspire, sinon à force de votes de lécher bottes, à changer son creux par celui d'un bon vivant, en faisant part de la bande dont ceux-là sont déjà conformes, puisque par action ou omission, tous presque, les légitimons à l'avis d'eux et de ce reste qui l'y prétend.
 
   
    L'abrutissement atteint par notre espèce animal, est-il arrivé à un tel degré, que personne ne se trompe pas non plus, les choses ne vont pas changer à mieux : à plus abruti qui devienne le monde, plus abrutis deviendront lesquels l'en manient.
    
    Malgré tout il aura toujours quelqu'un qu'autre qui aura le cerveau bon usage pour se conduire de ses pieds hors de la trémulante sans raison.

mercredi 13 novembre 2013

LE MARCHÉ DE LA MESQUINERIE

    Plus qu'à la faute d'autre chose à mieux faire, il a été la faute de quelques sous dans ses poches pour y aller rien faire dans n'importe quel bar, ce qui a fait aller Simon Œiltordu faire qu'il faisait des courses dans le marché de la Mesquinerie, par là où il a vu quelque chose pas étonnant par ces lieux comme :
 
    
    Des types bizarres, plus qu'hommes, mâles, qui s'en disant amants de la beauté, dont les uns laissaient s’exhibassent leurs belles amoureuses sous emballage de cellophane ; les autres qui gardaient les siennes, tel que les sardines à l'huile, hermétiquement fermés en boîtes. Il y avait aussi quelque chose comme androgynes, qui se faisaient passer par femmes, lesquelles élevaient leurs fils en mâles et leurs filles en femelles, s'en plaignant des maux du machisme. Toute cette faune-là qui s'en tenant tous par amants des plantes, arrachaient les sans-jambes de leurs habitats pour les faire leurs prisonnières, quand non les couper en vie pour les placer en pots ; aux animaux autres, auxquels leurs amants ne les coupaient pas les pieds. Pourtant, ils aimaient faire leurs captifs pour se réjouir de ce qu'ils prenaient en eux de sympa ou les punir cause de leur interprétation contraire. 
 
   
    Simon, ennuyeux du choix pris à ne rien faire, en voyant un récent, arrivé là, qui observait sa voiture qu'il vient de garer ; alarmée la pauvre, elle se faisait sonner à tout klaxon au temps qu'illuminait la fête avec ses clignotants, sans celui-là rien faire, Œiltordu profite l'occasion et lui vend toute l’imbécillité qu'il y avait en soi, donc il s'en va à un bar.

mardi 12 novembre 2013

CAPTIFS DE NOUS MÊMES

    N'importe qui d'entre tous nous ferme les yeux pour ne pas voir, rien l'empêchera qu'il soit vu par le reste ; personne est libre du regard des autres.
 
    
    Nous tous, le voulons ou pas, sommes captifs de la tribu humaine tout entière, dont il n'y d'autre libération que le partage inconditionnel de tout cela que nous sommes.
 
    
    Néanmoins, il faut faire plus libres aux combattants dépossédés de tout, le fait de faire pour être libres, qu'aux puissants tout le pouvoir qu'ils puissent accaparer. 

lundi 11 novembre 2013

UNE CERTAINE INCOHÉRENCE

    Pierre-Paul « l'homme » était quelqu’un qui depuis qu'il avait été Pierre-Paul, pas le petit, sinon l'enfant, puisque petit, il était resté cause de son propos fait à son court âge, celui-là qui n'était que d'être pieux ; entendant ce projet d'homme qu'être pieux était cela de vivre à genoux, quelque chose qu'il a mené sur lui, même jusqu'au projet d'homme a laissé de l'en être.
 
   
    Si bien il faut être, même un peu transigent en cela que chacun veut être ou faire, même si l'on veut vivre dans ou en la merde, autre chose est que tout auquel qu'y vivant, à son aise une fois le choix fait, on éclabousse auxquels ni sont là ni veulent l'être.
 
    
    Pourtant, Pierre-Paul pour que tout le monde fût pieux, il se fit l'impitoyable chef de l'impitoyable église « Genou sienne » dont ses dévots adeptes « les dressés » marchaient débout, au but de chasser tous auxquels l'en faisaient de la même manière pour faire les faire se mettre à genoux. C'est évident que dans les affaires liées à dieu sont quelque chose d'incohérente. 

vendredi 8 novembre 2013

FAMÉLIQUE LÉGION

    Depuis longtemps, si longtemps qu'il se remonte, disaient les experts dans la matière, au XII siècle environ, un ogre féroce qui mangeait jusqu'à ses propres enfants (tandis qu'ils étaient tous frais, il était un ogre féroce, pas un ogre charognard-) ce qui se racontait aux petits qui n'étaient les siens, auxquels on se prétendait, de cette pédagogique manière, mettre à l'ordre.
 
   
    Cet instructif conte qui s'est allé perdurant dans les temps, jusqu'à, les plus âgés parmi les aujourd'hui vivants, mais en tombant dans l'oublie entre les autres qui l'y sont, dont ceux-là qui sont dans les limbes de l'insouciance, lesquels ni ont de la peur ni la fabriquent, et, leurs descendants directs, ceux-ci ignorants absolus, des autant anciennes que belles histoires éducatives.
 
   
    Ces petits ignorants-ci, lesquels sont devenus eux des ogres, plutôt que féroces « in-émancipes », qui dévorent les esprits de leurs parents. Pourtant, au ne pas pouvoir faire autant de la plupart de leurs âgés qui ne soient quelques-uns de leurs grands-parents, de peu esprit, eux aussi, ces petits enfants, ogres enfantins, sans futur en tant que personnes, ils ne deviendront que famélique légion.

mercredi 6 novembre 2013

CES INNOCENTS QU'IL Y A PAR-LÀ

    Grâce à son monocle « Kepler » la science humaine, dans la branche astronomique, a pu repérer des milliards de planètes qui pourraient être potentiellement habitables. Au moment de faire sonner la nouvelle, elle a déjà détecté 3538 exoplanètes lesquels l'en sont, dont 833 confirmés. 
 
   
    De tante vie qu'il peut avoir par l’immensité de l'univers, pourquoi pas donc il ne peut pas par là, au contraire qui se passe par chez nous, avoir vie intelligente ? Habitantes de ces mondes, qui sachant de nous, viendront depuis longtemps observant notre manière d'agir ne pas uniquement avec tout cela qui nous entoure, sinon entre nous-mêmes.
 
    
    Pauvres ces habitants-là, n'importe tel qu'ils soient ; ce qu'ils seront fichus par la trouille seulement de penser que, quelque sorte de hasard puisse faire pousser notre opiniâtre esprit conquérant chez-eux. Là où ils resteront silencieux, sans faire parade de qu'y sont.

mardi 5 novembre 2013

UN MAILLON REBUTANT

    Gabriel Marie Angélique était comme son prénom dénonce, en insistant le délateur, un garçon rebutant, tellement l'en étaient ses parents, nées ceux-ci d'autres qui n’ont pas été moins rebutants, autant que de leurs descendants comme de ses ancêtres.
 
    
    C'est-a-dire, que Gabriel Marie Angélique n'était qu'un maillon plus d'une toute succession familial de rebutantes enchaînées, tel que des chaînes qui penchaient des chasses-de-eau anciennes qui couronnaient solennellement les trônes des règnes de l'intimité ; chaîne de laquelle, dans les bars, les gens, peut ou rien enclins à règne aucun, chassaient d'elle tel que si guillotinassent les malfaiteurs corrompus d'une société pourrie ; bien qu'il y ait parmi, je ne sais pas si cause du dégoût à la toucher, cause d'une pitié insoupçonnable, qui ne chassaient pas cette espèce-là de représentation de la saga familiale de Gabriel Marie Angélique.
 
    
    Il faut dire que les chasses-de-eau d'aujourd’hui, n'en ont rien à voir avec celles-là : suffit de pousser juste du doigt et voilà, ça marche ; je ne sais vraiment pas si c'est plus érotique ou plus technologique, mais il faut reconnaître qu'actuellement il y a moins garçons rebutants.

samedi 2 novembre 2013

DÉAMBULER PAR L'ESPACE

    Peut-être soit le désir véhément de la bête insatiable à conquérir qui niche en nous, ou pourquoi pas pour nous sauver, soit de nous-mêmes ou de nos congénères, ce qui nous conduit à en aller par l'espace sidéral en personne ; pour nous montrer en maîtres de l'univers tout entier, pour nous dérober de nous-mêmes, ou pour l'en faire des maîtres, que nous avons.
 

    Si l’intelligence que, probablement il y a, par ce tout ce néant-là, sût parler ; quelque chose qui la ferait moins intelligente de cela que l'on pût le supposer, compte tenu que les mots ne servent que pour faire courtes et ponctuelles vérités, et longues et soutenus mensonges ; alors qu'en supposant que la supposition laisse d'y être, celle-là dirait quelque chose comme : que prétendent-ils, des plus que brefs, insignifiantes exhalations de temps, mis en boîtes de conserve si loin du sien ? 
 

    Mieux sera pour tout lequel veuille se mettre à déambuler par là, où toujours, nous n'avons pas pu, ni serons, en autre, jamais capables de saler, qu'il met sa tête en friche, une fois allongé son corps sur le lit, ceci qu'il se peut bien faire sur l'herbe, mais à risque de se polluer ou de prendre du rhume. La vie peut-être soit une merde, mais nous n'avons pas d'autre chose, alors fait ça, sans se laisser endormir du tout, il ne faut que s'en laisser aller.

vendredi 1 novembre 2013

CAFÉ DÉCAFÉINÉ

    La nature a marché depuis toujours, sagement, pas à pas, si bien que fermes, simplement posés par sa propre complexité, sans rien l'agacer ; jusqu'à nous, nous dérobant de celle-là : en « êtres » nous dévots de l'« être » divin ; nous divisant en tribus à chacun chacune, l'en avons foutu.
 
    
    Dans la nature, par exemple, ce qui n'est pas quelque chose : les eaux, dont leurs excès qui tombent, sur un paysage n'importe quel, se font sources, lesquelles s'en rejoignant les unes les autres, façonnent des fleuves, plus gros à plus sources soient ; fleuves qui en iront verser leurs eaux dans l'immensité de la mer ; ce qui à elle n'est qu'une petite proportion de celles-là, que les siennes assimilent sans point être affectées. Alors que, s'il fût la mer qui montât les cours des fleuves, des sources, la mer ne pas uniquement détruirait les unes les autres, sinon qu'elle inonderait les terrains riverains, détruisant aussi le tout, pour s'y imposer.
 
    
    La grâce de la loi de la gravité a empêché que ça s'en était passé. Cependant, une autre gravité devient de nous, crétins dénaturalisés, autotenus nous par sages, chacun patron prétendu de la vérité, ce qui nous empêche d'assimiler que nous ne sommes que parti du tout, pas le tout.