ni dieu, ni roi, ni mondialisation; la voici une autre, qui sinon vieille, belle chanson
samedi 30 août 2014
MÉDIOCRITÉ ET MISÈRE
jeudi 28 août 2014
MONSIEUR DES AVERSES
mardi 26 août 2014
UNE MATINÉE EN FAISANT LES COURSES
-Évidemment. Après il a mal fini.
-Non.
vendredi 22 août 2014
PERMETTEZ-MOI DE RÊVER!
Il n'a pas eu besoin d'armes autres que la puissance de l'instruction et de la conscientisation ; assez pour que les personnes l'en soient. Attention aux curés tous, spéculateurs, politiciens de mauvais aloi, que pour beaucoup que vous priez à Saint Robespierre vierge et martyr, vous n'aurez pas possibilité de vous sauver.
UNE MAUVAISE COMPARAISON
samedi 16 août 2014
L'HISTOIRE ET LA MÉMOIRE HISTORIQUE
Du même que le romancier fait de ses personnages ce qu'il veut, il y est maître, les historiens "de papier couché" désirent faire autant de l'histoire, quand celle-ci est déjà œuvre accomplie, d'où que leur travail soit de fouiller dans le passé, pour l'en faire sortir à la lumière tel qu'il a été.
Pourtant, ces douteux historiens s'obstinent en faire notables tous auxquels ils se sentent avec, particulièrement chacun, attirés, n'importe qu'ils aient fait faire les plus atroces carnages. Voilà leur importance et s'en oubliant du peuple que tout à fait, les uns prêtant leurs bras à faire, les carnages, entre eux, les autres prêtant leurs têtes à faire possible la fabrication de petits trucs, à partir d'où s'est fait possible l'immense avance technologique, en vue de mieux vivre la société tout entière. Ce qui comme tout le noble l'ont avili ces notables-là (nobles, on les appelle à plus se réjouir du malheur de leurs victimes) l'en profitant pour amasser leurs fortunes.
Dommage, puisque l'ignorance de l'histoire, cela produit la faute de mémoire historique, celle-ci qui nous fait devenir quelque chose comme les mouches, lesquelles portent un penchant naturel et permanent à tomber dans n'importe quelle toile d'araignée*.
*Il n'importe qu'ils portent casque, car dans leurs têtes, il n'y a rien à sauver.
mercredi 13 août 2014
DU PAISIBLE DIALOGUE AU AGUERRI MONOLOGUE
mardi 12 août 2014
LA VIE, LA TORTUE, ET L'AMOUREUSE
lundi 11 août 2014
IL FAUT NE RIEN FAIRE
Quelquefois il faut ne rien faire. Mettre la tête en friche, de façon qu'elle n’envoie pas le minimum, stimule à faire agir du fonds et tréfonds des muscles qui nous font tenir, quelqu'un ose éveiller celui-là qui a choisi se reposer dans les limbes.
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Parfois, souvent, trop souvent, il ne faut pas s'efforcer à penser, rompant le recherché repos, en la non coupable mère de quelqu'un, qui l'en a fait faire, soit ou bien chevauchant sur deux roues aux muscles retentissants par la rue, ou bien un voisin mélo maniaque complexé du malsain bruit, qui se fait faire des réformes chez-lui, ou que chez-lui il a enfermé un chiot, ou quelqu’un autre qui donne un coup de fil, ce qui fait se demander auquel se sent blessé les oreilles, quel besoin il y a de téléphone pour se communiquer avec, même n'importe quel lointain lieu…
dimanche 10 août 2014
LOUER LA LIBERTÉ ET FAIRE ÉLOGE DE DIEU
Il n'a bien fini le poète de louer la Liberté qu'il emploie le temps, qui se présume est ce qu'il reste, en faire éloge de dieu.
Quelle manie celle-ci des mortels, qui n'en voulant pas avoir patron de leurs vies, cherchent-ils patron dans leurs au-delà.
Si dans la vie ne pensez-vous qu'à la mort, le patron qu'en vie durant, que vous n'aviez pas souhaité, l'y aviez eu du même, en celui-là à qui vous aviez garde pour vos trépas.
vendredi 8 août 2014
LA MYSTÉRIEUSE DAME DU CAMÉE
Un nouveau personnage s'est récemment ajouté à la faune qui pullule Montmartre, faisant « elle » de sa descente rue Abbesses tout un spectacle. Elle défile, et je dis bien, marchant tel qu'un légionnaire le 14 juillet par les Champs-Élysée. Ses muscles, parfaitement ordonnés, enveloppent sa parfaite structure osseuse, enveloppée elle de peau lisse. L'ensemble est voilé de vaporeux tissu, qui, grâce au vent et aux souffles des badauds, l'en font coller à son exubérance, par la voile dissimulée, la laissant deviner.
La robe, qui montait depuis les pieds jusqu'au cou, si bien pas la même au quotidien du même métrage, est pourvu de décolletage qui se prononce jusqu'au creux qui façonnent ses inquiets seins, au-dessus desquels repose un camée dont s'est fait tailler une effigie masculine, quel mystérieux homme a eu tel grand honneur de telle convoitée place, à lui seul réservé.
Comme l'envie ne froisse plus que la cupidité, celle-là a mené une commère de la belle, se passer un jour par où, celle-ci se faisait briller, dévoiler le mystère de la mystérieuse effigie que la mystérieuse dame faisait pencher de son cou. Le voilà, il s'agit du mari de la belle, vivant encore, mais pas chez elle, ce que l'on peut faire penser qu'elle est follement amoureuse de lui, mais non, elle le place là, où tous ses effluves recueillis par sa robe, au sortir par le creux d'entre ces bourreaux l'en fassent punir de non-pouvoir les toucher, ni sentir, ni les savourer… tordue femme, qui pour faire souffrir, souffre-t-elle, ou peut-être, souffre-t-elle sans faire souffrir.
mardi 5 août 2014
INSIPIDE QUIÉTUDE ... ETC.
Les humains devenus animaux d'engrais que l'on ne veut rien savoir du savoir ; qu'ils sachent lesquels ils croient savants : deux plus deux = à plus qu'ils en soient plus sages à ils les feront.
lundi 4 août 2014
DÉPLORABLES TEMPS POUR L'ÉMANCIPATION
Si la chose suit comme ça, il ferait faire venir à les déloger les CRS.
dimanche 3 août 2014
UN CADRE SI RÉEL QU'IMAGINAIRE
Août est arrivé, il est l'après-midi, fait chaud. Le jour est gris, une fille marche par un trottoir, sous des arbres qui ne font pas d'ombre, elle, même ne l'en fait pas peut-être qu'elle-même soit une ombre, aussi comme les arbres, des nuages que depuis là-haut dessinent ces arbres et la fille qui marche par le trottoir. Ce tout était encadré de hauts bâtiments qu'ombrent, ombrant lumière, ne laissant pas passer que les ombres des nuages, plus hautes que ces murs de béton.
Le peint imaginaire ou un spectateur confus ?
Ou est-ce qu'il est un miroir dont celui qui se regarde ne se voit pas, ou un mirage qui a fabriqué ma solitude, ou pourquoi pas je suis une ombre qui s'en est sorti du cadre, pour regarder la fille, le seul personnage qu'y figure, du dehors, avec laquelle j’aimerais me promener par ce paysage imaginaire, réel, d'un jour n'importe quel, à n'importe quelle heure de n'importe quel mois, n'importe qu'il soit un jour gris, dont elle fera ombre ?
vendredi 1 août 2014
LE MIEUX AMI DU CHIEN DE MON AMI
Mon ami avait un chien, pas trop gros, plutôt petit, auquel les sans esprit du quartier qui passaient devant chez-lui ils faisaient tout ce qu'ils savaient, et tout cela qu'ils n'en savaient l'inventaient, pour le taquiner, auxquels le chien de mon ami, plus pour intelligent que pour petit ne faisait pas attention ni d'eux ni de leurs conneries.
Tenant le chien de mon ami, dans les fêtes de la ville durant, d'hôte son mieux ami, les casse-pieds suivaient à pratiquer des gênantes manières. Un jour que le mieux ami de chien de mon ami, fâché, s'est mis prêt s'y affronter, ce que le chien qui ne voulait pas envenimer le séjour de son mieux ami l'avait empêché.
Un après-midi dont le petit chien de mon ami et son mieux ami siestaient, les infatigables casse-pieds qui ne voyaient, ni jamais avaient vu le mieux ami du chien de mon ami, en voyant tout seul le petit, l'un y parmi, avec acquiescement des autres, en prétendant d'un coup de pied le lui casser la couillonnade, les rires de tous eux ont fait se réveiller le mieux ami du chien de mon ami, qui était en train de faire autant que lui ; lequel était un énoooorme crocodile, qui fâché vraiment cette fois d'une mauvaise se réveiller, les mange les jambes, les mange les bras et ne les mange pas la couillonnade parce qu'ils ne l'en avaient, comme non plus la tête parce que n'y avait non plus rien à manger. Il, le mieux ami du chien de mon ami, les laisse le tronc pour que leurs estomacs souffrissent.