samedi 30 août 2014

MÉDIOCRITÉ ET MISÈRE

   De même que la médiocrité ne fabrique que marchants, de même les marchants fabriquent de la misère. La cause ?
 
   
    Il y a longtemps déjà, depuis que les habitants d'Europe ont délaissé ses dieux, soit leur philosophie : ce qui leur a fait perdre l'idiosyncrasie, qui était en consonance au terroir, adoptant des dieux étrangers qui n'ont rien à voir avec. Le respect s'est perdu entre nous, ne regardant chacun que son nombril, par où chacun se croit uni (je ne sais pas, si lui à dieu ou dieu à lui) à n'importe qu'elle soit de ces dieux, unique lui, absolutiste et toute-puissante, ne regardant pas, ni sa mère que ne soit que pour garder les apparences… 
 
   
    … pauvre Europe ! dont ces personnes sont soumises à tel ou à tel rance dieu, mâle, impitoyable, amant de l'adoration à soi, de cela qu'il ne délectait jusqu’à son arrivée chez nous que par de forniqueurs de chèvres.

jeudi 28 août 2014

MONSIEUR DES AVERSES

    Avez-vous la berlue ? Non ! puisque vous avez bien élu un président qu'il ne savait pas jouer son rôle dans « La République » et n'ayant pas trop d'animosité à l'en faire « roi » (peut-être il aime trop sa tête), il s'est entêté l'en faire de « monsieur des averses » ce qui fait troubler les citoyens à cause de son entêtement.
 
   
    Que les personnes tranquille-nerveuses du sud que n'étant trop habituées à la pluie, ce qui ne veut pas dire soient exemptes des larmes des cieux chez elles, ainsi comme celles-là, nerveuses tranquilles, du nord, plus habitués à leurs pleurs, ceux-ci les produisent délirant plaisir, par conséquent, autant les gens du nord s'en aller de temps en temps séjourner au sud pour donner de la chaleur à leurs têtes, comme celles-là du sud s'en aillent au nord les rafraîchir.
 
 
    Pourtant, vu que ce « monsieur des averses » s'en aille au nord, gratuitement se tremper, personne par là l'accorde de l'importance qui ne soit pas pour se moquer de lui, autre chose est quand il s'en va au sud, dont les natifs n'aiment pas se tremper, ni moins leurs visiteurs lesquels y vont tout justement chercher du soleil.
   Va-t’en lui disent les uns les autres depuis son for intérieur ; sinon casser, mouiller, les pieds ailleurs, par où souffrant de la sécheresse, que s'ils ne sont pas coupables de vous l'avoir élu, au moins qu'ils en profitent.

mardi 26 août 2014

UNE MATINÉE EN FAISANT LES COURSES

    -Je l'étripe ?
  -Oui, oui et coupelle la tête. Dit-elle en faisant le geste de sa main.
   -Se l'en ouvre ?
   -Eh oui et enlevez-le les yeux. Lui dit la même, qui est uniquement l'acheteuse, en ouvrant les siens d'une naturalité coutumière ; qui bien peut être d'assentiment, ou pourquoi pas une tournure coquette visant le poissonnier en vue de faire incliner la balance à sa faveur.
 
   
    Si bien la balance a donné le juste poids (la poissonnière était par là) la main dissimulée du poissonnier a glissé dans la bourse, une autre accomplie de crevettes ; l'acheteuse sourit l'attention et remercia le geste en faisant travailler ses cils. Conclue l'actuation, toute suite, il attend autre cliente pour commencer autre acte.
 
   -Ça va ? Commence-t-elle cette fois, à ce que l'amie démarre sans préambules ni pauses :
   -J'étais désireuse de te voir pour te raconter quelque chose stupéfiant !
   -Mais non !
   -Oui.
   -Tu sais ?
   -Non.
   -Écoute.
   -J'écoute.
   -Tu sais…
   -Ce de Marianne ?
   -Oui. Elle l'a arraché le cœur au pauvre.
   -Et les yeux… le laissant aveugle.
   -Mais cela a été d'avant.
   -Évidemment. Après il a mal fini.
   -Non.
   -Tu ne crois ?
   -Non
   -il s'est fait crever la tête
   -Pauvre.
   -Bon, pas pauvre du tout, il était, lui aussi. 

vendredi 22 août 2014

PERMETTEZ-MOI DE RÊVER!

   S'en faisant prier mes jambes pour me mener promener, moi, qui n'étant trop ami de faire suppliques, je me suis resté allongé sur le lit ; qui soit ma tête qui s'en aille par où à elle l'en fasse plaisir.


   Par le parcours du temps et de l’espace imaginaires par où elle m'a mené. Moi, apprenti de Robespierre, bientôt j'ai fait petit au maître ; à lui, à Lénine, à Malateste… à tous ensemble. La révolution sociale fut lancée.


   Il n'a pas eu besoin d'armes autres que la puissance de l'instruction et de la conscientisation ; assez pour que les personnes l'en soient. Attention aux curés tous, spéculateurs, politiciens de mauvais aloi, que pour beaucoup que vous priez à Saint Robespierre vierge et martyr, vous n'aurez pas possibilité de vous sauver.

UNE MAUVAISE COMPARAISON

    Des percepteurs de la route me font haut. Je me tiens pour foutu. Ils cherchent parmi mes papiers au ne pas avoir d'autres manières d'y faire, et dans je me croyais à sauf le voilà, ils trouvent. Devant tels personnages à qui à sa parole l'ont octroyé plus de valeur qu’à celle-là d'un juge, l'expérience m'a dit que mieux est d'avaler couleuvres.
 
 
   Un peu plus avant, sur la même route, je me suis arrêté de vomir les reptiles. Là, face moi, je vois dans une parcelle un homme labourant à une charrue pris, poussée par un âne. La force de la mauvaise habitude me fait confondre son image avec celle-là des percepteurs.
 
     
 
   L'âne poussait la charrue, et chaque-fois qu'il arrivait au bout de chaque sillon, il se hâtait de plus en plus, aussi que sillon à sillon qu'il faisait, il voulait bien sûr abattre la besogne, et peut-être duquel l'en avait mis, qui étant incapable d'arrêter son impétuosité avait fini, fini la besogne absolument épuisée…
   … l'âne semblait rire, et moi réveillé des mirages fabriqués par l'ignorance, je me suis aperçu que l'intelligence n'est pas une prérogative uniquement humaine.

samedi 16 août 2014

L'HISTOIRE ET LA MÉMOIRE HISTORIQUE

   Du même que le romancier fait de ses personnages ce qu'il veut, il y est maître, les historiens "de papier couché" désirent faire autant de l'histoire, quand celle-ci est déjà œuvre accomplie, d'où que leur travail soit de fouiller dans le passé, pour l'en faire sortir à la lumière tel qu'il a été.

    Pourtant, ces douteux historiens s'obstinent en faire notables tous auxquels ils se sentent avec, particulièrement chacun, attirés, n'importe qu'ils aient fait faire les plus atroces carnages. Voilà leur importance et s'en oubliant du peuple que tout à fait, les uns prêtant leurs bras à faire, les carnages, entre eux, les autres prêtant leurs têtes à faire possible la fabrication de petits trucs, à partir d'où s'est fait possible l'immense avance technologique, en vue de mieux vivre la société tout entière. Ce qui comme tout le noble l'ont avili ces notables-là (nobles, on les appelle à plus se réjouir du malheur de leurs victimes) l'en profitant pour amasser leurs fortunes.

   Dommage, puisque l'ignorance de l'histoire, cela produit la faute de mémoire historique, celle-ci qui nous fait devenir quelque chose comme les mouches, lesquelles portent un penchant naturel et permanent à tomber dans n'importe quelle toile d'araignée*.

  

    *Il n'importe qu'ils portent casque, car dans leurs têtes, il n'y a rien à sauver.

mercredi 13 août 2014

DU PAISIBLE DIALOGUE AU AGUERRI MONOLOGUE

   Ce matin je me suis trouvé un ami dans un bar, évidemment, dont il faisait part du comptoir. Il tenait un verre de lacté pastis, tellement lacté que le lait d'antan. Au ça va habituel, il répond d'un Eh ! Auquel comme pour s'aider à la dire, hoche-t-il la tête approchant le menton à l'épaule droite (lui tout un gauchiste !) ce qui se peut bien interpréter comme un comme ci comme ça. 
 
 
   Mon ami ne faisait trop marauder, le verre qu'il tenait pour les alentours de sa bouche, bien sûr pour ne pas la punir ; elle n'était pas coupable des malheurs qui l’affligeaient. Au prochain pot je l'accompagne (et à autres) dont je crois fut au troisième (en compagnie tous les deux) quand il, en prenant la parole, rompt le dialogue de sourds, dont nous étions immergés.
 
 
   Dialogue rompu, il se fait du monologue :
   -Tout lequel n'a pas subi les malheurs de l'amour, il n'est qu'un rôti lequel ne s'est pas mis encore au feu ; la croûte de la blessure de l'amour fait aguerrir l'homme face la vie.
   Moi, canaille, en voyant que la belle serveuse était en train de nous observer, je romps le monologue, me faisant un « faux » féministe, je tire : et aux femmes.
   -Les femmes ; Démarre furieux le monologuiste. Les femmes ne se rendent jamais amoureuses, elles évaluent.
   Je n'interromps plus son monologue, il était vraiment fâché…

mardi 12 août 2014

LA VIE, LA TORTUE, ET L'AMOUREUSE

    La vie, la nôtre, est tellement celle-là d'une tortue marine, celle-ci qui à moyenne va grandissant, s'en va fabriquant une de plus en plus dure carapace externe* pour protéger son faible intérieur. *Sinon ne serait pas carapace. 
 
   
    Elle, la vie comme la tortue, marine, si lente sur terre, que si rapide dans l'eau, selon, la courante, la courante. Une dernière annotation : la tortue de pour soi nage assez vite, pourtant il me fait presque indispensable de prendre une petite licence.
 
   
    Elle est comme l'amoureuse de laquelle on ne se sait jamais déprendre. Il faut l'aimer, il n'y a pas autre chose. Cependant, je ne fais pas annotation dans ce paraphe parce que j'ai dit que j'ai déjà fait le dernier. Néanmoins, on se suppose que « elle » est la vie, la tortue et l'amoureuse.

lundi 11 août 2014

IL FAUT NE RIEN FAIRE

    Quelquefois il faut ne rien faire. Mettre la tête en friche, de façon qu'elle n’envoie pas le minimum, stimule à faire agir du fonds et tréfonds des muscles qui nous font tenir, quelqu'un ose éveiller celui-là qui a choisi se reposer dans les limbes.

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   Parfois, souvent, trop souvent, il ne faut pas s'efforcer à penser, rompant le recherché repos, en la non coupable mère de quelqu'un, qui l'en a fait faire, soit ou bien chevauchant sur deux roues aux muscles retentissants par la rue, ou bien un voisin mélo maniaque complexé du malsain bruit, qui se fait faire des réformes chez-lui, ou que chez-lui il a enfermé un chiot, ou quelqu’un autre qui donne un coup de fil, ce qui fait se demander auquel se sent blessé les oreilles, quel besoin il y a de téléphone pour se communiquer avec, même n'importe quel lointain lieu…

dimanche 10 août 2014

LOUER LA LIBERTÉ ET FAIRE ÉLOGE DE DIEU

    Il n'a bien fini le poète de louer la Liberté qu'il emploie le temps, qui se présume est ce qu'il reste, en faire éloge de dieu.

   Quelle manie celle-ci des mortels, qui n'en voulant pas avoir patron de leurs vies, cherchent-ils patron dans leurs au-delà.

   Si dans la vie ne pensez-vous qu'à la mort, le patron qu'en vie durant, que vous n'aviez pas souhaité, l'y aviez eu du même, en celui-là à qui vous aviez garde pour vos trépas.

vendredi 8 août 2014

LA MYSTÉRIEUSE DAME DU CAMÉE

    Un nouveau personnage s'est récemment ajouté à la faune qui pullule Montmartre, faisant « elle » de sa descente rue Abbesses tout un spectacle. Elle défile, et je dis bien, marchant tel qu'un légionnaire le 14 juillet par les Champs-Élysée. Ses muscles, parfaitement ordonnés, enveloppent sa parfaite structure osseuse, enveloppée elle de peau lisse. L'ensemble est voilé de vaporeux tissu, qui, grâce au vent et aux souffles des badauds, l'en font coller à son exubérance, par la voile dissimulée, la laissant deviner.

   La robe, qui montait depuis les pieds jusqu'au cou, si bien pas la même au quotidien du même métrage, est pourvu de décolletage qui se prononce jusqu'au creux qui façonnent ses inquiets seins, au-dessus desquels repose un camée dont s'est fait tailler une effigie masculine, quel mystérieux homme a eu tel grand honneur de telle convoitée place, à lui seul réservé.

    Comme l'envie ne froisse plus que la cupidité, celle-là a mené une commère de la belle, se passer un jour par où, celle-ci se faisait briller, dévoiler le mystère de la mystérieuse effigie que la mystérieuse dame faisait pencher de son cou. Le voilà, il s'agit du mari de la belle, vivant encore, mais pas chez elle, ce que l'on peut faire penser qu'elle est follement amoureuse de lui, mais non, elle le place là, où tous ses effluves recueillis par sa robe, au sortir par le creux d'entre ces bourreaux l'en fassent punir de non-pouvoir les toucher, ni sentir, ni les savourer… tordue femme, qui pour faire souffrir, souffre-t-elle, ou peut-être, souffre-t-elle sans faire souffrir.

mardi 5 août 2014

INSIPIDE QUIÉTUDE ... ETC.

   Insipide quiétude,
   un jour sans vent,
   un corps sans esprit.
 

    Les humains devenus animaux d'engrais que l'on ne veut rien savoir du savoir ; qu'ils sachent lesquels ils croient savants : deux plus deux = à plus qu'ils en soient plus sages à ils les feront.
   Vie sans attrait.
   Vie mourante.
   Vie sans gris.
 
   
     Vivants, nous survivons, survivants qui chassent les vivants tous ; nous, les humains qui ni aimons la vie, ni nous nous aimons nous-mêmes, ni ne nous aimons entre nous.
   La médiocrité : la grandeur !
   L'apathie : la grosseur !
   L'égoïsme : l’insociabilité. 
 

    Nous tous, les mourants, les vivants, avons de la peur à l'inconnu, pas par inconnu, sinon par ne pas savoir comme le tenir, à nous… quelle manie celle-là de l'ignorance de tout le dominer.

lundi 4 août 2014

DÉPLORABLES TEMPS POUR L'ÉMANCIPATION

   Il ne fait pas trop de temps, je me souviens plutôt que pour être vieux, pour la proximité, l'aspiration, parmi d'autres, des jeunes gens, le plus apprécié était l’indépendance des siens par moyen de l'émancipation, même que parfois celle-ci fût dépendante de ceux-là dont on voulait se faire indépendant.
 
   
    La chose était si imprégnée dans la jeunesse de l'époque, que lesquels attendaient de naître, de se presser pour l'en faire, l'affaire a fait que les prématurés de sept moins faisaient la règle, et, jusqu'aux tardifs qu'en font huit, la vitesse atteinte par ce monde-là pour atteint l’indépendance fut griffée de l'époque.
 
   
    Pourtant, dans les temps que coulent, j'observe, la jeunesse ne veut rien savoir de l’indépendance, ni d'eux, ni des événements historiques, soit que, peut-être, quelques indiscrets en tenant l'oreille prête, les regarde du coin de l’œil avec un sourire sournois. Ce négationnisme à la liberté personnelle, qui est imprégné, lui aussi, aux nés actuels, à cause duquel s'écoute de plus en plus, chez beaucoup de futures heureuses mères, qui laissent d'être toutes les heureuses qu'elles voudraient, due à la désespérée attendre de que leurs futurs sortent à la lumière, auxquels il faut, les plus forcés à les faire y sortir.
   Si la chose suit comme ça, il ferait faire venir à les déloger les CRS.

dimanche 3 août 2014

UN CADRE SI RÉEL QU'IMAGINAIRE

    Août est arrivé, il est l'après-midi, fait chaud. Le jour est gris, une fille marche par un trottoir, sous des arbres qui ne font pas d'ombre, elle, même ne l'en fait pas peut-être qu'elle-même soit une ombre, aussi comme les arbres, des nuages que depuis là-haut dessinent ces arbres et la fille qui marche par le trottoir. Ce tout était encadré de hauts bâtiments qu'ombrent, ombrant lumière, ne laissant pas passer que les ombres des nuages, plus hautes que ces murs de béton.

   Un quidam par là regarde, qu'est-ce que je suis par rapport à ce tableau ?

   Le peint imaginaire  ou un spectateur confus ?

   Ou est-ce qu'il est un miroir dont celui qui se regarde ne se voit pas, ou un mirage qui a fabriqué ma solitude, ou pourquoi pas je suis une ombre qui s'en est sorti du cadre, pour regarder la fille, le seul personnage qu'y figure, du dehors, avec laquelle j’aimerais me promener par ce paysage imaginaire, réel, d'un jour n'importe quel, à n'importe quelle heure de n'importe quel mois, n'importe qu'il soit un jour gris, dont elle fera ombre ?

vendredi 1 août 2014

LE MIEUX AMI DU CHIEN DE MON AMI

    Mon ami avait un chien, pas trop gros, plutôt petit, auquel les sans esprit du quartier qui passaient devant chez-lui ils faisaient tout ce qu'ils savaient, et tout cela qu'ils n'en savaient l'inventaient, pour le taquiner, auxquels le chien de mon ami, plus pour intelligent que pour petit ne faisait pas attention ni d'eux ni de leurs conneries.

   Tenant le chien de mon ami, dans les fêtes de la ville durant, d'hôte son mieux ami, les casse-pieds suivaient à pratiquer des gênantes manières. Un jour que le mieux ami de chien de mon ami, fâché, s'est mis prêt s'y affronter, ce que le chien qui ne voulait pas envenimer le séjour de son mieux ami l'avait empêché.

   Un après-midi dont le petit chien de mon ami et son mieux ami siestaient, les infatigables casse-pieds qui ne voyaient, ni jamais avaient vu le mieux ami du chien de mon ami, en voyant tout seul le petit, l'un y parmi, avec acquiescement des autres, en prétendant d'un coup de pied le lui casser la couillonnade, les rires de tous eux ont fait se réveiller le mieux ami du chien de mon ami, qui était en train de faire autant que lui ; lequel était un énoooorme crocodile, qui fâché vraiment cette fois d'une mauvaise se réveiller, les mange les jambes, les mange les bras et ne les mange pas la couillonnade parce qu'ils ne l'en avaient, comme non plus la tête parce que n'y avait non plus rien à manger. Il, le mieux ami du chien de mon ami, les laisse le tronc pour que leurs estomacs souffrissent.