vendredi 31 juillet 2015

DIALOGUE ENTRE DEUX PROVERBES

    Il se laisse voir que chez nous quand il y a pour tous, tout le monde fait danser la pourvoyeuse, jusqu'à non, d'où l'on peut tirer cela de que : quand le chat n'est pas là, les souris dansent.


   -Toc ! Toc ! quelqu’un qui frappe la porte
   -Je ne suis pas là  -trouve-t-il pour réponse
   -Allez  Ouvre. Et, la même chanson.
   -Je t'ai dit —je n'y suis pas
   -Voyons... Ouvre, Je t'en prie.
   -Va-t'en —arrête de frapper, je n'y suis plus.


   Pourtant, loin de chez nous, là par le Ngorongoro les riverains disent : quand les braconniers ne sont par ici, les hippopotames, il n'est qu'ils dansent, mais entre eux, il y en a qui promène heureuse ses augustes chairs.

jeudi 30 juillet 2015

ET DIEU A FAIT DU BÂCLAGE

    Selon les chrétiens, que c'est cela qu'aux européens nous concerne, le dieu qu'ils ont créé, a créé lui l'homme à son image et à sa ressemblance.
 
   
    En conséquence, je préfère penser plutôt qu'il est un parfait imbécile et compte tenu la manie des paroissiens de monothéiser, qu'en se trouvant lui tout seul, les cuites que le pauvre devait prendre bien sûr étaient symphoniques, qu'en voulant se faire accompagner de quelque chose solide, il a fait le bâclage résultant.
 
  
    Chose pareille qui n'a jamais passé chez nos anciens dieux, qui se mélangeaient, sans rugir qui n'en fût à cause du vin, avec les hommes qu'il avait par là…
   Quel exemple de démocratie !

dimanche 26 juillet 2015

UNE QUESTION D'IMPRÉGNATION

     Si n'importe qui se rend dans n'importe quel peuple qui n'est pas le sien, il sera un étranger s'il n'est pas un invité ; soit l'un, soit l'autre, il devra s'habituer aux habitudes des gens du lieu.
 

  
Habitudes qui ne sont pas d'imposition au visiteur ; elles sont tout simplement une idiosyncrasie de laquelle ce peuple est imprégné ; desquelles en autre, au cas où il arriverait à se laisser imprégner sera un autre y parmi
 

  
Le visiteur doit donc faire ce que tous font, là où il séjourne, et ne pas faire pour imposer lui ses manières emportées d'ailleurs avec, car sinon serait-il en tant envahisseur celui-là qui imposera.

vendredi 24 juillet 2015

CONTRE QUELQUES-UNS IL FAUT S'ARMER ... DE PATIENCE!

    Le maître n'avait déplacé ni le premier pion encore que le château de cartes, avec lesquelles le tricheur le voulait bluffer, tombe de l'éternuement nerveux de celui-ci.
 
   
    Le maître donc, pour tranquilliser son concurrent, le donne la main, à jouer avec ça qu'il reste debout sur table ; ce qu'en autre était le convenu.
 
   
    Le concurrent, personne d'intelligence limitée (pour l'en supposer quelqu'une) fait armer ses pièces, pour qu'elles attaquent celles-là du maître, qui soupire, le pauvre, marmottant : sont comme enfants, enfants bien entendu abroutis et ignorants, ce qui les fait dangereux… mais qu'est-ce que se l'en va faire ?

jeudi 23 juillet 2015

LE POILU ET LE DÉPLUMÉ

    Il était une fois un bipède poilu et un autre sans plumes ; voir que la poule pour attaquer l'ours, au le faire encercler d'une grille, soit qu'il se fâche, s'encercle-t-elle.
 
   
    Quand la chétive déplumée tient pour sûr qu'elle est à l'abri, depuis derrière les barreaux profère tout type d'insultes, dont des menaces sur le puisant poilu.
 
   
    Le poilu, qui était, lui aussi, sûr, mais de soi-même, allongé sur l'herbe fraîche à l'ombre d'un arbre, s’amuse bien du spectacle que le déplumé, mis dans sa cage, l'offre.

mardi 21 juillet 2015

LE COQ NE SERT QU'À FORNIQUER ... ?

    Une fois, en étant moi, dialoguant avec un verre de vin, rouge comme moi, sans faire du mal à personne, une vieille amie poussé d'un fort vent, fort et rancunier tout juste, il y en arrive et tire : le nouveau-né, avant de l'en être, a été attaché, du cordon ombilical duquel suce de sa mère durant sa formation.
 

  
Elle respire. Et, sans attendre, réponse poursuit : tout juste le parasite (c'est « il » pas « elle ») sort à la lumière.  doc, le temps qui le reste, restera-t-il attaché à la terre qui, après de marger d'elle, elle fera un sort de lui, tel que s'il fût une omelette sur l'assiette d'un famélique… tout dit, ma vieille amie s'en va. 
 

  
Je crois plutôt que pour me remettre sur le vieux dilemme de qui a été d'abord l’œuf ou la poule. Cependant, elle met en cause, pas à moi sinon les hommes tous, en faisant remarquer que si bien, nous avons des œufs, il n'a pas été pour les avoir déposés,
nous, et que servent uniquement ne soit pour forniquer.

samedi 18 juillet 2015

L'ERMITE DEVENU IMPUR

    L'ermite sort de son antre avant que les rues soient mises, puisque tout juste après elles seront remplies de voluptuosités invitant au péché, dont personne ne pourra, ni la plus immaculée, l'en repousser, mais un jour, l'été coulant, la matinée s'est soudainement réveillée, donc, au fur et à mesure que celle-ci s'ôte des habits de la nuit, elle impose la nudité à l’ermite aussi.
 
   
    Parmi la lumière qui, se façonne progressivement et d'apparaître le péché, mis celui-ci dans un survêtement dont il se laisse deviner une belle structure aux rotondités vénusiennes, dont les fermes muscles au s'affirmer à chaque pas, fait que ce qui y regorge tremble tellement un flan sur une assiette depuis que celle-ci, on l'a mis sur table.
 

    C'est évident qui n'aurait de pécheur que s'il n’eût pécheresse que l'invitât à pécher… quoi qu'il en soit, « vivat le péché ! »

jeudi 16 juillet 2015

LE GRISBI N'A PAS COULEUR

    Le grisbi est une peste autant pour lesquels qui ne l'en ont comme pour lesquels qui l'accaparent. 
 
 
    Aux uns parce que sa faute les empêche de penser autre chose, aux autres puisque l'excès les empêche de l'en faire.
 
   
    Pauvres de nous qui doués pour apercevoir tant de couleurs et ne voyons qu'en noir et blanc.

mercredi 15 juillet 2015

IL FAUT FAIRE ATTENTION À QUEL BAL ON Y VA

    Quand un vivant se fait pourrir par les cadavres qui l'entourent, il devient irrémédiablement un zombi.
 

 
  Est-ce que notre monde est devenu lui, à force de s'abandonner dans la danse macabre des cadavres à leurs bras, un monde de zombis ?
 

 
   Quand on ne voit plus que pourriture part tout, on ne tient qu'à se sentir un autre y parmi…

mardi 14 juillet 2015

LE CINÉMA UN TUEUR SANS MEURTRES

   Le cinéma est un tueur impitoyable, dont aux victimes, il fait auparavant les faire passer, le plus souvent, par tout type de calamités ; et je dis souvent parce que parfois il est fort résolu : un tir entre cil et cil, et le souffrant n'est qu'une figure qui tombe aussi longue qu'elle en est.
 
   
    Dans le cinéma, les naissances par rapport aux meurtres sont presque inexistantes, même compte tenu que les fornications sont autant abondantes que les pertes. Et, même à nouveau compte tenu cette fois que chaque acteur peut représenter plusieurs morts, circonstance qui évite que l’humanité soit irréversiblement anéantie, puisqu'à celles-là on n'aurait qu'ajouter le défaut de naissances.
 
 
    Somme toute, le cinéma n'est qu'une traduction de la vie-même, la nôtre bien entendu, dont par contre il y a bien plus de naissances que rapports vraiment amoureux. Pourtant, si bien nous, nous anéantissons, en la vie réelle, l'en faisons lentement, savourant de notre savoir-faire.

samedi 11 juillet 2015

MÉDIOCRITÉ, RACHITISME INTELLECTUEL, ET MESQUINERIE

     La médiocrité crée une atmosphère qu'à tous ceux qui la respirent les feront être touchés d'un tel rachitisme intellectuel, lequel fera à son tour des infectés des souffrants irréversibles de la mesquinerie.
 

  
Pour le mesquin la société n'est que lui, c'est pourquoi il parasite soit dans le professionnalisme politique, soit dans les alentours de celui-ci, dont il joue les coudes : voilà l'homme-dieu ; pauvre dieu à quel niveau on le met.
 

  
Je me demande moi-même (non parce que je me crois dieu, sinon parce que je suis tout seul) si les animaux autres (exception faite desquels se laissent sodomiser par l'homme-dieu, auxquels en autre, on les tient par les plus intelligents) ne sont pas atteints de cette pathologie, il ne sera donc que nous l'y sommes à cause de notre maniaque effort en faire dissimuler notre animalité ?

mercredi 8 juillet 2015

LE TEMPS, OXYDANT INCONTOURNABLE

    En prétendant s'éterniser à l'homme ne l'est resté d'autre qu'éterniser sa mémoire, en se faisant garder ses os dans des murs de pierre, son nom gravé à l'extérieur pour que le monde sache qu'il est là. 
 
   
    Souvenir prisonnier qui ne touchera grandeur que la grandeur que lui donnent les murs que l'emprisonnent.
 
   
    Auquel le temps, oxydant incontournable, y fera, comme a déjà fait sur les hommes tous de triste mémoire, sur les pierres lesquelles les gardent celle-là ; après d'avoir effacé d'elles leur nom.

lundi 6 juillet 2015

LE RENARD ET LE POUSSIN ... ET LA POULE

    En se trouvant un renard avec un poussin, et en voyant le grand le maigre profit que les chairs du petit l'offraient, il a opté pour profiter de l'amitié qui pouvait partager avec.
 
   
    Le temps s'est passé depuis ce jour-là, dont l'amitié entre renard et poussin était né, durant lequel en autre ce dernier s'était devenu une jolie poule.
 
   
    À ces jours-ci le poids de la poule l'avait fait désirable à n'importe quel renard, mais non à son ami puisqu’à celui-ci l'était bien plus considérable le poids de l'amitié.

dimanche 5 juillet 2015

UN CONTE PAS DU TOUT JOLI

    Dans un bucolique paysage montagneux entre pente et pente reposait un replat. La descente là-bas l'habillait un pré, orné de marguerites, jusqu'à là-bas où passait un ruisseau sombré d'arbres dont il allait se rafraîchir. Dans ce replat-là, tellement qu'elle fût un cerisier en fleur, poussait une ferme, dont une de ses branches faisait de poulailler, celui-ci qui touchait le susdit pré.
 
   
    Le poulailler dont la poule Dorothée cuvait une douzaine de futurs prétendument autant qu'elle. En commençant les œufs éclore, à l'habitant d'un y parmi l'impatience pour voir le jour l'a renversé du nid. Et, roulant d'abord par le poulailler s'est vu à la suite rouler par le pré, parmi les marguerites, jusqu'à qu'il se fut arrêté au bord du ruisseau. Par là était un renard, entre les arbres, aux aguets, regardant comme le poussin se débarrassait de la coquille. Fait, le poussin se trouve tristement seul, tel qu'y va rester le renard, puis l'ange gardien du petit plumé le monte dans un nuage dont il le mène sous les ailes de sa mère.
   
     Il serait un beau final de conte si ce n'était que la vie n'est pas comme ça. L'ange gardien n'était que le fermier qui en voyant le poussin perdu le renvoie chez la poule pour qu'il devienne une autre, de laquelle il mangera ses œufs aussi que le bouillon qu'il fera de la pondeuse quand laisse de l'en être ...  et même le bienfaiteur en profitera de sa chair pour faire des croquettes.

vendredi 3 juillet 2015

RÉSONANCE DE CORPS ET D'ESPRIT

    En étant moi dans la salle d’attente radiologie où je suis allé me faire une résonance ; le temps d'attendre m'a fait réfléchir, dont j'ai tiré que celle-ci n'a rien à voir avec celle-là d'oncologie où des belles stylisées vont corroborer si elles vont grossir ou non.
 
   
Dans la première des salles ci-dessus, les causeries sont tellement détendues que tout le monde approfondit dans leurs intériorités les uns les autres.
 

    Pourtant, moi au moins, plus qu'approfondir, je préférerais causer, mieux caresser les tendues superficialités des « attendeuses » de la seconde salle.

mercredi 1 juillet 2015

RIXE ENTRE LE BRUIT ET LE SILENCE

    Le bruit et le silence se battent entre eux, chacun pour faire plaisir à son amante.
 

  
Si bien le bruit est le cri de la colère, du désespoir… de la vie somme toute…
 

  
Le silence n'est que l'espoir de ne pas être pour être ; le silence est la mort !