lundi 29 février 2016

LES SINGES AIMENT QUE NOUS AIMONS DIEU!

    Il ne faut plus que regarder aux yeux de n'importe quel singe pour comprendre y en lisant que si bien, ils ne croient pas en Dieu, ils aiment bien que les humains aient foi en lui. 
 

    Lisant là, j'ai appris que ce que les singes aiment le plus, c'est de se quitter grâce à Dieu, la responsabilité d'être eux nos ancêtres.
 

    D'où ils n'aiment pas les inconscients athées, qui au lieu de se former sur la Bible ou quelque chose comme ça, pervertissent leur instruction avec livres démoniaques.

vendredi 26 février 2016

L'HUMANITÉ CHEF-D'ŒUVRE DE L'IMPERFECTION

    Il pleuve, fait froid. Le temps n'invite à ne pas regarder le monde, à ce qu'il invite est à se garder de lui, en regardant celui-là à l'abri, dans un bar, sans le voir, je le sens comme quelque chose d'imparfait, bien sûr que s'il fût parfait, d'être, il ne serait pas tel que nous le connaissons.
 

    Pourtant, depuis le petit coin, infime, face la presque infinie immensité dont il existe, dont nous existons, je sens que sommes-nous le chef-d'œuvre de l'imperfection et je me demande moi-même tout seul parce qu'il n'y a personne que me supporte à moi : quelle est la cause, qu'en étant tante diversité vivant en voisinage, soyons précisément nous ce chef œuvre-là.
 

    Il sera peut-être à cause de nous tenir les humains d'entre les animaux tous pour « les » rationnels, ne nous conformons pas d'être y parmi pièces du même valeur, ce qui nous a fait devenir ferraille, tout à cause des hommes tenir aux femmes, du même qu'elles se tiennent, par ventres.

mardi 23 février 2016

LE CIRCONSPECT MATTHIEU

    L'amour, soporifique maladie, peut faire endormir même au plus circonspect, ce qu'à la suite le fera subir un mauvais se réveiller, voir sinon ce que mon ami, le circonspect Matthieu l'est passé.
 

  Sillonnant celui-ci l'orageuse mer de l'amour, pour y faire paisible la navigation, offre-t-il un bouquet de roses, blanches, qu'il pensait méritait la pure âme de la déesse sirène, princesse des mers, sa prétendue, à ce que répond la dédaigneuse immédiatement d'avoir reçu l'offrande, en jetant les fleurs à l'oubli. Le circonspect Matthieu plus affligé du mépris que l’in-circonspecte a infligé à l'incarnation, « in végétation » si vous préférez, de la beauté, qu'à lui-même, naufrage dans la mer de l'amour, cela qui l'a fait déduire depuis grandement remuer dans sa circonspection : si une personne offre à quelqu'une, par exemple, un âne a une ânesse une botte de paille (que s'il s’agitât, par exemple, d'un lion à une lionne serait plus propre l'offrir un gigot ou quelque chose comme ça) celle-là, ou celle-ci le mangerait volontaire remerciant pour son geste le geste du gentil.
 

  Si tu es proie de la circonspection, m'a conseillé le circonspect, mieux ne faisais pas chemin par la mer de l'amour, fais-le par route dont tu pourras faire détente là où tu trouves l'une des lanternes rouges qu'il y a.

samedi 20 février 2016

MORIBOND SUR TERRE

    Je n'aime pas, ce de voler ou cela de marcher, par l'espace, tout ce que je veux est « être espace » là où l'on ne peut pas se gonfler de la grandeur ni se dégonfler avec petitesse… mais respirer !!!
 

    Vivre sans vivre, sans temps… mais exister !!!
 

    La vie terrestre m'emprisonne derrière les barreaux de la concurrence, de l'avarice, de l'égoïsme : soit de la médiocrité, dont on ne peut même pas être mort, mais moribond !!!

vendredi 19 février 2016

QUELQUE CHOSE QUI NOUS REGARDE QUI NE NOUS REGARDE PAS

    Comme le chat à la souris, le chien au chat ne lui fait du mal qui ne soit pas pour se nourrir, c'est comme ça elle marche la chaîne alimentaire.


   Pourtant, autant le chat et la souris que le chien et le chat, ou pourquoi pas tous les trois ensemble, en se faisant humaniser, peuvent bien fraterniser entre eux, et même arriver à être touchés d'une amitié inébranlable.


  Le concept « humanité », tiré de nous les animaux humains, se fait imprégner dans les animaux autres bien mieux qu'entre l’espèce humaine.

mercredi 17 février 2016

LE PAYS AUX ONCE FUSEAUX HORAIRES

    Dans le grand pays, à once fuseaux horaires, les ours excellent, et y parmi les autres habitants, il y a un, qui semble s'être éteint ces derniers temps durant, mais non !
 

  
Cet endormi, que non disparu, qui fait peur, en se réveillant, à ses homologues, soit les hommes autres, auxquels son absence les inquiète, ce que fait déduire, que la peur qu'ils ont de l'ours endormi ce n'est que la peur en eux.
 

    Aux tranquilles peureux, je vous conseille de vous "in tranquilliser" que l'endormi ait un œil ouvert, y avec, il suit les affaires des méchants ; et s'il a besoin, il se réveillera.

samedi 13 février 2016

L'INTRIGUE SE DISSOUDRE DANS L'INTRIGUE

    L'un de ces jours dont il fait un temps de chiens, comme je manque de chien, pour m’amuser, j'ai opté pour m'énamourer de quelqu'une.
 

   
Alors que n'en ayant pas envie de sortir chez-moi à y chercher, le temps n'en invitait pas, il ne m'est resté que me tenir à l'aimée qui me tient.
 

   
C'est plutôt d'avoir une aimée de telle figure comme celle dont je suis pris, en sachant que j’existe, elle fait tellement que je n'existe pas…
   
     … comment ne vais-je pas l'aimer moi !?

vendredi 12 février 2016

GRANDES GUEULES ET OREILLES SOURDES

    Il ne faut culpabiliser personne autre qu'à nous-mêmes, qui de toute façon nous avons délaissé notre « appauvrie » que non pauvre, Europe, à tout faire d'elle aux grandes gueules… la pauvre ! 
 

    Ceux-ci « misérables » que non pauvres, auxquels nous avons
octroyé le droit de bavarder, ce que les a fait croire que ceux-là qui ne disent mot consentent… le temps, silencieux, en dira.
 

    Se croient ces pleutres que le peuple ne parle pas, peut-être, mais leurs bavardages les empêche écouter la musique que les silencieux tirent de la meule en aiguisant le couperet de la guillotine.

mardi 9 février 2016

LE TEMPS FAIT UN COCKTAIL

    Depuis mon gîte, j’écoutais le vent, qui châtiait, en faisant fouet de la pluie, les verres de la fenêtre lesquels m'isolent du monde me laissant le voir. Foyer que je faisais chauffer avec un radiateur électrique, à cause de (il fanait l'air de l'antre) j'opte donc pour m'en sortir, même risquant les rigueurs du climat, sous prétexte de réaliser des achats… respirer ! 
 

    Dehors, l'intempérie m'a pris de plein : pluie, grêle, neige… tout un cocktail ! Plus que respirer je me suis trouvé, immergé, dans une espèce de Gin-tonic dont je faisais de la rondelle de citron.
 

    Rentrant chez-moi je mis le perméable sécher, du reste, au four et à mesure que je me déshabillais, le mettais au lave-linge pour ne pas tout mouiller. Au caleçon, avec lequel j'avais plus intimité, je le dis : toi, à sécher, mais moi qui n'ai jamais aimé les marques, je les enlève toujours des fringues avant les étrenner. Je lui donne le même destin qu'au reste.

lundi 8 février 2016

DANS LE SILLAGE D'UN CAMION

    Elle était un camion. Quand elle, marchait, empruntait le trottoir, tout, et même l'en arrivait juste… à tant de beauté en mouvement.
 

   
Du monde qui passait pour où elle venait, les hommes sautaient au pavé pour céder le pas à sa gracieuse magnificence, pour se mettre sur le champ dans son sillage, les concurrentes non, elles faisaient tout pour le mettre à elle, des bâtons dans les roues, mais rien la détenait… quelle machine ! Ses mouvements débordaient l'espace qu'en principe semblait l'avoir été réservé. Gloire à elle ! Gloire à elle, insistaient les voyeurs en état de transe. En écoutant les alléluias, un curé sort de son magasin, vide, dont il croyait ne pas avoir de place, a tant reconverti… déçu, il y rentre.
 

   
Le camion entre, elle aussi, et dans le garage d'à côté, tous les voyeurs avec. Le bar semblait une église d'antan remplie de paroissiens. 

samedi 6 février 2016

L'HALEINE DE BORÉE

    L'haleine de Borée (le fils d'Éos et d'Astréos, que non la paroisse d'Ardèche, là pour L'Auvergne-Rhône-Alpes, celle-ci qui en autre peut être soumise, elle aussi, à celui-là de son homographe), elle envoile la campagne uniformisant les couleurs : en blanc. 
 

    Cette estampe aux tons blancs, qui voie de loin, me transporte à ces temps-là dont je n'étais pas écologiste, et, j'allais ne m'immerger pas dans la campagne, gênant gêné, m'y perdre, me faire confondre avec l'uniformité, telle qu'elle maintenant je la regarde.
 

    Ces temps-là dont parfois mon naturel agressif me faisait perdre dans la monochromie, d'où après je devais m'en sortir, me retrouver avec la couleur, c'était tel qu'en nageant dans l'immensité de la mer l'en faire avec un bateau qu'y vient… un bar !!! …

jeudi 4 février 2016

0 DEGRÉS, SOIT NI FROID NI CHAUD

    Si le froid fait engourdir l'esprit et le corps, aussi comme la chaleur fait les endormir. C'est l'été, la Corse, un petit village perdu à son intérieur, par là, il y a un bar dont une fois franchit le seuil on est reçu par un comptoir, sans réceptrice. Ce jour-là, à la gauche, on était un petit groupe dont pour ne pas nous éveiller personne ne parlait.
 

    À droite, face aux endormis, un vieux chat, qui pour toute réponse à la chaleur faisait la sieste, était en train d'être taquiné par une jeune chatte, ce que nous observons indignés. Mais, pour ne pas éveiller le corps à quitter d'en face la mauvaise estampe, on préférait persévérer en le pénible état de l'indignation.
 

    Donc, le plus jeune des indignés, s'en efforçant, parle au reste : c'est l'amour ! encouragé, l'efforcée demande à un des indignés, le plus vieux — Qu'est-ce que vous pensiez
de l'amour monsieur l'Indigné. Majeur ? Celui-ci en arquant un sourcil, lui répond — Aujourd’hui pas trop, il y a longtemps, depuis que j'ai laissé de me battre, ce qui me fit pacifiste.

mercredi 3 février 2016

LES INGRÉDIENTS ET LE SEL

    Les animaux autres n'aiment pas le théâtre, sinon ils ne quitteraient pas leurs yeux de nous, et, parmi nous, lesquels l'aiment se font attirer de quelques amateurs vers le scénario, dont ceux-ci peinent, pour que les autres ne jouissent pas du spectacle… du vrai !
 

    Spectacle dont si bien tous nous, les humains bien entendu, sommes acteurs et spectateurs, ils restent plutôt en ceux-ci les gens de bien, puisque que ceux-là, soit les politiciens, les ombrent, en, y faisant le plein… quels professionnels de guignols !
 

    Ils n'ont pas honte à y faire : ils ont l'habitude. Ils n'ont même pas besoin de scénario, de manière que non plus de metteur en scène : ils sont de grands improvisateurs. Ils n'ont pas fait autre chose en leurs vies, le spectacle n'est pas mauvais du tout, mais trop coûteux !!!

lundi 1 février 2016

DES MYTHES ON FABRIQUE PÉJORATIFS

    Il y a longtemps déjà quelqu'un a créé le mythe de l'homme-loup, pour dire, en associant l'homme au loup, de quelqu'un autre qu'il est un méchant, comme si le loup fût un gros, par ne pas se laisser dompter. 
 

    Pourtant, quand un loup se fait humaniser, ce qui se passe plutôt dans ses cousins les chiens, il devient bon, on lui dit sage, intelligent, beau, bien élevé même lorsque quelqu'un domestiqué n'est qu'un domestique servile, voire un idiot qui ne sait se chercher la vie que ne soit en léchant des bottes.
 

    L'homme idiot, le spécimen du plus ordinaire dans notre espèce, pour se faire roi, ferait-il pour faire la faune de son entourage aussi idiote que lui quand même… cependant, ça y est fort contagieux.