mardi 29 novembre 2011

L'"ADJECTIVÉE" PEINTRE, DE ROYAN

    Une soirée à Royan, en me trouvant dans un bar (évidemment) à plus précision celui de l'Astoria (lequel je conseille à tout vivant qui se passe par là) en causant avec une amie peintre, elle m'a avoué, tout délicatement, comment seulement peut l'en faire une délicieuse fille, qui a bien été surnommée par l'affable Didi, un centurion du théâtre, à ce moment-là sans centurie, en un monologue dont la splendeur fut éclairage dans l'épaisse fumée de l’ambiant, du soupir de lui… ah la douce peintre ! Revenant à l'aveu de la douce, délicieuse et délicate, où il faut ajouter la belle ; elle dit (comme correspond aux adjectifs-ci) vraiment les humains sommes un animal laid, parfois horrible, si l'on se le compare avec n'importe quel autre, moi, elle poursuit (évidemment dans la même ténue). Elle n'aime pas peintre des humains, ce que j'adore est de peintre aux animaux.
      Écoutant ça je me suis pris d'une exacerbée envie de me mettre à aboyer, ou d'imiter n'importe quel autre animal pour qu'elle me fît un portrait ou un nu, par exemple ; il avait, à son dos, à ma face, un stupide miroir ; à ce moment-là je ne savais pas si reprouver ou remercier qui avait placé le stupide miroir là.

lundi 28 novembre 2011

TOUT CONTINUE PAREIL

    L'état actuel, à cause de la modernité, est venu, progressivement, mais inexorablement, à remplacer l'ancienne religion ; c'est-à-dire, les citoyens, non seulement nous ne pouvons pas nous en sortir de notre éternelle condition de contribuables, sinon que, devant le fastueux autel à la patrie, une, impitoyable et toute puissante dont il faut, sous peine d'impitoyabilité, l'admettre comme « une » démocratie ; ce qui veut dire, que le jour que les nouveaux prêtres convoquent élections -ceux-ci de la patrie, bien entendu, les uns parmi les autres élus, à partir d'où, ceux-là qui n'étaient touchés de la dignité que leur donne le plébiscite, irons-nous former partie du chœur. Comme j'étais en train de dire : ce jour-là de la convocation aux urnes, les bons citoyens, qui auparavant croyaient en dieu (aujourd'hui, ils sont obligés à croire en la démocratie) devront s'abstenir d'en aller chier, pour déposer le papier destiné à se nettoyer, dans les susdites urnes, et par l'art de la magie, voilà démocratie faite ; ce qui n'évitera pas de suivre sous la peau de « contribuables » en bénéfice des nouveaux prêtres.
      Quelle mauvaise vieillesse l'est devenue à l'église, qui l'en allait dire ! elle, si impitoyable, toute puissante, une aussi, mais de l'un. Cette démocratie qu'y est venu tout gâcher. Elle restera un simple annexe, corps de contrôle, tandis que les idiots qui l'y restent fiers, ne s’intègrent au gros groupe d'idiots : fiers, eux aussi, à la patrie.

dimanche 27 novembre 2011

DE L'AMOUR ET DE DIEU

    L'amour est comme dieu ; alors, si n'importe quel d'eux vous rend service, même qu'il soit en vous taquinant, ça marche ; par contre, s'il ne vous apporte rien, tout simplement, personne ne saura qu'il existe ; mais attention : il faut ne pas confondre, ignorer l'existence avec l'inexistence, dans le sujet-ci, l'amour ou dieu, uniquement ignore celui qui croit, qui ne croit pas, il sait qui n'existe rien. 
      La différence entre l'amour et dieu, c'est que de dieu, il n'a eu personne et l'évidence nous signale qu'il ne l'aura jamais, qui démontre son existence de façon palpable ; l'amour par contre, il est là, il se peut toucher sur la structure d'une femme, que nous le voulons ou non, nous vivons dans un monde matériel dont la frontière d'entre la naissance et la mort est l’immatériel, c'est-à-dire, le néant.
      Si vous Mesdames et Messieurs, qui croyiez fermement en dieu : juge absolue et impitoyable, qui, en conséquence de vos actes, dans cette vie matérielle, d'où, il va vous rapporter de la bienséance éternelle…
       … merde ! êtes-vous tout simplement honnêtes, est-ce que vous croyez que l'on peut se croire que vous croyez en dieu ? Si c'est comme ça, vous soyez plus idiots de ce que l'on se pense, petits cons, vous vous étiez en condamnant, vous tous seuls. Pourquoi sinon vous, les plus croyants en dieu, en plus de vivre comme lui, en faisant tout pour malmener aux pauvres honnêtes athées, qui n'ennuient personne, que tout ce qu'ils aiment est de rigoler, de toucher la contraire… Ou l'inverse (les femmes aujourd'hui ont perdu la honte).
      Je vous en prie, ne nous sauvez pas ! sauvez-vous ! Vous le méritez.

jeudi 24 novembre 2011

LES MIROIRS DES BARS


      Toute personne se croit, ce qui est intrinsèque à notre nature, qu'elle est l'image de cela qu'elle veut être, en réalité si ses affaires économiques ne marchent pas, comme elle croit qu'y devraient (ce qui, par beaucoup qu'à l'avis des autres, soit de "prétendue" bienséance, ne l'en sera jamais à l'insatiable) la susdite personne, fier de soi, sera, en autre, fortement convaincue que les coupables de ses échecs sont les autres.
       Alors, si vous voulez savoir comment soyez-vous vraiment, arrêtez donc, de vous regarder dans les miroirs chez-vous, ou de n'importe quelle salle de beauté : ils vous tromperont, ils sont viciés… allez-y dans n'importe quel bar (un bar comme il faut, pas de conneries) et là, par un trou, dont les bouteilles vous permettent de regarder le miroir qu'elles cachent, cherchez vos yeux : vous y verrez ce que vous étiez ? Je vous assure que, vous serez mécontents de tout, de ce que vous aviez vu, d'ailleurs parce que, en l'étant, cela voudrait dire que vous seriez contre nature : la vie n'est qu'une constante évolution, il est dommage que celle-ci soit de la stupidité.
       Seulement, qui arrive à vieux, et pas par la sagesse sinon par vieux, se conforme de ce qu'il est, puisqu'il sait qui est, et jusqu'où il peut toucher ; qui ne l'en sait pas, pauvre homme (ou femme) il est arrivé à vieux (ou vieille) sans évoluer.

mercredi 16 novembre 2011

CONCLUSION SUR: DES POLITICIENS ET DES PORCS

    Une sérieuse étude d'un psychologue généticien, libre-penseur lui, qui travaille depuis longtemps sur les relations humaines dans l'affamée place « do Campo » et rues adjacentes, dans la ville de Lugo en Galice, cet endroit, en sont ensemble bien assortis de bars (l'un dans une maison, l'autre dans l'autre et ainsi de suite) ceux-là devenus amphithéâtres où ce maître penseur expose et débatte sur son ouvrage, avec d'autres insignes professeurs très versés en tant de matières comme ils sont. 
      Ce sage intellectuel-là (mettant en danger son intégrité physique, personne l'en doute, ils sont plus les amphithéâtres qu'il y a dans le susdit campus, qu'on le peut croire) puis de beaucoup de magistrales séances, il est arrivé à la conclusion que : avoir un politicien chez-soi c'est comme avoir un porc ; tous les deux sont si insatiables, qu'ils avalent tout ce qu'on se laisse à leur portée. Pourtant, aux porcs après d'un temps, on se les prend en affection, et non seulement parce qu'ils soient beaucoup plus intelligents, ils sont aussi beaucoup plus reconnaissants, étant même capables de te faire une caresse après de les avoir donnés de manger.

lundi 14 novembre 2011

DEUX RÈGNES

    
     Dans le règne de ceux-là, qui ont de l'esprit d'être libres, il faut qu'eux-mêmes se révoltent pour établir la République.
 
     
    Dans le règne des médiocres, le mieux est les laisser tous seuls tels qu'ils sont dans la royauté ; il ne se doit faire d'autre chose que leur empêcher d'y sortir, ceux-ci sont, eux-mêmes, la pire peste, la plus contagieuse, pour laquelle le royaume sera le mieux antidote, il sera leur, et son propre abattoir.

dimanche 13 novembre 2011

PAUVRE MISÈRE


       L'humanité, depuis qu'elle a été jusqu'aujourd'hui, n'a été capable de fabriquer qu'une société dont, la seule valeur est celui de l'argent, à n'importe le prix qu'il en soit ; ne nous faisons pas tromper. On se paiera de la dépouille du gibier peuple. La faim d'argent a laissé hors de jeu le concept de l'avare classique et même du puissant dans ce terme.
       La culture, le seul facteur qui nous devrait différencier des autres animaux (fait à part de la physionomie, bien que ce ne soit pas toujours une exception) s'est allée laissant à mains des manipulateurs, qui ont fait d'elle un gros affaire, en plus d'un fort outil à étourdir les masses.
       La richesse est elle-même un grand piège, ceux qui la possèdent font d'elle une impudique ostentation à l'égard de qui ne l'ont pas, auxquels l'envie les fait la souhaiter, au lieu de la combattre ; quelqu'un l'obtiendra ? peut-être ! voici où est le leurre, ce qui fait soutenir dans sa place à qui l'en ont.
       La moralité appropriée par les grands supermarchés « tout à vendre » avec l'inestimable aide cette nouvelle mode de la mondialisation et l'acquiescement d'un peuple endormi, de laquelle les prêtres de ces grandes aires font la plus grosse affaire jamais imaginée, dont il n'a pas d'autre transaction à faire, que vendre de l'inexistence de l’inexistante, dont seulement les immorales ont des moyens de se payer la grâce d'être moralement purs. Les pauvres pour être moralement acceptables (pas purs, purs du tout) ils doivent accepter les choses comme elles leur y viennent, bien qu'ils puissent avoir de l'espoir de devenir riches ou mourir en grâce de dieu : il pourvoira… des vers, bien sûr !


samedi 12 novembre 2011

CARESSER, POURQUOI PAS?


    Toute fois que les dieux nous regardent dès la hauteur, là où notre imagination les a placés, ils nous verront petits, misérables, gênants et pourquoi pas répugnantes ; ces appréciations que nous prenons, les humains, ne les avons inventés que pour être dieux nous… lesquels y arrivent.
    Si nous caressons la déesse mère Terre, elle, si près de nous, qui même se laisse rouler par nous, nous soutenir ; de nos caresses nous recueillerons leurs fruits, d'où, en le soigneusement traitant, obtiendrons le dieu Élixir, son fils. Ce Dieu si proche à nous, qu'il est qui nous invite à nous le Lui regarder, à nous approcher à Lui, le caresser de nos lèvres, de le mettre en nous, de l’humaniser pour nous humaniser.

vendredi 11 novembre 2011

POLUTION SONORE


      Dans n'importe quelle ville du monde moderne d'aujourd'hui, dans laquelle la vie soit acte pour d'autres animaux, en plus des « êtres », parmi ceux-là, aux oiseaux la pollution luminique, à laquelle il faut ajouter le chauffage à l’ambiance, les affecte de façon que pendant l'hiver étant les nuits plus claires que le jour, chantent-ils à ces heures prenant l'une par l'autre, et, il n'est pas le cas sympa, comme auquel, dont Tati dans le film « Mon Oncle » qui taquine l’oiseau de la voisine avec le reflet du verre de sa fenêtre ; cette question-là est plus sérieuse : les oiseaux se sont devenus fous, résultant l'augmentation de leur pollution congénitale, par la faute de repos de celle-ci, causée par la non-émigration des adorables ovipares, et à laquelle ajoutent de la pollution sonore, ce qui était de sa main.
 
      
    Les « êtres » pour nous mettre en garde, de tant de pollutions, la nuit, nous fermons les volets, et, nous taponnons donc les oreilles ; le jour, nous ne faisons que faire exercice de notre, sinon congénitale, irrévérencieuse imbécillité.

mercredi 9 novembre 2011

LA SAGESSE DES BÊTES


      Je n'ai jamais vu un chien pisser contre une plante armée d'épines, ou contre des orties, au moins en cas de l'en faire, ils ne s'approchent autant comme quand ils posent leur miction sur n'importe quel bouquet de fleurs et est évident qu'ils pissent plus à leur aise sur les fleurs, ou plus près d'elles, que des susdites plantes-là, pour mieux nous entendre, non pour qu'ils haïssent les fleurs, ni non plus, à qui en préfère le penser, pour les chiens se parfumer en frôlant dans les soyeux pétales de celles-là leurs roubignoles et annexes, pas de tout. C'est pourquoi, à faute d'humaine intelligence, la sagesse que les bêtes ont. Il se peut étendre à tous les autres animaux qui n'en sont pas « êtres » ne leur permet se butter contre la même pierre plus d'une fois.
 

lundi 7 novembre 2011

PUNIR LA PUNITION

    On ne s'est jamais parlé tellement de la permissivité, de l'entendement, de la culture, de la solidarité, de la compréhension et de quelques considérations comma ça, que dans ces temps-ci ; donc, il est aussi vrai que ces mots ne sont jamais restés, pendant ce même trajet temporel, qu'en mots, mots que, il faut remarquer, font de la bonne vie à un restreint groupe de prôneurs, auxquels ne les importe pas d'ajouter d'une autre charge sur le dos de leurs concitoyens (les mêmes de toujours, soit, la classe travailleuse) pour faire qu'ils font sur la peau d'autres dénués d'ailleurs ; ils sont, en autre, mi-aveugles : ils n'y voient pas tout près d'eux.
       Le jour que les victimes de ces charmeurs de fausses illusions se réveillent du léthargique songe (si c'est que celles-là arrivent se réveiller) qui les tient pris dans l'impassibilité ; le jour que celle-ci laisse d'être un mot (si c'est qu'elle y laisse) que personne s'étonne donc, qu'ils, les ouvriers, prennent d'une fois ces faux intellectuels et les embrassent en compagnons de travail. N'étant point cette fois, le travail, un mot.
       Si le travail est une punition, tous à lui, sans les dépenses inutiles des inutiles, peut-être sinon une joie, quand même, une douce punition.
       Des politiciens, il ne faut rien dire, je les emmerde, vous, vous faire ce que vous voulez.

dimanche 6 novembre 2011

MEA-CULPA

     Nous avons hérité un bizarre sens de culpabilité de l'époque dont, l'Europe s'est donnée en appeler « colonialiste » parce que les satrapes-esclavagistes qui n'ayant presque personne à exploiter ici, se sont allés chercher nouveaux horizons où exercer leur métier ; à cette époque-là, les honnêtes gens de l'Europe se mouraient de la faim, car l'église et leurs pieux acolytes faisaient proie de leurs denrées, des femmes si elles étaient à leur goût et des garçons pour divers emplois ; c'est-à-dire, comme aujourd'hui si l'on se laisse aller.
       Je ne me sens point coupable, des bêtises que les colonisateurs européens ont fait, même en trouvant dans les affaires de quelques ancêtres... je n'ai jamais exploité personne ; toutefois le colonialisme m'a exploité moi. Il est aussi en train de l'en faire comme à la plupart des populations par-ci par-là : le colonialisme en plus d'être intemporel ne connaît pas de frontières.
        En ce qui concerne aux pays victimes du colonialisme (n'oublions que nous l'en sommes aussi) si leurs patrons auparavant ne l'y ont fait subir dans d'autres, leurs populations ont subi, tout à fait, de l’exploitation de leurs propres satrapes. Le colonialisme comme l'esclavage n'ont arrêté jamais de s'exercer, soit d'importation, soit d’exportation, soit en régime interne, ils sont les formes qu'ont changées.
 
     
     Il faut apprendre de l'histoire, se laisser de conneries-miséricordes-plaintives, revendicatives de quoi, et à qui. Est-ce qu'on peut se faire, des affaires, avec qui a fait de sa vie une affaire ? L'affaire de l'homme d'affaires sont les affaires ; ce monstre que nous, l'humanité, avons créé. Peut-être la seule manière de le combattre sera l'oublie, de notre négligence à lui, il ne peut pas faire des affaires. 
 

samedi 5 novembre 2011

L'EAU CIVILISÉE

    Qui ne se bat pour un verre de vin, ne mérite que boire de l'eau ; et n'est pas pour mépriser l'élément incolore, inodore, transparent et insipide, qui assez disgrâces elle a, sinon pour le mettre en valeur, valeur ajoutée, bien entendu, face à qui ainsi ne la veut point profiter.
        

       L'eau, le sang qui l'en donne de la vie à la plante qui offrira le fruit, où le porteur de l’hémoglobine aura son plein splendeur, duquel les maîtres en la matière vont élaborer du vin, qui se servant, à nouveau, de la nature en sa dimension « temps » conjugué avec leur savoir-faire, avec tout ce, qu'ils apporteront de la grâce au complexe élixir qui ouvrira nos esprits à l'amitié.

vendredi 4 novembre 2011

L'ODEUR ET L'AMOUR

    Quand on est pris de l'amour, au se laisser traîner de l'attirance de l'odeur de cet amour, on doit se soigner, dans le trajet, de ne pas attraper du rhume, parce que celui-ci lui ferait devenir quelque chose comme un loup, qui a perdu le sens olfactif.
 
       
    L'amour étant odeur, quel dommage, pour qui a perdu l'odorat ; les sons peuvent tromper dans le sens de l'amour à qui n'a pas de l'habitude de les interpréter ; la vue peut d'ailleurs, abrutir à qui l'en cherche avec elle, si l'on n'a non plus l'habitude, de lire dans l'esprit, parce que l'on mettra, presque sans le douter, les yeux dans le corps, de la « bête ».

jeudi 3 novembre 2011

BON APPÉTIT LES VERS

    Les chats chassent des souris, parce qu'ils sont de la nourriture à eux, ce qu'ils seraient aussi, par exemple, aux aigles. donc. le problème serait pour les chats, qu'en s'adonnant à ce changement de proie, la proie deviendrait eux-mêmes.
          De tout cela, il est facile déduire que, chacun à sa place, tous nous pourrions bien vivre, mais les humains faisant étalage d'une stupidité sans précédent, tout parce que celle-ci a évolué sans arrêt, qu'elle est difficile sinon de le faire retourner à la cohérence, de tout simplement le mettre frein ; cette affection productrice de telle ankylose intellectuelle, d'où résulte notre surpopulation, qui conduira à l'élimination de chats, loups, souris (ils nous resteront, par un temps, ceux-là des ordinateurs) comme aussi toute espèce animal comestible ou qui occupe de l'espace dont, nous aurons besoin pour faire place au plus gros déprédateur de l'humanité : nous-mêmes.
       Il faut attendre jusqu'à nous comme un seul vers bien boursouflé, sans cerveau, qui une fois étant au bon point, soit servi à la table des véritables vers… bon appétit les vers ; votre table sera bientôt en train d'être servie.