jeudi 31 mars 2011

LA RÉPUBLIQUE EST LAÏQUE

    Un gouvernement Républicain ne peut être que laïque, par surcroît la République Française l'en remarque, de là que leur gouvernement ne doit pas gaspiller ni un sou ni perdre le temps en débats religieux.
     Les religions repoussent en l'existence de dieu (à ce qu'il paraît mâle) l'existence dont dans n'importe qu'elle qu'en soit, elle se fonde en récits sans aucune consistance : inouïs, cruels, sadiques, banales, fascistes, dogmatiques, despotiques. On peut aussi poursuivre avec tant d'adjectifs que l'on pourrait bien édifier le plus monumental insulte à l'intelligence.
     C'est dommage, non casuel, que le gouvernement utilise son temps à ces conneries maintenant affaiblissent le budget de l'éducation, là où se forge à ceux qui vont être participes d'une société libre ; ces bizarres personnages ne font rien pour dissimuler que ce qu'ils veulent comme concitoyens est quelque chose semblable à bêtes de somme, comme qu'ils fussent quelque chose de sophistiquée… il ne faut plus que regarder leurs allures !
     C'est évident, Mesdames et Messieurs les politiciens, que le seul intérêt que vous fait agir est le vôtre. Vous ne faites choses d'autre que vendre peignes aux citoyens puis de les avoir laisses chauves.

dimanche 27 mars 2011

DEUX MALADIES

   Je suis allongé sur le lit, ahuri, une bizarre sensation m'envahit :
   Mes pieds battent comme s'ils étaient deux cœurs, à différente cadence chaque ; de mes mollets, je sens un gênant chatouillent, et de mes cuisses ce qui semble comme que les muscles se sont en train de séparer les uns des autres, de la main d'un froid couteau.
   Mon ventre est pressé par aucune pression externe autant que ma poitrine, celle-ci qui en plus me provoque un étouffement qui ne m'étouffe pas.
   Mon dos sent des coups de mer, de l'un qu'il est de chair et qui à l'envers de leur nature débouche son caudal, de douleurs, dans mes bras.   
    J'ai la langue pâteuse dans la bouche sèche, ce qui se prolonge vers la gorge ; la mâchoire endolorie, les joues comme qu'elles fussent âpres, peut-être pour cela les paupières bien qu'épuisées, autant que généreuses, se laissent tomber pour s'étendre par celles-là… pour les soulager.
     Par mon nez, je respire fortement.
     Il faut que je me lève, je suis comme ça plus de tout un jour, immobile, et j'ai incubé l'affreuse sensation d'avoir été travaillant… ?

vendredi 25 mars 2011

LE BON SERRURIER

    Michel Charase a bien mis la clé par le trou de la serrure ; il faut seulement la faire tourner, ce que politiciens constitués en prêtres ou vice-verse, il semble qu'ils font tout pour l'y empêcher.
     Quand ce sage ancien sénateur dit : la laïcité, c'est ce qui évite la guerre civile, il n'a rien dit dehors de cela qu'une promenade par l'histoire ; ce qui nous le va montrer, et ce n'est que, d'une ou d'autres façons, les guerres civiles (ou d'autres) ont été (sont) provoquées à l'intérêt de ces obscures entreprises, bâties sous l'ombre de n'importe quel dieu, dont les prêtres ou politiciens, ou vice-versa, manient au profit du mystérieux gain pour le gain, dont ceux qui sont à leurs têtes et chacun selon son échelle sociale profitent de quelques privilèges ; le reste des acolytes, à la queue où ils sont à côte du cul du monstre.
     C'est pour ça que, si j'ai de croire en un dieu, elle sera « La République » en autre parce qu'elle est déesse, j'adore les femmes (premier pas fait) puis, parce que je l'adore librement. En revanche, encore elle ne veut pas être adorée, La République veut tout simplement qui tous nous soyons respectés entre nous en égalité, liberté et fraternité… adorable celle-là :  La République.

mercredi 23 mars 2011

MONTESQUIEU ET MOI

         Quelquefois Montesquieu a dit :
      « Nous avons découvert un nouveau monde en grand et un nouveau monde en petit, par les télescopes et les microscopes »
         Donc je me demande : 
      Est-ce que nous, nous avons tant entretenu en regardant tous ces deux mondes-là, qui a provoqué que nous fissions de celui-ci où nous habitons incompréhensible ?

samedi 19 mars 2011

L'AMOUR ET LA POLITIQUE

    Par beaucoup que je me suis pressé la tête pour déchiffrer combien de types de caractères que l'on peut trouver chez des hommes face les femmes. Je n'en ai trouvé que deux : l'un des méchants, selon celles-là, et un autre des imbéciles, ce dernier à qui souvent les femmes préfèrent le plus, peut-être parce que parmi ceux-là, elles peuvent discerner différents modèles, dont elles appelleront d'autant de ridules sobriquets-. D'entre ces deux grosses catégories, je peux seulement croire capables d'aimer et respecter aux premiers (les méchants) bien entendu, s'ils l'en sont aussi. Dans la grande diversité de l'ensemble des autres, auxquels les pourrait bien représenter dès un ours de peluche à une hyène : ils sont capables de tout fabriquer, faisant ou disant n'importe quelles conneries pour arriver à leur but, où le seul important est la femme comme femelle.
   Je doute qu'est-ce que les femmes cherchent dans la boutique de l'imbécilité ? quelque chose pour maîtriser ou pour être maîtrisées elles-mêmes. Alors que, j’y suis sûr, les politiciens professionnels adorent l'épanouissement de l'imbécilité. Parce qu'ils croient qui est celle-là qui soutient leur pouvoir ; pourtant ils se trompent, c'est là précisément dont ils vont trouver de la concurrence à leurs intérêts, parce qu'une chose est vraie : le pouvoir se nourrit de ce qu'il est.
    De l'autre côté, il y a des méchants et méchantes, qui ne seront jamais concurrents dans ces affaires de merde. Une chose est une chose et une autre est une autre : ils sont méchants du même qu'elles sont méchantes, peut-être, mais ils ne sont ni idiots ni elles non plus. ni imbéciles ! le temps y dira.

vendredi 18 mars 2011

LE NUCLÉAIRE OU PAS

    Les dernières nouvelles qu'y sont venues du Japon, ont provoqué toute sorte de lamentos (tout semble) plus que du malheur qui est en train de subir le peuple japonais : du non moins grave accident survenu dans les centrales atomiques.
    Tout le monde (ou presque) tire la sonnette d'alarme dès chez eux, où ils sont bien chauffes ou réfrigérés, selon convenance, mangeant en excès pour postérieurement se mettre au régime, jetant à la poubelle les fringues qui se sont passés de mode, prenant la voiture pour en aller uriner, etc. bien entendu, tous ceux-là qui y peuvent l'en faire, les autres le feraient, donné le cas, qu'ils pussent, c'est-à-dire personne ne fait que parler pour parler (il faut remarquer qu'avec mine soucieuse).
      Faire quelque chose n'est pas se laisser traquer des médias, qui de ses gains, à l'occasion, on va fournir d'autres centrales atomiques ; faire quelque chose est de réfléchir, ce qui nous fera comprendre que l'on ne se peut pas consommer pour consommer : la consommation est énergie, et l'énergie il faut la produire, alors, il faut, aussi, avoir en compte que la consommation que nous sommes en train de faire, fait de la nucléaire, autant que presque indispensable, peut-être en plus, l'énergie la moins polluante… dangereuse ? Bien sûr, comme dangereux est le fascisme, le totalitarisme, le despotisme, et surtout la stupidité.
      La question n'est pas le nucléaire ou non ; la question est consommation ou rationalisme. N'oublions-nous que tout le monde a du droit à consommer, et qu'aujourd'hui on n'est qu'une minorité de la population mondiale à consommer démesurément. Qui est-ce que l'en va mettre du frein aux nouveaux consommateurs qui y viendront ? … pas moi, évidemment, ils ont le même droit d'être aussi d'imbéciles que nous.

mercredi 16 mars 2011

ANGOISSE

    Que l'angoisse est angoissante, c'est une question dont je ne crois personne l'en doute, à ce titre, elle peut produire, et je l'en affirme quand même, de l'angoisse !
      L'angoisse est surtout « calme ».
      Le calme absolu qui se sent avant l'ouragan.
   Le calme inquiétant qui s'aperçoit à l'abattoir pendant attente du commencement de la journée.
   Le calme vitaliste sur la campagne, jusqu'aux agressifs clochers commencent sonner.
    Le calme est la poussière avec laquelle enracine l'angoisse. C'est pour ça que, si le vent non l'en éparpille ou la pluie ne l'en barre, on y va pousser l'angoisse de laquelle va fleurir le désespoir.
    Nous, les humains, ne sommes pas faits pour le calme, essentiellement, cela de l’esprit : la tête nous bouge plus que le corps et toute personne de bien, aime se reposer.
      Vivre est agir.
      Réfléchir est agir.
      Sentir est agir.
     Aimer est agir… en plus, de l'agitation s'épanouit la générosité.
      De la guerre, la spéculation, la haine, la rancœur, le despotisme… tout cela n'est ni calme ni agitation : ça y est, la mort, la mort de l'esprit.
      Quelle angoisse !

mardi 15 mars 2011

L'ÉTERNITÉ

    À l'éternité, dans l'espace et le temps où nous sommes, ne nous reste que l'apprécier comme temps, de là qu'elle en ait du principe et de la fin. Voyons :
    Si une personne est, pense ou dit de l'en être, amoureuse d'une autre « éternellement » cet amour ne peut pas s'étendre plus que la vie de la personne qui aime, même, donné le cas que celle-ci lui survivait, aussi que ce sentiment sur la réceptrice ; alors, évidemment ce sentiment d'amour éternel a eu auparavant un fondement.
     Chronos, lui aussi, est apparu à la création du monde ; c'est-à-dire : lui comme le monde ont eu du principe et tout principe a implicitement un fin.
     Le Big-bang a été le début de ceci qui est le monde que nous connaissons, lequel est aujourd'hui toujours en expansion, d'où, on peut se déduire qu'il deviendra une compression : cause de l'effet ; ce qui l'en fera aboutir au fin, auquel il n'aura pas pourquoi d'être le principe d'autres éternités telle que cela (dans un minuscule morceau de son temps) nous y vivons. De là que je croie en toutes les éternités que l'on veut, mais ne pas l'en faire en l'éternité comme une seule et absolue.
     Tout ça vient à :
     Si nous nous servions de la lecture, des sages, par exemple, comme Alexandre Friedman, au lieu de prêter l'oreille aux conneries racontées par ceux-là qui ont structuré leurs affaires sous incompréhension, en l'en étourdissant pour la faire plus incompréhensible, l'air de la vie se respirerait plus sainement.
     La non-existence ne se peut pas démontrer parce qu'elle est un fait, c'est l'existence, ce qu'il faut démontrer ; ceci. Elles l'en ont impossible, les églises.

dimanche 13 mars 2011

DOUCEMENT

 Par là-haut, où fleurit la pensée
se promène montée sur un cygne blanc : Sarasvati.
Sur terre, où nous soutenons les humains,
d'entre nous, ceux qui y sont chasseurs
tirent des fléchettes pour l'en chasser
… Quelle horreur ! Quelles manières !
de se faire de la sagesse… ou de l'amour ?

Dans un coin perdu de l'espace Terre,
un jardinier avait semé un lotus
qu'il cultive avec soin.
Un jour, dont sa fleur s'est épanoui ;
là, s'en va poser. Sarasvati.

vendredi 11 mars 2011

LETTRE À ERIS

    Éris, délaissant son métier, se repose sur un nuage aussi blanc à la côte où elle est allongée, que noir à l’envers, face qu'il offre à l’espace dont les humains pullulent, qui n'étant pas pendant ces moments-là trop qui y se débrouillent ; bien entendu de-hors de chez eux, ils sont les 10 heures.
    Éris jeta vers là-bas un regard d'ensemble et faisant les gros yeux à ceux qui y sont ; tout à coup, d'un élan de bienséance en ce qui concerne son office, et à faute de pomme d'or, elle s'imprègne du caractère de Fauste sur tout lequel qui agisse, à l'intention de s'amuser, elle, et pourquoi pas les siens.
      Je ne sais pas pourquoi les dieux sont toujours en train de s'ennuyer suivis de s'amuser, et ainsi éternellement… ça doit être vraiment ennuyeux, en plus s'amuser à compte des humains. C'est devenu difficile, parce que, assez d'être taquinés par les dieux, comme d'entre nous-mêmes croyons, tout est devenu normal excepté la normalité.
    Pauvre Déesse, Fauste sommes tous, même étant vieux, même étant mortels… bien que le nôtre : Éris, ça s'arrange.

mercredi 9 mars 2011

L'HISTOIRE D'UNE VIE

    À la branche d'un arbre était accrochée une pomme, où elle avait pris la vie, et dés où elle sentait l'univers qui l’entourait et duquel elle s'en savait le noyau.
   D'une pomme voisine s'était fait hôte un ver, qui graduellement l'en alla rongeant y compris les organes reproducteurs ; une autre qui avait muri prématurément, un oiseau la picotait impitoyablement (les organes reproducteurs inclus) maintenant, la pomme du début suivait avec son régime contemplatif.
      Le temps est arrivé, les feuilles commencent déployer la danse qui les amène au sol, tout quand, le vent ne les prolonge leur valet par les prairies ; ce temps est le même qui marque aussi la newtonienne chute des fruits aussi… alors, on s'écoute : la vache ! et la pomme tombe par terre, donc, une vache qui arrive, et d'un ouvrir et fermer de bouche, la pomme disparaître du paysage pour s'en aller couler par l'apparat digestif de la bête.
      De la pomme seulement vont survivre les organes reproducteurs, mais, attention ! Il y a d'autres, d'autres plantes : la lutte pour survivre dans la boue, bien sûr qu'elle va être épuisante.  

IL FAUT SE CONNAÎTRE

    "Une" hippopotame connue comme "l'amoureuse" (dû aux simagrées qu'elle faisait à tout voisin à faute de congénère, dans le zoo de Vincennes où elle était prisonnière à cause d'être hippopotame) une soirée, déguisée de stupide, pour passer inaperçue, s'enfuit pour s'en aller promener par les trottoirs de l'avenue Daumesnil, à la recherche du premier mammifère n'importe quel, pour donner libre cours à la passion de la condition dont elle avait pris le tel sobriquet. Il faut constater que ni dans sa chambre-là avait miroir ni elle s'était jamais vue d’hippopotame.
       Une fois dans la rue, le premier sentant à mâle qu'elle trouve est un homme, en état de préjudiciable ivresse, qui ne peut être l'étalon de ses désirs, il lui avoue, parce qu'il est très amoureux d'une femme à qui il ne veut pas faire devenir cocue. Notre hippopotame n'arrive pas à comprendre comme ce type-là peut être amoureux d'une bouteille qui, en plus, contient de l'eau sale, alors qu'elle constatant comme il l’embrasse constamment, à la pauvre ne le reste que soupirer avec envie : quelle passion !
      Un autre bipède qui y passe, aux traces de la sobriété du lait, tout de suite qu'elle se présente devant lui, il bondit en arrière, mettant les doigts de sa main gauche sur sa bouche, l'autre en haut comme si elle tenait un fleuret… soudain : il fit disparu tel qu'un danseur secondaire dans une opère bouffe.
      Le troisième animal qui apparaît, il est aussi un autre homme, il était un vieux, droit comme un mât ; élégant et courtois, si courtois que délicatement il explique à l'amoureuse qu'à lui, se l'est passé l'âge d'aventures galantes.
      L'hippopotame, désespérée, décide de se suicider en se jetant sur la première voiture qui y passe ; par là y vient l'une à toute vitesse, conduite par un homme aussi désespéré parce que sa femme l'a quitté… ils vont, tout de suite, tous les deux laisser de l'en être.

dimanche 6 mars 2011

SONDAGES DE VOTE

    Ce qui ne laisse de m'étonner est qu'il ait de personnes qui s'étonnent de la hausse de l'intention de vote sur le FN, duquel, à faute de loi salique qui lui concerne, a pris la tête Marine Le Pen, fille de son père.
      Aujourd'hui, et je dois avouer tristement, que je vois le FN, parmi les partis politiques majoritaires, le seul qui s'en garde de telle condition ; quelque chose que ne se peut pas dire, ni d'autres de son côté, qui ne sont que groupuscules d’amis, entourés d'aumôniers qui ne cherchent que leurs propres profits, ni de ceux-là de la gauche dont il passe presque autant du même ; le PS, tout semble la sortie d'une course de chevaux où tous se débrouillent pour prendre le meilleur poste dans celle-là, là où, les chevaliers ne sont capables que de regarder leur propre nombril, ce qui les empêche de voir qu'il y a d'autres personnes dans le monde. Au PC, peut-être, on confond ce qui est un bonhomme d'un homme bon ; vraiment je ne sais pas si lui donner un vote ou une fleur… dommage que ce doute me vienne.
       Pourquoi les partis gauchistes qui ne laissent pas de s'étonner, s'écartent des conneries religieuses et de choses comme ça et cherchent à engager les personnes à la cause, tout simplement, Républicaine : les valeurs qu'elle confère, ils sont assez ; en conséquence, ceux-là qui cherchent de la vie aisée, le pouvoir en soi ou la richesse dans les partis politiques, se mettent-ils à la rue ; et là qu'ils se l'en cherchent comme un autre quelconque : il sera mieux vivre avec le nécessaire pris par chacun, que vivre avec l'indispensable donné par un état fasciste, ce que nous sommes en train de semer

samedi 5 mars 2011

LE PRÉSIDENT AUX HAUTS TALONS

    Je ne sais pas si est-ce que le président « aux hauts talons » a d'habitude un mauvais réveiller, ou, si est-ce qu'il prétend que les citoyens de la République l'en aient à cause des cabotinages impropres à la dignité qu'il représente, et qu'il n'arrête pas de tirer au jour à jour.
     Le trois mars dernier, tout quand les bonnes gens commencent à s'éveiller, entre les heures de la matinée où la foule laisse de venir et de s'en aller, il, peut-être pour éviter aux gens qui y restent, de jouir de ces moments-là, dont beaucoup utilisent pour faire des courses, monte : un échelon, ou deux, ou trois, tout dépendra de la hauteur physique des interlocuteurs les plus prochaines, pour les en surpasser avec. Si l'on est assez commun cela de croire que l'on a plus raison celui qui crie le plus, il, pourtant, doit croire qu'on l'en ait celui qui se place le plus haut (physiquement).
     Laissant la paille, je vais au grain : cet homme s'est mis à faire l'éloge des réussites que le christianisme a apportées, au long de son parcours par l'histoire, dans les valeurs sociales et culturels lesquels il, le christianisme, a versé sur l’humanité ; c'est-à-dire, les massacres, tueries, appropriation de biens, esclavagisme des peuples, immobilisme, quand non, dégradation intellectuelle. Tout ça, au seul but de l'accumulation de richesses en voie d'enrichir la sainte église catholique.
  Pourquoi pas, les mecs comme celui-ci, lesquels ne prendraient qu'un petit café de bonne matinée, comme tout le monde, et s'ils n'ont rien mieux à faire se mettent à nouveau au lit.

mardi 1 mars 2011

UN OUVRIER, UN VOTE

    Depuis quelques jours, à Bordeaux, étant un cercle d'amis, tous de pareille tendance politique, causant, évidemment, sur ce sujet ; le temps passe paisiblement, bien entendu, avec les divergences usuelles en telles affaires ; mais lorsque la conversation dérive à mettre en valeur les réussites sociales, que nous sommes parvenus pendant ces derniers temps, quelque chose que m'a frappé n'est pas d'autre dont quelques-uns des interlocuteurs ont mis de chefs-d'œuvre de tels événements : certains politiciens, intellectuels de griffe, partis politiques ou même gouvernements. Pourtant, personne n'a nommé les ouvriers, c'est-à-dire, ceux-ci qui soutiennent l'État, par ailleurs ils sont, tous ces démagogues-là de pacotille, à qui se les laisse prendre des médailles à l'honneur assorties d'émoluments paies comme est naturel par le peuple sauvé… de qui ? Ce peuple à qui chaque fois qu'ils le sauvent, on le reste moins, bien que, plus de misère.
     À moi, il ne m'est resté qu'ajouter que les politiciens font de concessions, ceux-ci de gauche, dû à cela que, ceux-là de droit n'ont pas besoin, parce que les votes ne se détournent vers d'autres formations vraiment si gauchistes que minoritaires "les affaires sont les affaires" Les politiciens sont maîtres pâtissiers et le peuple votes, votes qu'il faut adoucir, surtout avant des élections.