mardi 29 avril 2014

TROP INQUIÉTER POUR DANSER AU RYTHME DES PUCES

    À cause de l’inquiétante intention de faire inquiéter un autre, même l'esprit inquiétant, fait-il l'ombre qui hante l'esprit à inquiéter. Il devient inquiet lui aussi… quelle inquiétude pour l'un ce sans cesse d'inquiéter, pour l'autre ce sans cesse d'être inquiété ; quel bal dont le monde semble avoir de couple des puces éprises, prises dans leurs entre-jambes.

   En parlant du temps et pour chercher une similitude, je prends des nuages, lesquelles telles qu'un esprit, qui se montre tout obscurci pour par le tout se faire omniprésent, dont il, parfois, coquetée avec la lumière pour créer de l'inquiétude sur sa victime, si est-ce qu'elle s'en laisse faire, celle-là ciblée avec préméditation et fourberie.

   Pourtant, pas toujours la prétendue victime choisie, est-elle tellement amante de l'uniformité qui offre un ciel lumineux, dont au Soleil qui l'y fait ne se le peut pas regarder, qu'elle préféra à la lumière débordant de Ra comme celle-là qui offrent les jeux des nuages y avec, la mélancolie des grises que les nuages, eux tout seuls, fabriquent.

dimanche 27 avril 2014

L'IMPORTANCE DE LA MÉMOIRE HISTORIQUE

    N'importe quelle forme de vie dépourvue de mémoire historique, elle deviendra sinon dans un état végétatif, sous l'un involutif ; alors, compte tenu que la vie est évolution, qu'est-ce sommes donc nous les humains ? C'est pour ça que je vous propose de vous vous soumettre sous l'empire de la réflexion, et une fois là vous immerger dans la dualité, de qu'est-ce que c'est le plus important : le monde ou vous ? Ne l'en doutez pas, vous l'en êtes, parce que sans vous être le monde ne l'en est non plus. 
 
   
    Laissez-vous maintenant vous soumettre sous l'empire de la réalité (ne vous laissez pas soumettre trop parce que cela est justement notre problème) dont vous constaterez que vous existez parce que vous vous sentez touché, du même que tout cela que vous touchez ou sentez ; mais éteinte la vie de qui qu'il en soit, il ne sera pas, depuis un insignifiant espace de temps, à plus long plus mensonge, au profit de ceux-là que l'en manient. 
 
   
    Je me demande donc : (demandez-vous quoi qu'il en soit, je vous en prie, même qu'il soit pour ne pas me demander moi tout seul) existons les humains en tant que réalité, ou est-ce que nous ne sommes qu'une réalité virtuelle ; avec, en autre, ou sans, tout cela que nous entoure ? Ou c'est peut-être, pourquoi pas, qu'en nous, s'est métamorphosé le sens du toucher par celui d'attraper ; d'où, que l'on peut se tirer, il devient plus que la détérioration, la perte absolue de notre propre mémoire historique.

vendredi 25 avril 2014

OÙ N'ARRIVE PAS LE RENARD Y ARRIVENT LES STUPIDES

    De tous est connue, j'en suppose, la fable d’Ésope dont un renard, qui en prétendant des raisins, tous déjà mûrs, lesquels penchaient au haut d'une treille, au ne pas pouvoir les atteindre, il se fait convaincre en se disant lui-même : ils ne sont pas mûrs encore ! 
 
   
    De tous est connue aussi, de cela que je n'en suppose pas, l'ineptie de nos politiciens, mais ne nous trompons pas ; ils sont élus par nous, en prétendant croire ce qui personne ne croit point : qu'ils peuvent à partir, faire quelque chose de bien. 
 
   
    Sous la fraîcheur de la treille qui le renard avait abandonné, les stupides politiciens font stupides discours pour contenter leurs stupides électeurs, qui à cause de leurs applaudissements réchauffent l’ambiant. C'est donc que ceux-là grimpent aux épaules ceux-ci pour s'en rafraîchir des raisins auxquels le renard n'a pas pu atteindre.

jeudi 24 avril 2014

PERTE D'INTÉRÊT À LA VIE

   Les animaux tous, la vie toute, bien que de façon dont les uns l'autre même n'en ayant pas de similitude dans la manière de l'y faire, on se défend en forniquant. D'où, du plus ou moins niveau de reproduction, dans chaque espèce, dans chaque forme de vie, dépendant des pertes que se produisent, dans chacune d'elles, pour des survivants assurer l'espèce, la forme de vie, quoi qu'elle soit.


    Pourtant, nous les humains, les si gros prédateurs que nous en sommes devenus de nous-mêmes, en nous autoclassifiant en esclavagistes et esclaves, ce qui a fait dériver en nous, au fur et à mesure que notre déclive se propage, l'amoindrissement de la fornication pour une augmentation substitutive de la masturbation ; soit : perte d'intérêt à la vie.


    Eh bien, soit ! Ce qui pour la diversité animale tout entière, dont notre auto-anéantissement, leur ferait preuve de soulagement aux restants, à leur survivance, s'il n'en fût que, avec nous, nous pourrons traîner cette toute la diversité-là… il faudrait attendre de voir, mais ça, nous ne l'en verrons pas… pas tout à nos yeux va être gratifiant ni, même que ça soit de nous voir disparaître.

mardi 22 avril 2014

MALADRESSE AVEC NOS DIEUX, LES VRAIS

    Durant ces dernières années les dieux de l'Olympe ; les nôtres, les sérieux, en définitive : les vrais, on peut les apercevoir tellement enragés, à cause des simples mortels, lesquels viennent s'en mêlant dans leurs affaires, au climat concernant, tout l'en bouleversant. Ce qui est provoqué de leur irresponsable, funeste, comportement.


   Qui n'a pas écouté Dionysos clamer : si la chose suit comme ça, quelle vendange on pourra faire ! Ou à Saturne se plaindre : est-ce que ces méchants ignorants insupportables impertinents petits mortels prétendent faire tout le monde devenir charniers quoi ? Ou à Venus gronder (de sa délicate voix, bien entendu) je ne sais pas comme est-ce que je m'en vais habiller avec un temps aussi changeant, c'est qu'une ne peut pas se montrer tellement on est…


   Dans ce chaos (quand j'ai le nommé, Chaos me regarde circonspect du coin de l’œil) tous sont mécontents, tous ! Je n'ai pas vu, un tout seul, qu'il soit d'accord avec, ce qui s'est en train de passer, ni même la discordante Éris, dans cet ambiant désaccordant (peut-être elle, infatigable travailleuse, se voit dans le chômage) …
   L'heure est grave à nous, les mortels conscients de l'en être, puisque vu comme marchent les événements, même sans rien y participer, il ne faut qu'attendre une proportionnée réponse des dieux, les nôtres, les sérieux, les vrais. Les mortels autres, ceux-là qui se croient immortels, ils ne ramasseront que cela qu'ils ont semé.   

samedi 19 avril 2014

DIFFÉRENCE ENTRE LIONS ET BIPÈDES DÉPLUMÉS

    Le lion, le temps durant jusqu'à ce qu'il arrive à adulte, l'en passe se préparant à être lion, pour dès qu'il y est arrivé, s’accommoder en place de mâle dans n'importe quelle troupe, dont il a dû attendre que les lionnes de celle-là déplacent leur mâle déjà vieilli (elles goûtent de la jeune chair) donc, place tenue, tout ça qu'il doit faire n'est que manger, dormir, forniquer, et, rougir s'il vient un intrus marauder le garde marger familiale, pour le faire de son rugissement renoncer de ses propos… rarement il doit se battre ! 
 
   
    Pourtant, souvent se passe (pour ne pas dire trop souvent) dans les humains, qui d'enfants : les garçons jouent à être enfants, de cela qu'ils ne s'en arrêtent pas, ni même quand ils ont grandi. C'est pour ça qu'il faut que leurs parents, ceux-là qui aient du courage, les mettre à la vie à coups de pied dans leurs culs. En le concernant aux fillettes, celles-ci qui de petites jouent à être mamans, et quand, comme par hasard, elles deviennent mamans, elles jouent chez leurs parents, avec leurs fils tellement ils fusent poupées.
 
   
    Les mères humaines aiment que leurs fils sous leurs jupes, parce que, comme ça les fait sentir jeunes, elles épargnent ainsi en crèmes rajeunissantes. Donc, pour se réaffirmer les unes aux autres, à cette miraculeuse solution, elles n'en doutent en se faire croire, pathétiquement, sans pudeur, de leurs petits fils puissent, pourquoi pas, passer par leurs fils. Leurs maris, les pauvres, ils grondent à table, ils grondent parce qu'ils ne forniquent point ; et leurs épouses leur grondent parce qu'ils ronflent en dormant.
   Somme toute : les bipèdes déplumés avalent quelque chose quoi qu'elle soit… et juste sans casque !

vendredi 18 avril 2014

VIVAT L'ÉTAT DE MAUVAIS POIL

    Le centre du monde, et je le dis catégoriquement, sans ambages, ne sommes pas nous, nous les humains à l’égal que toute espèce envahissante, soit : n'importe quelle forme de vie, on doit s'adapter au milieu dont elle va s'établir ; voici le centre du monde à chacun y correspondant. Ce sont des conneries romantiques telles que « l'alliance de civilisations », lesquelles, en plus de soutenir, en quelque façon, d'autres rien romantiques telles que la mondialisation, dénaturent la réalité en prétendant que tous les humains sommes des égaux en tout. Si bien, que nous tous sommes la même espèce, la même race si vous voulez, c'est le milieu où se développe l'individu (sans importer son origine ; compte tenu qu'il n'en soit pas maladroitement influencé dans le respect dû au milieu dont il va vivre) dont il y prendra les caractéristiques desquelles il sera touché : climat, flore, faune autre, orographie, etc. tout cela qui l'en forgera le caractère, aussi comme, à long terme, certaines conditions physiques, lesquelles si bien pas notablement différenciées par rapport au reste des humains ; l'un et l'autre qui l’aideront à mieux s'accommoder dans la place quoi qu'elle soit.


   La perdre du respect aux aborigènes, quand non leur anéantissement, comme aussi à tout le milieu dont ils viennent cohabitant depuis longtemps, par les envahissants, cette manie, de ces ignorants de la vie, pour tout uniformiser, tout ça va nous étouffer tous, mais cela tout le monde le sait, pour beaucoup que personne ne l'en manifeste pas ; et je sais moi aussi que tout le monde le sait, mais j'en ai profité à le raconter pour :


   Maudire l'église ; maudire les boissons colorées, sucrées, gazées ou non gazées ; maudire la même nourriture pour tous, maudire les modes standardisées ; maudire les stupides sports aliénants… suivez-vous, si vous voulez maudire à votre plaisir, tandis que je pousserai des vivats au mien :
   Vivat la dolce far niente ! vivat le vin ! et, vivat l'entretient de la pensée… ouf. J'y vais me réconforter avec le second vivat.

mardi 15 avril 2014

UN FORT ESPRIT DANS UN CORPS D'ATHLÈTE

    Le mieux qu'il y a pour éveiller l'esprit, afin de le réconforter ; pour qu'il prenne de la vigueur, et, même de la force de la créativité, ce n'est que soumettre au corps qui lui soutient, sinon à l'effort physique, au sport ; celui-ci qui en autre est beaucoup plus élégant.


   Tout cela que je suis en position de pouvoir, corroborer, depuis d'avoir essayé en dédiant mon temps oisif (à cause, je suis devenu un athlète de haute performance) au plus noble sport. Dur travail d'investigation dont le résultat ne s'en fit pas attendre, le voilà :
     

    En prenant le temps que je passais dans les bars, auquel auparavant je ne le donne pas de l'importance, comme j'ai déjà dit sport faisant ; haussant moi les pots tous, pleins de vin ! qui s'offraient volontiers à mes mains les tenir, moi, comme si de rien n’était, étant tout seul ou en compagnie d'autres athlètes, je m'en suis immiscé peu à peu, jour le jour, de plus en plus à l'exercice, ce qu'en plus de me faire pleine satisfaction, m'a fait aussi mettre un fort esprit dans un corps d'athlète.
   Je vous invite à essayer à vous, il sera bien sûr gratifiant vous verrez, mais faites-vous attention au bon choix, en prenant soin,
en choisissant sport !

EXEMPLE DE FIDÉLITÉ

    En cherchant une chose, je m'en suis trouvé une autre, ça qui se passe quelques fois, le voilà : un exemple de fidélité.
   La vie est en toutes ses formes, y parmi nous, qui autant que toutes lesquelles que l'on peut à simple vue apercevoir, ne sommes qu'un composite d'une immensité d'autres inaperçues, lesquelles en leur conjoint sont plus ou moins bien places à fin de façonner de la beauté, celle-ci qui n'est que l'armure du conquérant.
 
   
    Eh bien ! Tout cela qui est vie, c'est, sommes-nous tous, des chercheurs, potentiellement conquérantes incommensurables d'espace. À ce sujet dont j'ai fait des observations, dès un point de vue empirique, en prenant pour modèle mon ami Hyacinthe : dragueur impénitent qui si bien n'est pas fondu dans le même moule que l’original, bien pourrait de lui aussi avoir né une fleur, bien qu'elle soit plutôt une courge… soyez-vous mauvais pensés ! Je l'y ai choisi par le volume de ses fruits. Ce dragueur impénitent qui consomme ses rapports avec des volumes qu'à un mortel normal (même avec casque) seraient-elles espaces sidérales. 
 
   
    C'est à ce point arrivé, en faisant moi cette observation, dont j'ai découvert dans le dragueur impénitent bel exemple de fidélité ; il aime tout à fait le volume, mais « UN » et non pas pour être myope puisque le toucher montre jusqu'aux aveugles. Ce qui ne veut dire que les amants des filles à la mode ne souhaitent pas le volume, pour qu'ils l'aiment en troupeaux.

samedi 12 avril 2014

PAUVRES CUBAINS QUI NE PENSENT QU'À FÊTER

    À l'occasion du voyage de monsieur Laurent Fabius à Cuba, on est forcé d'écouter des commentaires qui ne peuvent que sortir des esprits, où ne se cultive que de la médiocrité, celle-ci bien engraissée pour qu'elle pousse fort : de la pourrie ignorance.
 
    
    De toutes les conneries que moi, comme qui que ce soit n'en est-il un bouchon dans l'oreille, on s'est fait écouter, parce que la pollinisation a rempli l'atmosphère, celle-là qui m'a produit le plus d’allergie fut sur la pauvreté du peuple Cubain tout entier.
 
    
    Eh bien, s'ils sont pauvres, ils l'en sont tous quand même ; malgré tout, toute la jeunesse-là est scolarisée, dont le lycée, obligatoire, ne coûte un sou à personne ni, non plus les outils, autant qui se passe dans la formation universitaire, dont sa population est la plus nombreuse proportionnellement au nombre d’habitants que d'un pays autre. La santé est patrimoine des citoyens tous, et tous mangent là, pas trop peut-être, mais mangent tous, ce qui a de l'avantage de ne pas avoir besoin de se mettre sous coûteuses diètes amaigrissantes à quelques minorités, obligatoires à une majorité. Bien est vrai qu'ils, les Cubains, ne peuvent pas comme chez-nous « la riche Europe » de savourer de la richesse des gros riches, de laquelle nous, nous délectons dans les magazines… en plus ces emmerdeurs de cubains, qui n'en ont ni riches de qui se vanter, ni même, à faute d'eux, magazines en papier couché, ne pensent plus qu'en faire la fête.

vendredi 11 avril 2014

D'ABORD A ÉTÉ LA LUMIÈRE, APRÈS LA POUPÉE GONFLABLE

    Nous, les animaux humains, depuis d'avoir inventé la lumière artificielle, non seulement y abusons, sinon qu'en géométrie, nous avons facilité la vie, la nôtre, ses pas. Remarquons que depuis de beaucoup abuser, nous avons inventé le casque.
 

  
Notre vie, la pauvre, à qui nous alimentons de l'artificiel, à qui nous, nous avons fait vivre dans l'artificiel même en arrivant jusqu'à fabriquer une pensée artificielle assortie, pour qui, et pour si tout cela n'en fût assez, nous avons inventé la poupée gonflable ; l'en fabriquant en toute sorte de qualités, dont nous y avons réussi à obtenir une perfection plus qu'absolue : dans cette qualité suprême, le plus c'est qu'elle peut
se déconnecter.
 

  
Ce qui m’intrigue, c'est que tante sagesse aie fait de nous des animaux si stupides que même renions de notre animalité… Ah ! J'oubliais : je ne vais pas mesdames être moi qui vous laisse dans l’ostracisme ; je fais foi qu'il y a aussi poupées mâles.

jeudi 10 avril 2014

C'EST CHIANT ÇA DE L'INDIFFÉRENCE

    Quand on mène l’indifférence, indifféremment, par le si long et large chemin que lui délimite l'horizon entourant la plaine, dont elle sera vide de tout que ne soient les combattants indifférents. Il fera ajouter que consultant moi des experts lesquels depuis d'avoir fait toutes les recherches possibles, ils n'ont pas trouvé d'autres routes pour l'y mener.
 
   
    Pourtant, et même considérant la grandeur de l'espace dont tout est chemin, les pauvres cons indifférents, se heurteront-ils, pas indifféremment sinon irrémédiablement, n'importe pas que l'espace soit absolu ; l'espace n'est rien à délimiter l'indifférence. Qu'est que se croyait l'espace ! L'indifférence n'est pas quelque chose !
 
   
    En conséquence, les indifférents passeront indifférents leur mener leurs indifférences, devant un monde qui n'apercevra point l’indifférence des indifférents, lesquels brûleront à cause de leur indifférence, sous l'indifférence les pompiers, lesquels parmi ce monde pourraient faire quelque chose à les éteindre s'ils ne passassent indifférents…
    … c'est chiant ça de l'indifférence ou quoi ? J'insiste.

mercredi 9 avril 2014

LE CHASSEUR DE CHATS

    Le chasseur de chats n'y en chasse pas, parce que le gourmand a toujours la table bien servie, quand non, ou bien de :
    côtelettes de porc à la mijoteuse,
    agneau au curry et au pamplemousse,
    entrecôte vigneronne au plaisir de Palma,
    lapin au cidre et aux herbes de Provence,
    poulet rôti aux patates douces et piment d'espelette;
    ou d'autres délicatesses comme ça.


    Pourtant, compte tenu qu'il était soumis à diète, pour ne pas se transformer de chasseur, plus qu'en gibier, en animal d'engrais, le généreux laissait, bien qu'à regret, des fromages, aussi comme gâteaux de tout type, à ses prétendues pièces de chasse, soit que, peut être en prévoyant l'avenir, dont la table à lui dispose n'en étant pas entretenue comme il faut, que celles-là aient leurs os bien garnis.


    Je rigole moi tout seul, seulement de penser (il ne reste d'autre qu'en y rêvant. Ainsi à ce temps-là nous ne serons pas) à l'avenir, dont nos politiciens, spéculateurs, curés et tout type de pareils minables, autoprétendues des personnes (je ne suis pas raciste, c'est en tout cas une considération dans le genre humain) quant à toutes les personnes normales, sans casque, la faim nous aura tous tués, s'en mangeant les uns les autres, parce que ces inutiles n'auront pas autre chose à manger.

mardi 8 avril 2014

TOURMENT À VOYEURS

    Qui n'a pas quelquefois attrapé un torticolis, dont la douleur subie n'est pas comparable chez un quidam de chez un voyeur comme il faut, celui-ci qui se fait indisposer à poursuivre de ses yeux les pas de toute belle qui se lui croise ; puisque le brusque logique tourner de sa tête vers l'objectif, fera sentir au soufrant une douleur telle que si on lui enfonçât un clou d'énormes dimensions dans le cou…
 
    
    … quelle perte ! Quel abandon de pièce aux yeux de tout un professionnel !
 
    
    Le voyeur, tellement qu'une chouette blessée que ne peut pas tourner sa tête, aveugle-t-elle, ou presque, à ses prédateurs devient in-défense, le voyeur perdra le sens à vivre, le pauvre. Donc, il n'est pas rare de voir, une personne qu'autre pris de cette maladie, renverse par n'importe quelle bagnole, par n'importe quel passage de zèbre puis d'avoir bien confondu le zèbre avec une belle.

dimanche 6 avril 2014

UN AMOUR POUR L'AUTRE: MIEUX NE PAS AIMER

    La femme à qui aimait Philibert chaussait pantoufles de velours. Philibert n'a jamais su durant, si elle venait d'arriver, si est-ce qu'elle était chez lui depuis quel temps, ni si elle était partie ni quand. C'est pour ça qu'une fois son amoureuse était parti si longtemps, qu'il le crut pour toujours ; Philibert, que n'était pas amant de sursauts, l'un pour l'autre il a décidé de ne jamais aimer.
 
    
    Pourtant, Philibert regardait avec nostalgie, quand il écoutait le claquer des hauts talons, la prolongation qu'y montaient des fines et délicates chevilles, sans dépasser jamais au-dessus des plus hautes proéminences…
 
    
    … le cou, les lèvres, le nez, les joues, et surtout les yeux, étaient aussi attirants à Philibert, qu'ils pourraient bien faire son cauchemar revenir à nouveau ; même qu'il fut cette fois compassé de l'harmonieux : tic-tac, ta-ca-ta ; tic-tac, tic ta-ca-ta… !

samedi 5 avril 2014

LE RÉEL ET LA RÉALITÉ

    Contant que le sommeil soit la porte que s'ouvre aux songes, elle sera, elle aussi, laquelle s'ouvre dans le réveiller… mais à quoi ?
 
   
    Tout le monde sait (parmi les gents normales sans casque) qu'un songe est un songe, soit-il beau ou un cauchemar ; mais qu'est-ce que c'est, ce qui n'est pas songe ? Réalité ? Ou pourquoi pas les songes sont-ils la réalité ? … ça qui ferait de la réalité le cauchemar ? Mais non ! Affirment les experts, pour ça que les patrons des affaires  se tiennent ; puisque les songes qui ne s’objectivent en réalité ne sont pas affaires. C'est donc la réalité, bien sûr le cauchemar.
 
   
    Choisissez-vous de ce fait à vivre si dans la réalité avec la médiocrité, ou dans les songes entoure de succubes, et incubes, à choisir.

vendredi 4 avril 2014

RIEN N'A CHANGÉ NI RIEN CHANGERA

    Dans la prise de siège, où l'en a accommodé le patron des patrons, lequel n'est pas patron de rien, son éminence le nouveau cardinal à Matignon a déclaré :
    « Pas de rupture, mais une continuité » (la rupture par rapport à lui, la continuité concernant son prédécesseur).
  

    
Soit que le bal sera le même ; la même musique, les mêmes danseurs tous presque, si bien qu'il y aura changé de coupes ; soit que, quelque personne d'esprit quinteux envenime une atmosphère déjà chargée, en disent qu
e son éminence pèche de faute de disposition innovatrice.
 

    
Le sumo pontifie de l’Élysée, fou de content de son choix de façon que sa tête qui ne se tenait pas dans le casque, jouait-il de la musique, plus pour que le cortège dansât, pour faire lui la sourde oreille.
   Rupture bien sûr n'en aura point, mais il ne faut pas être un grand analyste pour déduire que la continuité n'a pas billet par trop loin.

jeudi 3 avril 2014

NOYÉ MOI, QU'ELLE MONTE LA MARÉE

    Dans le film de Thomas Vincent « Je suis un assassin » le mec autour de qui se développe la trame « Ben Castelano » (François Cluzet) ourdi par « Brice Kantor » (Bernard Giraudeau) à tuer la femme de ce dernier par Ben, dont Brice pour fournir son alibi, il fait des pratiques devant un miroir : l'allure affligée, marmottant, de la tristesse qu'y correspond assorti, quelle horreur ! Quelle horreur ! Cette actuation dont vous tous, nous tous, toute la grande majorité de la France n'a pas besoin de miroir pour y faire, c'est assez de regarder parmi les médias, n'importe quel, pour tirer du cœur cette exclamation, sinon doublée, triplée, ou pourquoi pas la si répétitive sonnerie du démarrer d'une bagnole qui ne veut pas l'en faire, sa batterie en pleine forme.

 


    Dans ces médias qui publient ou font sonner, en vue de la nomination du premier ministre, monsieur Monsieur Valls un titre comme ça:
  
    La nomination de Manuel Valls à Matignon appréciée par les marchés financiers.
   Mal symptôme quand les contents sont les spéculateurs, soit une minorité de « sangsues » —pour le dire doucement tandis qu ceux-là la charrue du malheur les ouvre un nouveau sillon dans leurs fronts, c'est-à-dire toute une majorité, qui n'est que la classe ouvrière, soit la classe productrice, à laquelle les comblés, éminences intellectuelles, veulent reconvertir en classe exclusivement acheteuse… ?
 


    Qu'est-ce qu'il s'en va passer ? Voyons ! Tout le monde le sait, mais quand la rage soit fort étendue, de rien vaudra se défaire de l'enragé, en autre, à lui, à eux, cela leur va soulager… et la rage, elle y restera.