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mercredi 10 avril 2024

À DÉFAUT D'AILES : COUP DE PIED AU CUL

   Des couloirs, protégés par hauts murs pour que personne n’en sorte, dont le ciel fait toiture, façonnent le labyrinthe dont le peuple est prisonnier.


    Le maître du Dédale a fait soin pour que l’unique sortie conduise à un autre labyrinthe et successif ; les gardiens de celui-là veillent.


    Pourtant, le ciel est à tous. Alors, la seule sortie de l’encerclement est de se faire pousser des ailes… et de voler ! Hors de là, l’espace est ouvert.

mardi 22 janvier 2019

DANS LA PEAU DE DÉDALE

    N’en ayant rien à verser de la dame-jeanne de ma pensée, l’envie de raconter me fait le faire sur ce que peut se passer à n’importe qui, donc, pour y faire, je me fais sujet moi-même.
 

   
La vie « ma vie » s’adapte cahin-caha à son parcours, large, ce qu’il soit.
   Long, ce qu’elle y veut.
   La vie n’est que chemin… Sinueux !
 

   
Je ne sais pas pourquoi me vient à la tête une femme.
    Cette pensée, qui ni me mène à « elle » ni m’éloigne.
    Qui me fait perdre… 
    Dans ce labyrinthe !

mercredi 10 juillet 2013

UN ESPOIR SANS ESPOIR

    Dans le généreux monde par où papillonnons-nous, ingrats fils ou semence ingrate, aveugles plutôt que de l'avoir été de naissance parce que nous n'avons jamais voulu voir. Cette nonchalance qui a provoqué en nous, pas seulement la perte du sens de la vue, sinon que celui du bon sens de la perception, du goût au vin même.
 

    Dans cet appauvrissement général, nous avons mis à arracher de bonnes plantes ; ordonnant la brousse de manière que nous eussions fabriqué un absurde labyrinthe, celui-ci qui a cru de façon tellement disproportionnée que nous l'avons fermé en soi, jusqu’à la porte aux cieux. De cette brousse dont maintenant les ronces qui prolifèrent parmi, pincent sur nous, dont la vigne n'y prolifère point.

 
    Aujourd'hui, quelques-uns disent voir de l'espoir, compte tenu, selon eux, que la vieillesse de la brousse qui constitue le labyrinthe, dont sa grandeur, d'où le besoin de l'eau (celle-ci qui ne sera pas assez) à la soutenir, l'en fera sécher ; et voilà donc, toujours selon eux, le jour que sera de notre libération. Malheureux buveurs des distillés de mauvaises herbes. Ce jour-là, nous serons perdus dans l'implacable désert, sans eau, et ce qui est pire, sans le vin, avec qui nous soigner de la piètre vie.

mercredi 4 janvier 2012

LE DÉDALE DÉBORDANT

    Jour le jour, il nous est plus difficile nous en sortir de l'intérieur du Dédale où se cache ou où se protège l'âme de chacun de nous, celui-là fabriqué par la conscience qui nous a imprégnés et qui nous fait si différents d'autres espèces animales.
    Cette conscience qu'en a fait ce labyrinthe-là de plus en plus compliqué, à cause d'avoir elle perdue son sens original, peut-être à raison d'avoir été depuis longtemps détournée pour les dogmes, aussi religieux, que politiques intéressés (dans les dogmes religieux, ne remarquez pas l'intérêt, il y est implicite) ces dogmes, tout dogme, nous empêchent librement être respectueux, de nous-mêmes, de l’environnement sous lequel nous vivons, celui-ci qui n'est que l'origine de nous-mêmes, et lequel nous sommes en train d’épuiser à cause de notre surpopulation, dont elle partage le gaspillage débordant d'une petite partie de ses individus, et la misère pour le reste (polluante en sa proportion, même la misère débordante, pollue, elle aussi, et parmi nous tout déborde, et déborder-ci n'est pas une redondance). Sans oublier la promotion vers l’anéantissement sur laquelle nous traînons avec nous en grande partie d'autres animaux compagnons de voyage.
 
     
    Tout cela qui a fait croître tellement la végétation qui bornée les accès à notre intérieur, faisant du Dédale un groupe serré.
     Je suis vraiment convaincu que, par nous avoir cru sages, nous sommes arrivés à faire compliquer le simple, d'où nous n’avons pas seulement perdu notre essence animale sinon en plus l'essence acquise, humaine.