Jour le jour, il nous est plus difficile nous en sortir de l'intérieur du Dédale où se cache ou où se protège l'âme de chacun de nous, celui-là fabriqué par la conscience qui nous a imprégnés et qui nous fait si différents d'autres espèces animales.
Cette
conscience qu'en a fait ce labyrinthe-là de plus en plus compliqué,
à cause d'avoir elle perdue son sens original, peut-être à raison
d'avoir été depuis longtemps détournée pour les dogmes, aussi
religieux, que politiques intéressés (dans les dogmes religieux, ne remarquez pas l'intérêt, il y est implicite) ces dogmes, tout
dogme, nous empêchent librement être respectueux, de nous-mêmes,
de l’environnement sous lequel nous vivons, celui-ci qui n'est que
l'origine de nous-mêmes, et lequel nous sommes en train d’épuiser
à cause de notre surpopulation, dont elle partage le gaspillage
débordant d'une petite partie de ses individus, et la misère pour
le reste (polluante en sa proportion, même la misère débordante,
pollue, elle aussi, et parmi nous tout déborde, et déborder-ci n'est
pas une redondance). Sans oublier la promotion vers l’anéantissement sur laquelle nous traînons avec nous en grande partie d'autres animaux compagnons
de voyage.
Tout
cela qui a fait croître tellement la végétation qui bornée les
accès à notre intérieur, faisant du Dédale un groupe serré.
Je
suis vraiment convaincu que, par nous avoir cru sages, nous sommes arrivés à faire compliquer le simple, d'où nous n’avons pas seulement perdu notre essence animale sinon en plus l'essence acquise, humaine.
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