Quand je me mets à penser d'être l'heureux que sont les croyants, de ce qu'ils pensent qu'ils iront à la fin de leurs vies, à côté de dieu, chacun à celui que lui correspond, je sens des remords de n'avoir du courage de ne pas pouvoir, pour les aider à attendre tout d'un coup (sur la tête, par exemple) la gloire recherchée… ma pourrie conscience d’athée ne me permet pas faire ça.
Dommage que nous tous, gens sans foi, ne soyons pas faits de la même étoffe qu'ils sont faits.
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