Le coût de la vie monte tellement que, pauvres des pauvres qui n'aient de l'imagination, comme vont-ils savourer des gâteaux pendant qu'ils mangent du pain, de la viande en mangeant des patates ou des fruits de la mer en aspirant de sa brise ?
Pauvres des pauvres qui gaspillent toute leur imagination en penser qu'il n'y en est pas.
Pauvres ouvriers à qui seulement leur propre esclavage les libère d'être pauvres.
Bien pourrait quelqu'un d'autre continuer jusqu'au fin de vos vies… la mienne resterait si bref.
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