Un homme avait amené vivre chez-lui parmi d'autres animaux : un âne dans l'esprit que personne se plaçât sur un rang supérieur à lui, au moins dans son domaine, concernant à l'intelligence, un cochon pour faire du même à l'égard de la politesse, donc, et pour si tous ces deux ne fussent pas assez, il avait ajouté à la troupe un loir ; il voulait aussi être le plus active, dans le nouveau monde qu'il était en train de fabriquer.
Une fois tous les quatre chez eux, chacun prend place où l'on est plus à l'aise. La maison autant bien chauffée qu'assortie de denrées, met au loir dans un état de frénétique activité, s'emparait-il du salon-bibliothèque étendant d'ici son espace vital par le sous-sol dans lequel il y avait une espèce d’atelier-laboratoire.


Celui qui reste, l'âne, animal de notable intelligence, pour coucher ses réflexions, n'avait trouvé mieux place que coucher dans le lit qui avait été celui-là de leur amphitryon, celui-ci, qu'à faute d'autre chose avait pris siège, par-ci par-là, du couloir où il ne gênât pas les nouveaux patrons de la maison.
Notre homme dans sa prétendue sagesse ne savait pas qu'il y a d'autres qui vivent là où ils vivent, mais pas par leur choix.
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