samedi 21 janvier 2012

DE L'AMOUR À LA FAUNE.


    Nous, les humains, pouvons aimer d'autres animaux n'importe lesquels, par exemple, un chien parce qu'il est obéissant, ou un chat parce qu'il ne l'en est point ; un poussin parce que si, comme pas une poule parce que non ; une souris, tandis que le caprice à lui reste, ou un aigle parce que le caprice à la tenir reste inaccessible ; un cheval parce qu'il est docile ou idiot, mais pas un âne, peut-être parce qu'il est, de façon incompréhensible à la plupart de monde, intelligent.
      Cependant, entre nous, l'amour est la guerre, ou pour le dire, pas sans feinte, plus doucement, la concurrence, cela qui fait que nous ne soyons différents de l'autre faune, que dehors de ce que peut être était notre propre bourreau : la sacro-sainte Technologie.
      En autre, bien est vrai que l'on y en a qui aime le cochon de son époux ou la vache de son épouse, celui qui se passe, entre l'après la fureur des échanges des fluides corporels et l'avant de se quitter, ou en tout cas de s'habituer à l'ennui.
     À la fin, nous, les humains, ne sommes qu'animaux comme les autres, en plus habillés, dommage elles sont si belles ! ces incitatrices à la guerre. Seulement la solitude, l’Écartement de la meute nous fait différents des autres espèces, si ça n'est pas à dégoût.
    Ah ! excusez-moi, les coupables de tout sont les politiciens.

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